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We all are living in a dream ~ Bonaventure

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We all are living in a dream.
Avec incertitude, j’hésitais à révéler à mon ami ce que j’avais bien pu faire et provoquer sur mon corps. Les stigmates étaient là, je ne pouvais plus m’en défaire mais même si Bonaventure et moi étions très proches, la crainte de lui révéler quoi que ce soit me paralysait. J’étais un peu souffle coupé et mes mains tremblaient légèrement sur le corps du jeune homme que je tenais fermement. Il me dit qu’il était bien plus heureux de me savoir avec lui que seule dans mon coin. A cela je ne dis rien, préférant laisser le silence nous envelopper et peut-être même, inconsciemment, m’apaiser.

Finalement, je l’avais sommé de m’écouter en lui disant que j’avais quelque chose à lui dire. Ma voix s’était éteinte juste après et en pleine réflexion, j’hésitais à continuer sur cette lancée. Le chemin était long et sinueux, j’imaginais cela difficile pour Bonaventure de me comprendre et encore plus de me réconforter. Je lui avais avoué que mon père était parti, c’était déjà quelque chose d’énorme pour moi qui m’avait fait vaciller et qui me rendait fébrile plus que de raison. Je pris une inspiration aussi grande que la peur qui m’habitais et doucement, délicatement, la voix presque éteinte je dis : « J’ai fait quelque chose dont je ne suis pas fière et j’ai extrêmement peur de ta réaction… Je sais que c’est absurde parce que je suis consciente que je peux te parler de tout et n’importe quoi… Mais… Je n’arrive plus à garder ça pour moi, ça me rend faible et j’ai besoin que l’on me dise que ce n’est rien… » Je repris quelques seconde mon souffle tout en me resserrant contre le métisse. « Je me suis ouvert les veines... »  Avouai-je difficilement, a gorge sèche et le cœur frappant à toute allure dans ma poitrine légèrement couverte.


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Amanda & Bonaventure
Un grand froid s’installa dans son thorax lorsqu’Amanda lui avoua avoir tenté de se suicider. Bonaventure se figea totalement, ne voulant se résoudre à l’idée qu’il aurait pu la perdre. « Ne refais plus jamais ça » furent ses premiers mots. Le ton avait été bien plus froid qu’il ne l’aurait voulu mais la peur s’était exprimée bien avant qu’il n’ait eu le temps de penser à quoi que ce soit d’autres. « Excuse-moi, je ne voulais pas me montrer froid… C’est juste que l’idée que j’aurais pu te perdre m’est tout simplement inconcevable » se reprit-il aussitôt en la repoussant pour pouvoir l’observer de tout son saoul. « S’il te plait, qu’importe la douleur que tu ressens, qu’importe ton chagrin, ne recommence plus. Viens me voir… Je suis prêt à te tenir dans mes bras durant des heures et des heures mais pas à être séparé de toi » murmura-t-il avec émotion. « Tu es mon amie Amanda… » reprit-il en déposant un baiser sur son front puis, il lui attrapa ses mains, les tournant pour avoir la vision de ses poignets. Il déposa un baiser dans le creux de ses poignets avant de reprendre la parole. « Je ne te jugerai pas sur ta tentative de suicide parce que je suis passé par là. Je me souviendrai toujours des paroles de ma grand-mère. Elle m’a dit que le plus difficile en ce monde, c’était de vivre et que chaque jour était un combat. Qu’importe si tu tombes, qu’importe si tu as mal si tu fermes les yeux, tu trouveras toujours en toi, une petite lumière. Suis là, sois brave et vis » lui dit-il en caressant sa joue. « Promets-moi que tu ne tenteras plus de mettre fin à ta vie… »

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We all are living in a dream.
J’avais absolument tout avoué à Bonaventure, d’abord, je lui avais dit que mon père n’était plus de ce monde et ensuite, je lui avais déclaré que j’avais voulu moi-même mettre fin à mes jours. Il m’était devenu vital de me confier à mes meilleurs amis, soient Summer et Bonaventure afin de pouvoir extérioriser toute cette peine qui siégeait en moi. L’aveu avait été difficile et réellement arracheur, mais j’avais besoin de me raccrocher à quelqu’un et j’avais choisi le jeune homme car je savais pertinemment qu’il n’aurait aucun jugement et qu’il me soutiendrait  exactement comme s’il était de ma famille.

Lorsque j’avais refermé ma bouche et que mes paroles étaient finies, je ressenti un véritable froid entre nous, comme si Bonaventure s’était complètement pétrifié sur place et à vrai dire, j’avais redouté cette réaction venant de sa part, je ne voulais en aucun cas qu’il soit peiné ou quoi que ce soit d’autre mais bien évidemment, je n’avais aucun pouvoir là-dessus. Il me somma de ne plus recommencer cela, d’un ton froid et presque avide de sentiments. Puis il se reprit en s’excusant, m’expliquant que l’idée de me perdre était pour lui une chose inconcevable. Ses mots me percutèrent toute entière, j’avais le cœur qui se soulevait plus rapidement et plus fortement qu’à la seconde d’avant et j’eus immédiatement comme un sentiment de culpabilité. J’avais été extrêmement égoïste dans mon geste et ce n’était qu’avec le recul que je m’en rendis compte. Je me sentis poussée par le jeune homme et à ce moment, il se mit à me regarder, comme pour rendre ses paroles plus percutantes et plus sérieuses. Il m’expliqua que quoi qu’il devait arriver, je devais aller le voir et non pas m’enfermer dans mon mutisme comme je l’avais fait, pour finir écorchée vive et à moitié morte à l’hôpital. Il finit par me dire que j’étais son amie et cela me toucha tellement que mes paupières commencèrent à s’humidifier alors que mes yeux étaient posés dans ceux de Bonaventure. J’étais complètement ébranlée par tout ce qu’il était en train de se passer et j’essayai pourtant de remonter cette pente si inclinée, mais c’était la chose la plus dure que je n’avais jamais vécue. Il embrassa mes poignets pratiquement cicatrisés et continua en m’expliquant que lui était aussi passé par là et que sa grand-mère lui avait fait ouvrir les yeux. Les larmes commencèrent à recouler, les émotions étaient bien trop grandes pour que mon corps affaibli puisse les garder au fond de lui. Il termina par me demander de lui promettre de ne plus recommencer et, les yeux toujours posés dans les siens, je me mis à sangloter de nouveau. « Oui… Oui, je te promets » Dis-je entre deux suffocations. Il était difficile pour moi de respirer calmement et à ce moment, je me redressai et me mis assise tout en essuyant mes joues avec mes mains. J’essayai de prendre de grandes inspirations afin d’éviter que l’angoisse ne monte un peu plus. « Je suis… Désolée… » Soufflai-je avant de me reprendre quelque peu, difficilement, prenant une inspiration de plus. « C’est la chose… La plus… Difficile que j’ai jamais vécu… » Je fixai un point dans la chambre du jeune homme, invisible, n’osant plus le regarder dans les yeux. « Quoi qu’il est arrivé dans ma vie, j’ai toujours l’impression qu’on m’ai abandonné… Je sais que je peux compter sur Summer et toi… Les autres aussi mais j’ai vraiment le sentiment de n’avoir trouvé aucun sens à ma vie…» Avouai-je finalement.


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Amanda & Bonaventure
Amanda avait tenté de mettre fin à sa vie et cette information tournait en boucle dans son cerveau, provoquant une vive douleur dans son cœur. Il ne pouvait imaginer perdre à nouveau un être cher à son cœur. La jeune femme comptait réellement pour lui, son amitié lui était précieuse autant que sa présence dans sa vie. Il ne se voyait pas se priver de son sourire, de son regard à la fois doux et rêveur. Alors peut-être eue-t-il une réaction trop froide dans un premier temps mais cela avait été plus fort que lui, une défense face à la douleur que provoquait, en lui, son annonce. Son amie s’était redressée, s’asseyant sur le lit, en pleure. Comme il détestait la savoir aussi fragile, aussi démunie. Elle lui semblait tellement perdue que cela le touchait plus profondément qu’il ne le pensait. « Tu ne seras jamais seule car comme tu l’as dit : Summer et moi, veillerons toujours sur toi » commença-t-il en posant sa main sur la sienne. « Amanda, si tu n’as pas encore trouvé de sens à ta vie, cherche le. Bats-toi pour le trouver. Il ne te tombera pas dans les mains comme un fruit bien mûr. Tu te dois de le trouver quitte à remuer ciel et terre mais n’abandonne pas avant de l’avoir trouvé. Il y a trois ans, je pensais avoir tout perdu : ma vie, mon indépendance, mes rêves, mon frère de cœur. J’étais perdu sans but à atteindre, sans rêve auxquels me raccrocher. Alors certes, je ne sais pas ce que cela fait de perdre ses parents. Cela doit être une douleur sans commune mesure mais ce que je sais en revanche, c’est qu’au-delà de la souffrance, tu trouveras toujours quelque chose ou quelqu’un pour t’aider à te relever. Tes parents ne seront jamais morts tant qu’ils vivront ici » lui dit-il en pointant sa tempe « Et surtout ici » ajouta-t-il cette fois-ci en désignant son cœur. Il espérait vraiment qu’elle arriverait à se relever d’une pareille épreuve et si ce n'était pas le cas, il se fit la promesse d’être un soutien sans faille, de ne jamais l’abandonner.
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J’étais consciente que mon état et que tout ce que j’avais dit à Bonaventure allait forcément avoir un impact sur son moral et sur la manière dont il m’avait toujours vu. Malheureusement, il était impensable pour moi de garder toute cette peine qui avait enrobé complètement mon cœur et mon âme esseulée. C’était la raison pour laquelle je m’étais autant confiée à mes deux meilleurs amis. J’espérais également qu’ils me comprennent et qu’ils m’aident à évacuer la douleur causée par tout ceci. Il m’assura que je ne serai jamais seule et que Summer et lui seraient toujours là pour veiller sur ma petite personne.

Relevée, assise sur le lit du jeune homme, j’avais les jambes en tailleur et les bras recentrés vers ma poitrine, mes doigts essuyant de temps à autres mes paupières humidifiées. Je sentis la main de Bonaventure se poser sur la mienne et instantanément, mes doigts se resserrèrent pour agripper quelque peu le drap qui recouvrait le lit. Je me mis à regarder le Quincy quand il commença à m’expliquer qu’il fallait que je me batte pour trouver un sens à ma vie… Ce qu’il disait était vrai et j’étais vraiment toute ouïe, je voulais prendre ses conseils et les appliquer à la lettre tant ce qu’il disait me touchait. La gorge sèche et resserrée, j’inspirais profondément avant que Bonaventure ne pointe ma tête tout en parlant de mes parents, me disant qu’ils ne seraient jamais morts dans mon esprit ni dans mon cœur. Mes yeux toujours logés dans ceux du garçon, je m’approchai de lui tout en écartant les bras de manière à le prendre contre moi, m’appuyant totalement sur son corps musclé. « Merci d’être là et merci pour tout ce que tu fais pour moi Bona… » Dis-je la voix basse, presque éteinte. « Je te suis reconnaissante. » Ajoutai-je juste avant de poser mon visage au creux du cou du jeune homme, essayant de retenir les dernières larmes qui menaçaient d’évacuer mes paupières.


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Amanda & Bonaventure
« Tu n’as pas à me remercier Amanda » lui avait-il répondu alors qu’elle écartait les bras pour venir le prendre contre elle. Aussitôt les siens l’entourèrent pour la bercer contre lui, caressant ses longs cheveux blonds pour lui apporter une dose de réconfort. Bonaventure ne pouvait imaginer la souffrance qui était la sienne et égoïstement, il espérait ne jamais à avoir à la subir. Il aimait ses parents plus que tout autre chose au monde. Ces derniers lui avaient offert une vie qui, il était certain aurait été extrêmement plus courte s’il était resté dans cet orphelinat en Afrique. Par moment, il se demandait quelle aurait été sa vie ou bien d’où venait-il ?! Un métisse aux yeux bleus, ce n’était pas commun. Il se doutait que ses origines non plus. Le jeune homme avait entrepris il y a quelques années, des recherches en vue de connaitre un peu mieux sa famille biologique. La seule chose qu’il savait, c’était que sa mère était morte, visiblement lynchée pour un crime adultérin. En apprenant ça, Bonaventure avait stoppé toutes ses recherches. Il n’avait plus voulu savoir quoique ce soit…. Sa mère était morte assassinée et lui, il était la preuve même de sa culpabilité. C’était étonnant qu’on ne l’ait pas tué non plus -à croire qu’une bonne étoile veillait sur lui. « Est-ce que tu veux que je te prépare une infusion pour te détendre ou tu veux un massage ? » lui demanda-t-il afin qu’elle se sente bien auprès de lui et puis, il voulait tellement lui être utile. Cela le distrairait de ses sombres pensées pour le coup.
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Les remerciements étaient obligatoires. Bonaventure était un jeune homme formidable, avec le cœur sur la main, toujours à l’écoute de ses amis et toujours là lorsque l’on avait le plus besoin de lui. C’était cette personnalité que j’adorais chez lui et il était devenu absolument indispensable à ma vie. Bien que l’idée que nous soyons en couple m’ait déjà traversé l’esprit, je n’avais jamais réellement voulu m’engager avec lui, l’idée de perdre un ami aussi proche me faisant beaucoup trop peur. Bonaventure me dit qu’il n’y avait pas besoin que je le remercie mais pour moi, je ne pouvais pas laisser passer cela. Ses doigts caressaient mes cheveux, provoquant de temps à autres quelques frissons de bien-être, j’adorais que l’on me câline et que l’on me réconforte ainsi, et dans cette situation, cela me faisait un bien incommensurable. Je n’arrivais même pas à imaginer ce qu’il aurait bien pu se passer si je n’avais pas eu le jeune homme à mes côtés.

Je resserrai le jeune homme contre moi, l’étouffant presque tellement l’étreinte était refermée et restais ainsi, durant de longues secondes. Je respirais son odeur et le bruit de son cœur tapant dans mon oreille sur laquelle j’étais posée apaisait la moindre de mes tristesses. Puis soudain, il commença à parler, me demandant si je voulais un massage ou une infusion, quelque chose du genre. Je ne voulais absolument le déranger, il était presque quatre heures du matin et j’étais là, lui perturbant son sommeil, alors, je lui répondis : « Non merci… Ça ira Bona, tes bras sont déjà un grand remède pour moi… » Ma voix était basse et douce comme pour signifier que j’étais légèrement apaisée. Je me blotti contre le jeune homme, toujours un peu plus, laissant mes doigts se faufiler le long de son flanc. « Ça va aller ne t’inquiète pas… On a cours demain… Il faudrait qu’on essaie de dormir un petit peu.» Ajoutai-je tout en ravalant quelque peu ma salive, consciente que le sommeil était important pour les études…


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Amanda & Bonaventure
Amanda l’étreignait comme si elle craignait de le voir disparaitre ou plutôt comme s’il était un roc, une attache salutaire contre la tempête qui faisait rage dans sa tête. Bonaventure voulait bien être son soutien, son abri car il n’imaginait pas une existence sans cette femme. Certes, la nuit qu’ils avaient passé ensemble n’avait débouché sur rien d’autre qu’une complicité renforcée mais dans son cœur, Amanda y avait une grande place au même titre que Summer. Elle était importante à ses yeux et la voir si malheureuse le rendait fou de douleur. Oh comme il aurait aimé effacer sa souffrance d’un coup de baguette magique mais nous n’étions pas dans un film ou dans une fiction. La vraie vie était bien plus dure à supporter malheureusement. « Alors considère les comme tiens aussi longtemps que tu en auras besoin » murmura-t-il à son oreille en continuant de la câliner si elle se sentait mieux grâce à cela. Le jeune homme savait qu’il ne dormirait plus de la nuit. Au contraire, il allait employer son temps à veiller sur son sommeil quitte à repousser de toutes les façons possibles et inimaginables les cauchemars qui oseraient la tourmenter -encore un peu et il allait s’imaginer en armure de chevalier. « Tu as raison, essaie de fermer les yeux, je veille sur ton sommeil petit cœur… Tu es en sécurité dans mes bras, promis, je ne laisserai rien t’arriver » lui dit-il pour l’encourager à céder à nouveau à l’appel de Morphée.
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Son unique présence me réconfortait, ses bras devenant presque l’asile même de la paix et de la sérénité. Bonaventure provoquait en moi cette plénitude qui elle-même faisait éclore un bien-être hors du commun. C’était un garçon aussi chaleureux qu’apaisant et j’étais absolument heureuse d’être là, à ses côté et à l’étreindre comme je le faisais. Sa gentillesse était telle qu’aucun autre homme ne pouvait dépasser ce trait de caractère lui appartenant et j’avais toujours été admirative devant Bonaventure. Il me dit que ses bras devaient être miens autant de temps qu’il le faudrait, alors, je n’allais pas du tout m’en priver. S’ils pouvaient m’être d’un secours sans nom, alors j’allais en faire très bon usage. Je cessai légèrement de le resserrer, évitant ainsi l’étranglement et le regardai légèrement, la tête inclinée vers son visage. Puis il me dit qu’il allait veiller sur mon sommeil, m’appelant encore une fois petit cœur, comme un grand frère l’aurait fait et m’affirma que j’étais en sécurité ici. Reposant mon crâne contre sa clavicule, je resserrai mes mains sur sa peau chaude et fermai les yeux délicatement. « Je t’aime énormément… Bonaventure. » Finissais-je par dire.


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Amanda & Bonaventure
Amanda venait à nouveau de lui dire qu’elle l’aimait et à nouveau, il en ressentit une douche chaleur dans sa poitrine. Tendresse, affection, voilà ce qu’il ressentait actuellement. Cela n’avait rien de la réaction d’un amant face à la déclaration de la femme qu’il aime. Non, plutôt celle d’un ami face à celle pour qui, il ressent énormément de tendresse. Il avait bien conscience qu’Amanda n’était pas réellement amoureuse de lui, il l’avait compris très rapidement et comme avec Summer, il avait fini par prendre ses distances pour ne pas souffrir. Non pas une distance physique mais plus sentimentale qu’autre chose. La jolie blonde n’était pas pour lui ; Elle ne l’avait jamais été. Au départ, cela l’avait peiné car une nouvelle fois, il avait cru à une possible histoire entre eux mais quand elle le regardait, il n’y avait aucune passion, aucun amour latent. Juste de la tendresse. Alors, Bonaventure s’était fait une raison : être son ami restait la meilleure des façons de la côtoyer. A présent, il ne le regrettait plus car ainsi, il pouvait l’aider, la protéger du mieux qu’il le pouvait. « Je t’aime aussi petit cœur mais maintenant, il faut que tu dormes » lui dit-il en caressant ses cheveux. « Demain est un autre jour »
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