your bed is so comfortable. (alaska)

YOUR BED IS SO COMFORTABLE.

feat. alaska hamilton.

De bloquer la jeune femme cela m'avait pris une bonne minute. J'avais la force et la carrure pour la neutraliser facilement. Elle était plus petite et moins musclé que moi. Mais, assez pour mettre une petite raclée à une pauvre idiot qui ne fait pas la même taille et, qui n'a pas la même musculature que moi. La tension entre eux était plus que palpable. La position n'arrangerait rien à la situation. Elle est vraiment très belle comme femme mais, je me refuse de penser à des idées comme celle que j'étais en train d'imaginer dans ma tête. Pour l'instant, faut se préoccuper de cette chambre. Le reste on verra par la suite. Je lui propose un compromis pourtant, elle semblait surprise par mon idée. Je ne savais pas quoi penser avec elle. Je lui lance le même regard noir qu'elle venait de me faire et je fronce les sourcils quand je l'entends me dire ça. « Crois-moi si j'aurai été un taré, je t'aurais déjà sauté dessus à l'heure actuelle. Puisqu'il faut avouer que tu es très charmante mais, la question n'est pas là. J'ai besoin d'une chambre et toi d'un compromis. On fait quoi dans ce cas? » Lui dis-je en la regardant dans les yeux. Je ne lâcherais pas l'affaire. Et pour essayer qu'elle accepte mon idée, je viens à afficher un sourire en coin qui laissait paraître quelques-unes de mes dents blanches.

(Invité)

Est-ce que j'ai un problème si je dis que là, s'il décidait de vouloir baiser, je serais à sa merci ? Non, mais j'avais du mal à résister aux beaux garçons, alors quand ils me tiennent fermement de cette manière, ça me rend toute chose, surtout que je suis une femme juste ~~un peu~~ accro au sexe. Mais bon, je ne suis pas débile. Je sais me reprendre. Je ne coucherais pas avec le premier venu. Surtout pas avec un mec qui essaie de voler ma chambre étudiante, celle dans laquelle je vis depuis des années. Qu'est-ce qui ne me fait pas dire qu'il est un taré qui veut juste me sauter ? Il pouvait me prendre ma chambre et me faire croire des trucs pour juste dormir avec moi. Bon, jusqu'ici, on s'était surtout jeté des regards noirs. Je suis donc charmante. Ou comment le glisser discrètement alors que nous sommes en train de nous bagarrer dans une position de domination/soumission. Puis là, il me sortait un petit sourire pour me faire accepter, j'en suis certaine. « Tu essaies de m'amadouer avec ton sourire ! Si tu crois que je ne le remarque pas. C'est d'accord, mais ne crois pas que j'accepte pour ton sourire colgate espèce de crétin. Je fais ça pour garder ma chambre ! » Que ce soit clair. « Je choisis mon côté du lit, tu prendras l'autre. » lui dis-je fermement en haussant mes sourcils.

(Invité)

YOUR BED IS SO COMFORTABLE.

feat. alaska hamilton.

Même si j'ai une envie folle de lui sauter dessus, je ne le ferai pas. D'un parce que je ne veux pas profiter de la situation, de deux parce que je ne la connais pas. La grosse blague. Je ne respecte rien ni personne, c'est bien connu. Si elle vient à me faire une proposition c'est évident que je ne résisterais pas bien longtemps. De toute manière, jusqu'à présent on ne fait que se lancer des regards assez glacials l'un et l'autre et, même se bagarrer pour savoir qui dominerait l'autre. On est dans une situation et position délicate. Si quelqu'un venait à rentrer dans la chambre, je ne sais pas ce qu'il penserait de nous. Sincèrement. Bref. Je lui avoue par la suite entre deux regards noirs qu'elle était charmante. On ne peut pas nier la chose. Elle est séduisante, elle a tout pour qu'un homme puisse la désirer. Ensuite, j'affiche un sourire en coin. Je voulais en quelque sorte l'amadouer, une chose qu'elle a très rapidement compris. Elle n'est pas si conne que ça, au final. Elle vaut la peine qu'on apprenne à la connaître. « Moi ? T'amadouer ? Tu vis dans quel monte idiote. » Évidemment, que j'essaie de la soudoyer. Sauf, que je ne suis pas aussi con que cela pour lui avouer ouvertement. « Ça me convient. » Je n'ai pas trop le choix, j'ai l'impression. C'est la seule façon pour que j'arrive à obtenir cette chambre malgré son désaccord du début.

(Invité)

Nous étions dans un rapport de forces alors que nous ne nous connaissions pas. Au premier abord, quelque chose me disait que nous n'allions pas nous apprécier. Il essayait de me voler ma chambre, c'était assez pour me mettre hors de moi. Surtout que c'était certaine qu'il y en avait bien d'autres de libre, j'veux dire, il y en a toujours des libres. Puis quoi, il vient d'arriver, il doit encore être en plein bizutage et il vient se frotter à une vieille mather comme moi ? J'suis Alaska Hamilton baby, mon prénom est gravé sur la porte. Il ne doit pas savoir lire, je n'vois que ça comme excuse. Enfin bon. Il était à califourchon sur moi et il tenait mes deux poignets. Quand je le voyais comme ça, j'avais juste envie de lui arracher son t-shirt, mais ça faisait un peu la fille désespérée qui avait faim, alors que pas vraiment. Je lui lançais des regards noirs. Je le détestais de prendre mon bien, de me maîtriser de la sorte et de me donner des envies cochonnes. Quel pauvre type, je n'y crois pas. Et en plus, il se foutait de ma gueule. Son sourire était clairement là pour me faire accepter. Il doit sortir ce même sourire à d'autres. Et comme une débile j'acceptais. « Celui des bisounours, ça t'pose un problème ? » Crétin. Bon, une condition : je choisis mon côté du lit. Il était d'accord et en même temps, il n'avait pas le choix. J'étais en position de lui mettre mon genou dans ses couilles si j'le voulais... Comme quoi, j'étais vraiment gentille. « Bon lâche-moi maintenant... » lui ordonnais-je agacée.

(Invité)

YOUR BED IS SO COMFORTABLE.

feat. alaska hamilton.

Je n'apprécie pas trop la jeune femme. Elle ne me semblait pas aimable ni même agréable. Elle m'avait agressé en sachant que ce n'était pas de ma faute. C'est l'accueil de l'université qui m'avait confirmé que cette chambre était libre. Je ne pouvais me douter que ce n'était pas le cas. Comment aurais-je pu le devenir ? Même si sur la porte y a écrit le nom d'une ancienne mather, ça ne va pas m'empêcher de m'y frotter. J'ai peur de personne encore moins d'un ancien de la confrérie. Pour cette raison, que j'ai pris le dessus de la jeune femme. Pour prouver que je n'avais pas froid aux yeux. Que je vais jusqu'au bout pour obtenir ce que je souhaite. La preuve ? Ça fonctionnait parfaitement bien avec elle. Même mon sourire l'avait fait fondre, elle avait fini par accepter le compromis que j'ai fait il y a quelques minutes. « Aucunement ma jolie. » Réplique-je toujours avec le petit sourire en coin. J'accepte le fait qu'elle puisse choisir le côté du lit. Je n'avais pas d'autre option de toute manière. Je ne pouvais qu'accepté. « C'est bon, détends-toi un peu la nouille. » Héla-je en me levant de ce fameux lit pour récupérer une serviette, ainsi que quelques affaires pour aller dans la salle de bain. « Je peux prendre ma douche, sans que ça pose problème ? » Lui quémandais-je ? Suis-je en train de la provoquer ? Probablement.

(Invité)

J'étais fatiguée, fallait pas me chercher, c'est tout. Fallait pas qu'il se croie supérieur. J'acceptais ce soir, mais je peux vous dire qu'il allait me trouver tellement chiante d'ici quelques jours qu'il allait vite repartir. Je n'étais pas un cadeau quand je le voulais et j'avais pu le lui montrer un peu ce soir. Seulement, je n'étais plus l'Alaska d'il y a quelques années. Finalement, je crois que je m'étais assagie. J'étais bien plus douce, plus timide parfois, plus sentimentale aussi. Et bizarrement, j'avais plus de succès avec les garçons qu'à l'époque. Peut-être parce que je leur résistais moins facilement ou alors que j'avais plus de maturité pour les remettre à leur place comme il fallait. Je crois surtout que j'arrivais à faire tourner les têtes. Mon côté mignon et naïf ressortaient souvent gagnant. Fallait pas qu'il m'en veuille, j'avais un côté bisounours très prononcer. Ouais, définitivement, dans quelques jours, il sera plus dans cette chambre. Après plusieurs échanges de regards noirs, je l’ordonnais de me lâcher la grappe. Je me massais les poignets quand il se leva enfin. Je levais les yeux au ciel en l'écoutant, lui balançant finalement son oreiller à la figure. « Casse-toi crétin » grognais-je un coup pour qu'il s'échappe dans la salle d'eau. Déjà, ce n'était pas une douche, mais une baignoire. Elle avait un rideau de douche Star Wars et le verrou de la porte était cassé. Je profitais qu'il ne soit plus dans la pièce pour me changer et me mettre en pyjama. J'étais fatiguée, je comptais alors me mettre à l'aise, dans le lit et lire jusqu'à m'endormir. Avant ça, j'entrais dans la salle de bain comme si de rien était, tirant de l'eau pour commencer à me laver les dents. À oui, et quand on tire de l'eau chaude au robinet du lavabo, l'eau qui sort de la douche devient froide.

(Invité)

YOUR BED IS SO COMFORTABLE.

feat. alaska hamilton.

Je ne céderais pas ma chambre aussi facilement. Puisque oui. Cette chambre est désormais la mienne. Elle est plus à moi qu'à Alaska. Elle va vivre dans cette pièce que les moments où elle aura envie. Point barre. Elle va me trouver tellement barbant voir emmerdant, qu'elle ne voudra plus revivre dormir ici. C'est l'un de mes objectifs à atteindre. De la pousser à bout pour qu'elle puisse abandonner l'idée de dormir dans le même lit que moi. Même si dans d'autres circonstances, je ne dirais pas non pour partager mon lit avec elle. Je relâche les poignets de la demoiselle pour pouvoir me lever du lit. J'ai attrapé des affaires à moi pour rejoindre la salle de bain. Je lui demandais par avance si elle acceptait que je prenne une douche. Elle n'a pas apprécié, vu qu'elle me lance un oreiller au visage. « C'est quémandé avec amour, comment refuser ... » Lui réplique-je avec un sourire sarcastique. J'aime bien charrier ma colocataire même si je ne la connais simplement depuis deux heures. J'étais dans la baignoire sous l'eau chaude, ça me faisait un bien fou. Puis soudainement, je sens de l'eau froide dans le dos. C'est bon pour choper un rhume où une connerie dans le genre. Sans me rendre compte du geste, j'ouvre le rideau en grand pour gueuler. « T'es conne ma parole ! Tu ne réalises pas que je suis sous la douche. » Je me rends compte qu'à l'instant qu'elle avait une vue entière sur mon corps nu. N'étant pas gêné par mon corps, je reste dans cette tenue en attendant qu'elle daigne me répondre. Suis-je en train de la provoquer ouvertement ? Peut-être bien oui, peut-être bien non.

(Invité)

Je lui envoyais une insulte et un oreiller en pleine tête, en même temps. Il partait prendre une douche dans la salle de bain. Pas de problème, ça ne va pas m'empêcher de vivre. J'enfilais mon pyjama pour être plus à l'aise. C'était mieux de me changer quand il n'était pas là, c'était mieux. J'étais fatiguée, je comptais me mettre au lit rapidement ce soir, lire un peu jusqu'à m'endormir. Mais avant de me mettre au lit, je devais me brosser les dents. Du coup, je faisais comme si de rien était, allant dans la salle de bain sans me soucier de savoir s'il y avait quelqu'un sous la douche. Je tirais de l'eau chaude, faisant hurler le jeune homme. Enfin... Pas que. Il ouvrait le rideau de douche et là... mamamia. Mes yeux s'arrêtaient sur son corps nu. Genre, je le regardais de haut en bas sans aucune gêne. « Ah si si, je le réalise très bien là... » Je vais dormir avec un dieu. J'en oubliais presque la brosse à dents dans ma bouche. Ce type est une sirène, il vous appelle comme ça avec son corps d'Apollon. J'aime tellement les hommes. Hamilton calme toi ! Je refermais le rideau de douche, terminant de me brosser les dents avant de filer dans le lit. Il est tout nu. Il est beau comme un dieu. Il est tout nu. Il est beau comme un dieu. Il est tout nu. Il est beau comme un dieu. Ta gueule putain !

(Invité)

YOUR BED IS SO COMFORTABLE.

feat. alaska hamilton.

Je rejoins la salle de bain après l'insulte qu'elle venait de me balancer. J'avais besoin d'une bonne douche pour me remettre en place les idées. Jusqu'à présent, elles n'étaient pas très catholiques. Je veux me chasser ceci de mon esprit. Puisque c'est mal de penser ceci d'une femme qu'on vient à peine de rencontrer. Encore plus quand on vient à partager la même chambre ainsi que le même lit. Je prends ma douche tranquillement quand je reçois de l'eau froide dans le dos parce que ma colocataire a eu la brillante idée de faire couler de l'eau chaude du lavabo. J'ouvre le rideau extrêmement énervé. Je ne me rends pas compte que je me retrouve nu devant ses yeux. C'est qu'une fois ses paroles dites que je baisse les yeux pour voir. D'ailleurs, elle semblait ne pas aimer, car elle vient à refermer le rideau. Je ne réplique pas de suite, je finis de rincer le peu de mousse qui me restait sur le corps pour sortir de la baignoire. Je m'essuie rapidement pour ne pas choper froid et je mets mon boxer ainsi qu'un short en guise de pyjama. J'ouvre la porte de la salle de bain brusquement pour ensuite rejoindre le lit pour m'installer confortablement dedans. « Le petit spectacle n'était pas plaisant ? » M'exprimais-je avec un petit sourire en coin. Je parle bien évidemment de ce qui venait de se tramait dans la pièce d'à côté.

(Invité)

Il fallait clairement que je me remette mes idées en place là. Bon, je savais très bien ce que je faisais en ouvrant le robinet de la salle de bain. Je savais qu'il allait avoir de l'eau froide sur la tronche et que ça allait le remettre à sa place. Mais... je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il ouvre le rideau de douche dévoilant son corps nu et humide. Dit comme ça, ça fait très "film porno", mais je vous assure que non. J'en avais été presque gênée. Je dis bien presque parce que je l'avais regardé pendant des longues secondes avant de penser à tourner la tête. Je finis de me laver les dents en vitesse avant de m'enfuir dans la chambre. Le problème, c'est que ma propre chambre, mon lit, plus rien de tout ça n'était un refuge pour moi. Non, je n'avais plus d'endroit où être seule, enfin toujours à la colocation que j'avais avec Diamantika et Samaël, mais ils pouvaient toujours frapper à la porte pour me demander ce qui n'allait pas. Ici, ça restait toujours moins possible. Je me mettais dans le lit, attrapant le premier livre que je trouvais pour me changer les idées. Maxence - je ne sais même pas qu'il s'appelle comme ça et il s’apprête à dormir dans mon lit - revient à son tour dans la chambre. Je ne lève pas les yeux de mon livre, on sait jamais, il pourrait être encore nu. Il venait s'installer à mes côtés, me demandant finalement mes impressions sur ce qui s'était passé dans la salle de bain. « Non » lui répondais-je aussitôt sans décoller mes yeux du livre, puis finalement... « Tu sais... Mon regard a croisé celui de Codynosaure et crois-moi, tu ne peux pas rivaliser... » Je me mordais la lèvre rêveuse avant de finalement lui faire une petite moue désolée.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)