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ALEKHAR + le diable restera toujours près de toi.

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Je suis là quand il ne faut pas.
Je glissais un billet au chauffeur sans attendre avant de claquer la portière de la voiture.. Je me retrouvais devant le portillon de ma nouvelle villa, je n'avais pu en profiter qu'une seule et unique petite semaine. Je serrais la mâchoire, pour être franc j'appréhendais vraiment mon retour et surtout encore une fois de devoir rendre des comptes à Alexys.. je commençais à être rodé depuis le temps, ce n'était pas comme ci c'était la première fois que je partais sur un coup de tête pour gérer une affaire importante en Russie ou dans un autre pays d'ailleurs. En partant il y a un peu plus de trois mois je lui avais simplement glissé un message sur la table de la cuisine en lui disant que je rentrais en Russie pour le travail et que j'étais incapable de lui dire quand est-ce que je rentrerais.. Un grand coup d'état à la Mordachov ça! Je serais mon petit sac de voyage à bout de bras, j'étais justement en train de serrer les dents.. et si elle avait foutu un k.o dans la villa, cette fille était complètement imprévisible et je commençais à croire que je le méritais grandement. J'avalais ma salive avant d'introduire la clé dans la porte, c'etait ouvert.. je ne comprenais pas trop sur le coup, je n'avais pas vu la petite voiture de Marta pourtant, ce n'était pas non plus une heure pour travailler puisqu'il n'était pas loin de dix heures du soir. Je faisais alors claquer la porte derrière moi, ce qui voulait dire le propriétaire est arrivé alors bandit montres toi! J'avançais à pas de loup, j'avais un peu l'impression d'être dans un film d'horreur pour le coup. Je posais mon petit sac de voyage près de l'entrée avant de m'engouffrer dans l'immense salon, rien avait changé ici, du moins miss Carpenter ne s'était pas aventuré ici pour tout casser suite à mon énième départ. Seule une petite lumière était allumée à l'entrée, flippant. Je soufflais avant de sourire bêtement, j'étais persuadé que je me faisais des films et que c'était simplement ma chère gouvernante Marta qui avait oublié d'éteindre la lumière et de fermer la porte à clé.. ça ne lui ressemblait pas pourtant. Je sortais mon smartphone de la poche, celui ci était complètement à plat, j'en profitais alors pour le brancher près de l'immense télévision qui trônait dans le salon.
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J'avais passé une bonne nuit ou plutôt une bonne journée à dormir jusqu'à... neuf heures. Neuf heures du soir ? Non, c'est pas possible. C'est peut-être pour ça que je me réveillais en pleine forme, musique à fond dans toute la baraque. Bref, c'est la fête, je sens que ça va être une bonne journée de glande ou plutôt une nuit de glande quoiqu'il faudrait que je me mette à réviser comme j'ai rien foutu hier ni aujourd'hui et que les examens arrivent à grand pas. Je file vite fait à la douche, ressors avec une serviette autour du corps et comme j'ai pas envie de m'habiller pour le moment, je chope une chemise du côté des fringues de Zakhar avant de la fermer un minimum. De toute façon, j'ai pas prévu de sortir ce soir alors, autant se mettre à l'aise. Je retourne dans la salle de bain en chantant, je me sèche les cheveux en moins de deux. Ils sont encore humides mais, je m'en fiche, j'ai la dalle c'est tout ce qui compte. Du coup, je descend les escaliers quatre à quatre pour me diriger dans la cuisine. Je regarde dans les placards ce qu'il y a de bons à manger mais, j'ai pas été faire les courses du coup, je grimace légèrement avant de décider de me mettre derrière le fourneau. Je ne suis vraiment une cuisinière médiocre du coup, je fais la seule chose que je sais faire, des pancakes. Ca fait pitié je sais, le gros cliché sur les canadiens mais, que voulez-vous ! J'aurais peut-être pas du demander à Marta de partir ! Mon portable sonne et je prends l'appel sans couper la musique pour autant. Un vrai concert je vous jure ! C'est la fête, surtout aujourd'hui et pourtant j'ai rien de prévu ce soir, c'est ça le pire je crois. Pourtant, je déteste vraiment le dimanche soir parce que ça veut dire que demain matin j'ai cours soit dans quelques heures et qu'il faut vraiment que je bosse toute la nuit si je ne peux pas me planter aux partiels de cette semaine. Je m'arrête juste de chanter pour répondre à mon frère tout en rassemblant tout ce dont j'ai besoin. Hey, salut frangin ! On discute quelques minutes de tout et de rien, il me fait la morale sur les partiels que j'ai tout simplement pas le droit de rater mais, je finis par ne plus l'écouter parce que j'ai besoin de parler à ma grand-mère because, j'ai complètement oublié l'ingrédient secret de la préparation de la pâte. Il me tient la jambe, je m'énerve pas pour autant. C'est Jeno, il a toujours été super protecteur avec moi et je sais que j'ai pas le droit de le décevoir et blablabla. Je me contente de continuer à danser comme si de rien était, coupant la musique parce que les voisins sont surement en train de dormir. D'ailleurs miine de rien, heureusement qu'il n'y a pas de vis à vis ici parce que j'aurais pas l'air con en sous-vêtements, chemise, en train de danser n'importe comment devant la plaque de cuisson, bougonnant sur mon frère pour qu'il daigne me passer ma grand-mère qui devait surement dormir à point fermé à une heure pareille. Il est plus tard à Toronto nan ?! Oula, j'ai du mal ce soir, à croire que je vis dans un autre monde. C'est peut-être le cas. Jeno, passe-moi grand-mère tout de suite avant que je te raccroche au nez !... T'es vraiment con quand tu t'y mets... Jeno ! Oh et puis merde, je vais dormir ! Je vais le tuer. Je vous jure un jour, je le tuerais !
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Je suis là quand il ne faut pas.
L'avion m'avait quand même bien fatigué, même si j'avais tout le confort d'un jet privé il y avait toujours cette longue distance qui nous séparez. J'avais légèrement les cheveux en bataille pour le coup et ma chemise blanche était quelque peu froissé. En déposant ma veste de costard sur le canapé, j'entendais alors des bruits en direction de la cuisine suivi d'une voix plutôt familière.. je pouvais reconnaître cette voix à des kilomètres, c'était Alexys évidemment. Je fronçais immédiatement les yeux avant de balancer par la suite mon portable sur le canapé, je me demandais vraiment ce qu'elle faisait encore ici.. enfin non j'étais content mais surpris, ouai terriblement surpris. J'avais déserté Cambridge depuis plus de trois mois et elle était encore ici, dans notre villa. En passant dans le couloir pour rejoindre la cuisine, je pouvais remarquer son sac au sol et quelques trucs à elle qui traînaient parci par-là. Je me mordais immédiatement la lèvre inférieur, moi qui m'attendais à m'en prendre plein la tronche que demain, c'était raté.. ma peine de mort était avancée à ce soir. Je ne faisais pas de bruit, arrivant au seuil de la porte de la cuisine.. Alexys me faisait dos, le téléphone portable accrochait à l'oreille. Je comprenais rapidement qu'elle parlait à Jeno, son frère. Je remarquais aussi rapidement que la jeune Mather portait une chemise à moi, ce qui me faisais grandement sourire.. évidemment elle lui allait deux fois trop grande mais putain qu'est-ce qu'elle était sexy dedans. Je commençais rapidement à m'imaginer des choses pas très catholique dans cette grande cuisine. D'ailleurs qu'est-ce qu'elle foutait dans une cuisine..? Alexys était la pire cuisinière que j'avais pu rencontrer au cours de ma petite existence. Je passais une main dans mes cheveux, ne perdant pas de vue la longueur de ces jambes dénudés. Je l'approchais doucement, sans faire de bruit avant de plaquer mon torse contre son dos et par conséquent la plaquer légèrement au plan de travail de la cuisine. À croire que je cherchais à me recevoir une baffe en pleine gueule encore une fois, c'était plus fort que moi et comme toujours je me foutais des conséquences de mes actes. Je posais mes mains sur le haut de son ventre, légèrement sous sa poitrine avant de planter mon visage dans son cou encore humide. L'eau de ses cheveux inondait le devant de ma cheveux, pour le coup je m'en fichais totalement. « Le port de mes chemises devrait t'être obligatoire dans cette villa mademoiselle Carpenter. » dis-je sans un souffle. On sentait clairement mes trois mois d'abstinence sexuelle dans mon jean serré, je me sentais bizarrement étroit d'un coup.. l'effet Alexys était redoutable sur ma libido, l'odeur de son gel douche mélangé à l'odeur de son shampooing était tout aussi effroyable sur ma personne.  
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J'avais vraiment envie de tuer Jeno sur le coup mais, ça m'arrivait souvent alors, je n'y prêtais pas vraiment attention. J'allais juste devoir faire sans les conseils de ma grand-mère parce qu'il est têtu et qu'il est parti sur un sujet qui n'avait strictement rien à voir avec ce que je lui demandais. A vrai dire, il m'écoutait à peine et à cette heure de la soirée, alors que je crevais de faim, j'avais aucune envie de l'écouter blablater sur les études surtout que ça ne lui ressemblait pas. Je suis sûre que c'était sa façon à lui de dire "prends soin de toi Alex ! fais pas de conneries Alex !" etc sans pour autant me faire une vraie leçon de moral. Bref, je l'écoutais parler jusqu'à ce que je sente une présence derrière moi. Je sursautais légèrement avant de me retrouver coincée entre le plan de travail et... Zakhar. Ouais, c'était forcément lui. Y a que lui pour faire un truc pareil. Ses bras autour de moi, son visage dans mon cou, je frissonnais légèrement suite à ce contact et mon coeur s'emballa. Je te rappelle plus tard ! Je raccrochais au nez de mon frère, posant le portable sur le côté, souriant légèrement suite à ses paroles. C'était plus nerveux qu'autre chose et je me mordis la lèvre pour trouver le courage de le repousser. Je me dégageais de son emprise après quelques secondes à rester là, immobile contre lui. Je le repoussais légèrement pour avoir la place de passer. Oh, oh oh ! T'arrêtes ça tout de suite ! Je voulais pas qu'il s'arrête mais, il fallait qui s'arrête. Je ne disais rien d'autres pour le moment, cherchant par quoi commencer parce que là tout ce que je voulais, c'était lui mettre une droite. A la place, j'oublie le frigo pour sortir des oeufs que je posais sur le plan de travail en l'ignorant complètement. Je le frappe, je parle, je le laisse parler... trop d'hésitations pour le coup.
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Je suis là quand il ne faut pas.
Je jouais avec le feu là, j'en étais plus où moins conscient ce soir.. néanmoins la fatigue, le plaisir de la voir tout ça mélangé à sa petite tenue me faisais un effet bœuf pour le coup. Elle ne m'était pas longtemps à réaliser que c'était moi, pour finalement raccrocher son téléphone et me repousser. Pour le coup je recevais le fruit de mes conneries en pleine gueule. C'était tout à fait logique, compréhensible.. mais voilà je ne pouvais m'empêcher de le prendre mal, encore et toujours. Je me reculais alors, clairement la queue entre les jambes.. je la toisais du regard, elle semblait complètement m'ignorer après m'avoir dit d'arrêter. Je baissais légèrement la tête avant de passer une main dans mes cheveux. Je n'aimais pas ce genre de situation, encore moins rendre des comptes à quelqu'un sur mes actes.. mais là il s'agissait de Alexys et avec elle j'ai toujours été capable de mettre ma fierté de côté quand il le fallait et la clairement il le fallait. Elle s'empressait de reprendre sa petite préparation, je ne donnais pas cher à ce qu'elle allait préparer surtout dans ces conditions la. Je lui attrapais doucement la main afin qu'elle reporte son attention sur moi. « Regardes-moi s'il te plais. » dis-je sans attendre presque sèchement, la patience ce n'était pas non plus une tasse de thé chez moi. Je la regardais, fixement, laissant comprendre que j'allais lui donner une explication. « Excuse moi d'être une nouvelle fois parti pour mes affaires, je suis conscient que cette fois ci tu ne me le pardonnera certainement pas mais attend la suite de mes explications au moins, je ne te demande que ça.. Après si tu le souhaites je partirais et je te laisserais tranquille. » dis-je doucement, je lâchais finalement sa main, sans la quitter des yeux. « Je ne vais pas tourner autour du pot cette fois ci.. Tu sais très bien que mon entreprise me prend énormément de temps, dis toi que pendant ces trois mois je n'ai pas vu le jour. Pyotr n'arrivait pas à gérer tout ça tout seul, je me devais d'être la, c'est juste une évidence pour moi. J'ai finis par péter un plomb il y a trois jours à cause de cette surcharge de travaille. Je n'avais qu'une envie c'était revenir ici, tu peux demander à Artur il te le dira sans détour. Je voulais te retrouver et reprendre là où s'etait arrêté mais malheureusement j'avais des tonnes d'obligation en Russie et je ne pouvais pas foutre en l'air des années de travaille de la part de mon père pour revenir ici. J'ai finis par trouver une solution avec Pyotr, mon oncle rentre dans l'affaire pour l'aider en Russie.. et moi je vais m'occuper principalement du pôle à Cambridge qui a était mit en suspens suite à mon départ. On a pas forcément confiance en notre oncle mais voilà je n'avais plus le choix étant donné que ma vie est ici maintenant. ». Je baissais légèrement la tête, conscient que toutes ces paroles n'allaient certainement pas suffir. « Tu es la femme de ma vie Alexys, tu le sais au fond de toi.. tout le monde le sait que toi et moi c'est pour la vie. Même si je suis certainement le pire crétin qui puisse exister sur cette terre, je n'ai jamais cessé de penser à toi. ». Je me mordais la joue plutôt nerveusement pour le coup, je ne savais plus quoi rajouter pour le coup. Je me sentais stupide, comme à chaque fois que je revenais à Cambridge après plusieurs semaines d'absences.
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Non seulement, j'allais surement me prendre la tête avec Zakhar mais en plus de ça, j'allais devoir rendre des comptes à mon frère le lendemain même parce que je lui avais raccroché au nez. Je ne pouvais pas simplement lui dire que Zakhar était revenu parce que c'est clair qu'il aurait filtré mes appels suite à cela et n'aurait plus voulu entendre parler de moi. Il me fallut peu de temps pour le repousser et faire comme s'il n'était pas là. C'était soit ça, soit lui mettre un poing en pleine figure et je crois pas que ça lui aurait plu. J'ouvre le frigo, je pose tout sur le plan de travail alors que je sens la colère monter en moi petit à petit et je réfléchis à ce que je pouvais bien faire sauf que je ne voyais comment je pouvais réagir face à la situation. C'est alors qui me prit la main pour que je le regarde, employant ce ton dur, froid et autoritaire que je maîtrisais tant dans un moment pareil parce que je savais pertinemment ce qu'il allait faire. Comme toujours, je l'écoute malgré moi, je croise même les bras en attendant qu'il s'explique. Ses mots me touchent, je peux pas dire le contraire et puis, tout le monde sait que je l'aime, que je pense que c'est lui le bon, l'homme de ma vie. Au fond de moi, je l'ai toujours su comme il dit et, il le savait aussi. Pourtant, je détourne le regard pour pas craquer, pour ne pas simplement le prendre dans mes bras, l'embrasser, lui dire que je l'aime et qu'il m'a manqué. J'ai eu droit à un sms Zak. Tu m'as envoyé un texto pour Noël et pour Nouvel An comme si j'étais une simple connaissance ou une pote que t'aurais pas vu depuis des années. Putain tu vas me dire que t'étais trop débordé pour passer ne serait-ce qu'un coup de fil ? Et moi qui pensais qu'il allait finir par me rejoindre à Toronto pour fêter Noël en famille. Enfin je veux bien croire qu'il veuille le passer avec sa famille à lui, en Russie, mais, un coup de fil, c'était vraiment trop demandé ? J'étais clairement en train de me faire prendre pour une conne, c'est ce que tout le monde disait. J'ai accepté de venir vivre ici avec toi alors que ça ne me ressemble vraiment pas, tu m'aurais demandé en mariage, j'aurais accepté alors que je suis contre ce genre de conneries. Tu voulais des gosses ? Pas de problème, j'aurais surement été ravie d'en avoir avec toi. T'aurais pu me demander n'importe quoi. Je t'aurais suivi à l'autre bout du monde, j'aurais donné ma vie pour toi. Je sais pas si tu te rends compte de tout ce que j'étais prêt à faire pour toi, de tous les sacrifices que j'aurais fait parce que... Parce que je t'aime. Je rigolais nerveusement, fermant les yeux quelques secondes pour reprendre mes esprits et rester concentrée. Tu peux dire ce que tu veux, tu peux mettre n'importe qui à la tête de l'entreprise familiale, je sais que je ne serais jamais aussi importante. Je compterais jamais assez pour toi. La famille je veux bien comprendre Zak mais le taff... Non je suis désolée. J'haussais simplement les épaules en secouant la tête négativement. Putain c'est dur de dire tout ce que j'ai sur le coeur et encore, c'est qu'une partie de ce que je voulais lui dire. Ce n'est rien contrairement à tout ce que je ressens, à ce qu'il représente pour moi.
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Je suis là quand il ne faut pas.
Je l'écoutait sans broncher, de toute façon c'était la seule chose que j'avais à faire après tout ce que j'avais fais. Je ne lui avais encore donnais que très peu de nouvelle au cour de ces trois mois, mais j'étais comme ça, c'était une façon pour moi de ne pas penser à ce que je laissais à Cambridge et me concentrer sur l'entreprise famiale. Je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie et encore moins souffrir en lisant des messages tout mignon de la part de Alexys. Je me mordais la joue d'avantage avant de souffler légèrement.. Je la laissais continuer, ces paroles me touchaient, je me sentais totalement impuissant.. comme toujours quand il s'agissait d'elle et d'affronter mes erreurs. Elle était tellement froide dans ces propos, ça m'en donnais la chair de poule encore plus quand elle parlait d'accepter mon éventuel demande en mariage ou mon désire d'avoir des enfants avec elle.. je baissais soudainement la tête en laissant une boule monter dans ma gorge. L'espace de quelques secondes je m'imaginais avec elle, ici, dans quelques années avec des enfants et surtout la bague au doigt.. je redescendais immédiatement sur terre quand je réalisais que j'avais étais trop loin et que j'avais tout foutu en l'air tout ça pour faire plaisir à ma famille en reprenant l'entreprise famiale. J'avais toujours cru être assez fort pour gérer mon travail, mes études et ma vie sentimentale avec la jeune Mather.. mais je réalisais que maintenant que je n'étais pas un sur-homme et que ce genre de chose était impossible. Lier travail et amour était une chose très compliqué surtout quand l'entreprise en question pesait plusieurs milliard de dollars. Je passais une main dans mes cheveux, je restais bouche bée, planté devant elle terriblement coupable. Elle avait raison sur tout la ligne, ça depuis le début mais je ne pouvais pas abandonner l'affaire de mon père comme ça, il avait travaillé très dur pour en arriver là et faire de cette entreprise la numéro un mondial dans son domaine. Je n'avais pas le droit d'être égoïste avec elle, c'est clair qu'elle ne méritait pas un petit-ami comme moi et encore moins ce que je lui faisais subir depuis un an et demi.. à croire que ce détester était beaucoup plus simple auparavant. Je sentais mon cœur exploser dans ma poitrine, j'avais le souffe couper par ces mots, la pilule avait clairement du mal à passer pour le coup. Je n'avais plus rien à dire étant donné que je passais mon temps à la décevoir, quoi que je fasse. « Je... je ne mérite pas ton amour Alexys, je suis vraiment désolé pour tout ce que j'ai pu te faire, à croire qu'on est fait pour retourner à la case départ de notre rencontre. » dis-je la voix presque tremblante. Je repensais immédiatement à cette fameuse soirée sous la fontaine, la première fois que nos lèvres c'étaient rencontrés, la première fois que je voyais Alexys autrement.. cette première fois qui avait certainement boulersé ma vie et ma façon de voir le monde. « Tu mérites un mec bien, droit et qui te donne toute l'attention dont tu as besoin.. le genre de chose que j'ai du mal à t'offrir depuis le début. » Dis-je doucement en baissant la tête pour éviter de croiser son regard. « J'ai compris le message et je ne serais plus un frein à ta vie sentimentale. » Je sentais mon cœur se soulever, l'envie de démonter la porte de placard à côté de moi était très forte mais je n'en faisais rien.. je gardais mon calme et surtout j'essayais de ne pas lâcher une larme. Je serrais la mâchoire avant de la regarder une dernière fois avant de quitter la cuisine. Je passais par le salon afin de récupérer mon petit sac de voyage et finalement rejoindre l'étage du dessus. Je me doutais bien que la jeune Mather occupait toujours "notre chambre", afin de ne pas déranger son fonctionnement j'occupais alors la chambre qui se trouvait deux portes plus loin. Je balançais mon sac sur le bureau avant de m'assoir sur le lit, je me sentais vider et putain qu'est-ce que je me sentais coupable.
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J'avais écouté tout ce qui avait à me dire parce que malgré tout ce qu'il avait pu faire, malgré tout ce qu'il s'était passé entre nous, je le respectais. J'écoutais sans broncher et je pouvais comprendre le fait qu'il veuille tout faire pour que son père soit fier de lui. Je pouvais comprendre que Pyotr avait besoin de lui. J'acceptais tout à vrai dire sauf, le fait qu'il ne donne que très peu de nouvelles, que je méritais juste un simple sms en tant que petite amie comme si j'étais une parfaite inconnue. Je veux bien comprendre qu'il soit occupé mais un appel n'a jamais tué personne et je pense que je méritais au moins ça. Je suis souvent en train de me sous estimer. Je dis souvent que Zakhar est trop bien pour moi. Mais là, je dois l'avoir, il a déconné et lui-même le sait. D'ailleurs, il écoute ce que j'ai à lui dire sans broncher. Moi, je me retiens de ne pas pleurer parce que ça me blesse, parce que encore aujourd'hui je me rends compte de tout ce que j'aurais pu faire pour lui, de tout ce que j'aurais donné pour être à ses côtés jusqu'à la fin des temps. Ce qu'il avait à répondre à tout cela ? Qu'il ne me méritait pas ? Qu'il était désolé ? De nouveau je me mis à rigoler nerveusement en décroisant les bras. Wahou ! C'est tout ce que t'as de le ventre ? C'est tout ce que tu peux me dire ? Putain ! Ouais j'osais le ton, oui j'étais énervée. Il était en faute et lui, il me disait qu'on était fait pour se détester comme au début ? Non, on est pas fait pour ça, c'est sa faute si les choses sont comme ça. Je t'ai jamais demandé d'être un mec bien et droit Zak juste de m'inclure un minimum dans tes projets mais faut croire qu'y a que ta petite personne qu compte et regarde moi quand je te parle ! Nan en fait t'as raison, me regarde pas parce que je risque de t'en mettre une là ! J'ai les mains qui tremblent, j'ai même plus faim d'ailleurs, lorsqu'il tourne les talons pour dire qu'il ne sera plus un frein blablabla, tout ce que j'arrive à faire, c'est balancer tout ce que j'ai préparé d'un geste de la main. Je prends ma tête entre les mains, mes coudes posés sur le plan de travail et je tente de respirer normalement, essayant de me calmer jusqu'à ce que je pose le pied entièrement au sol. J'étouffe un cri entre mes dents alors que je viens de marcher sur un bout de verre du pot à confiture que j'ai cassé y a à peine quelques secondes. Nan mais y a pas à dire, je me suis complètement plantée. Cette soirée devait être belle, parfaite, des pancakes et des bouquins pour réviser ou un bon film et à la place, c'est juste une catastrophe. Je ferme les yeux forts, me tirant presque les cheveux d'énervements alors que je sais que les larmes menacent de couler tellement je suis énervée.
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Je ne trouvais rien à dire tout simplement parce que je savais que je n'avais pas été à la hauteur que pour le coup je voyais bien qu'elle ne me pardonnerais pas, je n'avais plus le courage de me battre pour quoi que ce soit ce soir.. j'avais plusieurs heures d'avions dans les pattes, ma charge de travail pendant trois mois m'avait complètement vidé et pour le coup je me sentais complètement impuissant face à sa colère. Alexys était tout pour moi, certainement la personne qui comptait le plus pour moi avec ma famille, je n'avais plus le droit de la faire souffrir autant.. c'est pour cela que je préférais arrêter les dégâts ici, avant que l'on en arrive à se détester pour de bon. Je préférais m'éclipser, dans ce domaine j'étais certainement le plus fort. Elle me criait dessus sans attendre, je ne pouvais le supporter.. le genre de chose qui en mettait un sacré coup à ma putain de fierté. J'arrivais finalement dans une des nombreuses chambres de la villa, une chambre totalement vide de sens puisque personne n'avait encore dormi dedans. Je me sentais tellement stupide, assis sur ce grand lit. Je ne savais même pas pourquoi j'étais rentré finalement.. tout allait être si différent sans elle à Cambridge. J'entendais alors un bruit sourd, du verre qui explosait au sol.. je fronçais alors les yeux avant de me lever précipitamment. Je commençais à croire que Alexys avait fait un malaise ou je ne sais quoi d'autre. Je dévalais rapidement les escaliers avant de rejoindre immédiatement la cuisine, l'endroit où je venais de la quitter. Je voyais alors la jeune Mather, le visage dans les mains, appuyait sur le plan de travail. Je soufflais, essayant d'atenuer la boule que j'avais dans la gorge. En baissant le regard, je remarquais effectivement des bouts de verres au sol et je ne pouvais que constater qu'elle s'etait coupé le pied puisqu'il y avait une tâche de sang sur le carrelage de la cuisine, tout près d'elle. Je précipitais vers elle sans refléchir, c'était plus fort que moi.. J'écrasais au passage quelques bouts de verre sous mes chaussures cirés. Je posais une main délicatement sur son bras avant de la tirer contre moi. « Tu saignes Alexys, viens je t'emmene dans la salle de bain pour soigner ça.. ». Dis-je d'une voix douce. Elle pouvait m'en couler une si elle le souhaitait, malheureusement pour elle je ne cesserais de veiller sur sa santé et son bien être malgré tout. J'attrapais finalement une de ces jambes puis le milieu de son dos afin de la porter telle une jeune mariée. J'évitais pour le moment son regard, ce n'était franchement pas le moment de jouer une nouvelle fois au con et de la provoquer, en plus de ça je me sentais si stupide. Je traversais le couloir, monter les longs escaliers qui menaient à l'étage. J'essayais de faire abstraction de ce qui venait de ce dire entre nous pour la mener finalement à la salle de bain de notre chambre. Je la déposais doucement sur le rebord de la beignoir avant de fouiller dans le placard en dessous des lavabos.. Marta m'avait soutenu à l'époque qu'il y avait ici une trousse de secours. Je la trouvais rapidement derrière une multitude de produits cosmétiques. Une fois celle-ci en main, je m'agenouillais devant la jeune Mather. Je ne disais rien, le regard complètement démonté par mes remords.. Je trouvais finalement du désinfectant et un pansement dans la trousse de premier secours. Cette scène me rappellais vaguement un épisode où je lui avais soigner le visage alors qu'elle s'était battu à l'époque avec une Eliot, je commençais à avoir l'habitude avec Alexys et sa légendaire casse-cou attitude.  
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J'étais tellement énervée et j'avais tellement mal au coeur que je ne prêtais aucune attention à mon pied. J'en avais rien à faire et puis, ça m'apprendra à casser des trucs quand je suis énervée aussi. Et ça m'apprendra à marcher pieds nus. J'en reviens pas qu'il est rien dit de plus. Il baisse juste les bras. Il attend que tout redevienne comme avant, à l'époque où on se détestait. Putain je supporterai pas cette situation, je le sais. Mais je sais également que je n'ai plus la force de me battre pour lui. Je peux pas faire des pieds et des mains pour que cette relation fonctionne alors qu'il en a clairement rien à faire de moi. Peut-être pas à ce point mais en tout cas, l'entreprise passerait toujours avec moi. C'est comme si je faisais passer mes études avant lui, les Mathers avant lui, mon job dans l'entreprise d'Andrew avant lui. Je ne l'ai jamais fait et ça ne m'a jamais traversé l'esprit. Le taff, c'est secondaire ! C'est ce que j'ai compris, c'est ce qu'il m'a fait comprendre et pourtant lui, il semble vraiment pas le remarquer. Voilà ce que j'arrête pas de me dire alors que sa voix vint de nouveau me tirer de mes pensées. C'est rien... Qu'une petite coupure de rien du tout mais, il me laisse pas le choix et me porte finalement jusqu'à la salle de bain. Il retourne tout et j'en profite pour lui dire : C'est pas que j'ai viré Marta... disons juste que je lui ai donné des vacances prolongées. Tu la rappelleras si tu veux. Moi, je voulais juste être tranquille. Je voulais juste faire les choses par moi-même et ça devait se voir parce que comme je passais également du temps à la Mather, on ne peut pas dire que tout était super bien rangé et les courses étaient jamais faites. C'est surement pour ça qu'il mit autant de temps à trouver la trousse de secours. J'avais tout mon bordel devant. Mais je ne dis rien en me disant que bientôt, il aurait plus ce problème. Maintenant qu'il était revenu, il serait peut-être tant que je lui rende la villa. Je le laisse faire sans rechigner, je ferme les yeux avant que les larmes me montent aux yeux. Je les efface d'un revers de la main et prends une grande inspiration. Aller quoi Alex, t'es plus forte que ça, prouve-le ! Et puis ferme-là parce que c'est pas à toi de dire quoique ce soit pour une fois.
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