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After all that I've done ♥ SOLVEAN-RT

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2ème soir Road Trip
Il m'arrive souvent de me mettre a réfléchir sur ma vie. A faire une sorte de bilan, et a la fin, je me fixe des objectifs a remplir. J'approche la trentaine, et je commence a me dire qu'il faudrait que je me pose. Je ne dis pas que je veux des choses conventionnelles, mais au moins avoir la certitude d'un futur qui ne changera pas. Certains événements m'échappent, et me perturbent ; ce n'est rien de le dire. Mais je me conforte en me disant que je pouvais en contrôler d'autres. Déjà, avoir laissé mes sentiments sortir auprès de Solveig avait été un choix de ma part. La choisir, et avoir la chance de la réciprocité pour un avenir a deux. Maintenant, sans pour autant tout précipiter, je voulais poser des bases solides dans mon existence. J'ai la meilleure partenaire pour ça. Je crois que dans peu de temps, j'organiserais un petit repas romantique chez moi, ou dans son logement dans l'atelier pour créer la surprise - Je pourrais demander les clés a Echo ou un truc comme ça - , et j'engagerais la conversation sur ses attentes, sur ses envies. Car oui, il n'y a pas que mon avis qui compte maintenant. Nous sommes en couple, alors c'est normal que j'entende ses désirs car ils sont tout aussi importants que les miens. L'amour! C'est une chose qui change totalement une personne. Comme là, quand j'étais entrain de soigner sa main blessée a cause de sa rencontre avec l'arbre. C'était franchement pas malin, mais quand je vois la puissance du coup, je me dis que je suis plutôt content de ne pas l'avoir reçu en pleine face. J'étais concentré dans ce que je faisais, mais ses mots viennent soulever mon regard pour le poser dans le sien. Au départ, j'affichais un peu de surprise d'entendre ça, mais au fur et a mesure de ses paroles, il s'attendrissait. Mon coeur s'emballait doucement comme a chaque fois qu'elle me touche. Car oui, Solveig est une experte dans ce domaine faut dire. Alors, mes mains se stoppent le temps de lui répondre  " Je ne veux pas que tu t'en veuilles de m'aimer. Jamais. "   Je passe ma langue sur mes lèvres  " Je crois que j'ai déjà fait l'erreur une fois de te demander de laisser tes sentiments de coté.... Et j'ai failli tout gâcher avec cette connerie. J'ai failli laisser passer celle qu'il me fallait. "   Niaiserie de retour. Mais c'était trop mignon de se dire tout ça. Je pouvais reprendre les soins en souriant bêtement.

Nous sortons ensuite de la tente. Je venais d'informer ma petite amie que nos amis n'étaient pas rentrés, et que là ça en devenait complètement inquiétant. Ils n'avaient pas mangés, et pas prévenus du temps qu'ils allaient mettre. Donc, je pense que le mieux a faire et de tenter d'avoir un contact. Solveig téléphone a Echo, mais rapidement la sonnerie se fait entendre a proximité. Je tape mon front de ma main, et la rouquine ne manque pas de me jeter un regard tueur. Je rigole un peu en haussant les épaules   " Oui, je m'inspire de toi. T'es mon idole! "   Le moment n'était pas trop a l'humour mais bon, fallait un peu détendre. Elle tente alors de téléphoner a Noah, et quand le mot 'messagerie' sortait de sa bouche, je soufflai  " Putain... C'pas vrai. "  Mais qu'est ce qu'ils foutent? Je regarde autour de nous, mais quand mes yeux reviennent sur ma petite amie ; elle se tient les jambes et n'a pas l'air bien. Elle peinait a respirer, comme ci elle faisait une crise de panique... Ah mais c'est ce qu'elle fait je crois. Je commence a sentir mon coeur qui bat un peu plus rapidement, et j'écoute sa phrase qui a du mal a sortir. Sans perdre une seconde, je me précipite vers elle. Mes mains viennent saisirent ses bras pour la redresser et je la serre contre moi. Je caresse son derrière de la tête en lui disant a l'oreille   " Eh calme mon Amour. Je suis sûr qu'ils vont bien. Allez, respire ca va aller. "  Je la garde contre moi, en embrassant le sommet de son crâne doucement. Inquiet, espérant qu'elle ne fasse pas un malaise. Et si je tentais de jouer la carte de l'humour encore? Je me décale un peu, et je lui souffle sur le visage, faisant des a coups comme ci j'étais entrain d'accoucher limite. " Ca va mieux? Ou je dois te faire un bouche a bouche tout de suite? "   et je souris, tentant de la rassurer.
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Je ne pouvais pas prédire mon avenir avec Dean, étant donné que je n'avais pas une boule de voyante à ma disposition durant toute les minutes que je passais avec lui, mais je pouvais être sûre d'une chose. S'il était d'accord, s'il acceptait cela, je passerais la fin de ma vie avec lui. Je ne savais pas où, dans quelle ville, ici ou ailleurs, mais je voulais finir ma vie avec lui. Il était une personne en qui, malgré les embûches, je pouvais avoir confiance. Je ne me voyais pas me pavaner dans les bras d'un autre, je ne me voyais pas me dire que quelqu'un d'autre que lui pourrait avoir l'opportunité de dormir avec moi et je ne voulais pas qu'une autre fille pose ses mains sur lui. Ce n'était ni de la possessivité, ni de la jalousie, c'était juste une envie pure et simple que je me faisais dans ma tête, que je n'exprimais jamais, mais si jamais ne serait-ce qu'une fois, il me posait une question concernant notre futur, je lui répondrais que je ne le voyais qu'avec lui et seulement avec lui, pas avec un autre. Et j'espérais qu'il me répondrait la même chose. Quand je voyais la façon tendre dont il prenait soin de moi, j'avais en quelques sortes une idée de la réponse mais comme les mots n'étaient pas prononcés, je ne voulais pas m'avancer trop vite de peur de me brûler les ailes, et cela ne serait pas la première fois. Mais qu'importe. « Et jamais je ne m'en voudrais, je ne souhaiterais pas donner le privilège à certaines filles de pouvoir poser leurs sales pattes sur toi. » Je riais tendrement avant de rajouter à sa dernière phrase, mes plans de futurs se concrétisant un peu plus « Et je suis heureuse d'entendre que je suis celle qu'il te faut... » Je continuais de sourire alors, ne pensant plus ne serait-ce qu'une fois à la douleur, il était bien trop doux de toutes façons.

Je crois qu'il me fréquentait trop quand je le voyais se taper le front comme je le faisais parfois lorsqu'il m'exaspérait ou qu'il faisait le boulet. Ce qui était bien, c'est que l'inquiétude que j'éprouvais était attenuée par l'homme qui était en face de moi et je ne pouvais m'empêcher de le bénir intérieurement, sans qu'il ne le sache. Puis je tente d'appeler l'Eliot qui était censé être avec nous, sauf que c'est la messagerie. Et visiblement, les mots, les gestes de Dean ne suffisaient pas à me calmer, j'avais l'impression qu'on me passait le coeur au rouleau compresseur. Comme si on le piétinait, ce qui m'empêchait de réfléchir et surtout de respirer convenablement. A cet instant précis, je les détestais d'être parti, d'une pour m'avoir fait vivre cette révélation seule, j'aurais peut-être eu du réconfort de la part d'Echo et de deux, pour me faire faire une crise de panique. J'arrivais tout de même à prononcer une phrase qu'il comprenait visiblement en me serrant contre lui, et en me caressant doucement les cheveux. Ma respiration était toujours aussi saccadée et rapide, mais je sentais que mon coeur s'apaisait. Je restais tout contre lui, passant mes bras autour de sa taille sentant ses lèvres contre le sommet de mon crâne. Ca y'est, je sentais que je redescendais en pression et je riais légèrement quand il me demandait si je ne souhaitais pas qu'il me fasse du bouche à bouche en me faisant de l'air avec sa bouche. Levant les yeux au ciel, je récupérais un débit de parole correct et je m'en aperçevais en rétorquant « Dites le que vous avez envie de m'embrasser Monsieur Carmichael... » Et je prenais l'initiative de déposer mes lèvres sur les siennes avant de prononcer, mes lèvres toujours contre les siennes « Tu imites bien les accouchements, c'est bien tu t'entraînes. » Et je restais contre lui en sentant mon coeur qui était revenu à son état normal. Mais je ne bougeais pas, j'avais peur de ne pas les retrouver, mais je ne disais rien, là tout contre lui.
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2ème soir Road Trip
Ce qui semblait assez triste dans notre histoire, c'est qu'au niveau de nos belles familles respectives, nous n'étions pas spécialement gâtés. Son père voulait ma peau en quelque sorte, alors je suppose que je ne ferais pas sa connaissance, ou alors dans de mauvaises circonstances. Et le mien, il m'avait un peu rayé de sa vie quand j'avais décidé de quitter Los Angeles pour atterrir a l'université. Il m'avait accusé de fuir le cocon familial et de laisser ma mère malade. Comme ci je n'avais pas donné assez de mon temps, et de mon peu d'argent que j'avais a l'époque. Si seulement il savait comment j'avais brisé le coeur de June pour avoir des économies afin d'avoir un traitement utile. June que mes parents aimaient tant. Et puis, au décès de ma mère, qui n'était pas dû a ses défauts de santé, j'avais compris que je n'étais pas en tort, que je n'avais rien a me reprocher. La seule chose que je regrette aujourd'hui, c'est de ne pas pouvoir avoir son avis sur ma nouvelle petite amie. Et pour ce qu'il en est de mon paternel, j'ai de plus en plus de contact. Nous nous appelons assez régulièrement maintenant, alors, pourquoi ne pas organiser un repas a trois d'ici quelques mois. Espérant que je ne m'en prenne pas plein la tête pour des histoires datant d'il y a dix ans. J'ai un peu de mal a m'assurer qu'il sera heureux de me voir entrain de nager dans un bonheur complet. Mais après tout, je m'en fiche un peu. Tant que je le vis pleinement, je n'ai pas a me soucier de ce qu'il se dit en dehors de notre bulle. Quand Solveig disait ne pas vouloir laisser un certain privilège a des autres filles, je me met a rire en même temps qu'elle. Des rires assez doux. Mes mains toujours en action pour la soigner, je reprend la parole   " Rien que d'imaginer un autre homme avec toi, je pourrais en devenir complètement fou. "   Oui, fou de rage, ou fou tout court. Quand elle reprend la parole, je relève les yeux pour les laisser dans les yeux. Je souris simplement, en guise de réponse, ne voulait pas briser cette ambiance apaisée.

Mais une fois sortis de la tente, je regrette le moment de tendresse précédent. C'était l'inquiétude qui prenait le dessus. Nos deux amis étaient injoignables, et c'était vraiment flippant. En début de soirée, j'avais fait des allusions a ce qu'il se passe dans les films en général, et je m'en voulais un peu. Je m'en voulais d'avoir peut être attiré la poisse avec mes conneries. Et je me retrouvais paniqué quand je voyais ma jolie rouquine en pleine crise de panique. Alors, je sais faire des bandages sur des blessures externes, mais quand il s'agit de canaliser un mal interne, je suis moins doué. Heureusement, elle me demande de la prendre dans mes bras, comme ci l'ancienne présidente avait conscience de ce qui pourrait la soigner. Je ne perd pas de temps pour venir l'entourer tendrement, prenant le temps de faire un peu d'humour après avoir déposer un baiser sur son front. Et a l'entendre, ça marche plutôt bien. Solveig a moins de mal pour parler, et pour me faire rire en plus. Je n'ai pas le temps de réponse que sa bouche vient se coller sur la mienne. Je prolonge le baiser, doucement. Je sens que ses lèvres se décollent très légèrement, et a sa phrase, j'ouvre les yeux avant de dire, restant collé quand même.  " Pourquoi tu me dis ça? Tu es enceinte? "   Moi aussi je pouvais avoir un humour un peu limité. Je souriais amusé, et je l'embrasse a nouveau, laissant la passion emporter sur la tendresse.
Je décolle ma tête ensuite, pour lui dire.   " Allez... Promenons nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas. "  et je pouffe de rire   " Putain, c'était nul ça. Tu peux te taper le front, vas y. "     Et je souris, décollant mon corps maintenant, laissant tout de même ma main dans son dos.   " J'ai pas spécialement de peurs... Mais je t'avoue que me plonger dans une forêt alors qu'il fait nuit, ... Bah ça ne me rassure pas. "   Il faut vraiment que je sois amoureux pour confier que la, j'ai un peu les chocottes.
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Je me demandais si un jour, mon père pourrait mettre son animosité envers Dean de côté afin que je le lui présente en bon et dû forme. Pour qu'il voit à quel point le bonheur transcendait dans mes yeux lorsque mon regard se posait sur lui et à quel point j'étais amoureuse de lui. Je ne comprenais pas ce qu'il avait contre l'homme que j'aime. Peut-être qu'il avait peur pour moi ? Mais il n'avait pas à avoir peur, Dean n'était pas comme Chuck, il n'était pas comme lui, loin de la, lui semblait m'aimer et me le prouvait pas comme mon ex mari. Peut-être que je devais mettre ma fierté de côté et lui dire que je voulais lui parler, que je voulais lui présenter l'homme qui partageait ma vie, mais j'avais l'impression que cela allait trop vite. Après tout, cela ne faisait que quelques mois que nous étions ensembles et je n'avais pas envie d'entraîner notre relation dans une pente descendante qui se terminerait par une chute et une fin. Je voulais que notre histoire n'est pas de fin. Je ne voulais pas imaginer qu'il pouvait me remplacer et je le lui faisais savoir. Ce à quoi il me répondrait qu'il deviendrait fou. Je me mordillais la lèvre et lui répondait d'une petite voix « Mais je te promet qu'aucun autre homme que toi ne me touchera... Je suis à toi, jusque la fin.. » La niaiserie, sortez les guimauves.

J'aurais voulu rester dans la tête si jamais j'avais su ce qui allait se passer par la suite, j'avais terriblement peur d'avoir vraiment perdu mes amis, de me retrouver au milieu de nul part bien que je lui avais dit que cela serait certainement bien plus intéressant je n'avais pas imaginé que cette optique s'éclaircirait au fur et à mesure des minutes qui passaient. Je ne faisais pas souvent de crises de panique, mais là, je ne pouvais l'empêcher, fort heureusement il était ici avec moi. Mais je me sentais gênée de lui infliger cela. Je m'apaisais, je me calmais peu à peu quand j'étais dans ses bras, je me sentais comme sur un nuage, comme s'il avait un pouvoir d'apaisement intense sur moi. Et je n'avais une nouvelle fois, pas envie de quitter ses bras, Je lui répéterais encore et encore que je suis bien avec lui si c'était ce qu'il voulait entendre. Au lieu de parler, je déposais mes lèvres sur les siennes après une petite réflexion qui était assez piquante mais je ne m'en voulais pas et je me faisais pardonner. A sa question, je levais les yeux au ciel, avant de soupirer « N'importe quoi toi. Je voudrais pas t'infliger ça. » Et je réfléchissais, peut-être que ma pilule me faisait faire un dérèglement hormonal mais je réfléchissais que je n'avais pas eu mes règles depuis quelques mois. Je n'arrivais pas à compter exactement, mais cela faisait un petit moment. Peut-être que je devrais aller consulter. Lorsqu'il se recule, je l'entend faire sa blague pourrie et j'explosais de rire en posant une main sur ma bouche pour me calmer et quand il me donnait l'autorisation de me taper le front, je m'exécutais en riant, claquant ma main sur mon front. Et quand il m'avouait ses peurs, je sentais une sensation dans mon coeur qui semblait être du bonheur qu'il me fasse autant confiance pour me dire cela. J'attrapais alors la lampe torche et j'attrapais sa main pour commencer à avanter « Mais je suis là et je te protégerais contre tout ce qui peuple ce monde. » je le regardais alors du coin de l'oeil et je rajoutais « c'est pas un peu trop niais ça ? » Et j'avançais en serrant sa main, même si j'étais morte de trouille.
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2ème soir Road Trip
Il y a de cet instant que l'on voudrait éternel. Des instants que l'on voudrait protéger à tout prix du temps qui altère nos souvenirs, et qui les rendent un peu moins vrais. Il y a ces instants dont elle fait partie. Ces instants qui semblent nous changer à jamais. Qui n'appartiennent qu'à nous, et que rien ni personne ne peut nous voler. Il y a de ces promesses que l'on prononce, espérant ne pas en voir se fracasser dans un flot de sanglots. Puis il y a ces promesses que nous avons à peine prononcées et qui sont là malgré tout. Il y a de ces amours éphémères, qui s'arrachent et se déchirent. Puis il y a le nôtre. Imparfait, mais beau. Il y a de ces amours fragiles, qui croient s'unir pour la vie. Et il y a nous, se querellant pour des choses futiles. Mais avec la quasi certitude de notre solidité. " Tu sais, il y a des sourires qui deviennent au fil du temps une raison d'affronter la vie. Et ces sourires, ce sont les tiens. "  Effectivement, sortez les violons.

Et j'aurais préféré sortir l'instrument. Après ma jolie rouquine, je sors, et je commence sérieusement a paniquer de ne pas avoir de nouvelles des deux. Ni de les voir revenir. Franchement, a quoi ils jouent aussi? Partir dans les bois en fin de journée. Ils n'ont jamais regardés des films d'horreur ou quoi? Même moi j'ai pensé a tout ça en mangeant. Je tentais de ne pas me torturer, et je me contentais de serrer ma petite amie dans mes bras. Solveig était prise d'une crise de panique. J'étais totalement nul pour gérer ça, mais a voir je m'en sors bien. Je dérive sur l'humour, laissant son attaque passer au dessus de ma tête. Plus envie de m'engueuler pour ce soir. Sauf qu'a sa réponse je fronce un peu les sourcils. Sur le coup, j'ai faillit mal le prendre, mais je comprend au final où l'ancienne présidente voulait en venir. C'est vrai qu'en ce moment ce serait compliqué d'apprendre une nouvelle grossesse... Je ne relève pas alors, et je fais un petit sourire en me reculant, et je continu dans ma bêtise histoire de ne pas la voir repartir dans un étouffement causé par l'inquiétude. Sa main se tape le front, et je fais un petit non de la tête en souriant amusé. C'était son geste habituel, et a chaque fois je trouvais ça mignon. Alors qu'en vrai, ça ne l'était pas spécialement... Sauf que quand il s'agit de Solveig, tout est beau.
Nos deux lampes en fonction, sa main vient se mettre dans la mienne et nos doigts s'entrelacent doucement. J'avoue ma peur sur le départ de notre future fouille de la forêt. Et elle me fait rire. Je n'ai pas le temps de faire remarquer que ses petits bras ne peuvent pas tout affronter... Histoire de la taquiner. Qu'elle me demande si ce n'était pas trop niais. Je pouffe un peu de rire avant de lever les yeux au ciel pour faire mine de réfléchir. Je dis, en laissant mon regard revenir sur son visage, en coin.   " Totalement. Surtout que si un ours nous tombe dessus, je ne suis pas forcément sûr que ton amour et ta niaiserie nous sauve. "   Et je souris, malicieusement avant de tendre ma bouche pour l'écraser sur sa joue. Un peu pour anticiper le boudage.
Une fois a l'entrée des bois, je stoppe la marche et je souffle un bon coup. De ma lampe je tente de voir au plus loin possible, mais c'était totalement noir. Je me demande comment Noah et Echo se débrouillent la dedans sans lumière. Mes jambes recommencent a avancer doucement, et je dis d'une voix basse   " Je préviens... Si jamais ils sont simplement assis en attendant de nous voir arriver, et qu'ils nous font peur... Je risque d'en frapper un des deux! "    et je lâche un petit sourire, laissant mon sérieux se faire voir un peu.
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