Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(AGADRIEL) why is that so easy to fall back into old habits ? - Page 3
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


(AGADRIEL) why is that so easy to fall back into old habits ?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce n'était pas dans mes intentions de lui cacher la vérité c'est seulement que j'ignorais quand et comment lui expliquer. Moi-même j'avais du mal à me souvenir de plusieurs choses car il faut dire que j'étais loin d'avoir la pleine possession de mes moyens. Seulement si un jour il demandait, je crois que je pouvais lui dire, nous étions plus proche que jamais de toute manière. Pour ce soir il fallait bien célébrer l'anti Saint-Valentin et l'anniversaire de ma merveilleuse soeurette qui arrivait dans deux heures à peine. « Non mais le cadeau tu peux me le laisser hein, t'as qu'à faire semblant que c'est pour elle. » Quand ça concerne les cadeaux je suis toujours preneuse, ce qui me fait chier ce sont les faux souhaits de bonheur qui ne se réalise jamais vraiment. Les gens ils s'en foutent du bonheur, ce qu'il y a de vrai c'est cette bière froide dans mes mains et l'herbe qu'Adriel est en train de nous rouler. Maintenant qu'il était seul dans ce grand appartement je sentais que lui, moi et le chat Maxine allions inaugurer les lieux. J'installai le DVD dans le lecteur puis me jetait de nouveau sur le sofa telle une enfant de quatre and qui est sur le point de regarder son animé favoris. « Je te préviens je te console pas quand t'auras peur. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une soirée anti saint valentin
— agadriel

Il valait mieux passer à autre chose. De toute façon, je savais qu'à un moment ou un autre, j'arriverais à savoir ce qu'elle a fait, ce qu'elle a vécu. C'était obligatoire. Alors je parlais de son anniversaire mais mademoiselle n'a pas l'air d'aimer ça. Pourtant, c'était trop cool les anniversaires. On faisait la fête, on avait des cadeaux, que du positif quoi. Et étrangement, quand je parlais de cadeau, là ça l'intéressait. Je m'en doutais un peu et tant mieux que ça l'intéresse, car peu importe ce qu'il arriverait, ce sera elle qui aura le cadeau. « On verra dans deux heures qui le méritent le mieux, toi ou le chat. » disais-je en riant. Elle se levait pour aller mettre le film et je préparais le joint. Parce que j'avais clairement besoin d'herbe. Je savais que ça allait me détendre et c'était le principal. Elle revenait s'asseoir près de moi et j'arquais un sourcil à ses paroles. « Tu rigoles ? C'est toi qui va venir te blottir dans mes bras tellement tu vas avoir peur. » rétorquais-je en riant. J'allumais le joint et je m'installais confortablement dans le canapé. Une bière dans une main, un joint dans l'autre, que demander de mieux, hein ? « Tu peux démarrer le film ! » rajoutais-je en lui souriant, lui tendant le joint.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sur une note plus positive que la précédente, on abordait le sujet de mon cadeau d’anniversaire que monsieur Rhodes avait l’intention de donner au chat. Quel ami ingrat franchement, j’aurais du me pousser après ces confidences finalement.  Non mais sérieux ce chat est peut-être super adorable et tout et tout mais il est hors de question qu’il ait ce qui me revient. « On connait déjà la réponse de toute manière. » J’aimais bien me faire taquiner en fait, car on dit que c’est ce qui montre le véritable attachement de quelqu’un à notre égard. Puis je n’étais pas susceptible pour deux sous. Bref voilà, j’allai chercher tout ce dont nous avions besoin pour la suite des choses : bière, film et Adri’ s’occupa des joints pour qu’on puisse se détendre un peu. On ne pouvait rien demander de mieux. « T’aimerais trop ça, Rhodes. » Une petite grimace bien méritée et surtout remplie de gentillesse. Je me montrais plus docile pour la suite et mis le film en marche, installée confortablement sur le sofa mes jambes allongées sur les siennes. Adriel le pouf humain ça le fait trop. L’heure de visionnement était on ne peut plus parfaite alors que nous partagions ce joint, puis un autre, avec quelques bières à travers. Ce film je l’adorais, voir même un peu trop car à la fin je ne pu m’empêcher de demander : « Tu crois que ça goute bon un être humain ?. » Grand questionnement existentiel.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une soirée anti saint valentin
— agadriel

Si ce n'était pas son anniversaire, je ne voyais pas pourquoi elle aurait le cadeau. Du coup, il ne lui revenait absolument pas. Evidemment, je la taquinais et je ne comptais pas le donner au chat. Surtout que quand elle verrait son cadeau, elle comprendra que le chat ne pouvait pas l'avoir. Ou cela aurait été très bizarre et je ne savais pas comment le chat réagirait. Bref, je ne répondais rien et je préparais les joints alors qu'elle posait la bière sur la table. Ca, c'était clairement une bonne soirée. Une fois prêt et le film dans le lecteur, elle revenait s'asseoir et je riais après ses paroles. « Je ne dirais pas le contraire ! » répondais-je en lui souriant. Le film démarrait, alors que je buvais ma bière, fumait mon joint et qu'Agathe avait ses jambes sur les miennes. Je lui servais clairement de fauteuil oui, c'était génial. Mais bon, je ne disais rien. Le film se terminait et j'avais adoré. Comme toujours, j'adorais ça les films d'horreur. Par contre, j'aimais beaucoup moins ses paroles. Je tournais la tête vers elle, fronçant les sourcils et me reculant légèrement. « Si tu as décidé de répondre à ta question en essayant, dis-le-moi, que j'me tire d'ici. » rétorquais-je sur un ton des plus sérieux. Même si je ne l'étais absolument pas.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si je pouvais avoir des cadeaux toute l'année sans devoir célébrer ma vieillesse alors là clairement je serais la fille la plus heureuse au monde. Puis j'étais curieuse de voir ce qu'Adriel avait bien pu faire ou acheter qui lui fasse pensé à moi car il me connaissait mieux que ma propre soeur donc c'était évident pour moi que ce serait génial. Je n'allais pas laisser le chat gagner : ça non. J'aimais également le fait que nous arrivions à être totalement - ou presque - honnête l'un envers l'autre sur tous les sujets même en ce qui concernait ce qui nous était interdit. Comme de se blottir trop longtemps dans nos bras, car ça attiserait autre chose qu'on devait garder bien enfoui au fond. Par contre pour ce qui est du fait de l'utiliser comme fauteuil ça je ne m'en gênais pas et même que ça rendait le film d'autant plus agréable. Ça, et nos petites gâteries personnelles aussi. Même que ça faisait limite un peu trop d'effet vu le genre de commentaire que je balançais à la fin. « Non mais sérieux, tu crois qu'ils nous font apprêter dans de l'assaisonnement et tout comme du poulet ? C'est intriguant ! » Je crois que là j'étais probablement la seule à me poser ce genre de question alors qu'à la base le film n'était destiné qu'à nous dégoutter et nous faire peur. Je prenais le chemin philosophique de la chose.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une soirée anti saint valentin
— agadriel

On venait de se regarder un film d'horreur bien gore, bien dégueulasse et mademoiselle décidait que c'était le bon moment pour se poser la question de savoir si on était bon ou pas. Genre, si la chair humaine était bonne. Elle ressemblait un peu à une psychopathe avec ses questions bizarres mais bon, je n'allais rien dire. « Pour savoir ça, tu vas dans une prison et tu vas voir un cannibale qui pourra répondre à touuuutes tes questions ! » disais-je en riant légèrement. Clairement, j'avais fait des choses horribles dans ma vie, mais je n'avais jamais manger quelqu'un et ce n'était pas vraiment dans mes plans à vrai dire. J'attrapais mon téléphone et je constatais qu'on était minuit. « Joyeeeux anniversaire ! » lâchais-je avec un grand sourire. Ce n'était pas n'importe quel jour et même si elle n'aimait pas ça, je n'allais pas me gêner pour autant. Ce serait mal me connaître. Bon, maintenant, je devais improviser le cadeau. J'avais déjà une idée, mais je continuais de réfléchir au cas où une idée lumineuse venait. « Maxiiiine vient là que je te donne ton cadeau ! » m'exclamais-je en appelant donc le chat. Ouais, je comptais bien faire chier Agathe jusqu'au bout.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comment est-il possible de s'éloigner davantage des clichés de la Saint-Valentin qu'en s'interrogeant sur la comestibilité de la chair humaine ? Ouais ok je faisant franchement peur pour le coup, j'avais de la chance qu'il ne m'est pas encore foutu à la porte de son appartement. Il me connaissait sans doute assez pour savoir que tout ça c'était hypothétique. « Le truc c'est que j'ai peur d'être davantage un sujet d'expérimentation. » Car j'imagine mal un cannibale entrain de faire son livre de recette avec moi sans que je n'en sois une moi-même en fait. Ma vie était bien trop précieuse pour que je la laisse se finir si tragiquement... Bon d'accord, ce n'était pas le cas, mais j'y tenais quand même. Surtout maintenant que minuit avait sonné et qu'il était l'heure d'en célébrer l'existence. Je grimaçais à son joyeux anniversaire, car bien qu'il me fasse plaisir, il n'en restait pas moins que je détestais terriblement ce genre d'attention. En plus il en remettait une couche en appelant le chat pour lui donner son cadeau. Une fois de plus c'est Maxine qui a le truc cool et moi je récolte les restant, c'est l'ironie de ma vie une fois de plus. « Tu vois elle vient pas, elle en veut pas Maxine de ton cadeau. Moi sil ! »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une soirée anti saint valentin
— agadriel

Comment dire que le soir de la Saint Valentin, je ne pensais pas parler du fait que j'avais tuer quelqu'un et encore moins à m'interroger si la chair humaine est bonne ou non. Mais bon, c'était Agathe et moi, on ne faisait jamais rien comme les autres, c'était connu. Je riais après ses paroles. « S'il est en prison, il ne pourra pas te toucher ! » rétorquais-je en levant les yeux au ciel. Encore heureux, car ça me ferait chier de la retrouver dans de la nourriture, ce serait carrément dégueulasse. Bref, il fallait que j'arrête de penser à ça. Et voilà que c'était son anniversaire. Je souriais quand elle grimaçait. Elle n'aimait pas ça, pour une raison que j'ignorais au fond car moi, j'adorais ça les anniversaires. C'était ma passion un peu, que ce soit le mien ou celui des autres. J'appelais le chat pour lui donner un cadeau mais il ne venait pas et je regardais Agathe dire que je pouvais donc lui donner. Je réfléchissais quelque seconde, bonne ou mauvaise idée ? Rien à foutre. Je passais l'une de mes mains derrière sa nuque et je déposais mes lèvres contre les siennes, sans réfléchir. Et putain, j'en profitais parce qu'elles m'avaient manqué depuis le temps. Après un trèèès long baiser, je me reculais, me raclant la gorge. « J'espère que ton cadeau te plait.. » disais-je avec un léger sourire sur les lèvres. Pourquoi j'avais fait ça ? Parce que je voulais retrouver ses lèvres depuis longtemps et là, c'était l'occasion, sans que cela est réellement de conséquences, non ? Ouais, c'était peut-être une erreur en fait.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pourquoi détester son propre anniversaire ? Quand on a une jumelle parfaite comme la mienne, c'est facile. La famille lui offre des tas de cadeaux et un gros gâteau et toi tu es celle qui partage cela avec elle car personne n'a vraiment penser à toi. T'es pas assez bien toi, Agathe. C'était du moins le point de vue des Monroe-Thomspers d'où les raisons pour laquelle j'avais une certaine haine en cette journée. Toutefois l'idée d'avoir un cadeau à moi toute seule de mon meilleur ami, ça oui ça me plaisait beaucoup plus d'un coup. Le chat n'en voulait pas c'était bon signe pour moi ! Je n'eu même pas le temps d'être hystérique, ni même de réaliser ce qui se passait, d'un coup la Terre venait de cesser de tourner alors qu'Adriel m'embrassa. Un long baiser, le plus long que nous ayons jamais échanger et pourtant pas assez pour que j'ai le temps de faire quoi que ce soit. « Je... eum...» Tu vois j'en perds mes mots et ça n'arrive jamais en temps normal. Là vraiment j'étais bouche bée je ne m'attendais pas du tout à ça. En fait je m'attendais à quoi ? Une licorne qui allait sortir du garde-robe tout bonnement et nous faire des coucous ? Non j'en savais rien. Maintenant c'était moi qui fuyait son regard parce que je ne savais pas quelle était la bonne chose à faire pour la suite des choses. Devais-je le remercier ? Je n'en avais pas eu assez, encore. « Normalement à son anniversaire on peut profiter de son cadeau non ? » Sur ce coup je devais éviter de réfléchir et de me prendre la tête car des regrets je risquais d'en avoir des tas demain. Tant pis, je viens l'embrasser à nouveau parce que c'est mon anniversaire et que j'ai le droit de faire ce que je veux. C'est lui que je veux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une soirée anti saint valentin
— agadriel

Il fallait que je lui offre son cadeau. Sauf que, soyons clair, je n'avais pas acheté de cadeaux. Avec tout ce qu'il mettait arriver ses derniers temps, je n'y avais absolument pas pensé. Mais heureusement, j'avais une idée. Alors quand elle me disait vouloir le cadeau, je relevais mes yeux vers elle et je l'embrassais. Sans réfléchir. Longtemps. Profitant à fond. Parce que cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pu toucher ses lèvres et j'en avais envie depuis qu'elle était revenue. Alors c'était l'occasion de me faire plaisir et de lui faire plaisir à elle aussi. Une fois que je me décollais de ses lèvres, me reculant un peu, je voyais qu'elle avait dû mal à parler. Elle ne devait pas s'y attendre et tant mieux, c'était toujours mieux quand la personne était surprise par son cadeau, non ? Mais elle revenait carrément contre moi, me disant qu'elle pouvait profiter de son cadeau. Et ça ne me dérangeait absolument pas. Je profitais un maximum, posant mes mains sur ses hanches pour la coller encore un peu plus contre moi. « Je dois t'avouer que tes lèvres m'avaient réellement manqué.. » disais-je en soupirant, collant mon front contre le sien. Ne pas réfléchir. Ne pas penser aux conséquences. Bloquer son esprit.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)