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bang bang you shot me down (andris)

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" Tellement ! Mais en même temps, vu la société dans laquelle on vit.. " Et puis, on va dire qu'il y a tellement de tentation partout. Je n'ai pas été fichue de me contenir moi lors de ma première année alors bon... Et je ne m'en plais pas. C'était quand même bien sympa tout ça. Enfin, sur le coup. après, c'était tout autre chose. Mais même si j'avais été prude et tout ce qui va avec, je crois qu'amour et sexe vont ensemble de nos jours. Soit, je n'ai pas à me plaindre la dessus et je crois même que j'aurais été un peu mauvaise si Bonaventure avait voulu se réserver pour le mariage. Ouai, j'ai déjà vu des couple se séparer parce que sexuellement parlant, c'était le néant. Enfin, je les ai vu, à la télé quoi... On voit de drôles de choses à la télé quand on est alitée pendant de longues semaines. Je le regarde et ris légèrement. " Vas-y porte moi la poisse ! Comme si ma vie sentimentale n'était pas assez chaotique, rajoutes en une couche, lance moi un sort ! Espèce de... Drago Malefoy à la noix ! " Soufflais-je en riant légèrement. " Je te préviens, moi je suis la sang de bourbe que t'es sensé pas pouvoir blairer " Lançais-je avec un large sourire. " Mais si tu savais le nombre de fan fiction Dramione qui existe ! " Cho-quée ! J'en avais lu un sacré paquet, Harry Potter étant ma saga favorite. Même Hunger Games, Divergente et toutes ces dystopies à succès n'avaient pas égalé le petit sorcier à la cicatrice. Je l'écoute et soupire légèrement. Je sais qu'il a raison mais c'est plus fort que moi. Quand j'ai quelque chose en tête, je ne l'ai pas ailleurs. " Ouai je sais que t'as raison... C'est le pire. Je le sais mais je suis toujours coincée sur tout ça. Je me fous des petites roulettes t'sais. Comme si j'étais Lance Armstrong et que je me mets des petites roues pour me ralentir " Je ris légèrement. Cette comparaison sort du cul d'une poule quoi ! Lance Armstrong, sérieusement ? En tout cas, je partage son avis sur le Chili. C'est cool mais un peu mou. Serais-je déçue pour le premier Spring Break que je m'autorise en sept ans ici ? Génial quoi... " J'aime bien la piscine moi.. Ça me permet de lire ! Mais j'avoue que c'est un peu calme... Les soirées sont essentiellement au bar de l'hôtel en plus, on rencontre personne, la plage est loin... " Bref, c'est enquiquinant quoi. Je m'en plains pas, c'est sympa, j'ai passé trois semaines en Argentine avant donc franchement, j'ai rien à dire mais bon. Je le regarde, intriguée. " Rendez-vous pour ? Voir si ton zizi fonctionne toujours très bien ? " J'éclate de rire et bois une gorgée de mon virgin mojito à la paille en tentant de prendre un visage des plus angéliques. " Perso j'ai juste hâte de rentrer pour voir du sang et ouvrir des personnes ! " Complètement morbide la nana. " Quatre semaines sans planter mon scalpel dans quelqu'un ça me maaaaanque " Plus que n'importe quoi. Il va me prendre pour une folle mais bon, s'il devait le penser, c'est déjà le cas. J'aime mon métier, que voulez-vous...
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Andrea & Paris
« T’es en train de partir en live Andrea ! Allo Houston, nous sommes en train de perdre la planète Andrea… Allez, il n’est pas gay sinon il se serait pas tapée des nanas avant toi… Il aurait été puceau, je t’aurais dit : ouais, y a toujours un risque ; mais il semble que monsieur préfère les string au boxer » la rassure-t-il avant de pencher la tête sur le côté. « Avoue-le, ta référence à Dramione, c’était pour me dire que tu rêves chaque nuit de mon corps d’Apollon » plaisanta-t-il car il savait très bien qu’entre Andrea et lui, rien n’était possible. Ils finiraient par se taper dessus et il préférait de loin sa petite Summer (elle savait faire à manger elle au moins). En tous les cas, peut-être se prenait-elle trop la tête avec son histoire d’amour ou peut-être pas. Paris n’était pas le plus doué pour ce genre de choses, lui-même ayant bien souvent besoin de conseils pour ne pas foirer sa propre relation. « Tu verras bien et puis si jamais ce n’est pas le bon, tu le sauras bien assez vite… Il n’y a pas de recette miracle en matière de relation, crois-moi, j’ai fait des recherches avancées sur la question. C’est juste qu’à trop vivre dans le passé, on en oublie que le présent coule entre nos doigts. Ce serait dommage que tu te réveilles pour voir que le temps s’est écoulé sans t’attendre » lui dit-il en tapotant sa main avec la sienne.

Le sujet clos ou du moins pour le moment, les deux amis enchainèrent sur leurs vacances et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils étaient à peu près du même avis. « Ouais ! Y avait une soirée avec les Dunster mais je n’ai pas pu m’y rendre. C’est pas évident de jongler entre sa confrérie, son couple, ses potes » haussa-t-il des épaules. Paris n’avait jamais été un grand fêtard dans le sens où il picolait et s’il se trouvait une bonne compagnie, il s’exilait rapidement dans un coin pour faire son affaire. Aujourd’hui, il avait une nana canon dans son lit qui n’attendait que d’être satisfaite… Sérieux, quel mec irait faire faux bond à ce genre de créature ?! « T’es qu’une sadique ! Non j’ai rendez-vous avec l’assistante sociale pour faire un point concernant la demande de garde. Le tribunal m’a accordé la garde provisoire mais je dois rendre des comptes… Si tu savais combien cela me casse les couilles » râla-t-il avant de reprendre la parole. « Au fait, il te reste combien d’années d’études ? »


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" C'était sensé me rassurer ça ? Je porte des boxer, des jolis culottes en dentelle mais pas de string. Cette ficelle dans le cul là, c'est inhumain ! " Je glousse comme une andouille mais c'est vrai. J'ai tenté ça quand je suis arrivée en Amérique parce que c'était la mode et ugh... Quelle horreur ! Autant rien mettre, c'est bien moins désagréable. Je le regarde et ris légèrement. " Ouai et parce que je sais que je suis ton amour caché, celle qu'on te force à détester depuis ton plus jeune âge " J'aime bien prendre mes rêves pour la réalité mais quoi ? On peut pas m'empêcher de vouloir qu'on me flatte un peu. C'est étrange mais j'aime pas que ce genre de chose soit spontanée, ça me met mal à l'aise alors que, comme là, je demande les compliments, ça va beaucoup mieux. Je l'écoute, hausse les épaules et soupire. Je sais qu'il a raison mais c'est plus fort que moi. J'ai réussi à tirer un trait sur beaucoup de choses et à avancer et pourquoi pas maintenant ? Peut être parce que, cette fois, ça impliquait des sentiments, de vrais sentiments... Je le regarde et fronce les sourcils. " Sérieux ? J'étais même pas au courant " Et pourtant, je suis toujours Dunster. Plus pour longtemps mais, pour le moment, je le suis toujours. Enfin, c'est pas grave, ça me montre bien que je ne suis plus faite pour cette confrérie. Je lui souris légèrement. " Y a pas de raison que ça passe pas de provisoire à permanent Paris. Tu gères dans ce que tu fais donc t'inquiète " Soufflais-je avec un léger sourire. " Deux ans " Soufflais-je. Enfin, finir cette année là plus deux ans. Et je crois que ça va pas le faire, j'en peux plus d'être coincée là. J'ai envie de finir ces études. Enfin, je vais plus en cours mais y a quand même des examens en fin d'année donc bon... " Et toi ? Coincé à la DH pour encore combien de temps ? " Riais-je légèrement.
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Andrea & Paris
« Raaah faut toujours que tu joues sur les mots ! Ton mec n’est pas gay, c’est tout ce que tu as besoin de savoir » rigola Paris après avoir roulé des yeux, signe qu’elle n’allait pas tarder à l’agacer car monsieur n’avait pas beaucoup de patience. En fait, c’était un miracle qu’il n’ait pas encore trop râlé depuis qu’ils s’était attablés pour boire un coup ensemble. « Et puis je dois avouer que je suis pas fan du string. Je veux dire, ça cache quedal et j’aime bien le mystère de temps en temps… » hausse-t-il les épaules avec un grand sourire cette fois-ci. Oui, Paris appréciait la lingerie même si au final, Summer ne serait jamais aussi belle que dans le plus simple appareil à ses yeux. « Merde, je suis dévoilé ! Malheureusement notre histoire est impossible. Tu es condamnée à te contenter d’un petit Quincy et moi, aussi. Cette maison aura notre malheur sur le dos » soupira-t-il avant de secouer la tête. Summer n’aurait sûrement pas apprécié ce qu’il venait de dire mais comme sa petite-amie n’était pas là, il pouvait déconner librement. De temps en temps, redevenir un grand crétin faisait du bien à l’esprit.

« Attends, t’étais pas au courant de la soirée ? Il me semble que c’était une nuit à l’hotel je sais plus quoi pour faire je ne sais plus quoi. Bref, mes nuits, je préfère les passer avec ma copines, elles sont beaucoup plus intéressantes si tu vois ce que je veux dire » plaisanta-t-il comme à son habitude avant de redevenir sérieux comme à chaque fois que l’avenir de ses frères et sœurs étaient en jeu. « Etudiant, pas vraiment des revenus de feu de dieu… Beaucoup de choses ne jouent pas en ma faveur mais bon, si je n’essaie pas de toutes mes forces, je sais que je vais le regretter toute ma vie » soupira-t-il avant de lui indiquer qu’il lui restait encore trois ans à tirer à Harvard. « Coincé à la DH, tu n’y vas pas fort là ? Il y a un souci que tu as oublié de me dire ? » lui demanda-t-il car Andrea semblait avoir un léger ressentiment contre leur confrérie.

Spoiler:



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Je lui adresse un large sourire. Oui, il faut que je sois toujours entrain de jouer sur les mots, c'est plus fort que moi ! Mais je crois que ça m'anéantirai de savoir que Bonaventure est gay. Je pense pas que ce soit franchement possible vu les soirées qu'on a passé en Argentine ! Ou là alors, j'y comprends vraiment plus rien... " Oui fin, logiquement, les fesses de ta copine tu les as déjà vu " Et j'ai même pas idée du fait qu'il les a vu de très près ! C'est même pas une question de mystère ou je ne sais quoi mais bien de confort pour moi. Quand ils me demandent d'en porter pour le boulot, je prie toujours pour qu'on fasse les photos de face et clairement pas de dos. Pas envie d'exposer mon postérieur à toute l'Amérique quoi ! Je ris à sa remarque. Il n'y a qu'avec Paris que je peux déconner de la sorte. " Bon, j'espère que tu ne seras pas vexée que je me contente de mon petit Quincy alors... " Je lui tire la langue. Bien sûre que non, il ne sera pas vexé. Il l'aime Summer, ça crève les yeux et je me demande pourquoi Sienna s'accroche encore... Je secoue la tête négativement. " Non j'en ai pas eu vent... Je crois qu'au lieu d'avoir deux médecins à la tête de cette confrérie, il faudrait quelqu'un qui fasse un peu de communication quoi ! " Complètement ridicule. " Et je vois très bien ce que tu veux dire espèce de pervers ! " Je donne un petit coup sur son épaule. Je peux pas juger, je suis comme lui. Les nuits, je préfère les passer dans les bras de Bonaventure... Et on a pas tous la chance d'avoir son petit ami dans sa confrérie, nous. Ni d'avoir le temps pour tout ça... " S'il te faut une marraine bonne fée, je veux bien jouer ce rôle " Souriais-je largement. " Si c'est une femme que t'as en face de toi, elle regardera surtout s'ils sont heureux, entourés, s'ils ont à manger dans leur assiette tous les jours, ce genre de choses... Et c'est le cas, j'en doute pas " Je voyais bien Paris comme le type qui se prive, qui ne mange pas pour laisser sa part à l'un de ses frères ou l'une de ses soeurs. Le gars qui se dévoue quoi... " Ouai... Je vais en partir je pense. Enfin non, c'est sûre, je vais quitter la DH en rentrant. Je fais plus partie de leur mood tu vois. J'étais pas au courant de cette soirée à l'hôtel là puis, je sais pas... Je suis plus chez moi là haut " Pour le doyen, j'avais dis que la DH était ma famille mais au final, je me rends compte que personne n'est réellement de ta famille... Et que tu t'en rends compte quand on t'a planté dans le dos. Jouer les amies et les supportrices avec des faux cul pareil, je ne pouvais pas... On discute encore quelques longues minutes avec Paris. Et, le verre fini, on retourne à nos occupations...

rp terminé.
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