I'VE FOUND A REASON TO START OVER NEW & THE REASON IS YOU ♦ CALY CETTE DÉESSE

Quelques heures après son arrivée sur place, Leo avait pris ses marques. Ce soir, il avait un petit truc en tête, suffisamment important pour harceler la réception afin de savoir où logeait une certaine Calypso Thomspers. Il était fier de son idée, du moins il trouvait ça assez symbolique pour que ça plaise à la jeune femme. Enfin, il risquait tout autant de se faire claquer la porte au nez ou allez savoir ce qui passerait par la tête de la blonde. Elle serait tout à fait capable de le mettre à la porte, ça lui arrivait d'être chiante, souvent d'ailleurs. C'était relativement tard et le calme régnait dans la réserve dans laquelle se trouvait le complexe hôtelier. Évidemment, elle avait pris un bungalow à l'autre bout du monde – ça existe pas mais on s'en fout – et Halberstam préférait ignorer la fatigue accumulée par le vol et ses déboires à son arrivée. Le jeune homme avait un objectif assez important pour se motiver. Après avoir pris la température auprès de Thomspers via quelques messages, il finit par toquer à la porte du bungalow de la blonde. Bon il aurait pu éventuellement vérifier qu'elle ne le partageait avec personne mais il croyait en sa chance. De toute manière ils n'allaient pas rester là bien longtemps. « Il y a un endroit que j'aimerai te montrer, j'ai repéré ça un peu plus tôt, tu me suis ? » demanda-t-il avec un sourire. Il avait décidé de mettre de côté ce qu'il avait pu se passer ces derniers temps. Il s'était passé beaucoup de choses dont il faudrait bien parler à un moment ou un autre, mais il y avait autre chose de plus important que ça.  

J'avais décidé de prendre un beau bungalow, enfin j'aurais de loin préféré une jolie villa avec plusieurs chambres et une cuisinière, mais c'était déjà bien. De plus, c'était peut-être le logement le plus cher mais ça me semblait assez raisonnable, ça me laissait de quoi dépenser autre part, comme si j'étais du genre à compter de toute manière. En fait, depuis que j'étais malade j'avais totalement perdu la notion de l'argent, comme si c'était une somme fictive à laquelle je préférais ajouter du négatif. Du négatif, certes, mais qui se transformait en positif lorsque je l'utilisais, c'était vraiment une très belle réflexion malheureusement je n'avais pas le temps de la développer puisque quelqu'un venait de frapper. J'avais ma petite idée sur la personne qui se trouvait derrière la porte et je prenais donc mon temps. Je décidais donc de me recoiffer et j'attrapais un gilet en passant car, il ne faisait pas très chaud. Il était relativement tard et le soleil n'était plus là pour me réchauffer. Leo n'avait pas ce problème lui puisque j'étais son soleil. Comme Manon était le soleil de Lisa d'ailleurs. Je me retrouvais donc face au jeune homme qui ne me laissait même pas le temps de le saluer, apparemment il avait un truc méga super cool à me montrer et on devait partir maintenant, je grimaçais. Je sais pas, c'est loin ? J'ai mal aux pieds, tu veux pas me porter ? J'étais d'humeur taquine aujourd'hui et c'était bien mieux que d'être sérieuse. Lorsque j'étais sérieuse avec Halberstam, où je criais ou alors je l'embrassais, bref ça ne se soldait jamais par une bonne action quoi. En plus il fait froid, non franchement… pourquoi tu choisis toujours des plans que j'aime pas ? Je gardais mon beau sourire. 

Bien évidemment elle avait les pieds fragiles, toujours un truc qui allait pas. Leo leva les yeux au ciel avant de regarder la jeune femme en faisant la moue. La dernière fois qu'il l'avait porté elle avait crié qu'il lui faisait mal, la fois d'avant qu'il l'avait pas porté assez longtemps, elle était jamais satisfaite de toute manière. Il était presque tenté de quand même la jeter sur son épaule pour qu'elle se rappelle comment il répondait à ses caprices. « Si je te porte, j'ai besoin d'encouragement. » Il soutenait son regard en souriant, c'était pas le poids qu'elle faisait qui aller lui compliquer la tâche mais c'était juste histoire … d'obtenir quelque chose, peut-être, c'est bon, il était de bonne humeur, elle pouvait faire un pas dans son sens aussi. Thomspers râlait de nouveau, elle voulait se faire attendre bien sur, il avait déjà fait l'effort de venir jusqu'à elle, il n'allait pas la supplier toute la nuit. Ou alors elle le laissait dormir dans son lit, pour compenser la fatigue quoi. « Tu sais même pas où je t'emmène, on en a pour deux secondes à y être et secondement, il fait jamais froid en ma présence tu le sais très bien. » Puis un lueur éclaira son regard quand il se rapprocha d'un pas vers la jeune femme. « J'aurais peut-être du te prévenir qu'il fallait que tu prennes ton maillot de bain. » Il recula ensuite pour laisser la blonde à ses réflexions avant de lui demander, faussement impatient. « Allez Thomspers tu bouges ou pas ? » Non parce que si elle avait décidé de bouder autant le dire de suite qu'il aille proposer à Sharon ou Kyla hein !

Leo devait comprendre que j'étais une princesse, une petite perle rare dont il devait prendre soin tout simplement et cela se traduisait par préserver mes pieds usés par le voyage. L'avion c'était très mauvais pour la circulation du sang mais ça, il ne devait sûrement pas le savoir, ce n'était pas comme s'il savait grand-chose de toute manière. Et bien voilà qu'il demandait un encouragement, franchement je n'étais même plus étonnée et j'hésitais entre le taper ou… non ma deuxième idée était bien meilleure, un sourire illuminait mon visage. D'accord dis-je simplement avant de m'approcher de son visage, déposant un baiser furtif sur ses lèvres. C'était toujours naturel et étrangement plaisant mais je ne montrais rien. Tu penses que c'est un bon encouragement ? En fait je m'en fiche, moi je trouve que c'est très bien, je veux que tu me portes comme une princesse. Je ne posais même pas la question, il était hors de question que je sois sur ses épaules, son dos ou encore qu'il me porte comme si j'étais un sac de pommes de terre. J'étais précieuse. Je faisais ma difficile et sa réponse était plus que prévisible, je levais les yeux au ciel à mon retour avant de répondre. Ça va, n'essaye de pas de la jouer Jacob dans Twilight qui est un radiateur ambulant, je suis pas Bella dis-je fière de montrer mes références cinématographiques. Enfin, c'était ironique ça bien sûr mais j'étais persuadée que secrètement, il était fan lui aussi. Oh, pas besoin, je pense que tu préfères que je n'en porte pas dis-je avec un petit air arrogant. Puis je fermais la porte du bungalow, écartant les bras. Oui monsieur, allez, j'attends que tu me portes maintenant.

Il n'était pas déçu par l'encouragement que lui donnait Caly, vraiment pas. Il souriait, satisfait, après tout c'est quelque chose comme ça qu'il espérait lorsqu'il avait réclamé un peu d'aide pour se motiver à la porter. Le jeune homme ne fit pas de remarque lourde par rapport au petit baiser accordé par sa Thomspers, ça le rendait un peu nostalgique, il aurait bien voulu en demander un peu plus mais bon chaque chose en son temps. « J'ai le droit de donner mon avis je te signale ! En plus j'ai envie de le donner et je fais encore ce que je veux. » protesta-t-il avant de garder un temps de silence avant de dire sur un ton très calme, avec quand même un petit sourire en coin. « J'allais te dire que je trouvais que c'était une excellente façon de m'encourager. » Et là on tombe dans la catastrophe, c'est Manon ça, elle pouvait pas s'en empêcher ses années collèges en ce moment ça la travaille, et du coup son adoration pour Twilight ressort. Oh non, faut pas compter sur elle pour citer du Hitchcock c'est tellement mieux Twilight ben oui. Leo regarda Caly avant de rire. « Tu viens vraiment de dire ce que tu viens de dire ? Je suis presque vexé d'ailleurs, Jacob c'est le pigeon de l'histoire. » Le comble pour un loup garou de se révéler être un volatile. Elle pouvait bien faire la fière, elle venait d'évoquer sa potentielle nudité comme ça, tranquillement. Une autre façon d'encourager Leo sûrement. « Tu as tout compris. » glissa-t-il avant de s'approcher d'elle pour la porter comme elle l'avait réclamé. Il marchait au ralentit du coup puisqu'il avait sa dinde préférée dans les bras, génial, trois heures pour rejoindre le fameux lieu. C'était peut-être pas exceptionnel, enfin pour lui ça l'était suffisamment comme ça. Il déposa Caly au bord de la piscine avant de se justifier. « Ça n'a pas été une mince affaire de t'y ramener. »

Alors là, je voyais qu'il était content le petit, tout sourire et j'hésitais presque à lui donner un peu plus mais je me réservais pour plus tard, de toute manière il était temps que j'arrête de me mentir à moi-même. Qu'importe notre rupture, nos engueulades, nos chagrins lorsque je croisais son chemin, je finissais la plupart du temps par l'embrasser, mes lèvres ne pouvaient s'empêcher de renouer un certain contact avec les siennes. D'un côté, je ne m'y opposais pas vraiment, résistant peu à la tentation. Il était insupportable, franchement égocentrique mais il y avait toujours ce petit quelque chose. Il était Leo et j'avais presque l'impression de le redécouvrir parfois. Enfin pour l'instant il faisait l'enfant, gnia gnia gnia que j'essaye de dire quelque chose. Tu m'étonnes, tu ne sais pas que je suis excellente dans tout ce que je fais encore ? Puis, monsieur j'ai envie de donner mon avis, on est plus à l'école, arrête de faire l'enfant. Non franchement, j'en attendais plus de sa part mais je n'étais pas non plus à la hauteur avec mon histoire de twilight, en fait ce soir c'était thème collégien, pas mal hein. Justement, je viens de dire que tu n'étais pas Jacob, tu serais plutôt Edward… j'ai toujours préféré Edward tu sais. C'était une manière implicite de lui faire comprendre ce qu'il devait comprendre, je n'allais pas non plus tout lui dire parce que sinon il nous ferait un petit malaise de bonheur et j'étais dans ses bras. Or, je n'avais pas très envie de tomber sur le sol d'un seul coup. Il était lent, mais alors d'une lenteur assez exceptionnelle. Il faut que tu fasses du sport Halberstam, je sens une certaine faiblesse dans tes bras dis-je avec un sourire espiègle. Il me déposait devant la piscine. Je me retournais vers lui, il était pas si bête que ça le petit mais je décidais de faire l'innocente. Une piscine ? Mouais, je comprends pas trop.

Encore une fois elle ne pouvait pas s'en empêcher, il fallait qu'elle réclame un petit compliment, une petite remarque positive de Leo sur sa personne. Elle l'énervait, elle savait très bien comment s'y prendre avec lui, elle avait des mois et des mois de pratique et ça marchait toujours. Il avait beau lui répondre, il la regardait toujours avec ses yeux niais pleins d'amour baveux. « Tu aimes bien quand je fais l'enfant, ça te permet de croire que tu domines la situation. » De toute façon, ça avait été le cas tout le temps, il n'était pas idiot, Leo faisait exprès pour faire croire à Thomspers qu'elle était un peu plus forte que lui. Halberstam sourit lorsqu'elle le corrigea, en profitant pour lui glisser un petit message derrière ses histoires de vampires et compagnie. « Oh donc le rôle que je tiens dans ta vie de Bella me paraît de suite plus clair. » Il avait accepté sans rien dire – bon certes avec un petit baiser au passage – de la porter et encore elle trouvait le moyen de lui dire que ce n'était pas assez bien. Il se trouvait assez brave de la porter comme ça à travers la réserve alors qu'il y avait non seulement un risque qu'il se perde mais en plus il faisait sombre, il n'y voyait presque rien. « C'est pour ça qu'on va à la piscine Thomspers. » répondit-il alors qu'elle faisait déjà la fille qui ne comprenait pas ce qu'elle faisait là. Il haussa les épaules en commençant à soulever son tee-shirt, ça y est elle allait baver là, parce que bon, il était juste là pour une séance de natation. Ouais ouais, lui aussi pouvait faire l'innocent. Il quitta son pantalon avant de soupirer. « Je vois pas pourquoi je t'ai emmenée là non plus. » Il lui sourit avant de lui enlever ce gilet qu'elle avait mis inutilement avant de partir. « On m'a suggéré l'idée que je t'avais croisé une fois dans une piscine. »

Il se trompait, je n'y croyais pas mais j'en étais sûre, je dominais tout le temps. C'était moi qui portais la culotte lorsqu'on était en couple et c'était toujours moi le chef d'ailleurs, la preuve, il me portait pour m'amener à la piscine, si c'était pas de la domination ça hein. Ouais enfin… j'aime aussi quand tu montres ton côté homme, j'ai pas envie d'embrasser un enfant. Mais bon je comprends, ça ne doit pas être facile pour toi d'être mature. Je ne pouvais pas m'en empêcher de le rabaisser, c'était fou ça, il était la personne que j'aimais et pourtant il restait la personne que j'aimais le plus embêter. Il faisait la même chose de toute manière et j'arrivais toujours à adoucir la chose avec une jolie petite phrase juste après, ou un baiser, les deux fonctionnaient. Puis j'avais décidé de parler de Twilight et voilà que monsieur se prenait pour le Edward de ma vie. Oui mais attention je ne suis pas Bella, ce n'est pas avec un sourire que tu vas m'avoir. Je regrettais mes paroles car il avait déjà réussi à m'avoir, plus d'une fois d'ailleurs et parfois un sourire suffisait. Mais j'étais loin d'être comme Bella, je n'étais pas une pleurnicheuse faible, j'étais une femme forte qui supportait un cancer la tête haute. Certes, physiquement je n'étais pas au top mais psychologiquement j'avais toujours réussi à m'en remettre. On arrivait devant une piscine et je ne pouvais m'empêcher de jubiler intérieurement. C'était bien plus qu'un symbole pour nous, c'était une certaine nostalgie, un petit truc rien qu'à nous. Il se déshabillait et je regardais le spectacle sans rien dire, limite si un petit filet de bave ne venait pas s'immiscer dans la scène. Il se rapprochait afin d'enlever mon gilet et je me laissais faire sans pour autant continuer. Je crois que ça me rappelle quelque chose… tu crois qu'ils ont un banc ? Cela voulait tout dire. Quoique, on peut faire dans l'original cette fois-ci, par contre si tu essayes de me couler j'te jure que je vais te tuer, je te rappelle qu'il y a du pipi là-dedans dis-je en indiquant l'eau. Puis, avec toute l'assurance du monde je me déshabillais. Il ne me restait que mes sous-vêtements. Puis, soutenant son regard je retirais mon soutien-gorge doucement avant de le laisser tomber sur le sol. Ma culotte le rejoignait rapidement. Je pense que je suis prête, et toi ?

Leo n'avait jamais eu la volonté d'arrêter de se faire maltraiter de la sorte par la jeune femme, c'était bien la raison pour laquelle elle tenait cette place si particulière dans sa vie, enfin entre autre. Ils avaient eu tellement de périodes sombres ces derniers temps et là tout semblait simple. La provoquer, jouer avec elle comme avant, ce soir il se permettait d'oublier ce qu'il avait pu se passer. « Je sais bien que tu aimes quand je te montre quel homme je suis. » Elle n'était pas la seule qui pouvait déstabilisé l'autre, il s'y tentait aussi. Elle était bien trop occupée à lui réexpliquer comment ça marchait dans Twilight. C'était peut-être une manière subtile de lui réclamer une soirée de revisionnage de l'ensemble de la saga mais Leo préférait autant la piscine étrangement. La blonde demandait s'il y avait un banc et il se contenta de sourire dans un premier temps. Ça lui paraissait si loin et en même temps si clair dans ses souvenirs. « Ils en ont même plusieurs, je sais pas vraiment lequel est le plus confortable, il faudrait essayer. » Son visage était angélique, il disait ça comme ça, sans aucun sous-entendu. Il hocha la tête, comme s'il était vraiment désolé. « Oui et en plus c'est pas le mien, ni le tien, c'est définitivement dégoûtant. » En revanche ce qui était loin d'être dégoûtant c'était le spectacle que lui offrait maintenant Calypso. Il regarda un peu tout ça avant de s'approcher d'elle sans plus hésiter. Il l'embrassa, cette fois-ci c'était pas un bisou d'encouragement à deux balles, non un bon vieil échange de bave à l'ancienne. Enfin il ne perdait pas non plus le Nord, et mine de rien il la poussa en direction du bassin pour la faire tomber dedans. Le temps qu'elle remonte à la surface, il s'assit sur le bord de la piscine. « Tu vas couler toute seule. »

Bien évidemment que j'aimais bien, je venais de lui dire, mon dieu des fois il parlait vraiment pour ne rien dire pour le pauvre mais je ne relevais pas sa petite remarque. Je ne voulais pas trop l'enfoncer non plus, je voulais qu'il soit gentil avec moi et j'voulais surtout qu'il me porte jusqu'à notre destination, hors de question d'user mes pieds et surtout de faire un effort. Je préférais réserver mon énergie pour l'embrasser ou le regarder se déshabiller parce que ça en demandait beaucoup vous savez. Il fallait gérer les émotions devant son petit corps que j'aimais tant et surtout il fallait assurer sur les baisers, j'avais bien l'intention de profiter de sa bave encore plusieurs fois. On était à la piscine et bien évidemment je demandais où étaient les bancs histoire de lui rappeler notre premier passage à la piscine. Ça me manquait tout ça et en même temps non, à présent on était beaucoup plus complices et je ne le détestais plus, enfin, parfois si. Mais c'était différent. Je suis partante pour tous les essayer, on a toute la nuit pour ça, enfin à moins que tu es d'autres plans pour le reste de la soirée. On ne sait jamais avec Halberstam surtout que je me doutais bien qu'il n'avait pas gardé son caleçon tout le temps depuis notre rupture mais je n'avais pas envie de penser à ça maintenant. Merci Leo, arrête sinon je ne vais pas mettre un seul pied dans cette eau et je vais te regarder nager seul. Bien évidemment que je mentais mais je n'avais pas non plus envie de penser à toutes les bactéries là. J'avais décidé de me la jouer nudiste ce soir, me retrouvant complètement nue face au jeune homme. Sa réaction ne se faisait pas tarder et il m'embrassait véritablement. Je profitais de son baiser, prête à enrouler mes bras autour de lui lorsqu'il me jetait dans l'eau. Il cherchait les problèmes en fait. Ah ouais tu crois ? Je m'approchais de lui, j'étais assez grande pour attraper sa nuque et je l'embrassais une nouvelle fois. Je partage un peu de pipi avec toi tu veux bien ? Je profitais du moment pour l'attirer avec moi dans l'eau. Puis en vitesse je partais à l'autre bout de la piscine, pas envie de me faire couler par un haricot.