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Looking at the stars, I can see nothing but you (ft. Paris)

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Paris & Summer

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J’avais réussi à me détacher de Paris non sans éprouver une douleur au ventre à l’idée de ne plus le sentir contre moi, et je le regardais en baissant la tête : il était encore à genou et avait l’air d’un gamin capricieux et au moins je me sentais soulagée de voir que je n’étais pas la seule à être frustrée. Sa remarque me fit rire discrètement et j’attrapais la couverture à mes pieds pour la déplier, la secouer un peu, tandis que Paris commençait à geindre en disant qu’il ne voulait pas s’installer convenablement, qu’il avait juste envie de moi. J’allais répliquer quand je sentis une main m’attraper la jambe pour me faire perdre l’équilibre ; Paris m’attendait à la fin de ma chute pour me faire tomber dans ses bras et de plus me lâcher. J’avais émis un petit cri de surprise et au moment où Paris m’enlaça, je me mis à lui répondre avec la même voix encore empreint de frustration « Mais moi aussi j’ai envie de toi, t’imagine pas à quel point… » Je gardais la couverture dans une de mes mains tandis que je posais l’autre sur la joue de mon petit-ami avant d’y déposer mes lèvres par la suite « Mais tu viens de dire que tu voulais que ce soit romantique et…OOooohh, j’ai pas envie de contrecarrer tes plans ou de te presser parce que j’arrive pas à me contenir ! » Pas le temps de lui en dire plus que déjà, Paris s’emparait de mes lèvres et je l’accueillais sans aucune restrictions. Et ce qu’il fit ensuite, cette déclaration, me rendit complètement folle. Je ne me contrôlais plus : la seule chose que je réussissais à faire sans trop trembler de désir, c’est de passer la couverture autour de nous pour nous couvrir. Le reste après cela, n’était que geste imprécis, précipitée parce que plus Paris parlait, plus il faisait monter la température et plus j’avais envie de le lui arracher ses vêtements et prendre possession de son corps. Mes mains tremblantes se posait sur son visage, le tenant en coupe au niveau de ses mâchoires tandis que je multipliais les bisous sur son front, ses joues, son nez, sa bouche que je picorais entre chacun de ses mots ; mes mains descendirent ensuite dans son cou, et agrippait la fermeture éclair de son blouson pour l’ouvrir. Je fis descendre la glissière jusqu’en bas de son manteau mais ne prit pas le temps de la détacher que je m’attaquais déjà à sa chemise plaid en dessous, déboutonnant le col pour m’emparer très vite de son cou pour embrasser sa peau et la mordiller gentiment.

Paris finissait son discours et je me détachais un instant de sa peau pour le regarder intensément. Mes yeux habituellement d’un bleu très clair s’étaient noircis de désir, mes pupilles dilatées à leur maximum alors que je prenais rapidement conscience de ses dernières paroles. Une légère incompréhension me traversais en cet instant et j’interrogeais Paris pour mieux comprendre : « Pourquoi t’as attendu si longtemps pour le faire alors ? Simplement parce que tu voulais être romantique ? » Je ne le lâchais pas du regard parce que ce dernier me répondait sans avoir besoin que Paris me le confirme avec ses mots « Oh mon dieu, t’es complètement de fou... » Déclarais-je avant de me précipiter sur sa bouche pour l’embrasser avec toute la force de mon désir. « T’as pas besoin d’aller jusqu’à organiser tout un rendez-vous idyllique pour me plaire ! » arrivais-je à articuler pendant notre baiser, et je m’écartais à nouveau pour nous stopper net et je le rassurais cependant : « Attention ça ne veut pas dire que ça ne me plait pas, hein ? C’est parfait mais…bon sang, tu imagines même à quel point tu m’as fait douter en agissant comme tu l’as fait » concluais-je en souhaitant être la plus sincère du monde avec lui. Je baissais alors la tête pour déboutonner un peu plus sa chemise, et je me posais ensuite mes mains sur ses épaules pour l’orienter sur le côté et le forcer à s’allonger sur le sol tout en reprenant la parole « J’ai envie de toi pour ce que tu es ! Parce que tu DOIS être... » De là, je ne perdis pas de temps pour l’enjamber à califourchon, mes gestes étant tout aussi tremblants et peu sûrs que tout à l’heure parce que je voulais faire tellement de chose à la fois que je ne savais plus où donner de la tête. Je voulais le caresser, l’empoigner, me coller à lui mais j’avais également tellement envie de gouter sa peau, de lui retirer tout ce qu’il y avait autour et qui me dérangeait au plus haut point ! J’attrapais à nouveau la glissière de son manteau pour ouvrir complètement le manteau et j’écartais ensuite les pans de sa chemise pour me pencher en avant sur lui et venir butiner son torse de baisers. Mon dieu, sa peau m’avait tellement manqué. Tout en parsemant de baiser sa peau brûlante, mes mains descendaient dangereusement sous son abdomen pour venir défaire la boucle de sa ceinture qui tenait son jean.


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Summer & Paris
Paris n’avait pas dans l’intention de se détacher de sa petite-amie, pas maintenant qu’il avait fait taire sa conscience. Il ne voulait plus se poser de question juste ressentir et cela passait par les lèvres de sa petite-amie, par son corps. « Oh si justement, j’imagine très bien parce que je te désire plus que tout » lui répondit-il alors qu’elle l’embrassait sur sa joue. « Oublie mes plans bébé, laisse toi simplement aller ! On verra plus tard pour les étoiles, elles vont pas partir sans nous et au pire, elles seront toujours là demain » ajouta-t-il pour la convaincre. Il alla même jusqu’à se lancer dans un petit monologue qui sembla rendre sa petite-amie folle de désir. Il pouvait sentir ses lèvres, ses mains qui le déshabillaient. Lui-même ne resta pas longtemps inactif, lui ôtant son manteau, son pull. « Bon sang, tu as combien de couches de vêtements sur toi ? Je dois m’attendre à une ceinture de chasteté ou quoi ? » grogna-t-il  tant il voulait sentir sa peau contre la sienne sans barrière d’aucune sorte.

Le jeune homme aida sa compagne en se débarrassant de son propre manteau ainsi que sa chemise. Torse nu, il frissonna de plaisir plus que de froid. Il ne ressentait pas les basses températures qui lui mordaient pourtant la peau à cause du léger vent qui balayait leurs corps. Summer les entoura de la couverture et il se glissa sur elle, ses lèvres ne quittant pas les siennes, partageant baisers passionnés sur baisers passionnés. Il avait beau la toucher, son contact ne suffisait pas à le contenter tant il avait besoin d’elle. « Je voulais juste que tout soit parfait pour notre première fois, je voulais que tu comprennes combien tu comptes pour moi » marmonna-t-il entre deux. Paris souleva le bas de son débardeur pour le faire passer au-dessus de sa jolie tête blonde, prenant enfin conscience de la merveilleuse pièce de lingerie qu’elle dissimulait. « Ouaw… ce genre de surprises, tu peux m’en faire autant que tu veux » murmura-t-il en partant fébrilement à la conquête de son cou. Dire qu’il y a encore quelques heures, il se voyait lui faire l’amour tendrement. Là, à la place il avait l’impression d’être un animal sauvage en rut prêt à sauter sur sa petite-amie comme si elle n’était qu’un bout de viande.

Bon ce n’était pas tout à fait le cas car il l’adorait trop pour ne voir en elle qu’une conquête lambda. Summer glissa alors ses doigts le long de son abdomen pour buter contre la boucle de sa ceinture ce qui lui arracha un faible gémissement. Paris repoussa ses mains baladeuses pour les plaquer au-dessus de sa tête, un sourire charmeur aux lèvres. « Doucement sinon je vais perdre tout contrôle… laisse-moi te dévorer mon ange »murmura-t-il à son oreille dont il en mordilla le lobe avec sensualité.

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Paris & Summer

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Ça ne faisait que deux semaines que Paris et moi étions ensemble, deux semaines sans sexe, mais à nous voir là, on aurait pu croire que l’attente avec été plus longue que ça ! Bon faut me comprendre : J’ai la chance d’avoir un petit ami bien bâti, sexy en diable, hyper attirant, et tellement adorable ! Normal que je puisse avoir envie de lui sauter dessus ?! Alors certes, j’avais voulu respecter les choix de Paris et faire taire mes ardeurs pour passer une soirée romantique en amoureux comme il l’avait organisé…Mais Paris lui-même avait fini par tirer un trait sur ses plans, alors je n’allais tout de même pas me faire prier ? J’avais envie de lui comme jamais je n’avais désiré un homme avant lui, et rien que le fait de savoir cela me faisait tourner la tête. Je me rendais compte que j’étais déjà dépendante de lui, de son affection, de son amour…et en seulement deux semaines!! Quelqu’un d’extérieur à la situation m’aurait sans doute signifié à quel point j’étais ridicule, mais je m’en fichais royalement. J’étais bien dans les bras de mon petit-ami, j’étais aimée, respectée, et rien que ça, c’était déjà suffisant pour moi et mon petit cœur.

Bon je parle de sentiments, d’émotions, d’amour et tout le tralala, parce que je ne voudrais pas qu’on croit que mes actes à l’heure actuelle soient qualifiées de purement sexuels et sauvages ! Okay, on se lâchait, et d’un point de vue extérieur on aurait très bien pu passer pour des sauvages... Mais je peux garantir sur tout ce que j’ai de plus cher que je suis bourrée de sentiments en ce moment-même ! J’le jure !! Bourrée aux hormones aussi, mais ce n’est pas là la question….J’étais en train de déshabiller difficilement Paris tellement mon excitation me faisait faire un peu n’importe quoi, et pendant que Paris m’assurait qu’on pouvait oublier les étoiles, je marmonnais dans la précipitation « Des étoiles ? Quelles étoiles, je n’sais pas d’quoi tu parles ». C’était ma manière à moi de lui dire que ça y’est, fallait pas me le dire deux fois : j’avais bien oublié ses plans romantiques !

Les mains de Paris se joignait finalement à la partie déshabillage tandis que je lui embrassais le cou, étirant mes bras vers l’arrière le temps qu’il puisse me retirer mon manteau ; et à peine les manches étaient passées sur mes poignets que déjà, je reposais mes mains sur son corps pour finir de déboutonner son chemisier. Un bouton, deux boutons, et me voilà à nouveau couper dans mon élan – pour la bonne cause cette fois-ci – Paris retirant mon pull non sans grogner après moi sur le nombre de couches que j’avais mis. Je me mis à rire contre ses lèvres en répondant avec aplomb « hey ! C’est toi qui as dit "vêtement chauds" sous-entendant que je n’avais pas intérêt à venir peu vêtus. Tu ne t'en prends qu’à toi-même maintenant » et je renforçais notre baiser, allant même jusqu’à forcer Paris à entrouvrir un peu plus les lèvres pour réclamer un accès à sa langue que je crevais d’envie de goûter. Après cela, je nous fit basculer pour nous allonger, et montait sur Paris pour lui retirer son trop plein de vêtement, tout en prenant soin de nous couvrir de la couverture pour que l’on puisse ressentir le moins possible la température extérieur.

Il n’en fallu pas plus pour Paris qui devait sans doute se dire que je n’allais pas assez vite, m’aidant à lui retirer son manteau et sa chemise alors qu’il reprenait le contrôle en me retournant pour passer au-dessus de moi. J’avais enfin accès à son torse entier et je relevais alors le haut de mon corps pour venir très vite le tenir par les hanches et reposer mes lèvres sur la peau chaude de Paris, l’embrassant à la naissance de sa gorge, puis sur la clavicule, allant même jusqu’à mordiller la peau fine de son épaule, bien motivée par les larges mains de mon petit-ami qui se baladaient sur mon corps. Je sentis ses doigts s’emparer des pans de mon débardeur et je me cambrais pour l’aider à me le retirer. Sa réaction face à mes sous-vêtements m’arrachait un énorme sourire de victoire et je lui répondais de manière aguicheuse « je savais que ça allait te plaire ! J’l’ai fait exprès en me disant que si jamais tu n’avais pas l’intention d’agir ce soir, je ferais en sorte de te montrer ce que tu allais louper », Je riais franchement alors que Paris se terra dans mon cou l’embrassant avidement, happant ma peau tandis que moi je commençais à faire courir mes mains de haut en bas sur son corps, partant de son cou pour descendre jusqu’à son bas ventre…Et une ceinture m’arrêta en chemin ! J’n’allais quand même pas me laisser faire par une simple ceinture quand même ? Je n’hésitais plus une seule seconde, sentant la chaleur monter en moi, et le désir étant à son comble, j’avais le besoin viscérale d’en quémander plus : plus de peau, plus contact, plus de frictions !! Oh oui, des frictions….dieu qu’elles commençaient à devenir vitales pour ma bonne santé mentale et physique.

Je commençais à m’emparer de la boucle de ceinture de Paris et avait réussi à la dé-enclencher, mais sans plus: Paris m’avait pris les mains pour les passer au-dessus de ma tête, et je gémissais déjà de complainte. Il avait beau me dire que je devais y aller doucement sans quoi il perdrait tout contrôle, je n’écoutais pas. Il me mordillait le lobe de l’oreille et je frissonnais de plaisir « T’as pas l’droit de me faire ça, c’est cruel… » Réussissais-je à dire alors que mon souffle saccadé montrait toute ma faiblesse à pouvoir respirer correctement, et parler intelligemment surtout ! La seule chose que j’avais en tête là c’est : Pais, sexe, Paris, sexe, Paris, sexe !!! Je ne pouvais plus le toucher vu qu’il emprisonnait mes mains avec l’une des siennes au-dessus de ma tête, alors instinctivement je cherchais à moyen de soulager ma frustration en levant une de mes jambes jusqu’aux hanches de Paris, et de la frotter en un va-et-vient sur l’extérieur de sa cuisse ! Bien. Bien, mais pas suffisant à mon goût : il me fallait plus ! C’est pourquoi je me cambrais sous Paris, forçant mon bassin à se connecter au sien, le poussant presque pour forcer le contact, et accompagner ce dernier du mouvement de ma jambe. Je réitérais ça plusieurs fois de suite, jusqu’à ce que Paris se décide à me lâcher les mains, sans doute parce qu’ils avaient besoin des deux pour s’occuper de moi et me faire tourner la tête ! Ce qu’il faisait très bien soit-dit en passant!! C’est d’ailleurs une autre des raisons qui me donnait envie de me cambrer sous lui : pour renforcer le contact de sa bouche sur ma peau, et ses caresses sur mon ventre ou mes hanches.

Mes mains étaient à peine libre de mouvement qu’elles repartaient à l’attaque de ce qu’elles désiraient, desserrant la ceinture de mon petit-ami et déboutonnant le premier bouton de son jean. J’insérais ensuite le bout de mes doigts sous les bords de son jean et effleurait sa peau en traçant un trajet linéaire sur cette zone brûlante, suivant simplement les bords du jean des doigts et glissant ses derniers jusque dans son dos, à la naissance de ses fesses. Je retirais alors mes doigts et empoignait ses fesses par-dessus son jean, le tirant vers moi pour coller son bassin au mien. « Je ne vais pas tenir longtemps Paris, faut passer aux choses sérieuses… » Déclarais-je avec faiblesses, ma voix ressemblant plus un essoufflement qu’autre chose


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Summer & Paris
« Ne t’inquiète pas bébé, tu les verras les étoiles »murmura-t-il avec un air à la fois charmeur et déterminé. Cette nuit, il avait bien l’intention de faire longuement l’amour à sa petite-amie quitte à devoir s’y reprendre plusieurs fois pour que la tendresse soit au rendez-vous. Pour l’heure, le couple semblait plus sur le point d’exploser après deux malheureuses semaines d’abstinences mais Paris comprit une chose. Ils ne payaient pas le début de leur relation mais de leur attirance mutuelle et cela depuis leur première rencontre. Paris avait reconnu qu’il désirait Summer depuis qu’elle lui avait tenu tête dans la salle d’attente de l’hôpital quand il était venu voir Leanne pour le suivi d’Ashlynn. Il avait adoré son air de chaton prêt à sortir les griffes face au géant qui lui faisait face. Puis, il y avait eu cette fameuse journée à la patinoire où elle lui avait fait une crise de jalousie ainsi que les deux trois autres rencontres. Bon sang, il se retenait depuis des semaines de lui faire l’amour et maintenant qu’il en avait pleinement le droit puisqu’elle était sa petite-amie, son cerveau n’avait rien trouvé de mieux que de le bloquer. N’avaient-ils pas assez souffert de cette frustration pour qu’il en rajoute une louche ?! Une expression voulait que plus c’était long, plus c’était bon ! Bordel, si c’était le cas, ce n’était pas le septième ciel qu’il allait atteindre mais le soixante-neuvième au minimum.

Paris grogna lorsqu’elle lui rappela que la couche de vêtement était de sa faute. « Okay la prochaine fois, je t’emmène à Hawaï où le minimum de vêtement sera quedal ! Juste une feuille de vigne et encore, tu seras toujours trop habillée pour moi » grogna-t-il avant de se perdre à nouveau dans leur baiser, leurs langues s’apprivoisant pour mieux lutter l’une contre l’autre comme si chacun cherchait à s’imposer à l’autre sans y arriver. Au final, le baiser n’en était que plus explosif, le laissant haletant et fiévreux. Le jeune homme ne se reconnaissait plus. Il avait déjà coucher avec des femmes dans la précipitation mais pas à ce point-là ! Dans les bras de Summer, il avait l’impression d’y jouer sa vie et le flux d’adrénaline ne faisait que le rendre encore plus accro à sa compagne. Le Dunster avait l’impression que les lèvres de sa petite-amie était partout sur son torse et la sensation n’en était que plus grisante tandis qu’il lui enlevait avec son aide, son débardeur. Une jolie surprise l’attendait et il siffla entre ses lèvres. « Je devrais t’arrêter pour attentat à la pudeur mais je vais me contenter de te faire l’amour encore et encore mais toi… j’exige un défilé de toute ta lingerie » lui dit-il avec un air de gosse turbulent qui lui donnait une véritable tête à connerie. Oh oui, il voulait la voir nue, en lingerie, nue, en lingerie… Grosso modo, il allait lui faire l’amour, attendre qu’elle défile à nouveau pour mieux lui faire l’amour. Summer Wingfield prépare toi à un véritable marathon sexuel !

La folie sexuelle qui semblait s’être emparée d’eux ne faisait qu’accroitre de minutes en minutes si bien que pour la première fois de sa vie, Paris galéra pour détacher l’attache d’un soutien-gorge. « Putain mais tes fringues ont décidé d’avoir ma mort sur leur conscience !! » râla-t-il avant de tout simplement prendre son soutien-gorge à deux mains pour faire sauter l’attache. « Il m’a cherché ! »se justifia-t-il pour le massacre de sa lingerie. Et puis merde, il la désirait trop pour ne pas passer outre toutes les résistances possibles et inimaginables. Summer attisa encore davantage son désir en se frottant contre lui, lui arrachant de longs gémissements, se cambrant contre lui. Son petit-ami en lâcha ses poignets, trop absorbé par sa poitrine qu’il câlinait de ses lèvres, du bout de sa langue sous les suppliques de son petit ange blond qui en voulait davantage. « Moi non plus, je te veux trop » murmura-t-il fiévreusement en s’éloignant uniquement pour enlever son jean et son boxer, pendant qu’elle ôtait également le reste de ses vêtements de son côté. Une fois fait, il l’attira à nouveau à lui, venant entre ses jambes, prêt à se fondre en elle quand une lueur d’une lampe torche vint s’abimer dans ses yeux. « HEY ! Les jeunes, ce n’est pas un hôtel ici !! Alors vous allez rapidement vous rhabiller avant que je ne vous fasse coffre pour attentat à la pudeur et exhibitionnisme »aboya le garde forestier qui avait été alerté par leurs gémissements et autres halètements. PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !!

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La tension sexuelle était trop forte. Tout ce temps à se retenir, à jouer les filles attentives au désir de son homme, à ne pas vouloir brusque les choses ! Tout ce temps à garder pour soi ses envies, à s’imaginer les choses mentalement à défaut de pouvoir les vivres en réelle ! Toutes ces fois où j’avais fini par me soulager moi-même en pensant à Paris, parce que j’avais bien trop envie de lui pour laisser cette pression que je ressentais dans mon bas-ventre s’accentuer plus que de raison ! Quoi ?! Oui, bon je ne devrais pas avouer ces choses-là, mais hey, faut être réaliste une bonne fois pour toute : Rester inactive sexuellement quand on a un petit-ami comme Paris qui ne vous touche pas ?! C’est quasi-impossible. Et comme il est hors de question de lui être infidèle parce que je ne suis définitivement pas ce genre de fille, baaaaahhhhhh…. « On est jamais mieux servi que par soi-même » dit-on bien. Bah dans ce cas de figure : Oui, ce fut le cas pour moi !

Mais là, la chance tournait pour moi, les astres étaient enfin de mon côté ! Bon sang fallait que je remercie ce fameux ciel étoilé maintenant, d’avoir permis à Paris de se lâcher et de mettre de côté cette envie qu’il avait d’être l’homme parfait en toute circonstance. J’adore savoir qu’il est au petit soin, qu’il est attentif à ce que j’attends chez un homme, mais des fois je me dis qu’il met la barre bien haut, alors que je lui demande simplement d’être là pour moi, de rester l’homme qu’il est, à savoir Ronchon mais protecteur, Charmeur mais intègre, Cynique mais affectueux…bref je souhaitais simplement qu’il reste cet homme entier, et qu’il m’accepte tel que je suis et qu’il ne me mette jamais à l’écart. Le reste n’avait pas d’importance…

On se déshabillait mutuellement avec précipitation, maladroitement même, mais c’est le désir qui parlait pour nous, qui avait raison de nous et rendait notre comportement soudain sauvage et à la limite de la décence. Moi qui d’habitude faisais toujours attention à me comporter correctement avec un mec – parce que c’est flippant une femme complètement dingue et intenable – là je me fichais complètement de ce qu’on pouvait penser. Je me sentais partir dans un délire sans nom, gémissant, haletant parce que j’avais l’impression que mon cœur allait sortir de ma poitrine tellement les gestes de Paris me rendait dingue. C’est simple, à chaque fois que ses lèvres ou sa langue se posait sur ma peau où allait jusqu’à titiller ma poitrine, je laissais échapper un soufflé plaintif ; rien à voir avec le fait que ce n’était pas agréable - c’était justement tout le contraire – mais c’était la pression que je ressentais entre mes jambes qui en devenait presque douloureuse. Et à chaque mouvement de ses lèvres sur moi, leur contact électrisait la zone sollicitée et le courant descendait à une vitesse impressionnante pour venir agacer mon intimité, me donnant envie de me cambrer, de me contorsionner de toutes mes forces ne serait-ce que pour réclamer une friction de cette zone sur la jambe de Paris qui se trouvaient entre les miennes.

La tête me tournait, mon corps se crispait parce qu’il voulait tellement être délivrées de toute cette excitation retenues depuis trop longtemps, bien plus longtemps que ces deux semaines au titre de petit-ami….Il fallait que je sente Paris en moi, maintenant, tout de suite ! Il n’y avait pas d’autre issue à ma délivrance. Je le fis alors savoir à Paris, recherchant en même temps mon souffle tellement il devenait difficile pour moi de respirer. Paris n’en pouvait plus non plus, alors je lui sommais de ne plus attendre « Mon cœur, j’ai besoin de te sentir en moi… » Et il se levait, s’écartant de moi pour défaire complètement sa ceinture pendant que moi je regroupais le peu de force qu’il me restait à me battre physiquement pour retirer mon jean et le shorty rouge qu’il allait avec l’ensemble de sous-vêtement que j’avais mis. Je jetais un regard vers lui, prenant conscience de son physique dans toute son entièreté, et en un mot comme en cent, il était imposant ! De partout…

Je me mordillais la lèvre inférieure, encore enflée par nos baisers quand Paris se mettait à genou avant de se placer entre mes jambes, et s’allonger sur moi. Je sentais le moment proche, vraiment proche, à quasi une fraction de seconde quand : « HEY ! Les jeunes, ce n’est pas un hôtel ici !! Alors vous allez rapidement vous rhabiller avant que je ne vous fasse coffre pour attentat à la pudeur et exhibitionnisme ».  Là, le temps semblait s’arrêter pour moi. Je m’étais redresser sur mes coudes, j’avais ouvert en grand les yeux pour regarder Paris, mais je n’ai pas pu faire autrement que de les fermer au moment où la lampe torche de ce mec qui jouait les pseudo-flics venait nous aveugler. Et là, je me mis à laisse sortir mon mécontentement : « Oh mais ce n’est pas possible ?! » Je voyais déjà Paris se redresser légèrement pour remonter son boxer et son pantalon et moi je me contentais juste d’attendre qu’il est fini parce qu’il était hors de question que je sorte de dessous de la couverture pour me rhabiller et m’offrir en spectacle. Non à la place, je me contentais de me laisser retomber au sol, de rejeter la tête en arrière tout en passant ma main sur mon front et la laisser glisser sur le haut de ma tête lissant mes cheveux au passage. Là, je sentais la colère monter en moi ! Il fallait que je hurle, que je laisse sortir la pression.

« J’y crois pas ?! » commençais-je d’un ton plus haut que d’habitude alors que Paris sortait de la couverture debout et habiller. Je m’affairais alors à me rhabiller tout en m’adressant à ce garde qui nous avait déranger : « C’est quoi votre problème exactement ?! Ce n’est pas comme si on foutait le feu quelques parts, qu’on était en train de commettre le plus grave des crimes ?!! » Je reboutonnais le dernier bouton de mon jean et m’asseyais pour remettre mes chaussures que j’avais viré juste avant, et une fois debout, je me recoiffais à la va vite, et enfilait mon manteau. « Attentat à la pudeur et exhibitionnisme ? C’est pas un peu exagérer…Ce n’est pas comme si vous aviez vu quelque chose !!  » Je sentais Paris à côté de moi qui cherchait à me calmer parce qu’il voyait bien que mon ton était différent de d’habitude.

« Vous êtes dans un parc forestier ! Dans un lieu public !! Ce que vous faites ici n’a rien à voir avec une activité autorisé par la loi ! »

« Mais on s’en fout de la loi, là ! on faisait de mal à personne ! » me mis-je soudainement à crier en levant les yeux au ciel et brassant l’air avec mes mains

« Calmez-vous ma ptite dame, ça changera pas les choses. Déguerpissez ! où j’appelle la police »

« Ma p’tite dame ?! » répétais-je voyant soudain rouge. « MA P’TITE DAME » criais-je cette fois-ci. « Oh bon sang, j’vais m’le faire » marmonnais-je prête à lui bondir dessus tellement je ne contrôlais plus rien.

Heureusement pour moi, Paris qui m’avait vu partir, m’attrapais par les bras derrière moi, pour me coller à lui et m’empêche de partir en vrille.


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Summer & Paris
Paris était au paradis et il s’apprêtait à prendre un aller simple pour les étoiles quand un faisceau lumineux vint abimer son regard. Il pesta dans sa barbe d’un jour, essayant de chasser cette lumière quand il entendit la voix caverneuse du garde forestier. Oh non, pas maintenant ! Il ne pouvait pas repasser dans disons cinq minutes ? Dix minutes ? Il était tellement excité qu’il pouvait être rapide s’il y mettait du siens. « Ouais mais si vous pouviez éviter de vous aveugler, ça serait sympa bordel de merde »grogna-t-il tandis qu’il chopait son boxer et son pantalon pour les remettre non sans pousser un gémissement de douleur. Quelqu’un avait déjà essayé de rentrer un bâton bien raide dans son boxer ? Cela faisait mal ! Au moins, il veillait à ce que Summer soit bien à l’abri sous les couvertures car hors de question que ce type la voie nue car ce ne serait pas pour attentat à la pudeur qu’il se ferait coffrer mais pour meurtre avec circonstances aggravantes. « Rhabille toi bébé, ce type rigole pas »murmura-t-il à sa petite-amie qui peinait à croire en leur situation. Non non chérie, c’est normal ! Je voulais faire les choses bien donc, ça ne pouvait que virer au cauchemar faillit-il lui dire alors qu’il terminait de se rhabiller.

« Mademoiselle, je vais vous demander de me parler correctement ! » grogna l’homme en uniforme tandis qu’un deuxième collègue venait à leur rencontre, alerté par le ton aigu de Summer. Il n’était pas bon d’énerver une femme frustrée et lui-même se retenait à grande peine de ne pas les assommer pour aller lui faire son affaire plus loin. Bordel, son érection ne voulait même pas se calmer comme si elle aussi était désespérément prête à continuer dès qu’ils auraient le dos tourné -et voir sa petite-amie ainsi en colère avait le don de l’exciter davantage ; Grosso modo, il était dans la merde ! « Calme toi bébé, on va gentiment s’en aller et on reprendra tout ça à la maison ou sur le bord de la route mais bref, on va y arriver »tenta-t-il de lui dire mais Summer ne semblait plus entendre la moindre de ses paroles puisqu’elle faillit sauter à la gorge du garde forestier. Dans un réflexe, Paris l’en empêcha alors que l’homme dégainait un taser. « On va se calmer okay ou c’est moi qui règle la situation espèce de furie » s’écria son collègue et là, ce fut Paris qui perdit son calme. « Déjà de une, tu lui parles autrement ok ? Parce que crois-moi, je vais te donner une bonne raison de me foutre en garde à.. »commença-t-il avant de sentir une décharge électrique dans son corps. « Putain le con ! » souffla-t-il en tombant sur le sol, les muscles crispés suite à la décharge. « Ici Palmer, on a besoin de renfort pour un couple…ils sont dangereux… Tet des junkies » entendit-il avant de perdre connaissance.

Quand il se réveilla en grognant, il était allongé dans une cellule, sur un banc aussi confortable qu’une pierre. « Putain vla le mal de crâne que je me paie » marmonna-t-il en tentant d’atterrir sur Terre mais il avait l’impression d’avoir été renversé par un foutu camion. Soudain, les derniers événements lui revinrent en mémoire et il s’écria : « Summer ?? »

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La soirée qui tourne au désastre, vous connaissez ? Pas celle où vous vous décidez à inviter des amis à dîner, que vous avez passé tranquillement à faire vos courses en organisant tout à la minutes près jusqu’au moment de mettre la dinde dans le four, de l’oublier et de foirer le dîner ! NON, pas ce désastre là….Moi je parle de soirée bien plus désastreuse que ça.

Avoir un garde forestier qui vient vous déranger en plein actes sexuels – non concrétisés rappelons-le – qui se prend pour un « flic à Miami » en planque à la recherche d’un délit, ET qui vous parle comme si vous étiez une hystérique à faire enfermer, ça ne vous donne vraiment, mais alors VRAIMENT PAS, envie d’être aimable. Et si y’a un bien un truc qui m’énerve, c’est cette façon de m’interpeller « Ma P’tite dame ». J’avais envie de l’égorger. Surtout qu’un de ses collègues se ramenait maintenant ! Manquait plus que ça ! Bon j’ai pas pu aller me déchaîner sur ce garde malheureusement, parce que Paris tenta de me ramener à la raison : au moment où j’allais foncer dans le tas, il m’avait rattrapé par les bras pour me coller à lui. Ce qu’il ne savait pas c’est que son acte ne m’aidait pas à me calmer. Mais alors PAS. DU. TOUT : Me coller à lui, ça signifiait sentir son érection évidente sous son jean, et me rappelait ce que ce connard de garde forestier me faisait louper. Je fixais alors le garde d’un regard noir, avec une envie de meurtre. J’avais je n’avais senti une telle colère après une frustration comme celle que je vivais depuis un moment. J’entendais les paroles de Paris derrière moi, tentant de m’apaiser, mais je n’écoutais pas ! Enfin si j’avais écouté, et la seule chose que j’avais entendu c’est qu’on allait reprendre les choses…PLUS TARD ! Et ce « plus tard » là, c’était celui de trop pour moi ! « J’ai besoin de me défouler MAINTENANT moi ! » et au moment où j’allais me diriger vers les gardes, l’un d’entre était prêt à dégainer son taser. Je me figeais sur place une fraction de seconde, et Paris passa devant pour servir de bouclier. Et puis j’ai entendu quoi, là ??? « FURIE ? » J’aurais très bien pu aller lui faire bouffer sa casquette de garde forestier toute seule mais Paris en décida autrement en s’attaquant verbalement à « Sonny et Rico » (deux flics à Miami toujours) devant nous quand le plus précoce des deux gardes chargea son taser pour lancer une décharge électrique sur Paris. Je me mis à crier de surprise en le voyant tomber au sol avant de m’agenouiller à côté de lui pour m’assurer qu’il était toujours en vie « Paris ?! » ! Bon vu sa carrure, le taser lui avait sans doute fait moins de mal qu’à un délinquants lambda, mais quand même !! Surtout qu’il se l’était pris à cause de moi « Paris ? Tu m’entends ? » Lui demandais-je alors qu’il était semblait avoir perdu connaissance. Et c’est à ce moment-là que le garde appelait des renforts, en nous traitant de junkie. Mon sang ne fit qu’un tour ! Déjà on s’en prend pas à mon mec de cette manière et deuxièmement « C’est quoi ce con ?! ». Je me redressais et là je ne laissais plus aucune barrière contenir ma colère ou mes mots ? « Junkies ? JUNKIES ? Est-ce qu’on a vraiment l’air de Junkies ?!! Sérieusement, ce n’est pas possible, vous avez été fini à la pisse, c’est forcément ça ? » Et comme une idiote j’avançais un peu trop des gardes, suffisamment proches d’eux pour à distance du taser de l’autre garde qui se mit à dégainer : « Espèce de gros connard, vous n’aviez pas l’droit de… » OUPS ! J’avais dit tout à l’heure que jamais mon corps n’avait été aussi tendu de douleurs pour quelques choses ?? ERREUR !! Là je crois que je ne pouvais pas être plus crispé. Je me souviens avoir eu la force de crier de surprise, avant d’etre coupé par la crispation de tous mes muscles qui m’empêchait presque de parler…et puis après, le trou noir.

J’ai dû me réveiller quelques heures plus tard, alarmé par le cri d’une voix qui me semblait plus que familière. J’ouvrais un œil, aveuglée par une sorte de néon plafond, avant de poser mon avant-bras sur ma tête qui me donner l’impression qu’elle allait exploser. J’entendais à nouveau mon nom et je tournais la tête pour apercevoir la cellule dans laquelle j’étais bien que tout était encore un peu flou. Je tentais un « J’suis là… » qui avait du mal à sortir de ma gorge, avant de me répéter un peu plus fort « J’suis là Paris… ». J’étais allongé sur un banc, et je me redressais difficilement, me tenant le crane en appuyant sur la tempe alors que je tentais d’ouvrir les deux yeux correctement cette fois-ci. Et je vis Paris d’en la cellule adjacente à la mienne. Et les choses me revenaient en tête.

Mon dieu je me sentais mal : mon comportement nous valait un enfermement en cellule, tout ça parce que j’étais incapable de tenir. Une vrai sauvage jusqu’au bout. J’avais limite envie de pleurer tellement je me détestais. D’ailleurs, je commençais à geindre comme une gamine prête à chialer et m’adressait à mon petit-ami de l’autre côté de sa cellule « Mon cœur, je suis désolée, tellement désolée… » Je retirais la main qui couvrait une partie de mon visage et essayait de faire en sorte que ma tête se tienne tout seule avant de demander des nouvelles : « Comment tu te sens ? »


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Summer & Paris
Comment la soirée avait-elle pu déraper à ce point ? Tout était calculé pour être parfait songea Paris désemparé. Il se remettait tout doucement de son coup de taser. Un temps qu’il mit à profit pour réfléchir sur le désastre qu’avait été sa première initiative. Il aurait tellement aimé que cela soit romantique et pourquoi pas, en effet, auraient-ils pu faire l’amour sous les étoiles. Le plan parfait selon le magazine, l’enfer pour lui. Summer allait le quitter, elle allait se dire qu’il ne valait pas un clou comme petit-ami. Le mec incapable d’organiser quelque chose sans que tout ne vire au drame et le pire dans toute cette histoire ?! Qu’ils finissent la nuit en garde à vue. Il n’avait pas besoin d’être en astrophysique pour comprendre le lieu où il était ni même pourquoi. La voix de sa petite-amie le ramena sur terre et il tourna la tête vers elle. Summer était également groggy et il grogna de colère. « Putain ils t’ont tasé aussi ces enfoirés ?! Si je fous la main sur ce fils de… »s’interrompit-il avant de se montrer trop grossier en sa présence. C’est qu’il avait toujours ce mince espoir d’être à peu près correct à ses yeux.

Le jeune homme se redressa en position assise, faisant rouler sa tête pour assouplir sa nuque raide comme la justice. Son petit ange commença à s’excuser et il se sentit mal d’être loin d’elle. « Hey mon petit ange… tout va bien, ce n’est pas de ta faute okay ? je n’ai pas géré ces derniers temps. C’est ma faute… Je sais pas, la prochaine fois, j’essaierai d’être romantique à la maison… ça sera moins dangereux et douloureux » lui dit-il en se relevant péniblement pour s’approcher le plus possible d’elle. Il aurait tout donné à cet instant pour pouvoir la prendre dans ses bras, la rassurer d’un baiser sur son front. « Je vais bien… Un peu l’impression de mettre pris un trente-trois tonnes dans la tronche mais ça va… C’était mon premier coup de taser ! » tenta-t-il de rendre la chose plus légère. « J’aimerai tellement pouvoir te serrer contre moi »soupira-t-il tant son impuissance était grande. « Je suis vraiment désolé Summer. Je voulais bien faire pour ce soir et tout est parti en live. Je voulais te montrer que je pouvais être romantique aussi mais faut croire que c’est vraiment pas mon domaine de prédilection »soupira-t-il à nouveau en collant son front contre les barreaux froids de sa cellule.

Le pire dans tout cela, c’est qu’il risquait de lui attirer des ennuis avec sa famille. Comment réagirait son père s’il apprenait que sa fille était placée en garde à vue ? Lui-même allait au-devant de graves ennuis si jamais les services sociaux l’apprenaient. La soirée ne pouvait pas être plus pourrie qu’à cet instant précis. « Comment tu te sens mon ange ? »lui demanda-t-il d’une voix douce. Ce n’était vraiment pas la soirée de ses rêves, loin de là. Comment allaient-ils se sortir de là ? Il ne savait même pas vers qui il pourrait se tourner pour payer sa caution. Sienna ? Mouais, vu le malaise qu’il y avait entre eux depuis qu’il lui avait annoncé qu’il sortait avec Summer, peut-être valait-il mieux ne pas compter dessus. Son cousin ? Ce dernier était aux abonnés absents. Merde, il ne voyait pas à qui emprunter assez de frics pour les sortir de là… Génial ! Il assurait comme petit-ami, qu’on me remette un prix du meilleur mec au monde les gars songea-t-il avec amertume.


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Paris & Summer

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Je devais sans doute tanguer encore un peu sur mon banc mais tant que je restais assise, je ne risquais rien. Paris semblait enfin me voir et prendre conscience de mon état que déjà il s’énervait après les gardes qui m’avait également tasé. Je ne pouvais malheureusement pas le calmer de là où je me trouvais alors je préférais utiliser des mots et un ton apaisant : « Ce n’est pas grave mon cœur. Et puis….je l’ai un peu méritée. » Je grimaçais, fronçant le bout du nez avant d’avouer honteusement « J’ai dit au gars qui t’as tasé qu’il avait été fini à la pisse. Je crois que ça a contrarié son pote de douche à côté »

Et forcément en rappelant cette phrase, je me remémorais mon comportement de furie – parce que oui j’avais gueulé quand le garde m’avait qualifié ainsi, mais il avait raison – et me rendais compte que je nous avais vraiment foutue dans la merde. Et tout ça pour quoi ? Pour un manque de sexe ? ** T’es Pathétique ** Je sais…c’est horrible. Je me confondais en excuse pour ce que j’avais fait et bien évidemment, Paris étant cet adorable petit-ami qu’il était, prenait la faute à sa charge en expliquant que c’était sa façon de ne pas avoir su gérer ces derniers temps qui nous amenait ici. Je secouais la tête, prête à lui répondre vivement, mais ce simple geste me fit tanguer à nouveau et je sentais le martèlement à l’intérieur de mon crane, repartir de plus belle. J’en avais presque oublié ce que j’avais voulu dire et m’était à la place empressée de lui demander comment il allait. Sa comparaison avec le 33 tonnes me fit doucement sourire, parce que je comprenais tout à fait ce qu’il pouvait ressentir en cet instant. Et dès qu’il se mit à enchérir sur le fait qu’il avait envie de me prendre dans ses bras, je levais les yeux au ciel pour soupirer, les yeux presque aux bords des larmes tellement j’étais encore en colère contre moi-même et frustrée parce qu’on avait avancé à RIEN. « Oh mon dieu, s’il te plait me dis pas ça…c’est déjà assez dur de me dire que t’es de l’autre côté de cette cellule et que je ne peux pas… » Je n’arrivais même pas à finir ma phrase tellement la douleur d’avoir échoué – allié au désespoir de ne plus le sentir contre moi – était trop forte ! Je tentais de garder mon calme, de contenir mes larmes et voilà que Paris rouvrait la bouche pour annoncer sa culpabilité, à dire que c’était son envie de vouloir bien faire qui avait tout fait foirer….Là je ne pouvais pas le laisser me dédouaner une deuxième fois. « Paris, je t’en prie. Arrête. Tu as été parfait d’accord ? Aucune femme ne pourrait se plaindre de tout ce que tu as voulu faire ce soir. » Je me levais de mon banc et m’approchais du bord de la cellule pour être plus proche de Paris, et rajoutais avec une pointe d’espoir dans la voix : « On a qu’à se dire que…ce n’était pas le bon moment, c’est tout ? Et que le ciel nous a lancé un signal… »

Quelques instant plus tard, Paris me demanda comment j’allais : « Je suis un peu sonné, et encore crispée à certains endroit du corps, mais je crois que c’est parce que je suis plus énervée qu’autre chose » et je regardais autour de nous pour véritablement prendre conscience de la situation dans laquelle on était, mes mains s’enroulant sur deux barreaux de ma cellule quand soudain : une image claire de Aaron, Danika, Kaleigh, Ashlynn et Matthew me vint en tête. Mon dieu les enfants ?! Ils étaient entre de bonnes mains avec leur baby-sitter je n’en doutais pas mais, j’étais juste en train de me dire que Paris était bloqué ici avec moi au lieu d’être à la maison. Et pire encore, il risquait gros si jamais quelqu’un était amené à apprendre sa situation. Mon regard s’assombrissait petit à petit, mon visage prenant un air bien plus fermé et concernée que d’habitude. Il fallait que je remédie à tout ça ! Que je nous sorte de là, parce que Paris et les enfants ne méritaient pas ça.

Je me pointais dans le coin de ma cellule, tapant sur les barreaux pour interpeller un garde plus loin !
« Hey !!! Hey !!! S’il vous plait !! » le garde arrivait vers nos cellules d’un pas lent tandis que moi, je trépignais d'impatience dans ma cellule, allant jusqu'à me mettre sur la pointe des pieds et pousser sur les barreaux de cellule (comme si j'allais pouvoir les casser avec mes petits bras tiens !). Mais quand je dis qu'il était lent, c’est LENT ! C’était même à se demander s’il ne le faisait pas exprès pour me chauffer une nouvelle fois. ** Gardes ton calme ** « Excusez-moi je…à combien s’élève la caution pour nous faire sortir d’ici ? » Le garde fit d’abord mine de ne pas pouvoir me le dire et je réitérais ma demande « Oh s’il vous plait. J’ai au moins besoin de connaitre cette info pour pouvoir appeler la personne qui paiera cette caution » Il fit mine de réfléchir un instant, annonça la note, et j’ouvris grand les yeux de surprise ? « Oooooookaaaaayyyy…. » Répondis-je encore un peu sous le choc. Finalement, je regardais Paris, le temps de réfléchir à qui j’allais appeler pour nous sortir de là. Amanda ? Je ne l’avais pas beaucoup ces derniers temps. Je n’étais même pas sûr qu’elle soit sur le campus actuellement…Mes parents ? Hors de question. Autant mon père s’inquiéterait mais serait finalement conciliant, autant ma mère ?? Elle prêterait un câble et dirait à qui veut bien l’entendre qu’elle genre de fille indigne je suis ! Finalement il me restait qui ? « Bonaventure… »lâchais-je dans un dernier souffle de concentration

Je n’avais pas revu mon ami depuis ma « légère » boulette au parc il y’a de ça un peu plus un mois et demi… Je l’avais croisé dans les couloirs de la Quincy House, mais j’étais tellement honteuse que je n’étais même pas venu le voir pour m’excuser. Oui mais pourtant, Bonaventure était le seul ami en qui je pouvais avoir confiance pour ce genre de situation délicate. Paris me demanda qui était Bonaventure et j’eus un moment d’hésitation dans le regard avant de répondre : « Un ami….En qui je peux avoir entièrement confiance. Il va nous sortir de là. » Je regardais ensuite le garde, bien déterminée et lui demandais : « J’ai le droit à un coup de fil ! C’est légal…Est-ce que pouvez me laisser sortir pour passer cet appel ? »



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Summer & Paris
« Tu as fait quoi ?! Oh bordel de merde, pourquoi a-t-il fallu que je sois inconscient à ce moment-là ? »râla-t-il même si on pouvait sentir qu’il contenait à grande peine un éclat de rire. Trop douloureux pour se laisser aller à cet instant de joie. Pourtant, il aurait réellement aimé être là pour simplement la voir en furie. On disait souvent que la colère rendait les femmes plus belles, vieux truc de dragueur mais dans le cas de Summer, c’était réellement le cas. Elle irradiait totalement, quittant son apparence fragile pour endosser un costume de guerrière amazone. Paris était donc loin de la trouver pathétique. Au contraire, il la trouvait adorable, attirante… Bref il avait d’autant plus envie d’elle-même si clairement, la soirée ne finirait pas comme il l’avait prévu.

Il était compliqué pour lui de ne pas endosser la faute. Paris aurait dû se rendre compte que Summer était aussi frustrée que lui. Il aurait dû lui dire les doutes, lui expliquer ce qui se passait dans sa tête mais encore une fois, il n’avait pas réussi. Le jeune homme faisait un véritable complexe quant à ses sentiments, ses ressentis. Il ne supportait pas l’échec encore moins en présence de cette femme qui le poussait à être parfait. Summer ne lui demandait rien, c’était ça le plus gros de l’histoire. Elle désirait simplement être à ses côtés et faire un bout de chemin avec lui. Le Dunster se mettait la pression tout seul parce qu’on lui avait répété pendant des années qu’il n’était qu’un moins que rien. Combien de fois l’avait-on mis de côté car il n’était pas assez bien ? Oh pour être un amant, là, pas besoin de se poser de question. Paris faisait un parfait beau trophée ! Pour le reste, c’était bien plus compliqué. On s’arrêtait bien trop souvent à l’apparence qu’il voulait se donner. Un homme bourru, bougon, coureur de jupons. En dehors de cela, très peu de personnes le connaissaient réellement. Summer, elle, connaissait presque tous ses secrets. « Ouais pas le bon moment… faut croire que c’est jamais le bon moment »marmonna-t-il en baissant la tête. Il ne voulait pas jouer les défaitistes ou les oiseaux de mauvaises augures mais leur relation ne commençait pas dans la facilité. Peut-être qu’il y avait là, un signe. Le signe qu’il n’était pas pour cette femme. Summer méritait mieux qu’un homme qui passait son temps à lui mentir ou du moins à lui dissimuler tous les pans de sa vie. Accepterait-elle d’être avec lui si elle savait ce qu’il faisait de certaines de ses nuits ? Le regarderait-elle avec cette adoration, cet amour si elle savait ? Cette interrogation le tuait à petit feu mais il n’arrivait pas à se décider d’y mettre fin. La peur de la perdre était plus forte que toutes ses autres craintes. Alors, il repoussait toujours un peu plus ce moment pénible, comme s’il refusait de faire le saut de l’ange.

A la place, il se reprit, lui demandant comment elle allait. « Tu devrais essayer de te détendre mon ange sinon tu vas le sentir passer demain » lui conseilla-t-il tandis qu’il évaluait les possibilités qu’ils avaient de mettre fin à cette garde à vue. Summer trouva la réponse pour lui, un certain Bonaventure. « Un ami ? Rien qu’un ami ? »ne peut-il s’empêcher de demander sur un ton qui souffrait bien entendu de jalousie. Après tout, il ne connaissait aucun de ses amis -elle non plus. En réalité, ils n’avaient jamais réellement parlé de leurs proches se rendit compte Paris. Le flic interrompit leur conversation en permettant à Summer d’aller passer sous coup de fil, le laissant seul dans ce sous-sol. « Faut vraiment que j’apprenne à fermer ma gueule de temps en temps »rumina-t-il. Ce type allait peut-être leur sauver la mise mais putain que ça faisait mal au cul de dépendre d’une personne qui lui était totalement inconnu. Qu’importe qui était ce Bonaventure, Paris allait avoir une dette envers lui.


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