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(zekorphée) le jour après la nuit.

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T’avais vraiment du mal à la cerner, elle te déstabilisait un peu. Elle avait ce corps sublime qui devait en attirer plus d’un mais cette façon de se comporter avec toi qui tantôt plus assurée, tantôt plus hésitante, lui donnait un coté plus incertain, comme à multi facettes. Comment la considérer, dès lors ? T’étais loin d’être snobe mais aussi libérée que tu pouvais être, t’avais besoin de savoir comment tu devais voir les gens, si t’avais le droit de les apprécier ou si c’était une mauvaise idée. En tant normal, t’étais pas vraiment du genre à t’interdire quoi que ce soit, mais avec elle tout semblait un peu différent. T’essayais de simplifier les choses : fallait simplement que tu la vois comme une conquête attirante, voilà tout. Et tu ris à nouveau en l’entendant devant sa petite phrase sûre d’elle, hochant lentement ta tête pour l’acquiescer. « Tu es d’une grande générosité. » Tu fais avec un petit sourire entendu, presque complice. Ce que tu comprenais en revanche, c’est qu’elle ne t’avait pas rejoint à table pour rien. Non, c’était évident qu’elle voulait te parler d’autre chose qu’elle ne faisait qu’effleurer depuis tout à l’heure puisqu’apparemment, elle avait un peu de mal à mettre des mots sur ce qu’elle pensait. Tu te disais que si la soirée lui avait plu, ça pouvait tout aussi bien dire qu’elle te remerciait pour, ou qu’elle en voulait encore. T’arrivais pas à lire complètement en elle derrière ton air calme et détendu. Dans une étonnante et certaine pudeur en vérité, c’était plus dur de demander tout de suite si elle voulait que vous recouchiez ensemble, ou si tu voulais recommencer l’expérience. Mais tout ça était aussi prétexte à lui parler encore un peu plus longtemps, comme dans une sorte de séduction maladroite dont tu n’avais pas l’habitude avec les hommes - parce qu’en général ils savaient prendre les devants - ni avec les femmes - puisqu’en général tu ne draguais pas, c’est elles qui venaient à toi. Ce n’était même pas une question d’orgueil, simplement que c’était en général comme cela que ça se passait. Mais cette fois, tout semblait différent, c’était sans doute pourquoi t’avais du mal à la voir comme une conquête parmi tant d’autres. « C’est ça, Orphée. » Tu fais, presque toute fière d’avoir retenu son nom et surtout qu’elle ait retenu le sien. « C’est français. » Tu fis en y réfléchissant plus sérieusement, c’était grec au départ, mais traduit en français. Et pour que la conversation ne stagne pas tu te levas en lui disant que t’avais envie d’une clope, l’invitant à te suivre, ce qu’elle accepta sans mal. Tu souris en faisant quelques pas vers la sortie avec elle. « Absolument, c’est un sorte de don que l’on m’a donné à la naissance, tu sais comme Aurore en fait, la belle au bois dormant. Tu as déjà vu la belle au bois dormant ? » Tu disgressais sans aucun honte, parce que c’était dans ton caractère, sortant ton paquet de cigarette une fois dehors pour t’en allumer une, lui tendant le paquet. « T’en veux ? » Tu inspiras, tirant une gaffe puis la regardant sérieusement, ton regard dans le sien. « J’ai pas vraiment l’habitude que les nanas reviennent vers moi, en général elles jouent les timides t'sais. C’pas ton cas, je crois que ça m’plait. » Tu hochas la tête, y songeant sérieusement. Tu fis alors ton petit sourire dont toi seule avait le secret. « Tu voudrais qu'on se revoit ? »
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« Ça a une signification particulière ? » Tu demandais, posant ton regard curieux sur son visage devenu sérieux, réfléchit. Ça t'intéressait vraiment de savoir, tu ne la questionnais pas dans l'unique but de continuer la conversation et de l'amener à parler un petit peu d'elle, non. C'était toujours bon d'emmagasiner des informations de tout type, surtout que tu n'avais jamais rencontré quelqu'un avec ce genre de patronyme - mais en même temps c'était sûrement normal, puisque tu n'avais jamais vraiment quitté ta belle Angleterre, avant de t'enfuir pour Cambridge. Ce n'était pas quelque chose de commun ici, la consonance était très différente de tout ce que l'on pouvait entendre, et c'était peut-être pour ça que ton cerveau s'était forcé à s'en souvenir, malgré que retenir ses paroles n'avaient pas été ta priorité de la soirée. Surtout que ce n'était pas le prénom le plus facile à prononcer lorsque l'on était anglaise. Tu détachais d'une main de maître ton tablier, allant rapidement le reposer derrière le comptoir du petit café, avant de sortir à ses côtés, et qu'elle t'explique qu'à sa naissance, des petites marraines fées se sont penchées sur son berceau afin de lui faire don de quelques qualités. « Qui n'a pas déjà vu ? Le prince Philippe c'est un Dieu. » Tu avouais sans mal – eeeeh, t'étais peut-être une dure à cuir, tout ça, mais t'étais une vrai princesse au fond de toi et tu n’avais pas raté ton enfance, jusqu'à saouler tes parents en chantant toutes les chansons lorsque l'envie te prenait – c'était souvent. « Laisse-moi réfléchir... Elles t'ont fait don d'une incroyable beauté aussi ? » Tu supposais avec un grand sourire qui ne dévoilait pas tes dents – putain, c'était de mieux en mieux dans le domaine de la subtilité, on pouvait clairement mettre cette tentative foireuse dans le recueil des phrases de beaufs version 2016. Tu hochais ensuite ta tête lorsqu'elle te tendait son paquet, et tu attrapais une cigarette, lui tendant pour qu'elle te l'allume avec son briquet avant de la porter à tes lèvres, l'écoutant parler sur ses précédents plans avec des femmes. « C'est peut-être parce que tu fais intimidante ? Peut-être que tu les rends vraiment timide de t'approcher une nouvelle fois pour te parler. » Tu émettais comme supposition, expirant la fumée lentement. Après tout, c'était une possibilité. Les gens trop beaux ou qui avaient une grande prestance, intimidaient parfois beaucoup. Toi-même, ça t'arrivait de faire fuir des potentiels coups d'un soir, par une attitude trop directe ou assurée. Il fallait pas croire, certains ça les faisait craquer, pensant au départ qu'il n'y arriverait jamais, et d'autres ça les faisait plutôt flipper. En tout cas, elle avouait que ça lui plaisait que tu aies fait le premier pas pour la revoir, t'avais comme gagné un petit point, et ça t'enchantait. Tu tournais ton visage vers elle, tes dents venant délicatement mordre ta lèvre inférieure à sa question, que tu n'attendais pas vraiment qu'elle sorte comme ça, maintenant. Tu faisais mine de réfléchir quelques secondes, plus par choc qu'autre chose, avant d'acquiescer d'un mouvement de tête, un sourire entendu prenant place sur tes lèvres. « J'aimerai beaucoup oui. Si t'as du temps pour moi. »
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Tu fus un peu surprise qu’elle s’intéresse ainsi à ton prénom. En général, et ce n’était pas une critique mais plutôt un constat, les américains se trouvaient assez à l’écart des choses qui ne leur étaient pas propres. Leur curiosité s’arrêtait rapidement à l’origine, quoique c’était déjà beaucoup, puis il passait à autre chose. Tu ne jugeais personne, tu savais par exemple à quel point les français étaient mal vus dans les clichés étrangers, bon, il n’y avait rien sur les luxembourgeois, mais c’était parce que le pays était trop petit, trop peu connu. Un petit sourire étira tes lèvres en entendant sa question. « Non c’est un vrai prénom grec traduit en français, tu ne connais pas le mythe d’Orphée ? » Tu adorais cette histoire. Très fière de porter un prénom mythologique, tu t’étais même fait tatouée à la cheville l’instrument d’Orphée, sa petite harpe mélodieuse. Puis voyant qu’elle ne semblait pas connaître, tu te pris encore d’avantage d’attachement. « Si ça te dis j’peux te la raconter. Je t'avoue que ça fait son petit effet en général. Si si je te jure ! » Tu ris. En fait t’étais pas habituée à ce qu’on s’y intéresse et surtout tu ne voulais l’emmerder avec une histoire tout de même relativement poétique à laquelle tout le monde ne pouvait pas s’intéresser. Après lui avoir demandé si elle voulait te suivre - ce à quoi elle acquiesça - tu entrepris alors de te lever en attrapant ton paquet de clope et ton sac, marchant à ses cotés en faisant claquer tes talons, rejoignant la sortie. Tu ris en voyant que vous étiez absolument sur la même longueur d’onde quant au beau prince Philippe. « Oh ne m’en parle pas, je regardais le dessin animé que pour lui, pas pour cette sotte d’Aurore… Han et Maléfique ! » Tu lui confias en hochant la tête, grande fan de Disney que tu étais - comment ne pas l’être ? - regardant en cachette de vieilles cassettes que tes parents t’interdisait pour que tu te concentre sur tes études. Mais t’avais jamais vraiment respecté les interdictions de tes parents de toute façon. Mais soudainement tu clignes tes grands yeux bleus en l’entendant, tournant la tête vers elle en t’adossant au mur de l’extérieur. Tu lâches un petit rire dans un rictus en l’entendant. « Hmm, tu trouves ? » Tu lui fais dans un petit clin d’oeil, voyant que l’air de rien elle place quelques répliques charmeuses qui à vrai dire te plaisent plutôt bien. Tu la laisses prendre la cigarette que tu lui tend, souriant intimement lorsqu’elle penche son visage vers toi pour que tu lui allumes. Tu t’exécutes, ne la quittant pas des yeux, vos regards se croisant d’ailleurs lorsqu’elle redresse un peu la tête. Tu inspires et tires un peu plus sur ta clope, c’était vraiment étrange. Tu grimaces légèrement en l’entendant, t’étirant légèrement. « Tu penses que je suis intimidante ? Au fond t’as peut-être raison. » Tu hausses les épaules, pinçant les lèvres avant de sourire légèrement. « Je ne mord personne à moins qu’on me le demande. » Tu ris avec un petit air entendu l’air de rien avant de reprendre plus sérieusement :  « Certaines n’assument pas aussi, je pense que c’est le soucis, mais bon, moi j’y suis pour rien. » Alors finalement tu te décides à lâches la bombe, croisant les jambes en reposant à nouveau ton regard sur elle, après quelques expirations de fumée. Elle te plait toujours et une autre nuit avec elle serait loin d’être une corvée, tu la sens réellement réceptive et bizarrement, t’as envie de passer du temps avec elle. T’espère juste ne pas trop t’attacher encore, tu te connaissais très bien. Un petit sourire charmeur se glisse sur tes lèvres en l’entendant. « Parfait, alors c’est quand tu veux, jolie Zeke. »
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Tu ne connaissais pas du tout le mythe d'Orphée non. Ton livre de chevet à toi, en ce moment, c'était plutôt tout ce qui avait avoir avec la médecine, ou la biologie – entre deux articles de sport. La mythologie n'avait jamais réellement réussi à capter ton attention, par rapport aux nombres de caractère, aux différences entre les grecs, les romains, même les nordiques. Trop de possibilités différentes, et tu t'y perdais, la plupart du temps. « Son petit effet ? C'est si génial que ça ? » Tu questionnais, ton regard curieux posé sur son visage, alors que tu tentais d'imaginer ce que pouvait bien séduire des gens dans le récit d'un mythe sur son propre-prénom. Mais elle semblait tellement comme passionnée par cette petite histoire avant même qu'elle en ai prononcée un traître mot, que forcément, ça te donnait envie de la regarder lorsqu'elle parlait avec tant de conviction et d'adoration. « Aller, je t'écoute : instruis-moi. » Tu ordonais dans une petite voix, sourire charmeur sur les lèvres, ta tête venant reposer au creux de ta paume. Vous finissiez par sortir du magasin, le Prince Philippe dans vos esprit. « Il est assez badass, il ne fait pas que chanter comme les autres princes. » Tu disais ça, mais tu savais maintenant très bien que dans les nouveaux films Disney, tout avait beaucoup changé, par rapport à l'époque et à l'évolution des mentalités. Les princes maintenant étaient devenus presque autant important que les princesses, et eux aussi ils partaient vivre de vraies aventures au lieu d'apparaître sur deux petits pauvres plans comme dans Blanche-Neige. Malgré ça, tu préférais les films d'avant, qui avaient cette touche de magie ou cette nostalgie qu'aucun nouveau avec ses calques en trois dimensions ne pouvait égaler. Tu souriais doucement, hochant ta tête tout en réfléchissant ça. « Elle est pas mal, même si j'ai jamais vraiment aimé son sens du vêtement. Mais j'ai jamais vraiment compris les gros méchants : ils ont du pouvoirs, ils sont craint et respectés, et même si je comprend qu'ils s'y croient tellement qu'ils ne veulent pas faire le boulot eux-même, ils ne font pourtant aucun effort pour actuellement trouver des sbires qui ne seront pas complètement idiots ni qui couleront ses plans. J'veux dire, la scène avec ses gnomes qui cherchent un putain de bébé pendant seize ans, elle est tout à fait risible. » Tu expliquais, comme si ce moment-là du film avait été la question non répondue de ta vie. Les méchants peuvent avoir tout le monde, peuvent utiliser tout le monde et des gens bien plus compétent pour faire le travail. Tu comprenais que les écrivains avaient voulu y instaurer des éléments comiques, mais pour toi ça n'en était même pas devenu drôle, et c'était tellement incompréhensible que tu en venais à douter de l'actuelle intelligence de Maléfique si on ne jugeait qu'elle : rien que pour ce détail, c'était elle, la grosse idiote. Tu lui sortais ensuite cette petite question, qui était plus une remarque, en rapport aux dons données par les fées. Elle semblait comme désarmée un instant par cette simple phrase, puis la voilà qui s'adossait au mur, clairement amusée. Ton teint devenait légèrement rosé puisque tu te trouvais moins à l'aise sous son jugement, sentant comme si tu venais de lui sortir la plus grosse bêtise du monde, mais tu soutenais son regard, avant d'hocher ta tête. « Ouais, j'trouve. » Tu répondais simplement avec toute ta franchise, avant de t'approcher un peu plus pour qu'elle t'allume la cigarette qu'elle t'offrait, tes yeux ancrés dans les siens durant tout le processus. Tu haussais un peu tes épaules lorsqu'elle te demandait sur son côté intimidant, souriant doucement en coin à ses sous-entendus. « T'as l'air sûre de toi, libérée. Tout le monde n'est pas à l'aise avec ça j'imagine. » Tu répondais en tirant une taffe. « Les gens s'compliquent la vie pour rien avec leurs faux problèmes d'assumer. » C'était vrai après tout, on ne leur demandait rien, qu'ils aillent baiser le mec ou la fille qu'ils voulaient, tant que c'était bon. Tes yeux observaient de haut en bas son corps de sirène, ses longues jambes croisées et sa cascade de cheveux blonds qui retombaient sur ses épaules, et tu fis un pas vers elle, puis deux, puis trois. La clope dans une main, tu passais l'autre sur son cou, afin de glisser tes doigts sur sa nuque, juste en dessous de sa chevelure, et tu l'attirais légèrement à toi, avant de poser tes lèvres sur les siennes. Chaste et doux baiser de quelques secondes, tu te décollais ensuite après, ton sourcil arqué accompagné d'un petit rictus. « Et pourquoi pas de suite ? »
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Fallait dire que tu aimais beaucoup les belles histoires. Pas celles patetico-romantiques comme t’aimais les appeler, pas celles qui faisait mouiller les minettes de quatorze ans non, celles qui créaient un petit silence après les avoir comptées, qui faisaient sourire comme si l’on avait apprit quelque chose. Tu n’avais jamais compris pourquoi des êtres rigides comme tes parents avaient choisis de te donner un nom de héros grec, le nom d’une légende. Tu te l’étais souvent demandé, sans jamais leur poser la question, car tu n’aimais pas leur accorder de l’importance. Au fond, peut-être que se cachait derrière le teint fade de ta mère une ancienne aventurière, de laquelle tu tiendrais finalement, sans que jamais elle ne te l’avoue. Zeke semble, comme tu l’espérais, intriguée par la teneur de cette histoire et tu ris un peu. « Non c’est très simple, en vérité. » Tu n’allais pas lui mentir après tout, elle pouvait très bien ne pas y être réceptive du tout. Dans tous les cas tu auras essayé. Et tu la regarde se pencher un peu en posant son menton fin sur sa paume, tes yeux s’illuminant un peu d’une lueur insolente et ravie à la fois. « Hmm, non, tu sais quoi ? Je vais la garder pour plus tard. » Tu fais, tes yeux s’illuminant d’une lueur taquine alors que ris, tirant la langue en te levant pour rejoindre l’extérieur.

« Même s’il reste l’air de rien un transi amoureux. » Tu fais en hochant la tête, enfonçant tes mains dans les poches de ton jean taille haute, qui dévoile la forme de tes cuisses fines et de tes longues jambes. Seulement Zeke semble s’interroger sur les méchants dans les Disney, et tu te dis que si elle commence à sérieusement enquêter la dessus, elle n’en a pas fini. Tu tâches de l’écouter, hochant la tête pour acquiescer de temps à autre. Evidement que Maléfique s’affaiblit elle même en s’entourant d’idiots, à part son parfait Diablo absolument génial, mais après tout, un méchant Disney se devait d’avoir des points faibles, et puis on ne pouvait pas rendre des sbires trop intelligents, ils sont sensés être assez stupide pour suivre le gros méchant dans le mal. « Tu sais,, je pense qu’il s’agissait surtout d’ajouter un aspect comique tout en montrant la capacité des pouvoirs de Maléfique et en faisant rentrer l’oiseau en scène. » Tu lui fais d’une voix presque douce. « Mais je suis d’accord avec toi. » Malheureusement tu n’avais écrit aucun disney, sinon sans doute que cela ne se serait pas produit comme ça. T’aurais fait terminer l’oiseau avec le prince et Maléfique et Aurore, rien que pour glousser devant ta télé et choquer les gosses. Et puis elle te fait ce compliment sur ta beauté et elle te plait encore d’avantage lorsqu’elle essaye de te séduire de la sorte. Tu aimes ces grands yeux appés de désirs qui se posent sur toi. « On a le même don. » Tu ajoutes en frôlant sa main lorsque tu lui allumes sa clope, tandis que vous parlez de tes conquêtes d’un soir qui n’assument pas toujours d’avoir coucher avec toi, aussi jolie que tu puisses être. Tu ris légèrement. « Je suis d’accord, les gens se compliquent la vie. » Et sur ceux d’ailleurs tu rajoutes qu’elle pouvait revenir se perdre dans tes bras quand elle le voulait. Zele ne perd pas de temps et tu sens ses doigts lentement se glisser dans ton cou, t’arrachant un frisson de surprise alors que tu penches un peu la tête pour l’inciter à continuer, éloignant un peu ta clope. Tu la regarde dans les yeux tandis que vos lèvres se rejoignent et que tu enroules ta main libre autour de sa taille, poussant un soupir d’aise contre elle. « Bonne idée… » Tu fais dans un sourire, en échangeant vos positions, tandis que tu la plaques doucement contre le mur pour prolonger le baiser, caressant ses longs cheveux bruns. « Où est-ce que tu veux aller, ma belle ? » Tu lui murmures contre ses lèvres.
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Tu ne t'étais jamais réellement demandé ce que pouvait signifier les prénoms des personnes que tu rencontrais, même si à y repenser, ça pouvait être assez intéressant. Malheureusement, tu n'avais plus envie de savoir le tien. Que la signification de Lydie soit belle ou non, ça ne changeait rien : tu n'avais plus envie d'entendre parler de ce prénom qui ne te rappelais aucunement l'identité que tu avais. Ça ne te désignait que la flemmardise de tes parents, à qui il semblait que tu ne comptais pas assez à l'époque, pour qu'il se décident à changer qu'une pauvre lettre, et te donner le prénom d'une meuf morte. Sympathique. Mais t'attendait bizarrement l'histoire d'Orphée, qui te donnait envie d'en savoir plus rien qu'avec son enthousiasme à peine dissimulé. Seulement, il semblait que quelque chose se passait en elle, car ses yeux s'illuminaient et quelques secondes après, elle décidait de garder la fameuse histoire pour elle. « Q-quoi ? Noooon, hey là ma jolie, t'as pas l'droit d'faire ça. » Tu t'exclamais, totalement outrée par son culot.

« Il l'est, j'imagine. En même temps, un prince qui se casse le cul à sauver une princesse sans qu'il ne ressente aucun sentiments pour elle... Ce serait assez triste pour les gamins d'notre génération. » Tu avouais. Enfin, c'était toujours bizarre les films Disney. Évidement qu'il serait difficile aujourd'hui d'imaginer quelqu'un qui se plierait en quatre et serait prêt à braver tous les dangers et les obstacles que l'on jetterait sur son chemin juste pour sauver une fille ou une femme, qui serait enfermée, maltraitée, influencée, ensorcelée d'une malédiction quelconque, sans même qu'il ne ressente quoi que ce soit à son égard. Ou alors il faudrait qu'il soit payé, que ce soit son travail et qu'il reçoive salaire de la personne qui elle, voulait voir la princesse saine et sauve. Et d'un autre côté, quand les princes se mettaient à rechercher cette princesse perdue, ils l'avaient souvent jamais rencontré, ou seulement ils avaient échangés quelques mots ou une chanson, et dans le présent dans lequel tu vivais, les choses ne se passaient pas aussi rapidement pour ressentir de l'amour vis à vis d'une personne. Tu t'interrogeais avec le plus grand des sérieux sur les méchants de Disney, et elle te répondait comme tu le pensais, que c'était surement pour inclure des personnages et pour apporter quelque chose de plus léger et humoristique, comme les valet de comédie au théâtre. « Ouais, mais ça m'fait pas rire cet humour. Ça colle juste pas au personnage tu vois ? C'est évident que Maléfique ferait attention de bien choisir les personnes qui travailleraient pour elle. Elle a pas l'temps de passer derrière eux à chaque fois, donc forcément elle prendrait quelqu'un qui fait un truc nikel sans qu'elle ai à lui demander dix fois. Il n'y a pas que les cons qui sont influençables, elle pouvait attirer quiconque d'intelligent avec le pouvoir et l'argent. » Mais il fallait peut-être que tu arrêtes de parler de ça, histoire de ne pas la faire fuir avant que tu n'aies réussi à retourner dans ses draps une dernière fois. Les gens qui débattaient trop pour des broutilles, qui donnaient leur point de vue sur tout et n'importe quoi... C'était très bien pour un couple amoureux, mais ce n'était pas ça qui allait lui donner envie de retenter quelques expériences avec toi. Elle aurait peut-être trop peur qu'en vrai tu fais que parler pendant l'acte ? Arf non, fallait pas qu'elle pense ça. Parce que tu la désirais, et tu désirais réellement que cela se fasse avec elle, et non avec une autre fille sûrement sublime également que tu pouvais trouver dans n'importe qu'elle boîte de nuit. Ton sourire s'élargissait lorsqu'elle te disait que vous aviez le même don, et tu penchais légèrement ta tête sur le côté. « P't'être bien. » Tu murmurais, avant de te dire que les gens se compliquaient bien trop la vie quelques fois, et ils se l'a gâchaient même en se forçant à devenir une autre personne, pour ne pas décevoir leurs parents ou leurs amis ou des gens inconnus en général. Tu comprenais l'envie de faire plaisir, toi-même, tu n'avais jamais aimé les cours mais tu te bougeais les fesses et tu faisais ton boulot et tu apprenais rien que pour faire la fierté de tes parents. Mais de là à en cacher sa sexualité... C'était too much. « C'est peut-être bien finalement. Sinon tu serais tombée amoureuse d'une adorable fille trois ans en arrière et j'aurais jamais pu coucher avec toi. » Tu lâchais dans un sourire en coin, maintenant que tu venais d'y penser, c'était pas si mal, les gens timide qui ne s'assumaient pas. Seulement quand ça te permettait à toi d'avoir de la chance et des opportunités dans ta vie. Puis elle acceptait, de te revoir quand tu le voulais. Alors c'est sans surprise que tu t'approchais d'elle pas à pas et que tu l'embrassais comme ça, en pleine rue, ton cœur ratant un petit battement lorsqu'elle ne te repoussait pas mais au contraire, que sa main venait se poser dans le creux de ta hanche. Elle finissait par te coller le dos au mur, et ta main livre glissait de sa nuque jusqu'à son bras, tes lèvres répondant aux siennes longuement. « On peut aller chez toi ? » Tu demandais contre son bouche, tes yeux cherchant ses yeux, même si tu étais assez sûre qu'elle accepterait.
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« Oh je crois que notre génération est déjà bien amochée, ça m’étonnerait même pas de trouver du lubrifiant dans les kinders. » Tu fis avec un petit sourire mi-amusé, mi-sérieux. C’était dans une chanson d’Orelsan ça, mais t’aimais bien le citer. De toute façon t’étais dingue de ce mec et tu pouvais passer des heures à écouter ses morceaux que personne autour de toi ne pouvait comprendre, qui ferait frémir tes parents rien qu’à l’écoute du refrain. T’étais comme ça, une grande déçue de la vie, peut-être même une bonne rappeuse qui aurait raté sa carrière. Oui, ça te paraissais complètement évident maintenant. Il fallait vraiment que t’arrêtes de penser à n’importe quoi quand tu te sentais un peu anxieuse. Tu jouais la fille à l’aise mais en vérité, t’essayais juste de doser un peu tes paroles, t’étais quand même sensée être tout à fait parfaite dans ce domaine. Mais comme tu l’avais dit, c’était différent à chaque fois avec une fille et cette fois ça te paraissait encore plus compliqué. Elle te plaisait sans doute beaucoup. « Et en même temps, il l’a vu une fois quand elle été bébé, il est un peu bizarre le mec, non ? » Tu ris de bon coeur, la taquinant d’avantage sur ce point, quoiqu’un peu sérieuse l’air de rien. Bien sûr que tu comprenais l’idée, et puis après tout à l’époque des chevaliers et des princesses on pouvait se marier avec une gamine de dix ans, alors le prince avait bien le droit de tomber amoureux d’un bébé. « Ah non, c’est vrai qu’il la revoit dans les bois après. » Tu rectifias de façon plus sûre, hochant la tête en mettant la main sur ton paquet de clope, en portant dors et déjà une à tes lèvres. Sans doute était-ce que tes parents voulaient pour toi, que t’épouse un joli inconnu que t’avais dû croiser une fois dans ta vie durant un banquet et qui t’avais fait un de leur éternel baise-main, un inconnu parmi tant d’autres. Comment pouvait-on te reprocher ta soif de liberté après tout ça ? Tu ris légèrement en entendant Zeke alors que vous rejoigniez la porte, et tu ne résistas pas à l’envie de glisser une main dans ses cheveux bruns. « T’as drôlement réfléchi à tout ça dis moi, cutie. » Tu fis en souriant en coin. Elle n’avait pas tord du tout, mais sa façon de le dire la rendait bizarrement adorable. Comme quoi il lui fallait vraiment pas grand chose hein, et après c’était toi l’irrésistible… T’étais même pas si sûre. Tu en profitas d’ailleurs pour lui faire la remarque quant à vos dons commun. Parce que si toi t’étais belle, elle l’était aussi. Elle avait quelque chose de sexy dans l’attitude que t’étais même pas capable d’expliquer, de ces gamines auxquelles personnes ne résiste, ces allures d’ange cachant un véritable petit diable. Sans doute étais-tu attirée par le coté obscur, et tel Anakin Skywalker tu t’y laisserais glisser sans problème si elle te le demandait. Elle te répondit dans un murmure et tu agrandis ton éternel petit sourire en coin, nettement plus à l’aise. « C’est pas impossible, mais ça aurait dommage, j’aurai raté une nuit plutôt agréable. » Tu lui confias alors très sérieusement pour lui faire comprendre à ton tour que t’avais beaucoup apprécié votre nuit ensemble. Tu te doutais bien qu’elle avait dû le comprendre par elle même, mais ainsi, c’était dit. Sans aucune hésitation vous vous jetiez un peu l’une sur l’autre pour un baiser en pleine rue, sans vraiment faire attention aux regards aux alentours. Tes doigts fins virent lentement caresser sa hanche alors que tu prolongeais le baiser, retrouvant le contact délicieux d’une nuit que tu avais cru passée. Tu souffles alors légèrement contre ses lèvres alors qu’elle propose d’aller chez toi, tu décolles lentement tes lèvres. « Okay, mais j’habite chez les cabots. » Tu lui avouas avec une petite grimace. Maëlys n’était sûrement pas là ce soir, mais t’étais toujours un peu embarrassée de ramener tes conquêtes là bas. Tu songeais de toute façon à t’achèter un petit studio, mais il te fallait l’accord de tes parents. Sans plus attendre, tu gloussas légèrement en lui smackant les lèvres comme pour la provoquer, avant de filer en direction du campus, lui jetant un regard provocateur et amusé à la fois. Puis tu t’arrêtas légèrement pour l’attendre, venant à nouveau encercler sa taille en marchant côte à côte, histoire de conserver ce désir qui vous animait toutes les deux. Tu la fis grimper jusqu’à la cabot house, déverouillant ta chambre et allumant la lumière. « Ta collègue va gueuler non ? » Tu fis en riant légèrement, refermant la porte en venant à nouveau l’attirer à toi.
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Tu fronçais tes sourcils lorsqu'elle reprenait la parole, tendant presque l'oreille pour être certaine de ce que tu avais entendu. Tu connaissais, ça. Tu écoutais un petit peu de tout en musique, il le fallait bien pour une jeune fille qui jouait quelque chose comme du violon, mais ça t'arrivait également beaucoup de tomber sur des artistes à la langue totalement différente de l'anglais universel, et qui pourtant te touchaient, dans leurs musiques, dans leurs paroles aussi, même si tu devais passer beaucoup plus de temps sur internet à trouver leurs significations dans ton propre langage. Et puis, ça te revenait. « J'ai comme envie de gifler tous ces clones de Justin Bieber. » Tu répétais de la chanson que tu avais déjà écouté bien trop de fois, ton accent anglais maintenant bien plus prononcé lorsque tu tentais de parler un français assez bancal. Merde, t'espérais ne pas t'être trompée dans les paroles parce que sinon, ça ferait juste débile. Tu mêlais ton rire au sien, hochant doucement la tête alors qu'elle traitait le beau Prince Philippe de bizarre, « C'est vrai, mais il ne faut pas oublier que quand son père l'amène au baptême de l'autre blondasse, il n'est pas du tout content Philippe, il a une expression de fort dégoût d'être promis à un bébé. Mais ouais, il tombe fooooollement amoureux grâce à cette magnifique chanson dans les bois. » Tu précisais, alors qu'elle-même ce souvenait de cette rencontre des années plus tard dans les bois. Il fallait aussi le comprendre Philippe, il ne pouvait pas imaginer une seule seconde que sa promise en couche-culotte allait devenir une magnifique blonde à la voix de cristal qui fait des rêves chelou. Toi aussi, ton père t'aurais montré ton futur mari alors qu'il venait de naître, il aurait pu finir par avoir la gueule d'ange de rj king que tu n'aurais pas vu venir la chose et que tu aurais fais ta rebelle pour ne jamais le marier. Tu souriais doucement en coin en sentant ses doigts qui se baladaient dans ta crinière brune, et tu haussais doucement tes épaules, marchant à ses côtés. « Ouais, j'aurais peut-être dû m'inscrire en littérature, c'est peut-être ma voie. » Tu reconnaissais, puisque après tout, il t'était totalement possible d'avoir de multiples talents, et celui d'être forte en littérature pouvait en être un. Tu l'imaginais ensuite en couple depuis dans années avec son premier plan cul qui l'assumait, et tu te disais que c'était peut-être le destin pour toi si elle avait eu si peu de chance avec les filles. Tes yeux la fixaient alors qu'elle te parlait d'une manière un peu plus sérieuse, et tu ressentais un petit truc en toi, comme si t'étais heureuse de voir que la chose était réciproque, que la nuit avait été aussi bien pour elle que pour toi. Néanmoins... « Plutôt agréable ? Il va falloir que tu m'apprennes à la faire devenir mémorable, non ? » Quoi ? On pouvait dire ce que l'on voulait de toi, te traiter de tous les noms, que tu mettrais tout simplement ça sur le compte de ton côté perfectionniste. Et oui, tu avais besoin de toujours faire bien, faire mieux, jusqu'à finir par faire parfaitement les choses. Pas seulement dans tes cours de tous les jours afin d'apporter la fierté de tes parents, mais également dans des sujets qui toi t'intéressaient et toi te donnaient envie de réussir. C'était le cas pour le sexe. Et si ta technique entre filles ne faisait passer à ta partenaire qu'une nuit agréable, tu voulais pouvoir apprendre et modifier la perception des nuits suivantes. Normal. Puis vint les baisers à découvert, pas pour le moins peureuse de quelconque espions dans le paysage, puisque tu t'en foutais qu'on vous remarque ou qu'on ne vous remarque pas. Tout ce que tu voulais, c'était la faire craquer pour qu'elle te ramène chez elle. Ce qui, petit à petit, semblait marcher. Elle décollait lentement ses lèvres, et tu éclatais de rire lorsqu'elle t'avouait de quelle confrérie elle faisait partie, et donc où elle habitait. « Je vois, t'es chez les miss parfaites qui trompent leur mecs. Bonne ambiance ? » Tu demandais d'un petit air moqueur, tes doigts venant caresser le long de son bras. Une cabot, toute jolie, toute rose, voilà qui était mignon. Tu fronçais tes sourcils et devenait plus alerte lorsqu'elle smackait tes lèvres et partait déjà loin devant en direction du campus, et tu lui lançais d'où tu étais un gros doigt d'honneur pour tenter de lui faire ravaler son petit air sur d'elle, avant de croiser tes bras contre ta poitrine et de marcher tranquillement vers elle sans te presser, qui finalement avait la bonne idée de t'attendre. Ton petit sourire refaisait surface alors qu'elle encerclait ta taille, et tu passais une main dans ses cheveux, finissant sa cigarette de l'autre durant la route jusqu'aux dortoirs des Cabots. Une fois là-bas elle te faisait entrer chez elle, et tu éclatais de rire à sa question, l’expression un petit peu trop heureuse et fière de toi sur le visage. « Ouuui... C'est très probable même ! » Tu pouffais en repensant à Charlie, toute seule à devoir fermer le Starbucks. Elle ne pouvait rien te dire, il fallait bien qu'elle fasse son travail si elle ne voulait pas se faire virer. « Mais tant pis. C'est vrai qu'elle est tellement seule qu'elle comprendrait pas que je ne pouvais pas te faire attendre. » Tu répondais en lui faisant un petit clin d'oeil, tes doigts osant se balader maintenant là où ils le désiraient, glissant sous le haut d'Orphée pour caresser son ventre plat.
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Voilà que t’étais toute fière d’avoir traduit les paroles du rap d’un français à un anglais un peu moins sûr, mais ce qui te surpris encore d’avantage c’était surtout la réponse de la brune qui s’empressait de rajouter la suite des paroles. Ouvrant grand la bouche tandis qu’un sourire y prenait place tu ne pus t’empêcher de continuer : « Plus rien ne m’étonne, non non, plus rien ne m’étonne ! » Bon t’éviterais quand même de faire la voix électronique du petit lapin. T’en revenais pas qu’elle connaisse cette chanson, t’en connaissais peu des gens écoutant des chansons françaises, la plupart des élèves d’ici était à peine capable de te proposer un ‘voulez vous coucher avec moi ce soir’ avec un accent aguicheur. « Oh, alors mademoiselle connait Orelsan, tu me plais de plus en plus toi. » Tu lui fis dans un clin d’oeil. De Disney vous étiez quand même passé à Orelsan puis Justin Bieber, il fallait croire que le sujet vous intéressait vraiment. D’ailleurs Zeke semblait tout comme toi connaître le dessin animé par coeur, et ça aussi ça te plaisait. « C’est vrai je m’en souviens, en même temps entre un bébé qui pleure et un jeune fille de seize ans, il a le droit de changer d’avis. » Tu concilias tout de même en t’allumant ta cigarette avec un air plein de réflexion. Vous étiez vraiment capable de réfléchir sur tout et sur rien surtout. Et puis Aurore elle était loin d’être dégueu aussi, tu l’avais longtemps considéré comme l’une des plus belles princesse Disney avec sa véritable crinière blonde et sa voix cristalline, t’avais fait la vie à tes parents pour qu’il te change de prénoms et t’appellent Aurore. Ca ne s’était jamais fait. C’était peut-être mieux, parce que quelques mois plus tard tu rencontrerais Belle puis des années plus tard la belle Raiponce. Oui pour créer des complexes et des rêves pleins la tête, Disney était champion. « Absolument. Qu’est-ce que tu étudies au fait ? » Tu lui demandes, t’intéressant réellement à elle. Ouais t’avais cette envie irrésistible de connaître des choses un peu intimes quant à elle, qu’elle n’hésite pas à se confier. Fallait peut-être pas que tu t’emballes, c’était toujours mauvais signe. Après tout tout ça n’était qu’une histoire de sexe, de découvertes, non ? Et tu éclatas de rire lorsqu’elle sembla presque un peu vexée en entendant ton adjectif trop peu valorisant à son goût quant à votre nuit ensemble. Tu tiras sur ta clope avec un petit sourire taquin. « Ne t’inquiète pas je suis sûre que tu en es tout à fait capable. Et puis elle l’est déjà en quelque sorte, on oublie pas un si joli visage et un si joli corps. » T’avais envie d’ajouter quelque chose mais tu te retins. Elle était loin de n’avoir que le corps de joli, sa personnalité et sa voix te plaisait aussi, c’était sans doute pourquoi t’avais encore d’avantage envie de la connaître. En espérant l’air de rien que tout cela serait réciproque, vous échangez un baiser sans retenu en plein milieu de la rue, sans le moindre gêne. Non le gêne, c’était vraiment pas ton truc, t’avais fait des choses bien plus gênantes en public, surtout quand t’étais ivre. Ce qui arrivait souvent. Tu éclatas de rire en entendant sa description des cabots. « Quelle façon de voir les roses, j’espère que tu ne m’inclus pas dans cette description. » Tu haussas un peu les épaules. « Ca va, j’ai personne à tromper et personne ne me trompe alors, je m’y plais je suppose. » Tu fis pour donner une description un peu globale de la chose avant de rire à nouveau, l’emmenant finalement vers ‘la maison des parfaites’. Et tandis qu’elle boudait un peu, tu venais encercler la taille pour voir réapparaître sur ses lèvres son sourire. Vous marchiez ainsi toutes les deux, cigarettes dans vos mains libres, sans briser votre contact.

En arrivant là-bas tu en profitas d’ailleurs pour lui faire une petite remarque par rapport à sa collègue, riant légèrement. « T’es pas gênée comme nana hein. » Tu lui fis dans un sourire amusé, ouvrant la bouche en prenant un air faussement outrée. « La pauvre, t’aurais dû l’inviter, on se serait fait un truc à trois. » Tu plaisantas 8659cf l’attirant à toi, reposant tes lèvres chaudes contre les siennes, comme si elles en avaient soif. Appréciant toujours les moindres caresses tu souris en sentant ses doigts sur ton ventre, et tu glissas les tiens dans son dos, le caressant lentement en te penchant légèrement pour fermer la porte à clé. Tu la poussas alors délicatement contre celle ci - la porte - l’embrassant avec d’avantage d’appui en caressant ses hanches. C’était vraiment facile avec elle, elle savait te donner envie, alors que vous ne vous connaissiez depuis pas bien longtemps. Et connaître, n’était-ce pas une notion immense, finalement ? Toujours dans ta juste délicatesse mais avec une certaine excitation que tu savais partagée et un peu pressée, tu vins lui enlever son haut, gloussant un peu. « Oh dommage, le tablier m’excitait beaucoup. » Tu fis en riant, la taquinant en glissant tes lèvres dans son cou, l’embrassant délicatement en remontant un peu tes mains sur sa poitrine. Non non y’avait vraiment aucun problème avec ses seins, ils étaient mille fois mieux que le tablier.
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Tu avais tenté la chose, et tu espérais seulement ne pas te ridiculiser devant quelqu'un qui avait l'air de beaucoup s'y connaître pour sortir une parole de chanson à l'improviste, surtout en la traduisant en anglais. T'avais préféré laisser parler ton français, ayant pour le coup beaucoup révisé ce langage grâce à cet artiste, parce qu'après tout, c'était toujours l'un des meilleurs moyens pour retenir du vocabulaire. La jolie blonde avait l'air tout d'abord comme étonnée de t'entendre, avant qu'un sourire ne remplace son expression, et qu'elle continuait en y rajoutant une parole, avant de te dire que si tu connaissais Orelsan, tu lui plaisais de plus en plus. Il y avait bien qu'avec elle que ce genre de musique ou connaissance pouvait marcher. Ce qui la rendait assez spéciale pour le coup. « Je connais. Merci les recommandations Youtube. Encore plus si je gagne des points grâce à ça. » Tu répondais sincèrement avec un grand sourire face à son clin d'oeil. Tu hochais ensuite ton visage alors qu'elle décidait que le Prince avait le droit de modifier son avis entre le jour où il rencontre sa promise et celui où il l'a rencontre une seconde fois, et c'était vrai que toi aussi, tu changerais sûrement d'avis sur des décisions prises après quelques années de ta naissance seulement. Mais vous auriez tout le temps de parler des diverses œuvres de Disney, et voilà qu'elle te demandait ce que tu étudiais sur le campus. Tu la fixais quelques secondes, un regard calculateur soulignant tes beaux yeux marrons, comme si tu cherchais à discerner si elle avait réellement envie de savoir ces quelques détails de ta scolarité ou si elle se mettait seulement à faire la causette – et si c'était prudent de raconter ce genre d'informations très personnelles à quelqu'un avec qui tu étais censée seulement coucher ou non. Puis finalement, tu décidais de faire confiance. « Médecine en majeur, biologie en mineur. C'est très chiant, mais ça rend fier les darons. Et toi ? » Contrairement à ce que l'on pouvait penser en te connaissant, tu n'avais ni choisi sport en majeur, ni en mineur. Et ce n'était malheureusement pas l'envie qui t'en manquait, mais tu avais toujours eu les capacités pour faire plus au niveau intellectuel, et même si les cours et réviser te prenaient la tête au plus haut point, tu le faisais tout de même, pour tes parents. Tu venais tirer une nouvelle latte, et les coins de ta bouche s'étiraient en un petit sourire qui répondait au sien à sa réponse sur votre nuit – dont tu avais apprécié l'adjectif qu'elle avait choisi que modérément. « Que de flatteries, j'y prendrais presque goût. » Tu plaisantais – même si plus sérieusement, qui ne rêvait pas de devenir comme mémorable dans l'esprit des gens ? Qui ne désirait pas laisser son empreinte après une douce nuit ou un simple passage dans une allée ? Si ton visage et même ton corps s'était comme gravé dans ses souvenirs, ça t'allait. Tu savais en tout cas que le sien y serait bien indélébile dans tes beaux moments de jeunesse, puisqu'elle avait été la première avec qui tu te laissais tenter par ce genre de découvertes. Après votre baiser voilà qu'elle t'indiquait qu'elle habitait chez les Cabots, et il était évident que tu aies tes petits préjugés sur la confrérie qui ne possédaient que des filles qui se voulaient parfaites et solidaire entre elles. La blague. Au moins ça faisait rire ta jolie blonde. « Je n'sais pas... Après tout, j'te connais pas vraiment. T'es pas une miss parfaite qui trompe son mec ? » Tu demandais sous un air d'innocence avant de lâcher un petit rire quand elle t'avouait qu'elle ne trompait personne et que personne ne pouvait la tromper. Et en plus, qu'elle s'y plaisait. « Tu vois, tu es par-faaaaite. » Tu accentuais sous une petite couche de sarcasme, avant qu'elle t'emmène enfin dans son dortoir Cabot, finissant ta clope au passage. T'espérais que ça y sente la rose au moins.

« Jamais. Pourquoi le serais-je ? Elle est le meilleur bouc émissaire dont j'aurais pu rêver. » Tu disais dans un petit sourire, haussant tes épaules. Et c'était la vérité. T'étais pas très bonne à tenir le Starbucks. T'avais retenu beaucoup de choses, les différentes recettes, comment ranger le soir ou faire la mise en place le matin, comment accueillir le client, comment faire un réapprovisionnement pour le lendemain le plus complet possible, comment s'organiser pour une fois par mois faire l'inventaire... Mais le problème, c'est que tu gaffais beaucoup, t'oubliais des choses, t'en faisais tomber d'autres, et dès que le manageur passait, tu n'hésitais pas à tout remettre sur le dos de Charlie. Not sorry girl. Orphée faisait la choquée lorsque tu disais à quel point ta collègue devait être seul, et tu ne pu retenir une grimace de déplaisance lorsqu'elle émettait l'idée d'un truc à trois avec elle. « La prochaine fois. J'ai pas vraiment envie de penser à elle dans ce genre de moment. » Parce que tenter un treesome au moins une fois dans ta vie, tu avais envie de dire, pourquoi pas. On pouvait dire ou penser ce que l'on voulait, mais ça devait sûrement être en face d'un petit carré, attendant impatiemment d'être coché sur des milliards de listes de choses à faire avant de mourir, que ce soit pour les garçons ou pour les filles. Mais faire un treesome avec Charlie... Tu ne savais pas trop pour le coup, ça ne te faisait pas fantasmer, ça ne te faisait pas réellement envie. Qu'elle reste seule derrière le comptoir à servir les cafés et qu'elle ne prenne pas le temps de se déshabiller quoi, parce que t'avais pas envie de toucher cette fille de cette manière-là. Du tout. Même pour faire plaisir à Orphée. Orphée qui reprenait possession de tes lèvres, profitant de te coller dos contre la porte une fois qu'elle l'eut fermé à clé, ses mains soulignant la courbe de tes hanches.Tu venais l'aider à enlever ton petit pull, levant tes bras en l'air quelques instants, avant de laisser ton sourire prendre place sur ton visage, et de lui enlever à ton tour son pull qui laissait apparaître ses épaules. « Le tablier t'excite hm ? Ramène-toi la prochaine fois lors de ma pause de quinze minutes, t'auras tout le temps de me l'ôter dans les vestiaires du personnel. » Tu lui proposais la voix plus basse – il paraissait que cela était plus sexy non ? - et un frison de plaisir parcourait ton corps entre sa bouche dont tu lui laissais le livre accès à ton cou en penchant légèrement ton visage sur le côté, et ses doigts qui remontait sur ta poitrine sublimée de dentelles. Tes doigts glissaient le long de sa hanche avant de remonter lentement dans son dos, frôlant sa colonne vertébrale. Des tes deux mains tu attrapais les pans de son soutient-gorge pour les détacher – tu ne tentais même pas l'astuce rapide qui avait été pris et repris dans énormément de films et de séries, tout simplement parce que tu n'avais jamais essayé et que ça allait tout simplement te faire passer pour une débile – et tu libérais sa magnifique poitrine, laissant tomber le tissu à terre. Ta bouche laissait traîner une lignée de baisers brûlants de son épaule jusqu'à son cou, puis tu accaparais à nouveau ses lèvres, tout en venant caresser délicatement ses seins, venant frôler de la pulpe de tes doigts le bout de ses mamelons
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