Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityATHEMO ≈ A LONG TIME AGO, WE USED TO BE FRIENDS. - Page 2
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


ATHEMO ≈ A LONG TIME AGO, WE USED TO BE FRIENDS.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.


Tiens, elle ne semblait pas apprécier ta comparaison avec les adolescentes typiques et stéréotypées mal dans leurs peaux des séries américaines télévisées – pourtant, te souvenant d'elle à l'époque, tu ne pensais pas être trop loin de la vérité. « Tu m'assures ça, et pourtant, c'est toi qui te l'a joue à la skins, en mode c'est trop hype de se droguer. » Peut-être qui si c'était elle qui faisait l'effort un peu de revenir sur terre, elle arrêterait de se voiler la face sur cette partie-là de sa vie où plus elle continuait, et plus tu la voyais devenir misérable par les photos de soirées immondes qu'elle t'envoyait. Tu arquais un petit sourcil lorsqu'elle te demandait si ne faire que parler de soirée était une raison pour arrêter une amitié. « Qu'est-ce que tu fais, quand t'es en face d'une personne qui change trop pour toi, en face d'une personne avec qui tu ne partages plus aucun points communs ? Tu voulais que je fasse semblant, parce que ça, ça allait t'aider ? On avait plus aucun lien, plus cette complicité d'avant avec la personne que tu devenais, et en plus j'étais obligé de supporter de voir des images d'un truc qui me répugne et que j'abhorre. » Il y avait un moment où tu avais tes limites toi aussi. La voir en train de fumer des joints avec ses potos tous déchirés ça allait deux secondes, mais t'allais pas t'excuser d'avoir plus de respect pour toi-même et d'avoir une volonté de ne pas toucher à ça, coûte que coûte. Tu ne comprenais pas ces gens-là, t'avais pas besoin de ça pour t'amuser en bonne compagnie. Elle essayait de sortir les violons avec son exploration de son vrai soi ou tu ne savais pas trop, et tu soupirais. « T'as choisi la facilité, si tu penses que t'allais mieux, tant mieux. Si tu penses que t'étais pas addict, si tu penses que tu n'as pas besoin d'aller en rehab pour ne plus y toucher, si tu penses avoir cette volonté en toi de faire ce que tu veux contre les substances illicites. Moi j'te dis ce que je vois, et ça m'plaisait pas. Tu pouvais faire autre chose pour aller mieux. Va écrire ton mal sur du papier, va peindre ta rage, va apprendre un instrument, va gueuler dans les champs, goinfre toi de mal bouffe et de chocolat, j'en sais rien ! » Tu disais en levant tes bras en l'air.

Elle allait trop loin, quand elle parlait de ta principauté. Elle englobait tout le monde et tentait de les descendre, dommage pour elle, être classieux et propre sur soi, et réussir dans la vie n'étaient pas des défauts. Et puis elle se limitait aux clichés également, parce que c'était bien plus que ça Monaco. Elle répliquait sur la Suisse, et tu lâchais un petit rire. « Oui et ? Quand je dis que ça se passe comme ça chez toi je parle seulement de toi, d'Athena, de ta propre entité. J'ai adoré aller en Suisse, quand est-ce que j'ai dis le contraire ? La différence avec toi, c'est que je ne les ai pas tous mis dans un sac et dénigré d'un cliché pour t'atteindre. » Alors qu'elle n'avait pas hésité. Tu levais tes yeux au ciel quelques secondes, avant de les reposer sur elle. « Et bien bravo alors, si tu ne te drogues plus. Je demande pas mieux pour toi. » Si elle voulait tant te rejoindre elle pouvait toujours le faire sous un autre numéro, elle oubliait sûrement de dire qu'elle avait ses propres potos maintenant et qu'elle n'avait pas que ça à faire de tenter d'annoncer cette charmante nouvelle à un ancien ami. Elle disait ensuite que c'était très bien que tu sois là, et tu penchais ta tête sur le côté légèrement. « Et toi alors ? » Si elle était là depuis septembre, tu ne l'avais pas du tout croisée.
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Nemo était clairement décidé à ne pas me laisser le dernier mot. Tant pis je ne l'aurais pas, parfois il faut laisser l'autre prendre une sorte d'avantage, ça ne veut pas dire que j'ai totalement tord. Je suis de mauvaise foi je sais mais bon. Il me comparait ou du moins mon moi de l'époque à ces pathétiques ados en recherche de sensations dans les drogues et autres. Je ne me voyais pas comme ça a l'époque, je l'avais fais pour une raison que je savais difficile a comprendre mais j'en ai eu besoin. Je voulais penser à autre chose et explorer de nouveaux horizons, tester de nouvelles limites. "C'est complètement différent je sais pas je voulais découvrir plus je ne vois pas en quoi ça fait de moi quelqu'un de pathétique comme dans les séries. Je n'ai pas non plus dis que c'était cool enfin je trouvais ça cool à l'époque c'est vrai." j'admettais à moitié mes tords, en même temps je ne pouvais pas non plus rester dans la mauvaise foi tout le temps. Tout en l'écoutant j'ai ressorti mon paquet de cigarette, l'autre avait été par terre il était hors de question que je la fume. Je m'en suis allumée une autre en l'écoutant "Bon sang Nemo ! Je pensais juste que quoi que je fasse une part de toi serait toujours là même si on était moins amis c'est tous. C'était des images de soirées je faisais pas un porno non plus arrête. Je dis pas que c'était la classe juste il y a dix fois pire que les photos de soirées qu'il peut y avoir de moi." Oui pour moi ce n'était pas si grave on va dire. Oui j'avais fumé des joins, coulé des douilles, oui j'avais tapé des railles de coke mais il n'y avait jamais eu de photos de moi à moitié à poil ou je ne sais quoi donc ce n'était pas si choquant pour moi. La drogue n'est pas le meilleur choix que j'ai fais je l'admettais mais pour moi il y avait bien pire seulement Nemo ne voyait pas les choses comme ça. Il me disait que j'aurais pu faire n'importe quoi mais pas ça. C'est vrai que quand je réfléchissais je me demandais pourquoi j'avais fais ça je ne savais même pas, oui c'était un besoin de voir autre chose que ça je ne savais pas vraiment "Tu as raison oui j'étais accro et c'était une connerie de commencer mais tu vois je pensais juste pas que tu partirais. A l'époque j'étais pas prête à voir pas mal de choses, moi je pensais oui ... je pensais que tu resterais ou je ne sais pas moi je pensais pas que tu partirais c'est tous je me suis sentie abandonnée." Wahou ... Moi Athéna Campbell parlant de mes sentiments, c'était quelque chose je peux vous le dire car je ne suis pas quelqu'un de trop comme ça, j'aime pas m'exprimer sur ce que je ressens. J'essayais de ne pas lever le ton mais c'était difficile parfois face à mon ex ami qui avait toujours réponse à tous.

Je n'ai pas été très maligne même un peu impulsive en mettant dans le même sac tous les monégasques c'est vrai et Nemo ne s'était pas gêné pour me le faire remarquer ce qui m'a fortement agacé. J'ai pris une latte de ma cigarette avant de recracher la fumée. Je n'avais pas envie de m'excuser mais d'un autre coté j'étais clairement en tord là et parfois admettre qu'on a tord c'est adulte non ? Je capitulais avec un "Désolée c'était méchant et injustifié parce que j'adore Monaco." en ne le regardant même pas dans les yeux je le pensais mais j'étais aussi quelqu'un de fière c'était déjà bien il avait des excuses j'espérais qu'il ne m'en demanderais pas plus. Nemo avait bloqué mon numéro à l'époque ce que je n'ai pas manqué de lui faire remarqué vexée qu'il en soit venu à un tel point à une telle extreme. J'ai glissé aussi que je ne me droguais plus, oui car d'un coté fallait le dire j'en étais fière quand même d'avoir régler ce problème là même si il en restait encore beaucoup à jouer. "Merci" avais-je simplement dit. Il était à Harvard depuis un moment, bien plus que moi je dois le dire, c'est alors qu'il m'a retourné la question "Mon père à voulu que je quitte Providence en trouvant mes amis toxiques et mes parents étaient à Harvard donc j'ai postulé ici et me voilà." Voilà pour faire simple, je n'allais pas lui rabacher que ma mère était une cabot et que depuis qu'elle était partie et que d'y rentrer c'était quelque chose pour être plus proche d'elle ou même que je m'étais trouvé une sorte de but dans ma vie et voilà.
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.


Tu ne mentais pas. Peut-être qu'elle, dans sa tête et dans son esprit d'autrefois, n'avait pas l'air de penser qu'elle ressemblait à cette caricature des adolescents mal dans leur peau qui tombent dans un cercle vicieux en rencontrant toutes sortes de drogues qu'ils pensent leur faire du bien – et tu ne comprenais pas comment quelqu'un pouvait croire que ces merdes les sauverait, il suffisait de mater quelques séries et de regarder quelques documentaires et de se renseigner en ligne pour prendre conscience que ça n'apporterait jamais rien de bon – mais tu lui expliquais seulement ton point de vue, qui n'avait franchement pas été bon. « Tu vois. Tu faisais remarquer lorsqu'elle avouait trouver ça cool à l'époque. Je te dis juste la perception que j'en ai, même aujourd'hui, quelqu'un qui touche à la drogue est pathétique pour moi, c'est comme ça. Je ne connecte pas avec ces personnes-là. C'est pas une excuse que j'ai trouvé à l'époque pour ne plus être ami avec toi, c'est l'une des choses que je trouve les plus incompréhensibles du monde. Si tu veux te découvrir, va voyager, voir le monde, explorer des endroits, des cultures, y a tellement plus de possibilités qui sont bonnes pour toi. » Tu tentais de lui expliquer, ta voix plus las, plus calme. Aujourd'hui encore tu avais ce problème, et tu avais récemment arrêté de parler à Arthur, qui pourtant risquait de bientôt faire parti de ta propre confrérie, seulement parce que tu l'avais observer se droguer lors d'une soirée. C'était comme ancré en toi, un manque de valeurs que tu ne partageais pas. Elle commençait à fumer, et tu soupirais doucement à ce qu'elle disait. Elle ne comprenait pas ton aversion, et tu ne comprenais pas son envie néfaste de l'époque. « Ouais, mais moi, ça me donnait l'impression que j'te perdais. Et c'était le cas. » Elle oubliait le fait que si elle n'avait fait que danser et s'éclater avec un grand sourire sur le visage, enlaçant ses potos, tu aurais compris.C'était les autres photos, qui te gênaient. Tu aurais pourtant aimé avoir une vision moins stricte et extrémiste de la chose, ça t'aurait évité de nombreux débats et conflits, mais c'était comme trop tard pour ça. Au moins elle avouait maintenant qu'elle était accroc, et tu mordais doucement ta lèvre inférieure, la regardant, alors qu'elle était sûrement déçue de l'abandon soudain que tu lui avais fait subir. « J'aurai aimé avoir le courage de rester, mais tu étais trop loin pour que je te force à arrêter, et tu ne voulais pas forcément m'écouter à l'époque. » Tu soupirais.

Il était normal que tu aies ce besoin de protéger ton peuple des critiques, surtout aussi basses et faciles à jeter que la richesse supposées des gens vivants là-bas. Tu étais leur prince héritier, ça t'irritait lorsqu'on osait les critiquer sans raisons. Ces gens-là vivaient, travaillaient comme tout le monde, méritaient leurs salaires – et même parfois, dans les usines qui peinaient à rester en vie, méritaient plus. Mais les gens ne recherchaient souvent jamais plus que l'allure luxueuse que procurait le nom de Monaco. Même si elle ne te regardait pas, elle s'excusait, et ça t'aider à te calmer un peu. « Je préfère ça, merci. » Tu répondais, tes yeux détaillant un peu mieux lorsqu'elle ne te fixait pas la femme qu'elle était devenue à celle qui tu avais connu tout jeune. Elle te glissait ensuite qu'elle ne se droguait maintenant plus, et au fond de toi, ça te faisait plaisir. Elle avait avoué être accroc quelques minutes plus tôt, ce qui voulait sûrement présumer qu'elle avait du en baver pour ce sortir de ce gouffre vicieux. Elle t'expliquait qu'elle était là grace à son père et ses parents, et tu hochais doucement la tête. « Il a bien fait de te virer de là-bas. Puis si tu as réussi à entrer à Harvard c'est que t'avais  des compétences qu'il ne valaient mieux pas perdre non ? » Tu relevais d'une manière plus légère, arquant un petit sourcil.  
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Pour Nemo, tous ceux qui prenaient de la drogue étaient comme des adolescents dans ces films qui sont en quête de sensations ou je ne sais quoi. C’est vrai à l’époque je trouvais ça cool, ça me réconfortais, je me sentais un peu mieux mais je trouvais qu’il mettait tout le monde dans le même panier, on ne prenait pas tous de la drogue pour les mêmes raisons. Malgré les informations en ligne, ceux qui ne vont pas vraiment mal se disent que les effets secondaires n’arrivent qu’aux autres, je le pensais et je le payais encore tous les jours car j’avais développé des troubles notamment alimentaire ou bien du sommeil et j’étais tellement accro que la première semaine j’avais failli me planter avec un bout de verre, c’est mon père qui est venu pour m’en empêcher, oui j’ai fais vivre ça à mon père et j’en ai encore honte aujourd’hui. De toute façon dans ma famille tout le monde en avait honte, ils avaient raconté que j’étais en Afrique en mission humanitaire ou je ne sais plus quelle connerie pour justifier mon absence. Je ne comprenais toujours pas le comportement qu’avait eu Nemo juste parce que pour moi tu n’abandonnes pas un ami à cause de mauvais choix, là-dessus j’avais beaucoup de mal « Tu pouvais ne pas cautionner mais tu vois, tu mets tout le monde dans le même panier Nemo je ne dis pas que j’ai fais le choix le plus judicieux et raisonnable, juste que c’était mon choix à l’époque et que tu as préféré couper tous contacts avec toi, j’étais pas contagieuse je t’aurais jamais dis de te droguer. » Oui j’avais du mal à comprendre, comme lui avait de mal. Je l’ai entendu soupirer quand il m’a vu m’allumer une cigarette, je me suis retenue de faire une réflexion parce que bon, je n’allais pas en rajouter une couche même si oui clairement je trouvais qu’arreter la drogue était déjà un grand pas que j’avais franchi, on ne pouvait pas me demander de tout arrêter non plus « C’est moi qui t’ai perdu Nemo, parce que oui je me droguais, mais il y avait des fois où j’étais clean, et j’aurais été là pour toi comme je pouvais » c’est vrai, je ne m’étais jamais vu le lacher malgré la distance, après tous la suisse monaco c’est pas si loin que ça ! Je regardais Nemo, oui le fait qu’il ne comprenne pas bon même si je le trouvais extrême passait encore mais le fait qu’il parte m’avait rendu triste parce que c’était Nemo quoi mon ami à l’époque « J’étais pas prête à t’écouter c’est vrai, comme toi t’étais buté sur ton idée que c’était très mal ce que je faisais alors ça m’incitais pas à moi te dire ce que j’avais vraiment. Et tu vois avec toi j’étais honnête, trop honnête certes mais l’une de mes meilleures amies n’a jamais su que je me droguais j’ai jamais … réussi à lui dire. » c’est vrai oui, Madisson ne le savais pas et je ne savais pas comment lui expliquer ça.

Ma remarque sur Monaco était en trop c’est pour cela même que je me suis excusée. J’étais allée trop loin, je le reconnaissais. Je voyais que ca faisait plaisir à Nemo qui acceptait que je m’excuse même si je détournais le regard, par fierté et peut être aussi un peu par gêne. Nemo avait grandit mais il restait le même, son visage avait prit quelques années certes mais je le reconnaitrais entre mille, il était toujours avec sa fière allure, il avait juste un peu laissé poussé ses cheveux mais ça lui allait bien, même mieux qu’avant. Je lui ai dis que j’avais arrêté de me droguer, je ne m’étendais pas sur le sujet mais je n’étais pas peu fière, au moins il voyait que j’évoluais. J’ai ensuite expliqué comment j’étais arrivée à Harvard, si il savait que je trainais avec les Mathers à l’époque où je me droguais mon père ne m’aurais certainement pas laissé venir ici j’ai repris à sa réflexion « Oui, j’ai profité de ma cure pour me remettre à niveau dans le temps que j’avais perdu et voilà, j’ai réussi les tests d’entrée et je suis une bizut rose pour tous te dire. » Lui, j’étais sure qu’il était chez les Eliots, il le mériterait d’ailleurs.


© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.


Elle ne semblait toujours pas comprendre pourquoi tu l'avais laissé tomber malgré tout, et toi, tu ne savais pas réellement comment trouver les mots pour lui expliquer au mieux ton point de vu. C'est vrai après tout, ce n'était pas parce que l'un de tes amis aimait les tomates et que toi tu détestais que tu coupais une amitié, ce n'était pas parce que tu aimais regarder les Marvel et que ton ami n'aimait pas ce genre de films de super-héros que tu décidais de ne plus jamais lui parler. C'était les goûts et les couleurs, et c'était propre à chacun. Mais la drogue était quelque chose de complètement différent pour toi. « Mais j'suis comme ça moi aussi, y a des sujets où j'vois pas gris. Où je met tous les gens dans le même sac parce que ça n'fait pas de différence pour moi, que tu t'drogues parce que ça t'amuse et que c'est hype ou que tu te drogues pour t'évader et pas penser à ta vie présente qui est dans un merdier. J'préfère couper court que d'voir des gens auxquels je tiens devenir que l'ombre d'eux-mêmes. » Ça s'appelait peut-être fuir, ça s'appelait peut-être prendre les jambes à son cou plutôt que d'essayer de trouver des solutions, mais tu ne savais pas comment faire autrement à l'époque. La femme qu'elle devenait ne t'intéressait plus, et tu avais préféré couper court à votre amitié plutôt que de te tuer à la tâche et de te rendre malade chaque jour en essayant de lui faire comprendre qu'elle devait arrêter. Et même s'il y avait des fois où elle était clean comme elle le disait, t'avais l'impression que ça ne changeait rien. « J'avais pas cette impression. Je supporte juste pas de penser que des amis se droguent. J'ai regardé que ça. » Tu lui avouais. Et elle n'avait pas eu l'air d'avoir besoin de toi avec ses nouveaux amis à la mauvaise influence. Elle te disait que, comme tu l'avais prédit, elle ne t'aurait pas écouté, mais le fait que tu l'as juge sur ça ne lui donnait pas envie de te dire ce qu'elle avait vraiment – et qu'elle l'avait même tout caché complètement à l'une de ses meilleures amies. Tu fronçais les sourcils. « Mais c'était mal, j'allais pas te mentir pour te faire plaisir quand même ? Ça te rajoutait des problèmes en plus de ceux que tu avais déjà. J'suis pas du genre à mentir à ceux auxquels je tiens. » T'allais pas faire ton faux cul déjà à l'époque alors qu'il fallait plutôt lui ouvrir les yeux non ?

Au moins elle était censée aller mieux aujourd'hui non ? Son père avait bien fait de la changer de son établissement avec un environnement qui lui polluait ses compétences, la preuve, elle arrivait maintenant à intégrer la prestigieuse université d'Harvard, ce qui n'était pas donné à tout le monde. Bon tout le monde n'était pas clean à Harvard, tout le monde le savait, et c'était malheureux. Tu continuais toi-même de trouver ça infâme qu'il y ai des drogués jusque dans ta propre confrérie, mais heureusement tu trouvais également des gens qui pensaient comme toi et avec qui tu pouvais cracher ton venin. Tu hochais doucement ton visage à ses explications, et tu souriais doucement en coin en la regardant. « Une cabot hein ? Ça va, tu te sens bien dans la confrérie ? » Tu demandais.  

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Nemo n’était pas quelqu’un qui cautionnait la drogue. C’est à cause de ça qu’il avait décidé de partir et c’était ce qui me mettait en colère. C’est quelque chose qui fait peur c’est vrai de voir ceux qu’on aime devenir de vulgaires cadavres. Au plus il parlait au plus je voyais claire, est-ce qu’il avait peur de tomber la dedans lui aussi ? Est-ce qu’il pensait que ce serait trop douloureux de me voir comme ça ? Ce qui m’avais fais mal c’était d’avoir perdu mon ami du jour au lendemain plus rien, plus un appel plus rien, sur le coup je l’avais en travers de la gorge mais ce n’était pas ça au fond le principal de le croiser ici. Mais pour moi oui, Nemo faisait preuve d’une étroitesse d’esprit, après ça ne m’étonnais pas le connaissant à l’époque, il était un homme pleins de valeurs qui ne cautionnait pas des attitudes comme celles que j’avais eu en me droguant. « Je comprends pourquoi tu as fais ça Nemo je veux dire … Je sais que tu es comme ça avec des valeurs, je pensais juste pas que tu serais capable de m’abandonner moi tu vois ? Je pensais que ça n’arriverais qu’aux autres jusqu’au jour où les autres c’était moi. » oui je pensais qu’on passerait pas au dessus de ça, je pensais qu’il supporterais le choc et c’était aussi mon erreur. Nemo avait l’impression que je ne cesserais jamais de me droguer et que ça me changeait, certes ça me changeais mais pour moi je restais la même au fond mais lui ne le voyait pas comme ça et apparemment il avait eu d’autres amis qui comme moi auparavant s’étaient drogués. « Parfois je me dis que j’aurais du faire avec toi comme je l’ai fais avec Emilia et Madisson juste … ne rien te dire et te montrer. » Oui … en gros mentir, faire comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes quand pas du tous. Je mentais quand c’était nécéssaire et je l’avais déjà fais auparavant pour protéger ceux que j’aimais Nemo lui était honnête, pour ma part je pensais que parfois le mensonge était nécéssaire « Je sais pas je pensais que tu comprendrais là où je savais que mes meilleures amies ne pourraient pas, elles auraient chercher plus loin alors je leur ai menti je ne sais pas. Tu as eu raison de me dire la vérité même si moi je ne voulais pas l’entendre… » C’est vrai, je ne voulais pas entendre la vérité à cette époque c’était affreux de voir comme parfois la vérité faisait mal.

Aujourd’hui j’étais clean et mon père avait fait en sorte que je ne vois plus les personnes de mauvaise influence même si c’était encore le cas vu que certaines étaient à Harvard mais je ne me droguais plus et je ne comptais pas vraiment recommencer ma vie était plus simple aujourd’hui alors pourquoi tous gacher si facilement ? J’ai même avoué à Nemo que j’étais entrée chez les Cabots, dans cette sororité exclusivement féminine censée représenter l’excellence, la féminité et j’en passe. Nemo m’a demandé si je m’y sentais à ma place j’ai repris après un temps « Oui c’est vraiment génial, j’avais aussi postulé chez les Eliots mais les Cabots … ma mère en faisait partie alors pour moi c’était normal et les filles dedans sont toutes super même si je ne les connais pas toutes c’est vrai mais en 2 mois je me suis bien intégrée je trouve. Tu fais parti d’une confrérie toi aussi non ? Par déduction je dirais les bleus, j’aurais hésité entre les Eliots et les Winthrops mais tu n’as pas participé aux enchères avec nous donc j’opte plutôt pour que tu fasses partie des Eliots non ? » Oui je ne voyais Nemo nulle part ailleurs, c’est vrai que j’aurais pu douter avec les Winthrop mais pour moi il aurait participé aux enchères si c’était le cas.


© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Est-ce que c'était triste, de voir que tu n'avais pas vraiment évolué depuis toutes ces années, de remarquer que sur pas mal de sujets tu étais resté le même, inflexible, droit, strict ? Est-ce que c'était triste, de voir que tu n'avais pas fait de virage à trois cent quatre vingt degré en plein milieu de ton adolescence, ou est-ce qu'il fallait plutôt t'applaudir de camper sur tes positions, debout, fièrement ? Tu ne savais plus trop. Tu finissais par te sentir en marge de tout ces pseudos rebelles qui avaient besoin de poudre et d'herbe pour ressentir des choses, pour se sentir vivre et vivant, alors qu'au final, ce n'était pas toi qui devait te sentir en décalage, ce n'était pas toi qui faisait des choses illégales et mauvaises pour ta santé et ton corps. Et on pouvait te traiter de coincé tant que l'on pouvait, la vérité, c'est que c'était pas toi le coincé à pouvoir faire la fête de toi-même, c'était les autres qui étaient si coincés du cul qu'il leur fallait des substances illicites pour espérer s'amuser tellement leur personnalités étaient ni drôles, ni intéressantes. Pauvres enfants. « Je sais, j't'ai déçu sur le coup, d'avoir fuit. Mais toi tu m'as déçu d'avoir touché à ces merdes-là. » Elle comprenait au moins que tu avais des valeurs qui ne pouvaient changer en deux secondes telle un girouette : tu ne pouvais pas faire au cas par cas selon les personnes que tu appréciais ou non. Au final, c'était comme si vous aviez déconné tous les deux, chacun avait fait une erreur, et vous repartiez sur une égalité. 0-0, la balle dans aucun camp. Vous aviez chacun extrêmement déçu l'autre par vos actes, et peut-être que c'était mieux pour vous. Après tout si elle ne se droguait plus maintenant, c'était qu'il y avait eu du bon, qu'elle avait pu comme se reconstruire petit à petit de son côté – tout en espérant qu'elle ne replongera jamais. Elle insinuait ensuite qu'elle aurait dû tout te cacher, comme elle l'avait fait sur ses deux meilleures amies, et tu haussais tes épaules quant à cette solution. « Peut-être bien. Et peut-être que j'aurais fini par le voir. » Après tout, on ne pouvait pas mentir indéfiniment non ? Dire que l'on allait bien, faire de faux sourire pour rassurer les uns et les autres, ça passait deux minutes, mais pas des années. Il suffisait d'être un peu observateur, de connaître bien la personne et ses attitudes, et tu étais censé pouvoir desceller le moindre changement important dans sa vie, non ? Et pourtant, deux de ses meilleures amies n'avaient rien vu... Peut-être qu'Athena savait très bien jouer la comédie. Tu fronçais ensuite tes sourcils à sa réflexion suivante. « Pourquoi pensais-tu que j'aurais mieux su comprendre que tes meilleures amies ? Je suis la dernière personne qui puisse comprendre un truc de ce genre, c'est pas nouveau. » Elle avait peut-être eu trop de foi en toi, et voilà où ça vous avait amené tout cela. Ça vous avait séparé, ça vous avait détruit, et vous aviez perdu contact durant plusieurs années. Au moins elle reconnaissait que même si à l'époque elle se voilait la face, t'avais bien fait de dire la vérité – qu'elle soit bonne ou mauvaise.

Elle était chez les Cabots, c'était une bonne nouvelle non ? Il était vrai que la sonorité n'était plus forcément ce qu'elle semblait dire : étant donné qu'elles n'étaient que des filles, il y avait bien plus de crêpages de chignons que d'entraide et de solidarité, et leur images avaient plutôt évoluée sur la tromperie et l'ouverture de cuisses facile – mais t'espérais que ce soit différent pour Athena. Elle avouait avoir hésité entre les rose et les bleus, où tu étais, mais tu comprenais que si sa mère était une Cabot, elle ai envie de suivre ses pas. « C'est normal, ça te fais sentir plus proche d'elle en un sens. » Au moins elle semblait s'être très bien intégrée, ce qui était une bonne chose. Tu riais ensuite doucement à ses déductions. « Touché. Même si personnellement, même en ayant été Winthrop, je n'aurais sûrement pas participé aux enchères. » T'aimais pas l'image que ça renvoyait, et tous n'étaient pas obligés de passer sur scène, histoire que ça ne soit pas trop long – si tu y avais été, c'était seulement parce que ton petit-ami lui avait décidé de faire le show, ce vile tentateur. « J'avais hésité entre les rouges et les bleus, mais mon cœur appartient maintenant aux Eliots. » Tu disais dans un petit sourire.
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Némo m’expliquait une chose que je ne comprenais pas trop à l’époque. Il m’en voulait d’avoir touché à ça. Je le comprenais, quand je me rappelais la tête de mon père quand il a comprit j’avais tellement honte de moi c’était atroce. Je le revoyais dans son hopital appelé pour une consultation de chirurgie plastique alors que je venais de me prendre un violent coup dans le nez et que ce dernier était cassé. J’étais défoncée c’est vrai et il est arrivé pour sa consultation et ensuite il m’a vu. Il a eu un temps d’arrêt et là ça a été un long silence avant un « Athéna ? » et que je ne dise un truc comme « Papa je …. » je n’avais pas eu le temps de répondre qu’il avait déjà mes résultats de prise de sang, ces saletés étaient revenus trop vite je dois le dire. Il s’est décomposé à la vue de mes résultats et là j’ai vu la déception sur son visage. Cette déception je supposais que Nemo avait ressenti à peu près la même et ça me faisais mal au cœur il faut le dire. J’ai repris « Je vois ce que tu veux dire … c’était fort égoiste de ma part … » oui égoiste, je me suis droguée pour me sentir un peu mieux, ressentir d’autres choses et je n’ai pas pensé à mon entourage. Les choses commençaient à s’apaiser avec Nemo de mon ressenti et j’en étais heureuse. Il m’avait déçu comme moi je l’avais déçu et ça c’était loin d’être réjouissant c’est vrai mais c’était comme une égalité, zéro dans chaque coté et au final aucun n’avait ce missile en réserve pour le reprocher a l’autre à la prochaine dispute non parce que l’autre avait exactement le même. J’ai repris en disant a Nemo que peut être qu’après tous j’aurais juste dû faire avec tout le monde et ne pas lui dire il me disait qu’il s’en serait peut être rendu compte par lui-même. C’est vrai mais j’aurais eu de la marge si on peut dire. « Peut être oui … » Mes deux meilleures amies n’avaient rien vu en même temps elles avaient un texto de tant en temps, et parfois un snap ou j’apparaissais toujours souriante, je mettais un point d’honneur a ce qu’elles ne sachent pas pour pas mal de raisons, je pensais pas qu’elles pourraient comprendre ou même j’avais surement peur de les décevoirs je ne savais pas trop car je l’avais dis à Nemo. « J’en sais rien honnêtement, juste j’ai commencé à pas leur dire quand toi je me suis dis que tu te doutais d’un truc alors je me suis dis que t’allais comprendre et … j’me suis plantée au fond. Même là je … je leur ai pas dis pour le centre, la cure, ni même la drogue … surement parce que je savais qu’elles allaient vouloir savoir pourquoi et trouver au fond. J’en sais rien … Je réfléchissais pas vraiment à cette époque. » oui je ne réfléchissais pas ca c’était sure ! Au final j’avais surement mis trop d’espoirs en Némo, pensé qu’il comprendrait quand au fond de moi je savais que non et oui il avait quand même bien fait de me dire la vérité.

Je lui ai dis que j’étais entrée chez les Cabots et que pour le moment tous se passait pour le mieux, j’avais une très bonne bizutrice, je m’entendais encore avec tout le monde et c’était ça le principal. On est que des filles alors parfois c’est délicat mais on s’en sort et ma mère en faisait parti Nemo comprit ce que je voulais dire, je me sentais plus proche d’elle c’est vrai et je comprenais ce qu’elle disait quand elle m’expliquait que les filles roses étaient ses sœurs pour elle-même si bon, la réputation des Cabots était parfois assez mauvaises, des filles faciles il paraitrait. J’avais en tous cas hésité entre Cabots et Eliots et finalement j’avais choisi les Cabots « Oui voilà je sais ce qu’elle a vécu j’ai l’impression de mieux la comprendre » oui car la sororité était importante pour elle et petite je ne comprenais pas trop. J’ai souris, il était bien un Eliot, ça lui allait tellement bien en même temps « Ah je suis forte alors ! Ah oui tu l’aurais pas fais pour ta maison et une association ? Pourtant tu y étais non ? Tu as même acheté Andrew et un autre gars que je ne connaissais pas … Graham non ? » Moi je l’avais fais pour ça, parce que nous les roses nous avions besoin de points et aussi besoin d’argent pour l’association donc je me donnais avec mon âme à m’investir et aussi mon corps mais uniquement pour les enchères. Et oui j’étais curieuse il avait acheté Andrew et l’avait offert à Hazel puis avait acheté Graham. Il me dit ensuite qu’il avait hésité entre winthrops et eliots mais qu’il était heureux de son choix je ne pouvais qu’en être heureuse pour lui « Ah tu as fais le bon choix alors ! »



© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Même si tu ne supportais pas le fait que quelqu'un puisse se gâcher la vie avec la drogue, tu étais devenu plus choisissant envers tes amis. Tu restais toujours extrême sur le sujet, radical, mais t'étais un peu différent qu'au temps où tu étais ami avec Athena. Quand ceux en qui tu avais foi et confiance touchaient à la drogue, ça te faisait du mal, t'avais l'impression qu'ils se trahissaient eux-même, qu'ils ne se respectaient plus, et tu pouvais les laisser complètement tomber comme lorsque tu as vu qu'Arthur, nouveau bizut des Eliots avec qui tu étais ami, se droguer comme un pro qui faisait ça tous les samedi soir dans une soirée. Ce qui changeait pas mal, c'est ceux qu'au final, tu voulais aider. Ce matin-même, au bord du lac, t'étais tombé sur un jeune homme blond qui se fumait un joint – que t'as pris et que t'as écrasé contre un rocher sans lui demander permission évidement – et t'avais maintenant envie de le prendre sous ton aile, jusqu'à le forcer à arrêter. Peut-être était-ce parce que ce n'était qu'un inconnu que tu faisais cette distinction ? En fait, tu ne savais pas vraiment comment tu triais ceux que tu choisissais pour les aider et ceux dont tu ne prenais même pas la peine de faire quoi que ce soit – tu faisais ça au feeling t'imaginais. Tu fronçais ton nez alors qu'elle parlait d'avoir été trop égoïste – et dans un sens c'était vrai, à ne penser qu'à son sentiment de plénitude sans voir la peine que ça pouvait faire à d'autres qu'elle change tant – mais tu voyais également ça d'un autre sens. « Non, c'est l'contraire. T'as pas été assez égoïste, t'as pas pensé à toi et à ton corps et aux conséquences que ça pourrait avoir sur ton cerveau si tu continuais indéfiniment dans cette direction. T'as un avenir maintenant qu't'es à Harvard, mais il se serait passé quoi si ton père t'aurais jamais chopé ? » Là était la question. La routine et l'habitude entraînait l'addiction, et si à ce jour elle était toujours dans son université à se droguer tous les soirs... Tu te demandais où elle serait, si elle arriverait encore à mentir et à tenir le choc, où si elle serait complètement perdue et noyée dans un problème de manque important. En tout cas, t'espérais croire que si elle t'avait menti à l'époque, tu aurais fini par le savoir, par le comprendre. Même si tu l'avais laissé tomber et que tu n'aurais rien fait de mieux si cela s'était passé différemment, tu aurais peut-être eu encore plus de difficulté à faire passer la pilule si tu avais découvert plus tard l'état dans lequel elle aimait se retrouver. Tu l'aurais très mal pris. Elle te voyait peut-être différemment aussi, pour penser que tu serais plus amène à comprendre que ses deux meilleures amies. « Évidement qu'elles auraient voulu savoir si jamais tu leur avais dit à l'époque – même si tu leur disais maintenant. C'est la curiosité, c'est l'envie d'en savoir plus sur toi et cette partie de ta vie qu'elles ont comme... Manqué à n'avoir rien vu. T'aimerais pas leur expliquer ? » Tu lui demandais, avec un peu trop de curiosité sûrement, alors qu'elle te disait ne même pas leur avoir parlé de la cure de désintoxication, ni de rien. La vérité, tu ne savais pas si ce serait bon de leur dire – puisque toi tu le prendrais sûrement mal de l'avoir su si tard – mais peut-être était-ce différent avec elles. Peut-être qu'elles se mettraient à pleurer contre Athena, à s'en vouloir de n'avoir rien vu et de ne pas avoir pu l'aider ; ou peut-être que ça ne leur ferait rien du tout, s'étant déjà drogué elles aussi. C'était plutôt le comportement qu'avait Athena face à ça qui était comme bizarre : de quoi avait-elle eu peur pour ne même pas oser parler à ses meilleures amies, qui pourtant sont celles toutes désignées pour l'aider sans la juger ? Pourquoi ne se sentait-elle toujours pas apte de leur faire part de ses ressentis par rapport à son passé, à son mal être, à la redécouverte pas si joyeuse de sa mère ?

Vous continuiez sur un sujet un peu plus léger – les confréries. Pas des guerres ou des problèmes entre chacune d'elles, mais de son choix d'intégrer les Cabots pour se rapprocher intimement de sa mère. C'était compréhensible, elle qui l'avait perdu si tôt, si jeune. Tant qu'elle se sentait bien chez les roses et qu'elle s'intégrait c'était le plus important – si elle se forçait à rester alors qu'elle ne s'y sentait pas si bien et que la vision qu'elle en avait était complètement différente de celle de sa mère à l'époque, ça la rendrait sûrement encore plus mal. Tu souriais en coin ensuite alors qu'elle te demandait si tu n'étais pas près à te faire acheter comme un esclave pour ta maison et pour défendre une association, et tu haussais tes épaules. « Je soutiens des associations, et je me suis inscrit depuis mon arrivée au club des voyages humanitaires, et quand je veux soutenir une certaine cause, je donne de l'argent tout simplement, j'ai pas besoin de faire le strip-teaseur sur scène pour donner. » Tu riais à la suite de ses déductions, et tu levais les mains en l'air en signe d'innocence. « C'est la première fois que j'y vais, je le jure madame la policière ! Andrew c'était juste pour la blague, j'comprendrais jamais toutes ses minettes qui iraient jusqu'à lui lécher la raie des fesses s'il le demandait... Puis pour le coup, ça m'a permis de donner pour les enfants. Et Graham j'avais pas le choix, c'est mon copain, hors de question que quelqu'un d'autre l'achète. » T'aurais pété les plombs sinon. T'avais pourtant failli être chez les Winthrops, t'y avais pensé étant donné que tu étais quelqu'un de très sportif – t'allais pas jusqu'à changer ton alimentation et te goinfrer de biberons protéinés, mais tu suivais les pas de ta mère concernant la natation et ça te plaisait, mais finalement la Eliot House s'était imposée comme une évidence. « J'crois aussi, merci. Puis les roses et les bleus étaient comme alliés, avant. » Tu rappelais, vous aviez même fait une sortie dans un spa avec les deux confréries l'année dernière.
© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

❝ a long time ago, we used to be friends ❞
but i haven't thought of you lately at all.

Je me trouvais égoïste d’avoir fait ça. Après tous c’est vrai, en y repensant, je n’avais pensé qu’à moi, je n’avais pas vu autour de moi mon père souffrir, mes grands parents s’inquiéter et mes amis en souffrir aussi. En même temps pendant des mois j’ai affiché ce sourire impeccable sur mon visage en disant haut et fort que je pétais le feu il faut le dire. Je ne pouvais pas aller mieux. En réalité c’était faux, une façade, Emilia une fois avait vu que je m’étais droguée et que j’étais complètement défoncée, mais je lui avais juré de ne pas recommencer et au final le soir même j’avais fais la même chose envoyant mes promesses au placard. Emilia était ma meilleure amie tous comme Madisson et c’est vrai, je n’avais pas su leur montrer la souffrance que je ressentais. Nemo lui le savait, je lui avais dis je ne sais pas vraiment pourquoi, étais-ce un appel à l’aide déguisé ? Juste une provocation ? Je ne saurais dire mais en y repensant oui je me trouvais égoiste. Nemo lui, m’a rectifié, je n’étais pas égoiste, je n’ai pas pensé à ma santé justement en faisant ça. Aujourd’hui j’avais un avenir qui s’offrait à moi malgré quelques troubles que je gérais comme je pouvais j’ai repris après un instant « Oui … déjà là je n’ai plus une vie … normale on va dire. J’ai des troubles du sommeil, des troubles alimentaires … quand je suis arrivée à Harvard pour moi j’avais rien mais aujourd’hui j’en prends conscience. » Oui j’en prenais conscience, je voyais que ce n’était pas normal. Je réfléchissais … si mon père n’avait pas su … Je pense que j’aurais pu finir au fond d’un cercueil suite à une overdose tellement je ne gérais pas la situation « Honnêtement … j’en sais rien, je serais peut être même plus là pour en parler … Il a prit la bonne décision, celle qui s’imposait … » oui celle qui s’imposait car il n’avait pas eu le choix. Il est médecin, certes chirurgien plasticien reconnu dans le monde mais avant tout médecin. Je ne sais pas si j’aurais tenu le choc aussi longtemps, j’étais faible déjà quand mon père m’a fait hospitalisé de force dans ce centre privé pour faire une cure de désintoxication, c’était tellement nécessaire … je n’oublierais jamais son visage quand il a dû me laisser ou quand il a dû revenir parce que je menaçais de mettre fin à mes jours avec un bout de verre, de m’ouvrir tous les bras. Après ça, je n’avais pas pu le voir pendant plus de 3 mois, oui car je n’étais pas assez forte mentalement et physiquement pour le voir alors je n’avais pas le droit. Enfin, Nemo était différent pour moi, il ne serait pas comme Madisson et Emilia au final il l’avait mal pris aussi, je savais qu’il le prendrait mal c’est vrai, c’était Nemo mais je ne savais pas que ce serait autant. « Je sais pas si je pourrais leur expliquer. Je sais même pas réellement moi-même pourquoi j’ai fais ça … si c’est pour me faire du mal à moi ou faire du mal à la personne à qui j’en voulais … Je savais que de savoir que je me détruisais elle ne supporterait pas et j’avais déjà tellement de mal à gérer … Je sais que Madisson et Emilia sauront un jour mais je le remets toujours au lendemain … Même à toi j’oserais pas t’expliquer il n’y a qu’une seule personne qui sait la vérité sans vraiment savoir que je me suis droguée après. » Cette personne c’était Dante, après que j’ai rencontré ma mère en Italie j’étais vraiment mal et je suis tombée sur lui on a parlé et sympathiser, aujourd’hui il est comme mon frère, celui que je n’ai jamais eu. Découvrir que ma mère s’était juste faite passée pour morte, qu’elle m’aimait pas assez pour rester ça m’a … traumatisé et oui je n’arrivais pas a en parler à mes meilleures amies car j’avais honte. Leurs mères n’étaient pas parfaites certes mais elles les avaient aimé, parfois trop mais au moins elles étaient restées.

Le sujet passe aux confréries, ou plutôt de mon choix a intégrer les Cabots pour me sentir plus proche de ma mère, chose complètement stupide quand on sait pertinemment que je sais que ma mère est en vie, oui mais pour moi cette personne là n’est pas ma mère, c’est juste une inconnue, ma mère est morte quand j’avais 6 ans, elle est partie avec ses principes, ses philosophies et au final oui je me sentais proche d’elle chez les Cabots, chose que Nemo comprenait. Nemo me disait qu’il ne se serait pas vendu aux enchères même si il avait été un Winthrop. Je lui ai demandé pourquoi intriguée par sa réponse « Oui je vois, te montrer comme ça, ça ne te plais pas c’est ça ? » oui après tous, certains n’aiment pas ça se montrer devant tout le monde, même moi j’étais mal à l’aise. J’ai souris amusé à la suite de ses paroles c’est vrai que j’étais déguisée en policière lors de cette soirée « Ahah Andrew fait tourner pas mal de têtes de ce que j’en ai vu. Graham c’est ton copain ? Félicitations je comprends c’est chasse gardé ! » oui je ne sais pas si j’aurais apprécié que mon copain participe si j’en avais eu un, d’un coté oui pour l’association de l’autre … ça dépend qui l’aurait acheté. Les bleus et les roses étaient des alliés avant ?  Moi qui pensait que ce n’était que les rouges « Ah oui ? Je pensais qu’on avait été allié qu’aux rouges. »



© LOYALS.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)