ça n'arrive qu'à nous. (Maery)

Ca n'arrive qu'à nous ça.
— with Avery.

On était coincé dans ce gymnase et fallait bien s'occuper pendant qu'on était là. Et j'avais plus très envie de faire du sport, dans le noir c'était pas drôle. Ce qui était beaucoup plus drôle par contre, c'était de te voir sous cette douche complètement trempé, mais je n’eus pas le temps de rire trop longtemps que je me retrouvais dans la même galère.. Donc voilà voilà, on était trempés, et bientôt, on allait mourir de froid, bravo l'idée de merde Maë! Et non, j'avais pas de don pour crocheter des cadenas, j'avais jamais fais ça, enfin j'crois pas.. « Okay princesse. T’aurais pas une pince au moins, un truc qui pourrait m’aider ? » euh, si! Je m'approchais de toi, toute mouillée, pour sortir de mes cheveux mes deux pinces, une petite et l'autre plus grosse, j'étais maintenant toute décoiffée en plus d'être mouillée, j'avais envie de rire mais pour le moment, mission ouvrir le cadenas, je te les passais en te regardant faire! Et... YES! Le casier s'ouvrait "Y a quoi dedans alors?" je le voyais pas, mais prière pour que ce soit à peu près convenable!

(Invité)

Tout est un art. Même ouvrir un cadenas sans clé. Avery a toujours aimé ça. Relever les defis, être dans l'illégalité. On dira que ce n'est pas du vol, juste un emprunt à durée illimité. Puis si la personne veut récupérer ses affaires, elle aura qu'à venir leur demander. Avant d'envisager cette situation, Avery récupère la pince de Maelys et la tord de sorte à c'qu'elle puisse entrer dans le cadenas. « Elle avait pas une valeur sentimentale rassure moi. » Il s'avance vers le premier casier qu'il voit, entre la pince dedans, et lorsqu'il sent le cadenas s'ouvrir son sourire s’agrandit. Le winthrop ouvre la porte pour y decouvre une serviette et un shampoing. Il balance la serviette à Maelys et s'attaque à un autre casier un peu plus loin. Même système. Ouverture du cadenas. Et par miracle, il trouve un sac de sport. Celui-ci est remplie d'habits de sport et quelques billets trainent dedans. « On leur a jamais appris que les casiers n’étaient jamais sûrs. »

Ca n'arrive qu'à nous ça.
— with Avery.

Fallait qu'on trouve de quoi se mettre sur le dos de sec, parce que je commençais sérieusement à avoir froid maintenant, des frissons me parcourèrent le corps tandis que je te tendais mes pinces que j'avais dans les cheveux, tu me la tordais dans tous les sens, la pauvre.. Elle avait pas une valeur sentimentale rassure moi. euh, trop tard? Non, t'en fais pas.. et là, miracle, tu arrivais à ouvrir un casier, sauf qu'apparemment, y avait rien de bien intéressant dedans.. Bordel! Tu recommençais avec un autre en trouvant un sac de sport rempli de fringues et d'argent On leur a jamais appris que les casiers n’étaient jamais sûrs. y avait pas mal de fric quand même, c'est dingue! J'touche pas à cet argent.. Mais j'veux bien des habits ouais! même trop grand peu importe. Je fouillais et je trouvais un short simple noir et un débardeur gris simple aussi. Je fronçais les sourcils en voyant cet argent. Inconscients les gens quand même..

(Invité)

« T’as trop d’argent, j’comprends. » Sérieusement, qui crache sur des billets ? Pour des étudiants, c’est compliqué de vivre correctement. Avery a la chance d’avoir la bourse pour payer les frais d’inscription et sa chambre à la Winthrop House. Sauf qu’à côté, il n’a pas un rond pour vivre. Ca fait un an qu’il bosse au Bukowski mais le garçon ne touche quasiment rien. Faut dire qu’avec quelques heures par semaines il ne peut pas reclamer plus d’argent. Alors, il accumule les jobs comme celui à la piscine. Et parfois, il a la chance de tomber sur de l’argent. Il en prends plusieurs billets qu’il compte. « Putain, le mec est débile. C’est à s’demande si c’est du vrai fric. » C’est qu’il se sentirait presque mal de voler autant d’argent. Anyway. Ne soyons pas sentimental. Avery laisse le fric pour s’interresser aux vetements. Il attrape un short et un t-shirt. Il retire son jogging pour enfiler le short puis enleve son haut. Vois les beaux muscles qui ressortent après une seance de muscu. « Ca, c’est mieux que Brad. » Relou bonjour.

Ca n'arrive qu'à nous ça.
— with Avery.

On trouvait pleins de billets dans ce sac de sport, et j'voulais pas y toucher T’as trop d’argent, j’comprends. je fronçais les sourcils en te souriant ensuite J'en veux pas c'est tout, prends les si t'en a besoin Avery, tout ce qui se passe dans ce gymnase reste dans ce gymnase de toute façon.. je comprenais que t'aies besoin d'argent, mais j'en avais pas besoin, et c'était vrai. J'avais hérité de beaucoup d'argent l'année dernière de ma famille biologique et puis j'étais la nounou d'Aliénor et Andrew me donnait pas mal, même si je le voulais pas.. Enfin bon, je le montrais peut-être pas assez, mais j'avais de quoi très très bien vivre. « Putain, le mec est débile. C’est à s’demande si c’est du vrai fric. » c'est clair! "C'est pas faux.. mais sait-on jamais. Tu pourras nous payer un bon resto avec tout ça!" je riais biensûr tandis que tu retirais tes vêtements pour enfiler ceux plus secs, en me montrant ton torse Ca, c’est mieux que Brad. je riais de bon coeur en te regardant, t'étais vraiment pas mal ouaisArrêtes de te la péter tu veux? bon par contre moi, je me retournais pour me déshabiller et enfiler le short et le débardeur, on était pas assez intimes pour que j'te laisse voir mes sous-vêtements roses pâles tout mignons.

(Invité)

J’peux même pas te dire que j’acheterai ton silence. Vu que madame ne veut pas d’argent trouvé. C’est un véritable ange, parfaitement dans les regles. Avery n’aurait pas l’impression de vivre s’il restait toujours dans les rangs. L’adrénaline guide sa vie. Il ne peut pas se passer de ça. Voler de l’argent c’est même rien en comparaison aux autres delits qu’il a commis. Mae ne pourrait pas s’en sortir dans les rues de Chicago. Nan, tu me payeras un resto vu que j'aurais déjà depenser tout l'argent dans une caisse. Il en reve depuis longtemps mais malheureusement ce n'est pas quelques billets qui vont l'aider. Pendant que Maelys se change un peu plus loin, Avery recupère une bonne partie des billets pour les fourrer dans son nouveau short. Il ferme le casier, le cadenas. Comme si rien ne s'etait produit. C'est bon, la princesse est habillée ?

(Invité)

Ca n'arrive qu'à nous ça.
— with Avery.

Voler pour voler j'voulais pas, mais ça me dérangeait pas que tu le fasses, je te connaissais, on avait été très proches fut un temps et à cause de toi, j'avais volé une bouteille de Vodka dans un supermarché le soir du jour de l'an 2014 ou 2015 je sais plus trop.. J’peux même pas te dire que j’acheterai ton silence je souriais à ta remarque, c'est vrai. Mais tu pouvais faire le gentleman et m'inviter à manger quelque part quand même Nan, tu me payeras un resto vu que j'aurais déjà depenser tout l'argent dans une caisse. roulant les yeux au ciel Les voitures avant les filles, je rêve...... mais tu arrivais à me décrocher un petit rire, alors c'était le principal. Je m'étais retournée pour me changer dans une tenue sèche et plus confortable du coup C'est bon, la princesse est habillée ? ouiiiiii. Mais.. pourquoi depuis tout à l'heure tu m'appelles princesse? j'suis pas une princesse, enfin pas dans le sens j'vais me casser un ongle et j'me la pète, enfin j'espérais pas être vu comme telle. Mais ton surnom me plaisait assez enfaite, c'était tout mignon et adorable. Il faisait encore noir Bon, on fait quoi maintenant?

(Invité)

« Tu peux pas savoir à quel point mon porte feuille se remplit vite depuis que j’ai plus de copine. » C’est triste de repenser à son celibat. Ca va faire un an qu’il ne s’est pas remis en couple alors que son ex a déjà mis le grappin sur un autre gars. C’est pas une compet, mais c’est vrai qu’au moment où elle lui a annoncé pour Lincoln il aurait voulu lui mettre une fille sous le nez. Mais bon, la vie de célibataire a tout autant de qualités. A commencé par la liberté en soirée. Et par le porte feuille remplie. Pourquoi princesse ? Il a du prendre l’habitude à force de parler à Victoria. « T’aimes pas ? » Ouais, il répond par une autre interrogation. « J’sais pas. Tu veux faire quoi ? Un peu d’imagination mademoiselle. » L’ouverture des casiers était une idée du garçon, à elle d’en avoir une autre (a).

Ca n'arrive qu'à nous ça.
— with Avery.

« Tu peux pas savoir à quel point mon porte feuille se remplit vite depuis que j’ai plus de copine. » je riais de bon coeur à tes mots, parce qu'en plus t'étais trop sérieux et c'était trop mignon à voir. "C'est gentil Avery ce que tu dis.." franchement, tu faisais passer les filles pour des gouffres financiers, après ça dépend de la fille j'pense. Mais honnêtement, j'doutais qu'Holly te ruinait beaucoup. Tu m'appelais ensuite princesse et ça m'faisait tout bizarre, personne m'appelait comme ça enfaite « T’aimes pas ? » rapidement je répondais "Si." en haussant les épaules. Continuant de te regarder, on allait faire quoi maintenant? « J’sais pas. Tu veux faire quoi ? Un peu d’imagination mademoiselle. » si Holly n'étais pas ma meilleure amie j'aurais eu pleins d'idées. Je continuais de te fixer, comme si j'allais trouver l'inspiration dans ton regard et une voix d'homme se faisait entendre "Y a quelqu'un?" je répondais rapidement et fort "Ouiiiiii, ne fermez pas!" fallait qu'on sorte de là. Je vins poser un baiser sur ta joue en murmurant "J'suis contente de te retrouver. Allez viens on sors de là.."

(Invité)

C'est gentil Avery ce que tu dis.. C'est le tact de l'homme. Il en plaisante évidemment, bien que les observations ne peuvent être remis en question. Il fait un bref signe de tête lui faisant comprendre qu'il le sait. Elle lui fait une bref remarque sur le surnom donné ce qui amuse l'étudiant. Ne l'as t-on jamais appelé ainsi ? Avery a l'impression de le répéter inlassablement. Et visiblement, ca fait son petit effet du la cabot. « Tu ne m’en veux pas si je le garde. » C'est maintenant à elle de choisir une activité, peu importe laquelle, l'homme est partant. Sauf que l'echange de regard se termine par l'arrivé d'une voix rauque. Maelys se precipite sur l'occasion, mais avant de s'en aller, la demoiselle depose un bref baiser sur la joue masculine. Les mots qui suivent laisse le garçon perplexe. Qu'entend t-elle par là ? Alors Avery, ne souhaitant pas attendre dans le doute, saisit le bras de la jeune femme pour l'arreter dans son élan de fuite. « Tu ne m’as jamais perdu. »

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