kiss me or kill me (leevy)

Cette soirée était juste complètement dingue. Ma réaction était complètement dingue. J'étais en train de l'embrasser putain. Elle venait d'essayer de me tuer, elle avait pointé un flingue sur moi et tout ce que je trouvais à faire, la meilleure solution que j'avais trouvé, c'était de l'embrasser. Bravo Rhodes, on voit que tu réfléchis dans la vie. J'étais qu'un putain d'idiot mais je continuais. Je lui demandais de rester chez moi. Comme ça, si soudainement dans la nuit elle voulait récupérer son flingue et me tuer, il n'y avait aucuuuuun soucis. Mais sur le coup, je ne pensais pas à ça. Non, je ne pensais qu'à mon envie de l'avoir près de moi, de pouvoir continuer de l'embrasser, de dormir en l'ayant contre moi. Je ne pensais qu'à mon bonheur en fait, il fallait le dire clairement. Je souriais légèrement à la suite de ses paroles et je l'embrassais de nouveau. Je la faisais basculer sur le canapé pour pouvoir me mettre au dessus d'elle, gardant mes lèvres contre les siennes et profitant un maximum. Je laissais glisser mes lèvres jusqu'à son cou pour y déposer quelques baisers. « Tu vas peut-être me prendre pour un fou, mais j'ai pas envie de dormir, j'ai envie de toi. » chuchotais-je doucement à son oreille, recommençant mes baisers dans son cou. Ouais, en fait, on devrait très certainement m'enfermer dans un hôpital psychiatrique, je devais avoir de très gros soucis mentaux pour vouloir coucher avec la fille qui venait d'essayer de me tuer. Help me.

Je ne pouvais pas me décrocher de ses lèvres. C'était clairement plus fort que moi, j'en avais besoin. J'avais horriblement besoin de ses lèvres contre les miennes. De la sentir près de moi, de sentir que pour une soirée, elle était à moi. Parce que tout le monde savait au fond que je la voulais plus que tout au monde. Me mettant au dessus d'elle, je continuais de l'embrasser, passant vers son cou. Je sentais que ça lui faisait de l'effet et c'était tout ce que je voulais. Cela me montrait que j'arrivais encore à lui faire de l'effet malgré tout et c'était plutôt pas mal, non ? Je riais légèrement après ses paroles. Il était vrai qu'on était rarement d'accord elle et moi. Alors que je continuais mes baisers, je sentais ses doigts glissaient sous mon tee shirt et elle me le retirait. Je la laissais évidemment faire, je ne risquais pas de me débattre et de refuser. Je souriais après ses paroles et je me relevais pour l'attraper tel une princesse parce qu'elle adorait cela, qu'on la traite comme une petite princesse. « Demandé aussi gentiment, évidemment. » rétorquais-je en riant légèrement. Je me dirigeais vers ma chambre, la gardant dans mes bras. J'ouvrais la porte et je la jetait sur le lit, avant de très rapidement me mettre au-dessus d'elle pour déposer un long baiser sur ses lèvres. Je me sentais horriblement bien pour le coup, j'avais envie de cela depuis tellement longtemps.

Je venais d'arrêter de réfléchir, de penser. J'avais mis mon cerveau sur off et je ne pensais plus qu'à ce que j'avais envie. Et là, j'avais envie d'elle, elle avait envie de moi, aucune complications, aucune raisons de refuser. Alors je l'embrassais, je déposais mes lèvres partout sur son cou. Je me laissais guider, parce que j'en mourrais d'envie au final. Je rêvais de ce moment depuis des années au fond, j'avais toujours voulu recommencer avec elle, ressentir ses lèvres contre les miennes, son corps aussi proches du mien, pouvoir faire ce que je voulais sans me dire qu'il y avait des obstacles. C'était presque trop beau pour être vrai. Je souriais en voyant son regard sur mon torse une fois mon tee-shirt retiré et je me relevais pour la porter comme une princesse. Une fois dans ma chambre, je la jetais sur le lit, revenant très vite au-dessus d'elle pour capturer de nouveau ses lèvres. Je la laissais prendre le dessus, avant de répondre. « On est deux alors ma belle. » répondais-je doucement alors qu'elle laissait tomber sa robe sur le sol... Oh mon dieu. Elle était encore plus parfaite que dans mes souvenirs, son corps était juste absolument parfait, de A à Z. Cette fille était parfaite en fait, tout simplement. Je profitais de ses baisers sur mon torse et je posais mes mains sur ma ceinture, commençant à l'enlever. Je la regardais avec un petit sourire, pour lui faire comprendre de finir.