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Pas de nouvelle, bonne nouvelle ? (Abby)

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Pas de nouvelles, bonne nouvelle. Ok, c’était ce que l’on disait, mais là pas de réponses à mes appels pour lui souhaiter la bonne année, ça m’inquiétait. Surtout que depuis son hospit pour saignements, je n’avais guère eu de news de la blondinette. Pourtant, elle était enceinte de jumeau, une grossesse compliquée dès le début, et elle m’avait promis qu’elle me tiendrait au courant de son état et de l’avancée des choses. Au début, je m’étais dit que c’était surement parce qu’elle était sur son petit nuage de bonheur avec Ed’, je m’étais rassuré ainsi, mais là je commençais à douter. Et le meilleur moyen d’en avoir le cœur net, c’était d’aller vérifier par moi même. Arrivant devant la porte de la grande villa de la demoiselle, je frappai avec le ventre serré, un mauvais pressentiment m’oppressant un peu. Je n’arrêtais pas de me répéter que si il lui était arrivé quelque chose, la jeune femme m’aurait informé, nous étions plutôt proches tous les deux…
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J'étais si mal. J'étais venue une dernière fois a la villa ou Eden et moi nous vivions pour récupéré mes affiares, oui j'aurais pu envoyé quelqu'un le faire a ma place mais j'ai pas envie qu'il ramasse ma lingerie. J'avais pris mes affaires, je venais de remplir les sac je m'étais trouvé une très belle villa sur boston ou m'attendais déjà mes animaux. Le refuge ce trouvais a 10 minutes en voiture. Je revenais dans cette maison pour la dernière fois. Une seul chose m'envahie de chagrin c'étais voir la fleur bleu eternelle. C'est la que la rage et le chagrin parlais. Je la prenais pour l'explosé par terre. J'avais envie de tout cassé dans cette foutu villa. Je me mettais a cassé la Vaisselle
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J’étais devant la porte, à attendre. J’appuyai sur la sonnette à nouveau. Il y avait du bruit à l’intérieur alors pourquoi Abby, ou l’un de ses domestiques, ne venait pas m’ouvrir ? Je rappuyai nerveusement, toujours plus inquiet. Et comme finalement, l’entrée restait close, je saisis la poignée et appuyai dessus. La porte s’ouvrit, elle n’était pas verrouillée. Et j’entendis sur le champ un grand fracas qui provenait des cuisines. Je courus presque jusqu’à la source de tout ce bruit, m’attendant presque à tomber sur des cambrioleurs, sauf que je ne trouvais qu’Abby. Abby déchainée, en furie, qui balançait toute sa vaisselle. Je la saisis doucement mais fermement par les épaules. « Abby, doucement !!! Calme toi ! Fais attention, pense aux bébés ! » Mais bon dieu que s’était-il passé pour qu’elle soit dans un tel état ?
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J'étais dans tout mes états, je commançais a balancé la vaisselle j'avais besoin de me défoullé. J'avais envie de tout cassé, de detruire cette villa ou sois disant on allait être heureux. Cette villa ou on devais élévé nos enfants. Je n'en pouvais plus j'explosais tout. Je sentais les mains me saisir, je me retrouvais face a Priape. Il me disait de me calmé de pensé au bébé
" Ya plus de bébé y a plus personne! " Je me defaisait de son entreprise pour reculé. J'avais besoin de picolé. J'attrapais la bouteille de voska pour boire a la bouteille.
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J’avais fait une terrible boulette parce qu’Abby me rétorqua qu’il n’y avait plus de bébés. « Qu’est-ce que… » Je restais interloqué alors qu’elle ajoutait ensuite qu’il n’y avait plus personne… Je compris par là qu’elle faisait référence à Eden. Donc elle n’était plus enceinte, son petit ami n’était plus là… J’en avais manqué des choses. Abby se dégagea de mon emprise pour fondre sur la première bouteille qu’elle trouva, l’amenant à sa bouche pour boire au goulot. « Arrête Abby, doucement tu vas te rendre malade. » Je me rapprochai d’elle et essayai d’attraper la bouteille des mains. « Dis moi ce qui se passe… Ce qui s’est passé… » Et dire que je l’avais pas harcelé de messages ou de coups de fils, pensant qu’elle était sur son petit nuage avec son chéri, son prince. Je culpabilisais pour le coup. Mais qu’est-ce qui avait bien pu arriver ? La dernière fois que l’on s’était vus tout semblait vraiment bien parti.
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Je venaid de commençé a boire augoulot. J'avais envie de pensé a autre chose de picolé de me faire du mal, parce qu'en fin de compte s'il est partie c'est a cause de moi... Priape attrape la bouteille pour évité que je picole encore.
"Il c'est barré c'est un connard!" En même temps que je disais ces mots sa me fait terriblement mal...
"Joyeuse année 2016! il c'est barré dans la nuit du 1 ier janvier avec toute ses affaires sans un mot sans rien!" C'et la ue finalement je m'écroulait et que je me mettais a pleuré
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J’arrivais pas à y croire. Abby m’avait dressé un portrait tellement parfait de son prince, que lorsqu’elle m’avoua qu’il était parti, ajoutant que c’était un connard, ça me laissa d’abord sans voix. Bien sûr l’amour rendait aveugle, c’était le dicton, mais j’aurais aimé que la blondinette ait vu juste avec ce type, que ça soit véritablement l’homme parfait et le grand amour de sa vie. La demoiselle me confia exactement dans quelles conditions la rupture s’était produite avant de s’écrouler et de se mettre à pleurer. Je la saisis, l’attirai contre moi pour l’enlacer avec tendresse. « Hey… Viens là Abby… Je suis tellement désolé. Je savais pas… Je… » Ma main caressa ses cheveux avec douceur en espérant réussir à canaliser son chagrin et calmer un peu ses sanglots. « Ca te ferait du bien si je te racontais que moi aussi je me suis fait largué le premier janvier… » Bon pour ma part, je n’étais pas depuis aussi longtemps avec Brynn qu’elle elle l’était avec Eden, je n’avais pas de projet bébé avec la blonde, alors non, ce n’était pas comparable. Mais peut être de savoir qu’on était deux célibataires fraichement largués ça pourrait au moins la consoler un peu. « Je crois que cupidon en a après nous Abby… » Je tentai un peu d’humour. N’importe quoi pour la faire retrouver un peu sa contenance avant qu’elle ne démolisse à nouveau sa baraque.
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J'explosais en larme en me serrant contre lui, je sentais ses bras. J'ai tellement mal, j'ai l'impression que mon coeur est consumé par les flammes. Il me disait qu'il c'étais fait largué lui aussi le premier janvier, surment la fameuse blonde. En même temps moi je voulais le voir avec la mère de sa fille, mais j'étais pas d'humeur a parlé de tout ça.
"Pri... Je le hait... J'en peu plus... " Je l'aime mais je le deteste tout autant.... C'est Attroce... abomonable je n'en peu plus.
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 Abby était en larmes. Elle me souffla qu’elle haïssait Eden, qu’elle n’en pouvait plus. « Abby calme toi, respire un coup… » lui conseillai-je en passant ma main dans ses cheveux avec douceur espérant réussir à l’apaiser un peu. Je l’entrainais ensuite vers une chaise. « Assieds toi un peu. » Saisissant une chaise pour moi, je m’installai face à elle en la regardant avec sérieux. Je pris ses mains dans les miennes pour commencer à la questionner avec prudence, dans le but de comprendre un peu comment elle en était arrivée là. « Que s’est-il passé ? » Je ne l’avais eu qu’une seule fois au téléphone le garçon, mais il m’avait paru sincère et attaché à la princesse. Alors je voulais saisir ce qui avait entrainé la fin de leur couple.
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Je me laissais faire par Priape... Je m'assayeais enface de lui et je ne desserais pas ces mains. J'avais besoin de sa pour resté connecté a la vrai vie a maintenant. Pour ne pas sombré dans la rage. Il voulais savoir ce qui c'était passé...
"Il c'est barré c'est tout" Je lachais les mains de Priape pour me lever et tourné en rond j'avais besoin de bougé.
"Bonne année Abby, c'est ça!!! Il c'est barré le soir du 31, quand je dormais pas une explication rien!!!!!" Je commencais a tourné comme un lion en cage.
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