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your bed is so comfortable. (alaska)

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YOUR BED IS SO COMFORTABLE.
feat. alaska hamilton.
En rejoignant la salle de bain, je croyais avoir une demi-heure de tranquillité. Jamais ô grand jamais. Je pensais que ma colocataire de chambre viendrait jusqu'ici pour me narguer. Puisque je l'ai interprété de cette manière. J'ai ouvert le rideau spontanément. Avec du recul, je me dis qu'il aurait fallu agir d'une autre manière. Mais, c'est bien connu. Je ne réfléchis jamais avant de foncer. C'était le cas, aujourd'hui. Elle ne semblait pas avoir apprécié le spectacle. Vu qu'elle referme aussi vite le rideau contre moi. Elle se brosse les dents et j'enfouis dans la chambre. Je finis malgré tout de prendre ma douche, pour sortir de la baignoire pour me sécher et m'habiller pour rejoindre mon lit. Notre lit. Une fois bien installé de mon côté du lit, j'essaie de recueillir les impressions de la jeune femme ce qu'il venait d'arriver. Elle me répond que non. Ça ne lui avait pas plu tant que ça. Mon égo en prend un sacré coup. Surtout quand on vient à me comparer à un autre homme. Je n'ai aucun problème avec mon corps. Mais, qu'on me compare à un autre. Je n'apprécie pas tellement. « Très sympathique. » C'est les seuls mots que j'arrive à sortir. Je tape sur le livre de la jeune femme avant de me retourner pour essayer de m'endormir. Cependant, je n'y arrivais pas. Je ne fais que réfléchir sur un tas de choses.

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Il n'allait quand même pas croire qu'il avait le dessus sur moi... Si ? Il n'était pas désagréable à voir, je n'allais pas me plaindre de ce que j'avais vu, mais de là à le complimenter sur son sexe merci, mais non merci. Je préférais feindre l'indifférence en regardant mon livre. Puis finalement, je relevais la tête pour croiser son regard, lui disant simplement que j'avais vu mieux. Largement mieux. C'était totalement stupide de dire ça, mais je savais comment toucher l’ego d'un homme et ce avec un sourire aux lèvres. Le pire, c'est que jamais de la vie je dirais à Cody que sa bite était la plus belle de l'univers. Du coup, c'était vraiment histoire d'humilier le jeune homme et à la façon dont il venait de taper dans mon livre et de me tourner le dos, je comprenais que j'avais réussi mon coup. « Je sais, c'est mon deuxième prénom. Le premier, c'est Alaska » lui confiais-je alors. Quitte à partager une chambre, autant apprendre à se connaitre. Je posais finalement mon livre sur la table de chevet avant d’éteindre la lumière. Je sentais que j'allais bien dormir moi.

FIN DU RP
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