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Ne me fuis pas. PV.

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Andrea & Bonaventure

Bonaventure marchait les mains dans les poches de son manteau. Il venait de quitter un ami avec qui, il avait passé un bon moment. C’était toujours sympa de pouvoir se changer les idées car le métisse devait bien reconnaitre qu’en ce moment, c’était un peu le chaos. Dernièrement, il y avait eu les commémorations. Bonaventure avait longuement hésité à y assister mais il avait fini par s’y rendre, poussé par son besoin de rendre hommage à Jarod. Par Allah que son ami lui manquait à chaque instant. Trois ans s’était écoulé et pourtant, il n’avait jamais pu l’oublier et encore moins retrouvé pareille relation. Si cet épisode avait été difficile à vivre, le jeune homme devait reconnaitre qu’il y avait autre chose. Andrea. Depuis qu’elle était venue dans sa chambre et qu’ils s’étaient embrassés, elle avait complétement disparu de ses radars. Le pire avait été sans nul doute le fait qu’elle l’évite consciencieusement lors de la cérémonie. Que devait-il en penser ? Tout allait bien entre eux puis, elle s’était éloignée prétextant vouloir éviter d’aller trop vite mais il y avait une différence entre prendre son temps et être au point mort. Pour Bonaventure, il était clair que son amie avait fait machine arrière et ne savait pas le lui dire.

Il avait beau se persuader que c’était peut-être mieux ainsi, il n’y arrivait pas. Andrea l’obsédait et elle lui avait fait croire des choses qu’il ne pouvait oublier d’un claquement de doigts. Il avait espéré mais encore une fois, une femme avait décidé qu’il était bien mieux dans le rôle d’ami que de petit-ami. Il devait se faire une raison. L’objet de ses pensées se matérialisa à une cinquantaine de mètres devant lui. Andrea se dirigeait vers la piscine et Bonaventure se surprit à lui emboiter le pas. Il devait lui parler, mettre les choses au clair quitte à perdre quelques plumes au passage seulement à peine avait-il mis les pieds dans le hall de la piscine qu’il se faisait alpaguer par une folle furieuse qui l’accusait d’être en retard. Bonaventure ne comprit pas trop ce qui se passait si ce n’est qu’il avait là, l’occasion unique de pénétrer dans la piscine pour rejoindre la Dunster.  Enfin, il avait quand même dû ôter ses chaussures et chaussettes -s’il ne glissait pas à cause de la faible adhérence de sa prothèse, ce serait un miracle. A cette heure-ci, il n’y avait que peu de nageur si bien qu’il repéra rapidement Andrea dans l’eau. « Andrea ! Faut que je te parle ! » s’écria-t-il faisant tourner quelques têtes mais il s’en fichait totalement. Seule Andrea comptait à ces yeux ! « Tu veux bien sortir de l’eau un instant ou au moins te rapprocher ? »


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Téléphone coincée entre l'épaule et l'oreille, je planque mes mains dans mes poches. Ça doit faire vingt minutes que je suis au téléphone avec ma mère et vingt minutes les mains à l'air par ce temps, non merci. Il fait vraiment froid et je déteste ça. Je n'ai pas vraiment eu le temps de m'habituer vu la façon dont les degré étaient tous descendus à une vitesse infernale. J'entre dans la piscine, souris à tout le monde et me faufile vers les vestiaires, toujours entrain de discuter avec ma mère. Elle est bavarde pour une fois et ça fait plaisir, surtout qu'on est plus ou moins en froid depuis le mois d'avril. Je n'ai toujours pas avalé le fait que le père de Talya l'a face passer pour la garce de base et qu'elle s'accroche à lui de cette sorte. Depuis cette dispute, quelque chose était vraiment brisé entre nous deux et je ne savais pas quand on allait pouvoir recoller les morceaux. " Maman faut que je te laisse, je suis déjà pas vraiment à l'heure pour le boulot " Soufflais-je. Je n'arrivais même pas à calculer il est, là haut, en Afghanistan. Quand je suis rentrée, mes boss lui ont proposé mon boulot et elle a accepté. Je ne peux pas lui en vouloir, loin de là. Bosser en milieu hostile, c'est notre passion... " Oui maman, tu peux m'appeler même en pleine nuit " Je ne dors pas des masses de toute façon alors bon... Je raccroche rapidement et troque ma tenue pour un maillot de bain tout ce qu'il y a de plus échancré. Je ne sais pas trop ce que va donner ce shooting mais j'espère que tout ira vite, je n'ai pas envie de ressembler à un pruneau et encore moins d'attraper froid. Quelques photos se font en intérieures mais je pense qu'ils vont attendre le dernier moment pour être sûre que je ne me congèle pas. Je salue des tas de gens que je ne connais pas et écoute le directeur artistique. Ma cicatrice ne les gêne pas. Tant mieux parce que c'est pas comme si je pouvais l'enlever comme ça. Mais j'ai intérêt de bien la désinfecter ce soir en rentrant. À vrai dire, je vois une amie médecin dans le coin. Elle doit être là pour me la désinfecter entre chaque prise. Je monte sur le plongeoir et saute dans l'eau du mieux que je le puisse. Un plongeon parfait et la photo est nickel. Si seulement ça pouvait aller plus vite pour tous les clichés que j'ai à faire. J'entends mon prénom et me tourne vivement dans l'eau. Bonaventure. Génial. " Je bosse là Bonaventure " Lançais-je à son attention alors que je lui fais dos pour regarder mon collègue, attendant de nouvelles instructions.  
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Andrea & Bonaventure

Bonaventure était tombé en pleine troisième guerre mondiale. Des gens s’agitaient dans tous les sens, cela criait de partout et surtout, il régnait dans la piscine un bordel monstre qu’il devait faire attention à chacun de ses pas pour ne pas se prendre un fil et s’étaler la face contre terre ; Et au milieu de cela, il y avait Andrea qui jouait les sirènes devant les flashs d’un photographe qui se trouvait sur une espace de plateforme flottante. Bonaventure ne lui accorda aucun regard. En fait, il se fichait bien du monde les entourant, il n’avait qu’un seul objectif : faire entendre raison à Andrea. A quoi jouait-elle avec lui ? Elle avait joué les matadors, agitant un tissu rouge devant son regard pour mieux le ranger et le laisser hésitant entre confusion et désir contrarié. « Alors là, je m’en contrefous que tu bosses, je dois te parler et maintenant puisque tu as décidé de m’ignorer ces derniers temps »rétorqua-t-il froidement. Si elle pensait qu’il allait jouer le petit chiot, elle se trompait. Le jeune homme était un homme sympathique, chaleureux, toujours souriant mais l’amant, elle allait l’apprendre était beaucoup plus renfermé et passionné. On ne titillait pas ce dernier pour mieux le quitter comme si de rien n’était. Il voulait des explications et cette foutue maquilleuse allait lui faire perdre tout sens de la courtoisie si elle continuait de le poursuivre pour le maquiller. « Bon sang, tu peux cesser deux minutes de jouer les sirènes pour me parler ?! Je ne te demande pas la lune non ? »s’impatienta-t-il le regard brillant de colère retenue. Si cela n’avait tenu qu’à lui, il aurait plongé habillé pour aller la chercher et la tirer hors de l’eau mais également hors de tous ses regards.

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C'est pas que je n'ai pas envie de le voir ces derniers temps c'est juste que... C'est juste que je fais n'importe quoi. J'ai encore augmenté les doses de médicaments que je prends et je ne sais plus ce que je fais, qui je suis. Je suis dons à lui et sa voix me frappe en plein coeur. Je regarde le directeur artistique qui commence à s'impatienter. J'articule que je suis désolée avant de nager un peu plus près de lui, de cet homme qui m'attire tellement que je suis entrain de l'écarter de moi avant de faire n'importe quoi. Je ne veux pas le blesser, je ne veux pas lui faire de mal alors je tente de mettre de l'espace entre nous pendant qu'il est encore temps. " Quoi ? J'ai un téléphone sinon si ça pouvait pas attendre au point que tu te pointes là " Soufflais-je, un peu agacée. Se rendre détestable pour le faire fuir et lui faire croire que c'est bel et bien son choix que de s'éloigner de moi. Je me suis pris la tête avec Priape avant de venir et je n'ai vraiment pas eu le temps de souffler, de décompresser. Je sens que c'est Bonaventure qui va tout prendre. " Cami arrête putain ! C'est pas lui le mannequin qu'on attend ! " Grognais-je à la maquilleuse. Certes, Bona était ben foutu mais ce n'était pas son nom sur le contrat. Je bats légèrement des jambes pour rester sur place et le regarde. " Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a de si pressent ? " J'ai l'impression d'être nue et ça m'agace totalement. Surtout que l'eau a bien pour effet de grossir tout ça. " Et puis, qu'est-ce que t'as contre les sirènes, d'ailleurs. Tu résistes pas à leur chant ? " Et bam, prends toi ça dans la figure. Je crois que je joue vraiment avec le feu et que je vais sacrément me brûler, bien que je sois dans une piscine... 
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Andrea & Bonaventure

Elle le cherchait, ce n’était pas possible autrement. Depuis quand Andrea jouait les pestes avec lui ? Depuis qui la connaissait, il l’avait vu joué bien des rôles mais jamais celui de la femme la plus détestable sur Terre. « J’aime pas les téléphones quand j’ai besoin de dire quelque chose en face à quelqu’un » rétorqua-t-il en croisant les bras sur son torse musclé. Andrea lui rendit tout de même service en le débarrassant de la maquilleuse à laquelle, il n’accorda aucun regard malgré les excuses qu’elle lui présentait. Bonaventure était bien trop furieux pour s’intéresser à une autre femme à cet instant précis. « Ce qu’il y a de si pressent ? Tu joues à quoi Andrea ? Un jour tu souffles le chaud en me disant que je te plais. On passe un bon moment ensemble et puis après, douche froide : tu me fuis, tu m’évites comme la peste. Il me semble que c’est une drôle de façon de traiter un homme qui te plait » lui répondit-il avant qu’elle ne lui pose une question au sujet des sirènes. « J’ai rien contre les sirènes du moment que leur parole ne sont pas du venin » marmonna-t-il. Il aurait bien volontiers dit que les princesses jouant les poufs ne l’intéressaient pas mais cela aurait été trop mesquin et bien qu’en colère, il ne pouvait se résoudre à la traiter de la sorte. « J’ai juste besoin de savoir… Si tu regrettes ce qui s’est passé entre nous, tu n’as qu’à me le dire mais me faire espérer des choses pour mieux jouer les Casper par la suite… Je ne te pensais pas aussi mesquine que ça à moins que tu ne cherchais simplement à te venger du fait que j’ai couché avec Leanne »lui demanda-t-il froidement. Etait-ce une vengeance ? Lui montrer qu’il s’était trompé de sœur, lui faire espérer des choses pour mieux les lui reprendre le plongeant à nouveau dans les affres de la frustration. Le problème, c’est que Bonaventure n’était plus décidé à se laisser faire.

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Il n'aime pas le téléphone quand il doit s'expliquer. Bien. Je le sais maintenant. Mais il aurait pu trouver un autre moment que maintenant quand même... J'ai déjà eu pas mal de soucis avec mes boss à force de partir, revenir, repousser les dates de shooting et voilà qu'il y avait une nouvelle perturbation. Mais cette perturbation me torturait plus qu'autre chose. Cependant, je tente de rester forte et je le regarde. Dieu que j'ai envie de l'embrasser à nouveau. Tout le monde s'est arrêté de travailler et nous regarde. Je n'aime pas forcément être au centre de l'intérêt de cette façon. C'est déjà pas facile de se faire regarder quand on bosse mais alors là...Je lève les yeux au ciel quand il me dit que je souffle le chaud et que je l'évite. Merci bien de tout afficher devant tout le monde. J'entends quelqu'un souffler derrière moi et grimace. Ouai, mesdames, messieurs c'est encore un homme qui me bouleverse et qui me fait faire n'importe quoi. " Ce ne sont pas les sirènes qui crachent du venin mais plutôt les serpents " J'essaye de prouver quoi à qui là ? Surtout que j'ai une peur bleue des serpents, des anguilles et de tout ce qui rampe. Mais quand il me parle de regretter et de vengeance, ça me met hors de moi. Je me rapproche encore de lui et lui balance de l'eau sur son pantalon. " J'ai pas trois ans ! Et si j'avais voulu me venger, j'aurais couché avec toi ! " Je ne dis rien sur la suite parce que ça ne mérite pas de commentaire. Comment a-t-il pu penser que je n'en avais rien à faire ? Je veux juste pas lui faire de mal. Pourtant, c'est clairement ce qui est entrain de se passer. " Je croyais que t'aimais les feux d'artifices ! Parce que là, c'est l'intro ! " Beuglais-je en lui balançant encore de l'eau. Je ne voulais pas sortir, on voyait presque mes parties génitales ! 
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Le métisse avait totalement oublié qu’il y avait du monde autour d’eux et qu’il se donnait en spectacle. D’ordinaire, il aurait bafouillé des excuses avant de s’en aller mais là non. L’ami l’aurait fait, l’amant désavoué ne le pouvait pas. Question de fierté mal placé ou tout simplement parce qu’Andrea valait toutes les batailles. Bonaventure ne s’était pas battue pour Summer, il l’avait laissé filé sans se retourner. Pareil pour Amanda, il n’avait pas cherché plus loin après leur nuit d’amour. Avec Andrea, tout était différent, il ne pouvait se résoudre à se laisser mettre de côté, à se laisser ignorer. Il ne le supportait tout simplement pas. « On s’en fout de qui crache quoi ! Je suis pas ici pour faire un concours de question pour un champion ou je ne sais quel sorte de quizz télévisuel portant sur la connaissance générale » râla-t-il en essayant de ne pas trop la fusiller du regard. Andrea se rapprocha de lui pour mieux lui asperger le bas du pantalon. « Bon sang ! Arrête tes conneries, je suis pas venu ici pour faire trempette » s’écria-t-il surtout qu’il ne savait absolument pas nagé. Le métisse avait une peur bleue de l’eau depuis que sa grand-mère lui avait farci la tête des films de la saga dent de la mer. « Si j’aime les feux d’artifices mais pas quand ce sont des pétards mouillés qui font pschitt dès qu’on a le dos tourné » rétorqua-t-il avant de se mettre à genoux tant bien que mal à cause de sa prothèse, sur le rebord de la piscine. « Arrête de m’éclabousser car crois-moi si je viens te chercher dans l’eau, tu le regretteras »la menaça-t-il car dans sa colère, il ne pouvait oublier le goût de ses lèvres et surtout au combien il aurait aimé y regoûter. Juste une seconde, un instant volé. Une éternité. « Pourquoi est-ce que tu me fuis Andrea… Bon sang, parle-moi, dis quelque chose ! Envoie moi chier mais dis-moi au moins si j’ai encore une raison d’y croire ou si je dois laisser tomber »

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J'agissais comme une enfant de cinq ans mais je n'avais aucun autre moyen de m'en sortir, de le faire fuir. Il ne devait pas s'attendre à ça, à une petite minette qui enchaîne les erreurs et fais tout pour le faire fuir. Je ne l'ai jamais vu s'énerver malgré mes dix milles bourdes et cent milles conneries enchaînées. Non, il avait toujours été patient et le voir dans cet état me bouleversait. Mais je ne devais rien montrer. Être forte et se sentir mieux, beaucoup mieux. " T'es dans une piscine en même temps ! Tu t'attends à quoi ? " À vrai dire, si j'agissais comme une adulte, il serait bien au sec à ce moment précis. Mais j'ai pas envie de m'approcher trop près de lui, de prendre mes responsabilités et de morfler sur le chemin. " Bah viens me chercher qu'est-ce que t'attends ? T'es un beau parleur maintenant ? " Lançais-je pour le pousser à bout encore un peu plus. Je ne peux pas le nier, ça me déchire le coeur de faire ça mais j'ai pas le choix. Je suis une putain de bombe à retardement, je vais lui faire du mal, trop de mal et je ne peux pas le permettre. Pourquoi est-ce qu'il est si coriace bordel ? " Je te fuis pas, j'ai pas le temps, c'est pas pareil ! Et puisque les nouvelles technologies c'est pas ton truc " Soufflais-je. Je sens que ça va mal terminer, je le sens et ça me fait du mal, plus que ce que je n'aurais voulu. Je le regarde, droit dans les yeux et le défie du regard. Je sais pas ce que j'attends. Lui sauter dessus, le faire basculer dans l'eau ou lui demander de me laisser tranquille. La dernière solution est ce que je dois faire. La première ce que je veux faire. Et la deuxième ce que je risque de faire sous peu... 
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Andrea agissait comme une gamine à l’éclabousser et si la situation n’avait pas été aussi tendue entre eux, sûrement aurait-il fini par s’en amuser. Là, il ne voyait dans ce stupide jeu puéril qu’une manière de l’éloigner. Elle voulait l’éloigner pour une raison qui lui était inconnue et cela l’énervait. Non, cela le mettait en colère car Bonaventure se refusait à être mis sur la touche par cette femme. Bon sang, il avait envie d’elle et pas uniquement dans son lit. Il voulait qu’elle partage sa vie. « Qu’est-ce qui te prend à la fin Andrea ?! A quoi tu joues, je peux savoir ? »lui demanda-t-il pour la énième fois. Elle ne le fuyait pas ? Mais bien sûr et lui, il était le nouveau Roi d’Angleterre. « Cela veut dire quoi ? Que grosso modo, je dois me contenter de sms et de temps en temps d’un appel ? Ou tu veux plutôt que nous reprenions une relation virtuelle ? Hein c’est ça que tu veux ? Que l’on reprenne nos distances, que l’on fasse machine arrière car tu n’assumes pas de m’avoir embrassé ? » lui demanda-t-il en secouant la tête. Las, il se releva prêt à tourner les talons, à lui donner toute la distance qu’elle souhaitait puisque fatalement, c’était ce qu’elle voulait. Malheureusement, le Destin en décida autrement car Bonaventure se fit bousculer par un technicien et termina dans la piscine… Avait-il oublié de préciser qu’il ne savait absolument pas nager ?! En tous les cas, Bonaventure s’amusait à jouer les sous-marins car il avait beau se débattre, il était complétement en mode panique au fond de la piscine.

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C'est plus fort que moi, je ne sais pas gérer ce qu'il est entrain de se passer. Je suis heureuse, je me sens bien mais je fous tout en l'air parce que la dernière fois que je me suis sentie de la sorte, j'ai fini par avoir le cœur brisé. Et je ne suis pas prête à ravoir le cœur brisé. Bonaventure peut dire ce qu'il veut mais je ne sais pas, je doute. Il me veut ? Vraiment ? J'y crois pas plus que ça. Je suis méfiante, un peu trop mais c'est comme ça. À trop souffrir on finit par devenir paranoïaque et éviter cette souffrance. Maintenant sera moins difficile que dans quelques semaines ou quelques mois, quand on sera vraiment attaché l'un à l'autre. C'est tellement étrange tout ce que je ressens. Et j'aime autant que je déteste tous ces sentiments qui me consument petit à petit. '' Ça c'est moi, c'est pas un jeu. Il semblerait que je ne sois pas assez bien pour toi '' J'enfonce le couteau encore un peu plus loin, comme si je n'avais que ça pour m'en sortir, pour le faire partir. En tout cas, je dois dire qu'il est coriace et je ne sais pas si ça me plait ou si je déteste ça. Non, ça me plait. Ça me plait de le voir se battre pour moi plus que personne ne l'a jamais fais dans toute sa vie. Mais c'est terrible que ça arrive de la sorte. Je frissonne légèrement. C'est que ça caille dans l'eau et que j'ai encore des tas de photos et de tenues à passer... J'aimerais qu'on en finisse. Je ne changerais pas d'avis, qu'il me laisse, je n'ai pas le temps. '' Mais si j'assume ! C'est juste que tout ça arrive à un terrible moment dans ma vie ! '' Je me suis confiée à Priape là dessus l'autre jour. J'ai peur d'aller trop vite, de ne pas être prête et de tout gâcher. Je ne veux rien gâcher avec lui. Même si c'est carrément trop tard. Je le vois tourner les talons et pince mes lèvres pour me retenir de le retenir, justement. Il faut que je le laisse filer. Et un jour, bientôt, je lui expliquerais tout ça. Mais Mike passe un peu trop proche de lui, le rebord de la piscine est humide et Bonaventure tombe à l'eau. Ça me fait légèrement sourire. Parce que franchement, s'il n'avait pas décidé de me suivre de la sorte, il serait au sec. Enfin presque. Mais il ne remonte pas. '' Bona, arrête de faire le con ! '' Soufflais-je en le regardant sous l'eau, se débattant comme pas possible. Non. Non. Non !! '' Andrea... '' Je suis paralysée dans l'eau, accrochée au rebord alors que je restais statique depuis tout à l'heure. '' Il est entrain de se noyer ! '' Hurlais-je aux gens autour de nous. Il n'est pas sensé y avoir de maître nageur autour de nous putain ? Mais on sait tous nager ici. Je plonge et fais mon maximum pour arriver jusqu'au fond. Il fallait qu'il tombe au plus profond, bien entendu. Mon bras se glissant sous ses bras, je remonte le plus vite possible, manquant d'air et étant tiré vers le bas à cause de son poids. Un poids mort. Je ne le sens plus bouger. Tout le monde m'aide à le sortir de l'eau et j'en fais de même, toussant comme une grosse fumeuse de cigarettes. Allongé sur le sol, je me colle à lui et arrache son t-shirt à la force de mes deux petites mains. Le ciseau qu'on me tend ne sert à rien. Nez bouché, bouche ouverte, j'essaye de sentir son souffle. Rien. Je dégage ses voies aériennes et commence les compressions thoraciques. Trente pressions entrecoupées de deux insufflations. Mes lèvres sur les siennes n'ont plus le même goût... '' Putain Bona me fait pas ça ! '' Hurlais-je, donnant un coup de poing sur son torse pour le booster un peu plus. Je vais finir par lui péter une côte...  
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