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× Sam & Oliver ×
– Ouch, je suis un abruti maintenant? Mon pauvre cœur, ma chérie, tu le piétines! fis-je théâtralement en faisant la moue. Tu sais, remarquais-je plus sérieusement, c’est encore surprenant que tu aies une langue avec tes répliques acérées. Je ne sais pas d’où tu tiens cette réticence à mon égard et, honnêtement, c’est ton problème, pas le mien : je ne crois pas t’avoir insulté. Fais juste gaffe à ne pas te retrouver avec des brûlements d’estomac à force d’être aussi acide! Sur ce, moi, je vais me chercher un café digne de ce nom et ton cul d’aristo trouvera bien la sortie tout seul! lui souris-je. Adieu Miss Sam, ce fut un véritable honneuuuur de vous rencontrer! Ajoutais-je en exagérant l’effet. 

 
Je sortis du bureau, béquilles devant et mon sac en bandoulière, sans faire gaffe à ce qu’elle dirait ou ferait. J’aimais bien son côté mordant, mais pas de là à risquer de me faire bouffer le bras! Je me considérais sympathique et avec un caractère plutôt facile, malgré qu’on me reprochait souvent mon « je-m’en-foutisme ». Vivre et laisser vivre. C’était l’un de mes mots d’ordre. Pour certains j’étais trop mou, pour d’autres, cette façon de voir les choses rendait ma compagnie agréable. Blondine me classait probablement dans la première catégorie et ne voulait rien savoir de moi, alors ça ne servait à rien d’essayer de l’y forcer. Avec son tempérament, je finirais par manger une baffe bien sentie!  
 
J’avais peut-être piqué un peu plus que de raison et poussé le bouchon trop loin avec ce dernier semblant de conversation. Ça ne pouvait qu’augurer, à mon avis, que deux situations : soit je serais le pire des abrutis doublé d’un total goujat et j’étais bon pour ne plus jamais croiser sa route, soit je venais de briser la carapace en étant un peu plus raide dans mes réponses. La deuxième option me semblait néanmoins TRÈS peu réaliste. Autant partir à la recherche de la fin de l’arc-en-ciel! 
 
Je me trainai rapidement jusqu’à la sortie. À force de me coltiner ma blessure, j’avais réussi à prendre de la vitesse dans mes déplacements. Pas aussi rapide que courir, mais bon. Passant le portique d’entrée, je me dirigeai vers le bras de rampe des escaliers pour m’y laisser glisser. C’était devenu une habitude quand je le pouvais. Beaucoup plus facile que de sauter de marche en marche et ça m’épargnait plusieurs coup sur la cheville droite. Je n’avais besoin de me réceptionner qu’une seule fois, au lieu d’une dizaine. Mine de rien, au bout d’une journée, ça compte! Je m’assis sur la rampe, glissai et me réceptionnai, pas tout à fait gracieusement je l’accorde, mais tout de même. Une fois réappuyé sur mes béquilles, j’évaluai mes options.
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Ouch, je suis un abruti maintenant? Mon pauvre cœur, ma chérie, tu le piétines! Lol. Joues pas à ça toi. Tu sais, c’est encore surprenant que tu aies une langue avec tes répliques acérées. Je ne sais pas d’où tu tiens cette réticence à mon égard et, honnêtement, c’est ton problème, pas le mien : je ne crois pas t’avoir insulté. Fais juste gaffe à ne pas te retrouver avec des brûlements d’estomac à force d’être aussi acide! Sur ce, moi, je vais me chercher un café digne de ce nom et ton cul d’aristo trouvera bien la sortie tout seul! J'arquais un sourcil, surprise par la virulence de ces propos. C'était rare qu'on me parle aussi franchement et même si ça me faisait royalement chier et que j'avais envie de lui faire ravaler ces propos, ça me plaisait de voir quelqu'un qui n'avait pas peur de me parler franchement. C'est parce qu'il savait pas qui j'étais certainement. Enfin j'espère parce que si il parle comme ça aux dirigeants du monde, il est dans la merde. Il me suffisait de claquer du doigt pour qu'il lui arrive des merdes. Je pouvais le faire, j'en avais des fourmis dans les doigts même. Mais malgré que j'adorais montrer que j'avais du pouvoir, c'était le prendre en fourbe là. Adieu Miss Sam, ce fut un véritable honneuuuur de vous rencontrer! Eukaaaay. Casses toi voir donc pour voir si je suis mieux. Ah oui en effet. Une fois parti, l'air me semblait plus pur. Nan là c'est méchant et gratuit. Je sortis à mon tour, suivant ses pas étant donné que je prenais la même direction. Je l'observais de là où j'étais descendre les escaliers à sa manière. Monsieur fait dans le style lycéen désormais ? raillais-je au haut des marches, avant de descendre à mon tour. J'ai cru que tu allais te suicider tellement mes propos t'avaient touché. J'aurai été déçue je t'avoue. Nan, je me moquais pas du tout. Mais j'y pouvais rien. C'est dommage que j'ai du travail à préparer pour mon université, je t'aurai offert un café pour ton courage. C'est rare de croiser des braves gars comme toi qui osent me parler de cette manière. Ca aurait été mieux que les clés de la ville à ce niveau. Mais je dois travailler.
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Ou trouvez un café digne de ce nom aux alentours? Il n’était pas question de retourner au self du poste. L’eau de vaisselle n’était pas mon breuvage préféré.  
 
– Monsieur fait dans le style lycéen désormais?
 
Tiens, je n’aurais pas cru que le scénario deux serait le gagnant! Je me retournai pour la voir descendre les marches.  
 
– J’ai cru que tu allais te suicider tellement mes propos t’avaient touché. J’aurai été déçue je t’avoue. C’est dommage que j’aie du travail à préparer pour mon université, je t’aurai offert un café pour ton courage. C’est rare de croiser des braves gars comme toi qui osent me parler de cette manière. Ça aurait été mieux que les clés de la ville à ce niveau. Mais je dois travailler.
– Ne t’accorde pas autant d’importance, ma petite chérie. J’ai déjà fait face à des propos bien plus haineux que les tiens et je suis toujours en vie. Ce n’est pas pour tes atouts que ça changera. Raillais-je. Mais je suis flatté d’apprendre que je suis un phénomène rare, ajoutais-je en riant doucement. C’est déjà mieux qu’être classé comme un abruti finit!
 
Elle n’avait pas un caractère facile, mais elle m’amusait. Entretenir une conversation avec elle était difficile. C’était un challenge, à la limite. Je la regardai rapidement des pieds à la tête. Puis, mon regard se perdit sur la rue et je tournai pensivement le jonc sur mon annulaire droit. Il voisinait mon tatouage en forme de croix sur mon majeur. J’avais souvent ce tic lorsque je réfléchissais. Croiser quelqu’un a Boston, parlant d’université; forte chance qu’il soit inscrit au campus de Cambridge! Je m’étais renseigné sur les confréries lors de mon arrivée à Harvard, et je tentai de placer Sam dans l’une des différentes maisons. Mather House ne me semblait pas approprié, j’aurais pu avoir des surprises, mais j’avais des doutes. Whintrop House, pour les mecs, donc non. Quincy? Vu le caractère, peut-être pas, vu la bouille d’ange, peut-être. Je me risquai à manger une claque, espérant ne pas citer une maison rivale de la sienne. Je ne connaissais pas les guerres et alliances en cours.  
 
– Cabot, Dunster ou Eliot? demandais-je. Tu as parlé d’université, tu dois être à Harvard, c’est la meilleure dans les environs. Si tu y es inscrit, je doute que tu sois une simple students...
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Je m'étonnais moi même à toujours lui adresser la parole, mais je devais quand même lui céder le fait qu'il avait du culot et la société manquait énormément de personnes comme lui. C'était dommage. Alors même si je ne comptais certainement pas devenir sa meilleure amie ou petite amie, je pouvais au moins lui dire ce que je pensais réellement. Ne t’accorde pas autant d’importance, ma petite chérie. J’ai déjà fait face à des propos bien plus haineux que les tiens et je suis toujours en vie. Ce n’est pas pour tes atouts que ça changera. Je fis une grimace. Appelles moi encore comme ça et tu vas voir que mes propos seront bien plus haineux que tout ce que tu as pu entendre jusqu'à présent. Qu'il n'essaie même pas une seconde d'être familier avec moi. Même pas en rêve. Personne m'appelait comme ça et ça n'allait pas changer. Mais je suis flatté d’apprendre que je suis un phénomène rare. Ah bah voilà, égo flatté, donc sourire aux lèvres. Il en faut peu. C’est déjà mieux qu’être classé comme un abruti finit! Ah.. T'es pas passé loin de cette catégorie. Petite moue sur les lèvres, je finis par sourire à nouveau. Oliver semblait réfléchir de manière intense avant de reprendre la parole. Cabot, Dunster ou Eliot? J'haussais les sourcils, surprise d'entendre une telle remarque. Tu as parlé d’université, tu dois être à Harvard, c’est la meilleure dans les environs. Si tu y es inscrit, je doute que tu sois une simple students... Damn. J'étais.. choquée. Et toi, mec lambda, tu connais quelques noms de confréries comme ça ? Il était nouveau dans le coin qu'il m'avait dit, il pouvait pas être sur le campus. Et je suppose que tu me vois dans une des trois que t'as cité. Je me sens flattée. Cabot, Dunster et Eliot étaient trois maisons extrêmement prestigieuses et qui auraient pu me correspondre. Mais loupé, aucune des trois. Presque. Try again. Et nan, je suis pas un mec derrière ces habits, si tu oses te demander ça. Je suis pas une travestie ou un transgenre, vas voir ailleurs pour ça.
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J’eus un sourire en coin lorsqu’elle souleva le fait que je l’avais appelée « ma petite chérie ». Je ne sais pas si elle avait cru que je faisais dans l’affectif, mais, pour moi, c’était surtout un sarcasme. Et ça revenait par habitude. Depuis des années, les filles qui se la jouaient nombril du monde passaient par le surnom de « petite chérie ». Du coup, je testerais probablement l’acidité des propos de Sam à un moment ou un autre. Je doutais qu’elle explose les records auquel j’avais fait face, mais bon.  
 
Je laissai couler lorsqu’elle affirma que je n’étais pas passé loin de la catégorie des abrutis finis. Ce n’était pas une primeur. Et dépendamment de mes réponses, je pourrais atterrir dans cette catégorie sans trop de difficulté. On jouait au yo-yo.  
 
Lorsque la conversation prit le tournant vers l’université, elle sembla surprise.  
 
– Et toi, mec lambda, tu connais quelques noms de confréries comme ça?
 
Lambda? J’évaluai, puis hochai la tête. Je pouvais le lui accorder. Comparé à sa prestance et son luxe, j’étais quelconque. Petite chérie ne décrochait pas. Je retins un soupir.  
 
– Et je suppose que tu me vois dans une des trois que t’as cité. Je me sens flattée.
 
Flattée? Oh Miracle!
 
– Mais loupé, aucune des trois. Et nan, je suis pas un mec derrière ces habits, si tu oses te demander ça.
– Même un aveugle n’oserait le demander, fis-je en roulant les yeux. Ça t'arrive souvent de te voir dans un miroir?
 
Elle me prenait vraiment pour un demeuré ou n’avais aucune conscience de sa silhouette. Des tas de mecs devaient lui courir après sans qu’elle ne s’en rende compte. Si son caractère ne les avait pas effrayés. Je ris légèrement en pensant à la tête que devait faire ses prétendants en réalisant qu’elle n’avait d’angélique que l’apparence. Cependant, elle ne devait pas être QUE acerbe. Si?  
 
– Heureux que tu te sois sentie flattée. Et si je connais les confréries, c’est que je me suis inscrit à l’une d’elles, donc j’ai dû me renseigner. Grand privilège pour un type aussi quelconque et moyen que moi, j’imagine. Selon ton point de vue.  
 
Je faillis en ajouter une couche, mais décider de me taire. Je changeai l’appui sur mes béquilles, cherchant un peu de confort.  
 
– Serais-je toujours un possible obsédé compulsif si je te propose de continuer ce charmant badinage dans un café? Mine de rien, j’ai mal à la jambe. Ajoutais-je, cherchant toujours une position confortable. Mais, je ne te retiens pas, tu peux toujours retourner à tes travaux scolaires.
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Honnêtement, peu de personnes pouvaient deviner ma confrérie. Quand j'avais dû annoncer à mes parents que je refusais d'aller à la Eliot House pour la Lowell House, j'ai cru qu'ils allaient me renier à jamais. Enfin que ma mère allait le faire, mon beau père j'en ai rien à faire pour être honnête. Mais vu la tronche qu'ils ont tiré tous les deux, je m'attendais à quelque chose de terrible. Donc si même eux qui me connaissent quand même un minimum ont été surpris, Oliver risquait de l'être forcément. Surtout que je pense qu'il avait compris que j'étais une de ces personnes que tout le monde déteste, si.. Eliot. Même un aveugle n’oserait le demander. OOOOH. Oooooooooh. Serait-ce un compliment de la part de ce jeune homme ? Peut être bien. Ça t'arrive souvent de te voir dans un miroir? POPOPOOOH, ça se confirme. Okay, je me tais. Je suis pitoyable mon dieu. Mais ça me fait rire. Parce que son ton m'insupporte à vouloir sortir la réplique de la muerte face à moi, mais en temps, c'est cette impertinence qui me charmait d'une certaine façon. Paraît que la vanité est un péché mortel, alors je me protège. C'est vrai. Nan mais en vérité, c'est vrai que je faisais attention aux apparences, mais plus pour jouer un rôle que pour moi vraiment. Alors, est-ce que j'étais jolie ? Aucune idée. Est-ce que je me plaisais ? J'en avais pas la moindre opinion dessus. Mais est-ce que j'étais assez bien pour faire ce que je voulais des gens autour de moi ? Tout à fait. C'est donc parfait. Heureux que tu te sois sentie flattée. Et si je connais les confréries, c’est que je me suis inscrit à l’une d’elles, donc j’ai dû me renseigner. Grand privilège pour un type aussi quelconque et moyen que moi, j’imagine. Selon ton point de vue. J'haussais un sourcil, surprise. Il me prenait au dépourvu, vraiment, parce que les confréries, ouai ça coûte cher. Donc il est quand même pas si pauvre et sdf qu'il en avait l'air. Ca me donne moins mauvaise conscience pour le fréquenter, c'est ça de pris. Je me demande où il est allé lui. Je dirai Dunster. Sont impertinents là bas, à se croire maîtres du monde, mais de manière plus fourbes que les Eliots j'ai envie de dire. Serais-je toujours un possible obsédé compulsif si je te propose de continuer ce charmant badinage dans un café? Mine de rien, j’ai mal à la jambe. Je baissais le regard vers sa jambe. Je m'étais jamais rien cassée, je peux pas compatir. Puis, il avait été un abruti de toute façon. Mais, je ne te retiens pas, tu peux toujours retourner à tes travaux scolaires. Je réfléchissais un instant avant de répondre. Toujours oui. C'est un obsédé compulsif idiot. Mais ça se tente je pense. Et puis je suis trop miséricordieuse, je peux pas voir un pauvre gars souffrir le martyr comme ça. Non, pas de moqueries dans la voix. On trouvait un café pas loin et nous nous installions. Erk, c'est cheap comme endroit, je suis pas habituée. J'aime pas ça. Je vais pas rester longtemps. Je pense que ma tolérance est vraiment mise à trop rude épreuve, je vais pas m'éterniser. Mais c'est pas contre toi. Le pauvre, il risque de le prendre mal. Alors dis moi voir, quelle confrérie t'a accepté en bizut ?
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Je lui avais demandé si nous pouvions continuer cette conversation dans un café, car j’avais de la difficulté à trouver une position confortable sur mes béquilles. Au regard et à la réponse qu’elle me fit, je compris que j’étais toujours à classer parmi les abrutis de bas étages. Je me retins de soupirer. Y’avait-il quelqu’un qui ne le serait pas comparé à elle? Selon son point de vue, évidemment.
 
– Mais ça se tente je pense. Et puis je suis trop miséricordieuse, je peux pas voir un pauvre gars souffrir le martyr comme ça.
– Tu es trop bonne pour ma petite personne, exagérais-je en la jouant la main sur le cœur.  
 
Nous avions dû parcourir quelques mètres à peine pour trouver un café. À peine étions-nous entrés que je vis l’expression de Sam changé légèrement. Je lui tapais sur le système, mais elle semblait tout de même m’endurer. En revanche, l’endroit n’avait rien pour lui plaire. C’était un café comme je m’attendais à en trouver près d’un poste de police. Un dîner. Avec une mode restée figée dans les années 80-90. Plancher de lino, banquette de vinyle, derrière de bar en métal. Le tout m’arracha un sourire tandis qu’une grimace étira le visage de Sam alors que nous prenions place à une table.  
 
– Je pense que ma tolérance est vraiment mise à trop rude épreuve, je vais pas m’éterniser. Mais c’est pas contre toi.
– Bienvenue parmi le commun des mortels, ricanais-je. Même si c’est rétro et coincé dans les années 80, souris-je.  
– Alors dis moi voir, quelle confrérie t’a accepté en bizut?
– Je suis curieux de savoir à quelle maison tu m’associes, répondis-je, déviant la question en prenant une gorgée de café. J’ai tenté de le deviner pour toi, malgré que j’aie échoué, alors essaie un coup pour voir. De mon côté, je sèche un peu, je le reconnais. En tête, il ne me reste que Quincy, mais j’ai de sérieux doutes, ajoutais-je en fouillant dans mon sac.  
 
Je sortis un comprimé de sa bouteille et l’avalai avec une nouvelle gorgée de café. Avisant Sam devant moi, je clarifiais. Des plans pour que je ne passe au stade drogué.  
 
– Ce n’est qu’un antidouleur. Au cas où tu voudrais ajouter « junkie » à mon étiquette déjà peu flatteuse d’« imbécile heureux ».
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Tu es trop bonne pour ma petite personne, T'as tout à fait raison et bon nombre des personnes que je fréquentais d'ordinaire t'auraient déjà abandonné à ton triste sort. Je suis une marraine la bonne fée version bien habillée et bien plus riche, plus jeune. On arrivait dans un café et je fis une grimace en découvrant le décor qui me charmait mais alors absolument pas si je devais être honnête. C'était bien trop... paysan, peuple, poussiéreux. Je suppose que certaines personnes aiment ce genre d'ambiances vu qu'il y avait des gens. Tous du bas peuple. Je me sentais pas chez moi, mais alors pas du tout. Bienvenue parmi le commun des mortels, Ouai, c'est gentil. Mais j'préfère être au dessus quand même, c'est bien mieux. Même si c’est rétro et coincé dans les années 80. Je ricanais. Trouves pas d'excuses, c'est juste laid. Et mal entretenu en plus. Enfin, pour mes critères. On se mettait assis, les cafés arrivant bien vite. Bas de gamme. Naturellement. J'aurai dû m'y attendre. Je suis curieux de savoir à quelle maison tu m’associes. Ouai, normal. J’ai tenté de le deviner pour toi, malgré que j’aie échoué, alors essaie un coup pour voir. De mon côté, je sèche un peu, je le reconnais. En tête, il ne me reste que Quincy, mais j’ai de sérieux doutes. J'éclatais de rire à sa dernière supposition. Je pense que même Winthrop m'irait mieux que cette maison. Les africains qui mourraient de faim ? Lol. Les petits sdf ? Lol. Y a juste les maladies qui me touchaient. Parce que ma cousine en était atteinte. Ce n’est qu’un antidouleur. Au cas où tu voudrais ajouter « junkie » à mon étiquette déjà peu flatteuse d’« imbécile heureux ». J'arquais un sourcil. Heureusement que tu le dis, sinon, j'aurai été contrainte de te laisser ici. Je détestais toutes les personnes qui fumaient. Je trouve ça.. malpropre et profondément abruti. T'es pas un mather alors je suppose ? Tant mieux. Eliot, on élimine direct. Cabot aussi, à moins que tu sois un.. transgenre. J'étais dégoûtée par ce mot, c'était plus fort que moi. Ptete Quincy vu que t'as l'air de voir le bon en chacun de nous, mais t'as quand même du caractère. Oui pour moi les quincys n'ont pas de caractère, trop bon trop con comme on dit. Dunster je sais pas. T'as pas l'air idiot. Profites compliment. Lowell, ça m'étonnerait, j'ai pas le feeling. Je te veux pas avec moi surtout. Je pars sur dunster.
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Après la prise de mon anti-douleur, j'avais cru bon de préciser à la demoiselle qu'elle pouvait oublier l'idée d'apposer "junkie" à côté de mon nom.  

- Heureusement que tu le dis, sinon, j'aurai été contrainte de te laisser ici.

Sa réponse ne m'étonna pas particulièrement. Rien pour entacher sa personne. Toute drogue ou alcool ne serait pas admise dans son univers. Comptait-elle les calories de chaque grains de riz? Peut-être. J'eux un sourire en coin. Une tranchée profonde séparait nos styles de vie, comment avait-on trouver un passage temporaire pour une conversation? Harvard et ses maisons était, à son grand étonnement, notre point commun; une passerelle fine, un pont de cordage qui pouvait facilement céder.

J'avais épuisé la liste des confréries qui me venaient en mémoire. Je ne pensais pas en avoir oublié une et, ma dernière chance, je l'avais laisser sans aucune conviction : Quincy House. Elle confirma mes doutes sans peine : Miss Sam n'était pas la prochaine Mère Thérésa, elle ne rêvait pas de la paix dans le monde et ne campagnait pas pour fournir de la nourriture et de l'eau saine aux pays défavorisés.

- T'es pas un mather alors je suppose ? Tant mieux. Eliot, on élimine direct.

Elle essayait de me classer et sa tenacité dans son classement me surprenait mine de rien. Autant avais-je chercher à la placer avec l'élite, autant me retirait-elle, de fait, cette possibilité.

- Cabot aussi, à moins que tu sois un.. transgenre.
- T'as de la difficulté avec le mot "transgenre"? Demandais-je, un sourcil levé, après qu'elle aie marqué un temps pour le dire. Non, je n'en suis pas un.
- Ptete Quincy vu que t'as l'air de voir le bon en chacun de nous, mais t'as quand même du caractère.

Je ris. Si je ne lui avait pas répondu en sortant du bureau de Jay, je n'aurais pas été dans la possibilité de seulement m'interposer à son verdict. Pour elle, les Quincys semblait être une sorte de brebis innofensive qui essayait de boire les rayons du soleil.

- Je suis un positif, mais j'ai trop de problèmes dans ma propre vie avant d'essayer d'aller sauver le monde. Alors non, effectivement, je ne suis pas un bizut de Quincy.
- Dunster je sais pas. T'as pas l'air idiot.
- Trop aimable, notais-je en prenant une gorgée.
- Lowell, ça m'étonnerait, j'ai pas le feeling.

Je me retins d'éclater de rire. Ha bon, vraiment?

- Je pars sur dunster.

Étais-je de retour à la case "idiot"? Pourtant, j'avais cru comprendre que la plupart des Dunsters étaient de grands fonceurs et d'ambitieux leaders. Quoi que ça, c'était sur papier. De la théorie. La pratique était peut-être tout autrement, je n'étais pas ici depuis assez longtemps pour juger.

- Loupé, souris-je. Pourquoi, tu n'as "pas le feeling" que je puisse être un Lowell? Dis-moi, je suis curieux. Sinon, il ne te reste qu'un choix... lui fis-je remarquer.
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T'as de la difficulté avec le mot "transgenre"? Uuuuuuugh me dis pas ça putain. Je le regardais avec un froid, limite tranchant. Là, je rigolais vraiment pu du tout. Si il faisait parti de cette catégorie de personnes ça n'allait mais alors pas du tout le faire. Non, je n'en suis pas un. Merveilleux. Au moins un soulagement qui était bien présent dans mon corps suite à cette annonce. Ca ne devrait même pas être un mot pour les humains. Ptete pour les rats d'expérience mais c'est tout. Ca devrait même pas exister. Abomination serait le mot le plus adéquat je trouve et c'était pathétique comment les gens étaient rapidement outrés quand j'entrais en débat avec eux sur ça. Je continuais par la suite ma quête de la confrérie parfaite pour le jeune homme. Je suis un positif, mais j'ai trop de problèmes dans ma propre vie avant d'essayer d'aller sauver le monde. Alors non, effectivement, je ne suis pas un bizut de Quincy. Cool, au moins, il avait vraiment du caractère, il se donnait pas juste un genre. Trop aimable, Je sais, toujours. C'est cadeau. J'lui fis un petit sourire pour dire genre "de rien", avant de terminer ma recherche avec un "dunster". Loupé Outch. Et pourquoi il rigole quand je dis que je le vois pas Lowell ? J'suis pas conne, je sais ce que ça veut dire et ça me fait..... chier ? Ouaip. Puis non. Ca me saoule moins qu'au début de la conversation. Pourquoi, tu n'as "pas le feeling" que je puisse être un Lowell? Dis-moi, je suis curieux. Sinon, il ne te reste qu'un choix... J'haussais les épaules. T'es lowell c'est ça ? lui demandais-je doucement, sourire en coin. Je sais pas, j'te vois pas trop dans l'art, t'as l'air plus dur comme gars d'une certaine manière. Tu corresponds pas au cliché en somme.
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