L'ironie c'est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu sors pour bonne conduite....

Dante & Charline ಇ L'ironie c'est quand tu rentres en prison pour vol

Avais-je réellement imaginé un jour embrasser Dante ? Pas vraiment, du moins pas que je sache. Et l'imaginer aujourd'hui me paraissait bizarre. Non pas qu'il était repoussant mais tout simplement parce qu'il était bien l'un des rares à me connaître un peu trop. Il en savait trop et les choses ne pouvaient être que plus compliqué. Contrôler ces sentiments, s'était ce que j'avais toujours fait. Dante aurait pu être le parfait amant mais à notre rencontre, j'avais vu plus. Il faisait partie des privilégiés ou des victimes de mon tourment. Appelez sa comme vous voulez. Je ne recherchais rien de mes partenaires, je ne leur demandais qu'une nuit. Une seule et unique nuit. Tout était très simple, une soirée torride et plus aucune nouvelle. S'était comme ça que j'entretenais mes sentiments. Je repoussais toute attache. Je n'avais pas besoin de sa et pour être honnête je vivais très bien avec. « Peut-être un jour si tu perds la mémoire ! » je me mis à rire avant de finalement lui répondre rapidement. « Tu sais ce qui te restes à faire... je vote pour un accident de voiture. Ça devrait le faire » je levais les yeux au ciel avant de reprendre mon sérieux. Les choses pouvaient rapidement se bousculer, la vie ne tient qu'à un file. C'est ce que tu constates et surtout ce que tu as toujours constaté. « Je t'offrirai un dentier s'il n'y a que ça ! Comme ça tu auras des dents. » tellement généreux ce Basini. Je rigole avant de finalement regagner mon calme.

Les popcorns dans une main et les places de cinéma dans l'autre. Nous nous apprêtions à entrer dans la salle lorsque mon partenaire répliqua « Il y avait pas plus gros malheureusement ! Mais de rien, c'est un plaisir ! Enfin ça en sera moins un si tu te mets à roter à côté de moi pendant le film ! » et là je ne peux m'empêcher de rire au risque d'attirer l'attention sur moi. Plusieurs visages venaient de se retourner et je lui fis : « et bah tu sais quoi, je sais faire l'alphabet en rotant. » et voilàààààà les conneries commençaient.

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L'avait-il déjà imaginé comme une partenaire de lit potentiel ? Probablement que oui. Il faut le dire: Charline est le genre de fille sexy et sauvage, tout ce qu'il aime le petit Dante. Elle est drôle et intelligente en plus et Dante aime revoir ses plans sexes. Bah oui, mieux on connait l'autre, mieux on s'amuse sous la couette non ? Ça ne le gênait pas de se réveiller avec une femme dans son lit et de lui proposer de la cuisine italienne pour lui faire découvrir sa cuisine. Il était relax et cool, il ne s’embarrassait pas de sentiments, vu la situation complexe dans laquelle il était mais ça ne le dérangeait pas de voir la même fille deux soirs de suite tant qu'entre eux c'était clair. Charline elle, elle était différentes : un mec un soir, pas plus, pas de téléphone. Il était même pas sûr qu'elle leur donnait son prénom. Elle aimait son anonymat et son "no attachement". Si ça lui convenait, pourquoi pas. Et si un mec devenait trop lourd, elle savait que si besoin, elle pouvait appeler Dante, il se ferait passer pour le copain jaloux sans problème histoire de se débarrasser d'un pot de colle. Finalement, il était ravi d'être son ami, Charline était vraiment une superbe rencontre à ses yeux. Il l'adorait et ne le cachait pas, malgré parfois des piques. Quand il lui dit que sa seule solution pour pouvoir goûter au plaisir de la chaire avec elle ou au moins l'embrasser ça serait qu'elle perdre la mémoire, elle lui donne une astuce qui le fait sourire et il reprend « Ouais ... Non ... Imagine dans l'accident je la perds aussi, j'aurais oublié que je veux t'embrasser, ça serait gênant ! » Un sourire et il lui sort une nouvelle phrase : si elle n'a plus de dents, avant de l'embrasser, il lui offrira un beau dentier. Elle en rigole et lui aussi, leurs rires s'élèvent entre eux avant de reprendre leurs calmes : un peu de sérieux quand même les jeunes !

Les places en mains, le popcorns dans les bras, et le coca dans le lot ainsi que son Ice tea. Dans la fil, ils attendent pour pouvoir rentrer, impatient l'un comme l'autre de voir le film. Il a l'air cool, du moins, l'affiche l'est, donc le film doit l'être aussi non ? Ca va de pair normalement ces trucs là ! Quand elle lui dit qu'il aurait dû prendre un plus gros pot, il lui annonce que c'est la taille maximal et qu'il est ravi de voir le film avec elle, sauf si elle se met à roter et rigole de sa blague. Mais il se retrouve encore plus hilare en entendant la réponse de la jeune femme. Ils rigolent bruyamment et les gens se retournent pour les dévisager. Il reprend à l'adresse de la demoiselle « Je t'imagine trop récité l'alphabet comme ça en plus ! » Il pouvait très bien imaginer la jeune femme dans ce genre de pratique des plus unsexy mais des plus drôle, c'est même probable qu'ils essayent tous les deux maintenant que le débat est lancé en plein pendant le film....

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La mort ne m'effrayait pas tout comme la perte de ma mémoire. Ma vie était telle que je pouvais tout me permettre. Ma famille ne se souciait plus de moi et pour cause je les avais éloigné le plus loin de moi. Mes amis se comptaient sur les doigts d'une main. J'étais une grenade et j'allais exploser à tout moment. Je le savais et je le savais. J'avais beau rire, sourire à cette liberté autrefois prise. J'avais une épée de Damoclès au-dessus de ma tête. Mes conneries feront ma perte. « Ouai... non... imagine dans l'accident je la perds aussi, j'aurais oublié que je veux t'embrasser, ça serait gênant. » surtout très bête. Je me mis à sourire, repoussant les idées noires de mon cerveau.

« Je t'imagine trop récité l'alphabet comme ça en plus ! » il n'était pas difficile d'imaginer sa de moi. Quoi ? Comme si vous n'aviez jamais essayé de faire... je me mis à sourire. Et je lui donne un coup de coude « quoi, je peux me comporter en vrai mec tu sais. » pas difficile, ta vie avait été entourer de tes frères et sœurs. Les bonnes manières, tu les avais apprises mais bien plus tard. Le théâtre t'avait sauvé. Rapidement, les visages se retournèrent et je lui dis doucement. « Je crois qu'ils ne vont pas nous aimer. » je souris doucement en faisant une grimace. En même temps, je les comprenais. De vrai connard quand on était ensemble. Ma main s'approcha du pot de popcorn. La file s'avança dans la salle, nos pas s'accéléraient pour rejoindre les places du font. C'était toujours mieux d'être installé derrière. Une fois assise, je lui dis « et au fait quoi de nouveau dans la vie de monsieur Basini ? »

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Peur de la mort ? Jamais, à quoi bon ? De toute façon, on finit tous par mourir un jour. Dante avait ce crédo : Carpe Diem, Advienne que pourra. Il ne se voyait pas dans une vie sans risque, sans danger sans rien à craindre et où demain serait exactement comme hier et avant hier. Il avait besoin de plus, exactement comme la jeune femme qui est une de ses plus proches amis. Elle était un peu comme lui, la mort ne l'effrayait pas, à quoi bon en être effrayer, faut être réaliste, on y passera tous, mais en attendant autant en profiter aux maximums et faire la fête comme il se doit.

Dans la file d'attente, Dante rigole en l'imaginant réciter l'alphabet en rotant. En même temps, c'était tellement son genre que ça ne l'étonnerait même pas qu'elle le fasse ou même qu'elle réussisse à le faire essayer de la réciter. Il sourit à sa réplique : Ouais, elle peut être un vrai mec quand elle veut, ça il le sait parfaitement et ça l'amuse même, ça ne le dérange pas du tout. Il se promet même qu'un jour il l'invitera à boire de la bière et regarder un match de foot rien que pour voir si elle voudrait ou pas. Il sourit et réplique alors « Le pire, c'est que j'en doute pas une seconde tu sais ! » Les gens se retournent et les regardent. Bah quoi ? Leurs propos les ont outrés ? Quelle bande de petite nature ! Il en sourit, ça le fait rire de les voir avec leurs regards en mode "Hmm ... Ils vont être comme ça pendant tout le film ?" la réponse est simple OUI, ils vont continuer de faire chier leur monde pendant tout le film et ils en rigoleront. Au pire ils se feront virer de la salle et alors ? « Mais trop ! Mais perso, ça m'est un peu égale, c'est pas tous les jours que je peux t'embêter un peu ! » La file avance enfin vers l'entrée, ils vont pouvoir s'asseoir et tout. Automatiquement comme par habitude, ils vont vers le fond, la haut c'est grave mieux déjà on voit mieux, on peut parler et c'est plus pratique pour jouer à "vise les autres avec du popcorns". Une fois assis, elle l’interroge, il lui sourit et ajoute « Quoi de nouveau ? Hm ... J'ai été au Maroc dernièrement avec le voyage des Cabots et j'ai monté un dromadaire ! Et bien figure toi que ça a l'air chouette mais ça l'est pas tant que ça. J'avais trop de mal à m'asseoir après ! »

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« Le pire, c'est que j'en doute pas une seconde tu sais ! » pourquoi les filles devaient-elles se confiner dans ce rôle de ménagère et d'épouse parfaite. La société poussait les femmes à agir comme les autres. C'est vrai, pourquoi, les femmes ne pouvaient-elles pas faire comme les autres ? J'étais une féministe et je refusais de me confiner dans un seul et même rôle qui m'avait été attribuer par la société. Pourquoi le rose ? Et pourquoi ne pas porter du bleu ? La société était mal fait et je me battais pour ça. Un sourire se dessina sur mes lèvres avant de rire de bon cœur. Bordel que se faisait du bien un peu de légèreté, non pas que ma vie était un vrai bordel mais elle l'avait toujours été. Et Dante faisait partie des personnes qui me permettaient de respirer un peu. Notre discussion ne manqua pas d'attirer l'attention. Les pète secs, le genre de petite nature qui se focalisait sur les choses superficielles. « Mais trop ! Mais perso, ça m'est un peu égal, ce n'est pas tous les jours que je peux t'embêter un peu ! » ma tête se pencha sur le côté. L'envie était réciproque, j'avais besoin de mon quota de Dante. Aussi bizarre que ça puisse paraître. J'avais besoin de cette personne pour que ma vie ne devienne pas un vrai fiasco. Il était un de mes meilleurs amis et ses conseils étaient toujours très utiles quoi que parfois très barbants. Je haussais les épaules et je lui dis en chuchotant pour ne pas être entendu. « En réalité, je pense comme toi. Je parie qu'on aura même pas le temps de finir nos popcorns. Qu'ils nous demanderont de quitter le cinéma ! » Un clin d'oeil et voilà que nous étions enfin arrivé dans la salle. Les gens se mettaient pour la plupart devant, je ne comprenais pas le principe mais que voulez-vous. Une fois assise, je pris un peu de nouvelle de mon ami. « Quoi de nouveau ? hm... j'ai été au Maroc dernière avec le voyage des cabots et j'ai monté un dromadaire ! Et bien figure-toi que ça a l'air chouette mais ça l'est pas tant que ça. J'avais trop de mal à m'asseoir après ! » je me mis à rire. En réalité, je n'imaginais pas vraiment un dromadaire mais une cabot. Je n'aimais pas les cabots enfin je n'aimais pas le côté superficiel qu'elles avaient presque toute. Préjugé sans doute. Je mis ma main devant la bouche pour cacher ce sourire. « Dit moi, t'es sûr de ne pas être monté sur une cabot ? Non parce que t'aurait pu te tromper » mauvaise langue, oui, je sais. « N'empêche que se devait être cool ! Le Maroc sa dépaysage

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C'est dingue comme les gens peuvent être coincé, alors que Dante et Charline sont dans la fil d'attente pour entrer dans le cinéma, les gens leurs lancent de ces regards des plus accusateurs. Dante les accueil avec un grand sourire, plus amusé qu'autre choses face à des gens aussi coincé. Quoi parce que maintenant on a plus le droit de parler ? On est dans un pays libre merde. Et si ils se posent la question : Oui, les deux lascares vont les faire chier et pourrir leur séance de film, rien que pour les voir s'énerver parce que franchement, quand certains s'énerve, c'est juste risible. Comment ne pas mourir de rire parfois ? Vraiment. Et puis être en compagnie de Charline, pour l'italiano, ça signifiait qu'ils allaient bien rire, c'est sur de sur. Après sa confirmation sur le fait que si les gens n'étaient pas content, clairement, il n'en avait rien à faire, Charline penche sa tête sur le côté avec un sourire et finit par lui dire tout bas que c'était presque sur qu'ils allaient se faire virer du cinéma. Il rit légèrement et reprend alors « Comme l'autre fois tu te souviens ? On était allé voir un film et on riait et mettait le bordel du coup, on nous avait demandé de partir, tu te souviens ? C'était à mourir de rire ! » ensemble, les gens coincés devaient les traités d'insuportable et d'incivile mais ce n'est pas le cas, ils sont juste trop content de se revoir et le fond savoir avec leurs conneries et leurs discussions. Une fois dans la salle, ils vont vers le fond : bah oui, ils veulent parler et peut être même viser les gens avec les popcorns alors dans le fond c'est mieux. Quoi que, ils pourraient essayer de viser sans regarder en tirant en arrière ... Un jeu a noté ! En tout cas, une fois dans leurs sièges respectifs, Charline prend de ses nouvelles et sa répartie fait que Dante se met à rire et rétorque « T'es vache ! La vérité, je me suis fais personne ! » et vu qu'il aime les plaisirs de la chair et qu'il ne s'en cache pas, elle le sait, ça ça arrive pas souvent, il ajoute ensuite « Ouais, c'était chouette ! Tu vois pas ? Je suis tout bronzé ! Et toi alors, quoi de beau ? Tu dors chez moi ce soir ? Histoire de prolonger notre togethertime ? »

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« Comme l'autre fois, tu te souviens? On était allé voir un film et on riait et mettait le bordel du coup, on nous avait demandé de partir, tu te souviens ? C'était à mourir de rire ! » bien sûr que je m'en souvenais. Un vrai désastre pour certains et un excellent souvenir pour nous. La discrétion ne nous ressemblait pas. Nous aimions attirer le regard et les mauvais oeils. S'était toujours plus amusant. Je me mis à rire repensant à cette fameuse soirée. Identique à celle-ci. Elle avait commencé doucement pour finir en bouquet final. Je croisais les jambes sur mon fauteuil et prit une nouvelle poignée de popcorns. « C'était tellement drôle. J'ai adoré cette soirée. » j'affichais un grand sourire avant de finalement poser mon regard sur lui. Les nouvelles, il me fallait des nouvelles. Dante avait profité, un voyage en compagnie des plus belles filles de l'université. Le venard. Il avait dû profiter et d'un côté je l'espérais vraiment. Il se mit à rire lorsque je sortis une petite vanne sur les cabots. Jolie mais complètement stéréotypée. « T'es vache ! La vérité, je me suis faits personne ! » je levais mes bras au ciel comme pour signaler que je n'avais rien. Rien fait. Surprenant mais pas impossible. L'abstinence n'était parfois pas plus mal. « Ouais, c'était chouette ! Tu vois pas ? Je suis tout bronzé ! Et toi alors quoi de beau ? Tu dors chez moi ce soir ? Histoire de prolonger notre togethertime ? » Quoi de nouveau ? Tellement de choses en fait. Je ne savais même pas par quoi passer entre ma sœur, Maxwell, Sloan et puis ce prétentieux de détective. J'affichais une grimace en pensant à ce flic. « Eh bien... l'autre jour j'ai irrité un flic et je crois qu'il ne va pas me lâcher. » mon regard se porta sur Dante et ma grimace s'allongea un peu plus. « je sais, je n'aurais pas dû m'en prendre à ce con mais pour ma défense s'était un connard... » un connard prétentieux et chiant. Je décidais de laisser les autres informations pour plus tard, après tout nous allions avoir toute la soirée. Je hochais la tête positivement lorsqu'il me proposa de dormir chez lui. Une vraie soirée. Voilà qui était parfait. Le film débuta et les voix s'estompèrent après plusieurs minutes ma tête se pencha vers l'oreille de Dante. « J'ai embrassé Sloan. » et là mon regard se reporta sur le film. Ouaiiiiiiiiiii attendre que le film commence s'était mon truc.

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Les souvenirs avec sa petite Chacha étaient toujours drôle et épic. Il leur en arrivait des aventures. Fou dans leurs têtes avec une âme d'enfant, ils étaient capable de foutre le bordel là où ils passent tout simplement parce que déjà c'est marrant, mais aussi parce que franchement, braver les interdits, c'est bien plus drôle que de rentrer dans la norme. On se fait chier à faire tout droit, carré bien mais franchement un peu de bordel et de désorganisation n'a jamais tué personnes. Alors ensemble, ils sont fouteur de merde et de dawah. Ils l'assument, ils s'en foutent des autres et de leurs regards assassin, ils s'en tapent, pourquoi y faire attention ? De toute façon, ils ne les recroiseront probablement jamais et si par malchance ils les recroisent, ça leur posera pas de problème de récolter les pots casser, après tout, on récole ce que l'on sème non ? Alors ils assumeront jusqu'au bout.

Parler d'une des soirées où ils avaient vraiment fait la folie fait sourire la jolie brune à ses côtés et Dante ne peut qu'en afficher un aussi. Il est fort probable que si il voyait Charline trop souvent, il finira par avoir une crampe aux zygomatiques tellement ils rigolent ensemble. Elle lui donne le sourire cette fille, une vraie moment de rire et de bonheur dans une vie parfois monotone. « Moi j'adore toutes nos soirées ! » des paroles sincères qui définissent bien leurs amitiés : leurs soirées à chaque fois, c'est une nouvelle aventure. Il se calle bien dans son siège et lui donne des nouvelles : il est parti avec les Cabots au Maroc, après il ira à Hawaï avec les Mathers et après viendra le Spring Break puis le voyage des rouges, donc un tas de voyage en perspective. Puis Charline lui donne des nouvelles elle s'est prit le bec avec un flic. Sa justification le fait sourire, mais en même temps, tous les flics sont cons. Il ne peut que la comprendre « C'est qui ce flic ? » histoire de savoir qui l'emmerde un peu, on sait jamais, si il le croise, il lui dira deux mots. Elle accepte de dormir chez lui, cool. Ca sera la soirée totale entre eux alors. Le film débute, visiblement elle laisse la suite pour plus tard, tout comme lui. L'italien choppe un popcorns et le mange quand elle se penche et lui annonce qu'elle a embrassé Sloan. Tête choqué, il la regarde et reprend « Sloan ? Sloan, mon pote Sloan ? Le Eliot ? » autant être sûr qu'ils parlent bien du même Sloan. Si elle a vraiment kisser son meilleur ami, il pourra le charier avec ça et la discussion l'intéresse bien plus que le film.

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« moi j'adore toutes nos soirées ! » Dante était devenue l'homme de la situation, celui à toujours avoir auprès de moi. J'avais rejeté ma famille, la plupart de mes amis mais Dante était toujours restée là. Ma relation avec lui était assez particulière et pour tout vous dires la définir était presque impossibles. Je me confiais à lui, chose que je faisais rare. Il m'aidait à ne pas totalement perdre pied. Ma main se porta à son épaule et je fis un petit sourire content de l'entendre. Les sentiments et les émotions un bordel que je ne maîtrisais pas et qui pourtant occupait la plupart de mon temps. « Je crois que je vais pleurer. » je me mis à rire avant de finir l'embrasser une nouvelle fois sur la joue. Ouiiiii oui, j'étais chiante mais je ne voulais surtout pas partir dans le nians nians. Par la suite, nous nous dévoilions nos petites histoires. Le temps s'était creusé et il fallait le rattraper. « C'est qui ce flic ? » Declan Yates-Hamilton. Difficile d'oublier son prénom. J'affichais une grimace et lui fis : « Il s'appelle Declan. Il fait des cours d'autodéfense à l'université. » disons que je ne savais pas encore s'il allait être dangereux pour moi. C'était peut-être un abruti mais j'avais décelé un truc bizarre chez ce mec. Quelque chose que je ne saurais pas définir. À voir par la suite. Je pointais le doigt vers Dante. « Ne va pas l'embêter... je veux pas qu'il soupçonne quelque chose. » je le regardais avant de finalement reporter mon regard sur le film qui venait de commencer. Ma main prit encore quelque pop-corn avant de lâcher l'information suprême. Dante se retourna vers toi et fit d'une voix assez forte. « Sloan ? Sloan, mon pote Sloan ? L'Éliot ? » Ma main se plaqua contre la bouche de mon ami avant d'afficher une grimace. Je penchais la tête sur le côté et lui fis oui de la tête. « et il embrasse plutôt bien... » je fis de gros yeux gardant ma main sur sa bouche comme pour l'empêcher de parler.

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Charline, c'est sa pause douceur dans ce monde d'imbécile. Elle est toujours là, prête à le faire rire et il sait qu'à elle, il peut lui parler. Il serait tout bonnement incapable de qualifier leur relation, mais il le sait, pour elle, il pourrait décrocher la lune, elle est tellement importante. Alors il fera toujours tout ce qu'il peut pour la protéger ou pour l'épauler quand elle en aura besoin. Il sait qu'elle n'a plus grand monde sur qui compter et elle, elle sait qu'elle peut compter sur lui. Elle pourra toujours compter sur lui. C'est pour ca que quand elle lui annonce qu'elle avait adorer la soirée qu'ils avaient fait où ils avaient été viré de ce cinéma. Dante avait alors annoncé, comme un loveur de l'amitié que lui, il aimait toutes leurs soirées. Mais c'était tout de même vrai, les soirées avec Charline, c'était toujours l'éclate. Comment ne pas rire en sa compagnie ? Chacha c'est une brune pétillante. Elle pose une main sur son épaule et plaisante de ça avant de lui embrasser la joue. Ca a le mérite de faire rire Basini. Puis elle lui annonce qu'un flic la fait chier, en même temps, ça c'est complètement leurs jobs aux flics de faire chier les gens. Ce qu'ils sont chiants avec leurs interrogatoires qui durent des plombs et qui te font perdre ton temps, même si ... la dernière fois qu'il avait été en interrogatoire, il avait rencontrer une légiste vraiment charmante, et ça c'était finit chez lui. Passons, elle lui donne le prénom et lui dit de rien faire, il sourit « Comme tu veux, mais si tu as besoin, oublie pas, je suis là » sous entendant je peux être ton alibi en cas de trop de question. C'était un genre d'accord tacite entre eux, puisqu'ils sont tous les deux dans des affaires bizarres. Rien dont ils ne parlent à haute voix comme ça. Et c'est quand le film commence qu'elle lui annonce qu'elle a embrassé Sloan. Face à ça, Dante s'espante et pose ses questions forts : quoi ? Sloan ? Le Sloan ? Elle plaque une main sur sa bouche avant de lui annoncer que oui et elle précise en plus qu'il embrasse bien, bon ... Ca, Dante s'en serait passé d'une telle précision ... Elle a toujours sa main sur sa bouche alors il la retire avant de dire « Mais ... Il te plait ? » oui oui, il comptait bien parler, tant pis pour le film, tant pis pour les autres. Un CHHHHHUTE s'élève d'ailleurs dans la salle, d'où ? Aucune idée, il s'en foutait un peu là.

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