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Looking at the stars, I can see nothing but you (ft. Paris)

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Paris & Summer

► Looking at the stars, I can see nothing but you

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Deux semaines…deux semaines que Paris et moi sortions ensemble et que tout allait pour le mieux. On s’entendait à merveille, essayant au mieux de ne pas trop envahir l’espace de l’autre (surtout le sien parce que je ne voulais pas trop le brusquer), d’être attentif sans être trop pot de colle ; et quant aux enfants, ils s’étaient très vite habitués à ma présence et ce pour mon plus grand plaisir. Même avec Matthew, alors que ce n’est jamais forcément évident d’être en phase avec un adolescent lorsqu’on pénètre dans sa zone de confort. Non franchement : je n’avais vraiment pas à me plaindre, c’était le bonheur ! Et pourtant….

Je suis quelqu’un de très tactile : certains diront que je suis du genre à ne pas connaitre le concept des barrières personnelles, moi je me vois plutôt comme quelqu’un ayant un besoin constant de toucher l’autre pour me sentir proche de lui. Quand il s’agit d’une personne avec qui j’entretiens une relation amoureuse, autant le dire: c’est le sexe qui me fait me sentir en totale harmonie avec l’autre. Adieu les simples pose de main sur un avant-bras pour réconforter l’autre ; oubliés, les petits bisous tout gentillets sur une joue ou ailleurs pour montrer mon affection ; non là, on atteint normalement le niveau supérieur : Baisers avide de désirs, mains qui se baladent sous une chemise ou un polo pour venir toucher un torse puissant ou agripper des hanches que je désirerais empoigner, ou encore se faufiler malicieusement sous la ceinture d’un pantalon ou l’élastique d’un boxer…Voilà quel genre de personne « tactile » je suis avec un petit-ami quand les choses se passent naturellement. Sauf que là, avec Paris ? Comment dire…j’avais l’impression de batailler depuis des semaines pour pouvoir assouvir mon désir - plus du tout dissimulé - de faire l’amour avec lui ! Oui, je bataille, vraiment ! Parce que depuis deux semaines, lui et moi n’avons toujours pas sauté le pas. Et je commence à me poser de sérieuses questions sur le sujet.

Alors, dans un sens je ne devrais pas me plaindre, surtout lors d’un jour comme celui-ci : J’avais commencé mon début de semaine en cours et comme à chaque fois, je finissais à l’hôpital pour 2-3 jours de services, soit aux urgences soit en pédiatrie. Durant l’après-midi, alors que je commençais mon service à suivre Leanne dans ses visites médicales, j’avais reçu un message de Paris me demandant de réserver ma soirée pour lui. Je n’allais certainement pas refuser et c’est tout sourire que je lui avais répondu par l’affirmative. Très vite un deuxième message de sa part m’indiquant une adresse, une heure et surtout un conseil : prévoir des vêtements chauds. A ce moment-là, je ne souriais plus. Vêtements chauds ? Ça veut dire soirée en extérieur. Vêtements chauds, ça veut dire « pas possibilité de les enlever » ! Vêtements chauds, ça veut dire clairement « pas de sexe » pour moi ce soir !! Ce qui était donc une soirée en amoureux que j’aurais dû attendre avec impatience tellement j’étais ravie que Paris m’en fasse la surprise, était devenue la pire journée de frustration possible parce que je savais que quelques heures à peine me séparerait de mon mec, mais que je n’aurais toujours pas de le toucher. Parce que sincèrement, c’était comme ça que je ressentais les choses : comme une sorte de malédiction qui m’empêchait d’aller plus loin avec Paris que quelques étreinte passionnelle qui finissaient toujours en belle douche froide.

J’étais donc sortie de mon service à 17h30 et étais rentrée à la Quincy House pour prendre une douche et me changer. C’est devant mon armoire avec une simple serviette sur le corps que je cherchais ce que j’avais de plus chaud. Mais, soudain, en voyant une chemise que j’avais achetée durant les beaux jours avec Amanda, je m’étais souvenue d’un ensemble de sous-vêtement que j’avais acheté en même temps. Un sourire machiavélique se dessina sur mon visage et je me mis à dire à haute voix « Tu veux du chaud ?! Tu vas avoir du chaud…. » Je prenais certes des vêtements qui allait me couvrir un minimum, ajoutais un pull pour la circonstance et accompagnait le tout d’un jean moulant. Et bien évidemment, les fameux sous-vêtements…

Je sortais de la résidence une heure et demie plus tard, pour me presser dans ma voiture et inscrire l’adresse fournie par Paris dans mon GPS. Direction quoi ?! Un parc forestier ? J’étais au départ pas sûr d’avoir inscrit la bonne adresse, mais une fois la manipulation répétée sur le GPS, il n’y avait plus de doute possible. J’haussais alors les épaules, démarra la voiture et pris la route….Je me garais bien plus tard dans un parking du parc, juste sur l’accotement d’une route, et je vis la voiture de Paris déjà sur les lieux. Un dernier regard sur mon pare soleil, une grande inspiration et je sortais de la voiture pour rejoindre – Oh mon dieu ! – mon super sexy et hyper beau petit-ami. Je sens que je vais hurler intérieurement de frustration pour toute la soirée.
Je tentais de reste impassible et arborait un magnifique sourire avant de me planter devant Paris et de l'embrasser pour le saluer : « Bonsoir mon coeur...Je ne suis pas trop en retard ? T'attends depuis longtemps ?»


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Summer & Paris
Deux semaines que Paris Maconahey était en couple. Ce matin, en se réveillant, il s’était fait la réflexion que chaque jour était un bonheur. Il prenait le goût d’envoyer un sms le matin à Summer, de l’appeler le soir avant d’aller bosser ou même tout simplement pour entendre sa voix. Il était totalement accro à son rire, ses mimiques. Il en était dingue !  Il acceptait même le fait d’être traité de niais car peu importait ce que les gens racontaient, il expérimentait pour la première fois le bonheur. Oui, pour la première fois de sa vie, Paris était heureux et confiant quant à l’avenir. Bon, il est vrai que son avenir se résumait à J+2 mais c’était déjà une belle avancée pour lui qui d’ordinaire, vivotait au jour le jour. Son humeur bougon ne s’était tout de même pas évaporé. Il restait toujours le même gars à envoyer péter une personne parce qu’elle avait l’audace de le déranger. Il n’avait pas changé d’un iota, il ne s’était pas plus adoucit.

Au départ, il avait craint de devenir comme ces mecs dépendant de leur nana, ne pouvant pas s’en défaire. Lui, il y arrivait. Un peu. Bon pas tout le temps mais il ne cassait les couilles de personne pour reprendre une de ses expressions favorites. En fait, il n’osait pas trop se vanter non pas qu’il ait honte de sa petite-amie. Franchement, Summer était belle, sexy, amusante, adorable et intelligente -pour ne citer que ces quelques qualités ; Le problème, venait de lui. Il connaissait suffisamment ses amis pour savoir de suite les questions qu’on allait lui poser : alors, et côté sexe elle assure ? Tu arrives à être monogame, toi ?! Et puis, tu comptes organiser des soirées en amoureux ? Là pour le coup, quand il s’était entendu se poser cette question, il avait bug. Etait-il censé organiser des dîners aux chandelles ? Sa seule expérience romantique se résumait à faire l’amour sur le tapis de la Dunster House devant la cheminée.  Alors comme à son habitude, Paris avait pris les devants, il s’était tourné vers la Mecque des relations intimes : le kiosque à journaux ; qu’il avait dévalisé complétement, achetant tous les magazines parlant de ce sujet ainsi la plupart étant bien sûr, des magazines féminins. Il était revenu chargé de pas moins de trente journaux qu’il avait jeté sur son lit. Le jeune homme avait compulsé lesdites sources d’information armé d’un calepin et d’un crayon, oubliant même d’aller en cours. Durant de nombreuses heures, il avait inscrit des idées, en avait rayé d’autres. Il avait retenu certains conseils, balayés d’autres qu’il trouvait totalement stupides. Au bout du compte, il n’en savait pas plus mais sa tête fourmillait de conseils beauté, et autres.

Toutefois, il avait compris que s’il voulait séduire chaque jour sa petite-amie, il avait intérêt à y mettre du siens et les surprises étaient de rigueur. Aussi lui donna-t-il rendez-vous pour pouvoir regarder les étoiles (place n°15 dans le top 20 des soirées romantiques du Vanity Fair). Un peu tendu voire carrément stressé, il attendait sa petite-amie, une rose dans son dos (Conseil tendance n°1 pour un rendez-vous idéal publié dans Mari Clair). « Bonsoir bébé ! Non tu n’es pas en retard, pas le moins du monde. Tu n’as pas eu trop de mal à trouver ? »lui demanda-t-il avant de lui planter la rose sous le nez. « Tiens c’est pour toi » lui dit-il, gauchement. Peut-être que Paris aurait dû lire les petits caractères stipulant que pour offrir une rose, encore valait-il mieux lui ôter ses épines. Il l’embrassa à son tour avant de la contempler. « Tu sais que tu es magnifique… Ce jean te va à ravir »plaisanta-t-il loin de connaitre la frustration élevée de sa petite-amie qui faisait écho à la sienne mais perdu dans ses préparatifs, il n’y avait plus pensé.

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Paris & Summer

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Paris a définitivement et l’art et la manière de me faire ressentir des choses contradictoire. Et en 3 phrases il avait réussi à me faire passer du scepticisme à l’adoration, pour finir par la frustration...et ce dernier sentiment, je commençais à le connaitre par cœur !

Scepticisme d’une part parce que même si j’étais maintenant sûre que je ne m’étais pas trompée d’endroit - vu que Paris était là à m'attendre - lorsque ce dernier me demanda si j’avais eu du mal à trouver, la seule chose que j’ai osé lui répondre c’est « Non, je me suis laissé guider par mon GPS, bien que j’avoue avoir taper deux fois l’adresse pour être sûre : en fait je ne m’attendais pas du tout à ce que tu me donne rendez-vous dans un parc forestier » Je souriais timidement, espérant que Paris ne prenne pas mal mon hésitation et le ton que j’employais pour qualifier ma surprise... J’adore les surprises, hein! Ce n’est pas le problème ! Mais là, je n’avais aucune idée de ce que me réservait Paris, et j’avais beau chercher, je ne voyais pas encore très bien ce qu’on allait pouvoir faire aussi chaudement habillés en plein milieu d’une forêt.

J’avais les yeux rivés sur Paris et ce visage que je ne me lassais plus de voir, et je remarquais cette petite barbe de 3-4 jours qu’il arborait et qui lui allait à ravir. * Commence pas à le détailler, tu sais déjà dans quel état tu vas finir * Je peux quand même apprécier de voir mon petit-ami non ? Surtout quand il est séduisant comme lui... Mes yeux virevoltais entre son regard et sa bouche, à plusieurs reprise, jusqu’à ce que Paris sorte de son dos une rose qu’il brandissait entre nous deux ! Et là, vint ce deuxième sentiment : l’adoration !

J’adorais ses petits gestes qu’il avait à mon attention : Que ce soit les texto du matin, les appels du soir, juste pour savoir si j’allais bien, ou pour entendre ma voix, ça me laissait à chaque fois complètement folle de lui! Alors cette rose ? Ce petit cadeau ultra romantique, même si offert gauchement étant donné sa tête peu sûr de lui, avait eu le don de me réchauffer le corps et le cœur…Bien que niveau corps, j’avais déjà assez chaud ! Il ne se rendait même pas compte comme chacun de ses actes avaient des répercussions sur mon humeur et faisait monter en moi une tension sexuelle que j’avais de plus en plus de mal à contenir... Je pris la rose dans une main et je vins passer mes deux bras derrière son cou – la rose maintenant derrière son dos – et je me collais à lui pour venir l’embrasser à nouveau pour le remercier. Dans des moments comme celui-ci je commençais à me dire que, peu importe l’état d’excitation dans lequel j’étais à cause du manque de sexe entre nous, j’avais au moins la chance inouïe d’avoir un petit-ami qui faisait tout pour me surprendre et être romantique. Combien de femmes auraient voulu être à ma place sincèrement ? Je devais vraiment pas chipoter pour un léger détails secondaire, hein ? * oui, y’en a beaucoup ! Mais parmi elles, certains ont eu le droit au sexe ! Là c'est plus vraiment un détails secondaire, hein ? * Cette pensée me fit grimacer légèrement bien que toujours en train d’embrasser Paris. J’interrompais alors notre baiser et m’écartais de lui, mais restais tout de même dans ses bras * Va peut-être falloir que vous parliez du problème non ? * Non ! Ce n’est pas un problème, d’accord ? Je peux le faire : je peux me passer de sexe avec lui si c’est ce qu’il veut ! Parce qu’il est évident que c’est justement ça qu’il essaye de me faire comprendre non ? Toutes mes tentatives pour passer le cap avec lui s’était soldées par un échec, avec un Paris tendu qui met ses distances ou qui fait toujours tout pour dévier le cheminement de nos soirées. * Ouais ou alors…ou alors tu n’es pas assez « à son goût » ? * Je lâchais Paris cette fois-ci, parce que cette pensée commençait à me faire douter…et comme si il s’en était douté, voilà qu’il me complimentait ! Mon jean m’allait à ravir ? Il est au courant que je me fiche que mon jean m’aille là ?! La seule chose que je veux, c’est qu’il me l’enlève ce foutu jean ! Et voilà…il venait de me frustrer ! Troisième sentiment, en quelques secondes. Y’a pas à dire, il battait des records !

Je baissais la tête de sorte de cache une partie de mon visage dans l’encolure de mon blouson d’hiver, et je marmonnais alors à l’intérieur « je suis sûre que je serais bien mieux sans… » mais bien évidemment, si j’avais marmonné tout ceci en étouffant mes paroles c’était juste pour sortir ma frustration sans pour autant que Paris n’entende ma remarque. Cependant il avait des oreilles, comme tout le monde, et même s’il était incapable d’avoir entendu de manière audible il avait tout de même remarqué que j’avais parlé. Pas étonnant qu’il me demande ce que j’avais dit pour me faire répété. Je me contentais de sortir mon visage de mon manteau et de lui sourire le plus joyeusement du monde pour dissimuler ma véritable humeur et lui répondis « J’ai dit: merci ! T’es pas mal non plus… » et bien que son manteau cachait une bonne partie de sa silhouette, je savais très bien ce qu’il se cachait en dessous, au point que mes yeux lorgnaient à nouveau sur lui, de la tête au pied cette fois-ci, avant d’ajouter avec une voix qui traduisait sans doute mon envie « Tu es même…hmm…trrèèèès…. » * trouve quelques chose qui ne soit pas trop flagrant * « à ton avantage !! » C’est bien ça, non ? Pas trop direct, ça fait pas trop "fille en manque" et je dirais même plus, je donne même l’impression de ne pas être atteinte par la beauté de mon mec. * A d’autres ! T’es en train de baver dessus en ce moment même ! *

Je me tournais alors vivement pour ne plus faire face à Paris et j’inspirais profondément pour me donner bonne contenance, prenant le temps d’observer les alentours. Bien que surprenant, je dois bien avouer que le cadre était paisible et agréable, seulement ma curiosité me faisant défauts, je prenais les devants et osait enfin demander à Paris ce qu’on allait faire ici : « alors dis-moi ? Pourquoi ce lieu ? Qu’est-ce que tu me réserve ? » Tout en l’interrogeant, je baissais la tête pour focaliser mon intention sur la rose dont j’enlevais précautionneusement les épines


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Summer & Paris
Paris était loin de se douter de toute la frustration de sa petite-amie sans quoi, il aurait compris qu’il se prenait la tête pour pas grand-chose finalement. Malheureusement, depuis qu’il était gosse, on lui avait toujours rappelé combien il était inutile, combien ce qu’il faisait n’était jamais à la hauteur des ambitions de ses parents. Il avait passé la majeure partie de son enfance à courir derrière un amour chimérique, à rechercher cette fierté dans les yeux de son père. Il n’y avait gagné que des coups, de la violence et de la méchanceté. Alors, petit à petit, il s’était emmuré derrière une carapace, offrant aux autres ce qu’ils désiraient voir en lui sans réellement se donner complétement. Paris ne se livrait jamais. A quoi ? Il n’avait rien de bon à offrir mais sous le regard de cette femme, il avait envie d’essayer. Alors, il cherchait la perfection sans se douter une seule seconde que Summer ne désirait simplement que lui. Sans fioriture. Qu’il se donne à elle comme elle désirait se donner à lui. Aucune compétition, pas besoin d’être le meilleur mais juste être lui-même. « Je me suis dit que comme nous sommes ensemble, tu aimerais découvrir une de mes passions »lui répondit-il avec un léger sourire. Sa passion des étoiles, son envie d’aller dans l’espace qui ne serait jamais complétement satisfaite à cause de quelques malheureux centimètres en trop. Même pour ça, il n’était pas la personne idéale.

Alors, il s’était juré que pour Summer, il serait le meilleur des partis. Pour cela, il avait travaillé, il avait buché des nuits entières : comédie romantique téléchargée sur le net qui n’attendaient plus que d’être visionnées ; Magazines féminins en tout genre. Oh côté régime et épilation, il était plus calé que la majeure partie des hommes mais cela ne l’avançait a pas grand-chose dans sa relation avec son bel ange. Paris avait néanmoins trouvé quelques conseils notamment celui de la rose qui sembla ravir Summer au plus haut point puisqu’elle lui offrit un baiser qu’il ne tarda pas à prolonger et rendre bien plus intense et fougueux. Dieu qu’il l’a désiré ! Il avait tant de mal à ne pas la toucher. Chacun de leurs baisers le faisaient plus vibrer qu’une relation sexuelle aboutie avec une autre femme. Paris la voulait tellement mais rien ne se passait. Son blocage lié à la peur de ne pas être à la hauteur le clouait sur place. Il craignait tellement de ne pas réussir à la combler. Cette dernière marmonna quelque chose qu’il ne comprit pas mais elle se reprit, le complimenta à son tour. « Vraiment ? C’est bon à savoir »rigola-t-il, toujours rassuré que physiquement, il continuait de lui plaire. C’était déjà ça de pris songea-t-il alors que son petit démon sur l’épaule droite faisait mine de s’étrangler avec une corde imaginaire face à son manque d’entrain vis-à-vis de Summer. « Je me suis dit que cela pourrait être sympa de regarder les étoiles ensemble non ? Loin des enfants » termina-t-il par lui répondre mais visiblement, la belle n’était pas emballée. « Enfin je pensais que ça pourrait être une idée de soirée romantique…. Tu n’aimes pas le plein air ? »commença-t-il par paniquer en se passant une main sur sa nuque. Bon sang, depuis quand s’était-il changé en loque humaine ? Son petit démon en profita pour prendre la parole : depuis que tu sais plus la lever mon vieux ! Faut te faire une raison, Superman a sa kryptonite bah toi c’est le manque de sexe !... Encourageant songea Paris, dépité.


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Découvrir une de ses passions ? Alors là, il avait su viser juste pour me donner envie d’en découvrir plus. De ce fait, adieu Scepticisme et bonjour Curiosité ! Je souriais chaleureusement à Paris en lui disant le plus sincèrement du monde : « Je veux tout découvrir de toi ! Alors je suis sûre que quoique ce soit, j’vais aimer ça » *Oui mais si entre temps tu pouvais nous faire découvrir une autre partie de toi qu’on désire plus que tout, on ne dira pas non, non plus !* Heureusement pour moi, il avait sorti la rose qui me fit penser à autre chose, et me rappela Ô combien son romantisme était bien plus important à mes yeux que tout le reste !

Bon ça ne m’empêchait pas de le désirer, de le reluquer, de m’imaginer ce qu’il portait sous ses vêtements chauds, de faire appel à mes sens pour me souvenir de la douceur de sa peau, du dessin de ses muscles, du gout de son cou lorsque celui-ci était encore affublé de ce parfum qui me remuait de l’intérieur. Non, définitivement : je ne pouvais pas arrêter la machine hormonale quand celle-ci était en marche, et s’apparentait à une vraie chaudière ! Okay, je veux bien me tenir correctement physiquement, mais je ne peux pas m’empêcher de rêver mentalement, sinon je n’allais plus pouvoir contrôler cette folie passagère que je vivais à chaque fois que Paris était dans les parages. Je le complimentais à mon tour sur son apparence, parce qu’il fallait quand même que je laisse sortir quelques commentaires plutôt que de les garder pour moi et faire déborder mes émotions. J’avais mesuré mes propos – pas mon comportement – et ce petit compliment avait au moins réussi à me libérer d’une légère tension. Comme si le fait de laisser sortir ces mots diminuait peu à peu mon désir de l’enfermer dans la voiture avec moi pour lui monter dessus! Oui parce que, euhmmm….comment dire…oui : j’avais envisagé cette possibilité durant le trajet qui me menait jusqu’à ce parc. C’était pas très sain pour mon mental, surtout que ça n’avait fait qu’accentuer mes envies, mais…franchement, c’était la seule chose à quoi je m’accrochais en ce moment : mon imagination! Alors autant qu’elle déborde comme elle le veut, non ?!

Je m’étais détachée de Paris et lui tournait le dos pour calmer mon esprit tourmenté, le questionnant sur ce qu’on allait faire ici surtout après m’avoir signalé qu’il voulait me faire partager une de ces passions. Je me focalisais sur ma rose, souriant amoureusement en la regardant parce qu’elle me rappelait à quel point je devais m’accrocher à son romantisme, à la façon si particulière dont Paris me traitait…et quand il évoquait le fait qu’on allait passer la nuit à regarder les étoiles, je fermais doucement les yeux, ce sourire aux lèvres ne me lâchant pas : Il avait été jusque-là…jusqu’à vouloir pousser le romantisme à son paroxysme en me proposant une nuit sous les étoiles en sa compagnie. Je n’avais pas bougé d’un iota, et mon mutisme avait dû alarmer Paris qui commençait à douter de son idée de soirée romantique et me demandait si je n’aimais pas le plein air

Une étrange chaleur m’envahissait tout le corps, alors que je me retournais pour le regarder avec une émotion non dissimulée dans le regard : Dieu que j’étais folle de cet homme! Il était là devant moi, avait organisé tout ce rendez-vous dans l’unique but de passer du temps avec moi, sans les enfants, et de me faire découvrir une partie de lui ? et moi pendant tout ce temps, je me montrais égoïste en pensant uniquement à ce qu’il ne m’offrait pas en premier lieu ?! Je me pinçais les lèvres et refit quelques pas vers lui pour combler le vide que j’avais instauré entre nous et je me plantais devant lui, posant ma main libre sur sa joue pour le rassurer : « J’adore le plein air…Si tu veux tout savoir, je suis même une véritable fan de Nature, je pourrais passer une journée complète dans un lieu comme celui-là juste pour quelques photos de ce que ce cadre à de si beau à offrir…. » je souriais à Paris, posant mes yeux sur les siens puis descendant sur sa bouche avant d’ajouter : « Alors si en plus tu me propose de rester ici avec toi, à regarder les étoiles, tout est parfait ! » Je déposais un rapide et tendre baiser sur ses lèvres, pour ne pas trop me faire envie non plus…et je reprenais une attitude plus légère et moins tendue que tout à l’heure avant de demander à Paris « Par contre, tu as pris de quoi nous couvrir ? Parce que, je t’avoue que j’ai que ça sur moi et j’ai peur de finir par grelotter toute la soirée » avais-je dit en me désignant moi-même de haut en bas pour signifier qu’un simple jean un pull et un manteau n’allait sans doute pas être suffisant !


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Summer & Paris
Paris avait eu un sourire heureux et enfantin lorsque son petit ange lui avait affirmé qu’elle voulait tout découvrir de lui en précisant qu’elle aimerait ce qu’elle trouverait. Cela lui réchauffa bêtement le cœur, l’émouvant au-delà des mots. C’était idiot, on lui avait déjà dit ce genre de choses pour le séduire, pour essayer de l’appâter mais jamais avec cette sincérité. Summer désirait réellement le connaitre. « J’espère bien connaitre les tiennes aussi. Je veux tout savoir de vous mademoiselle Wingfield » rétorqua-t-il avec ce sourire charmeur qui lui allait si bien au visage. Cette femme était encore un mystère pour lui et il aspirait à la découvrir, la mettre à nue de toutes les façons possible et inimaginable. Le jeune homme désirait ardemment savourer chaque minute avec sa jolie blonde.

D’ailleurs, depuis quelques temps, il avait remarqué que son regard d’ordinaire si joyeux était ombragé par quelques nuages. Il se demandait si quelque chose la tracassait mais ne voulant pas se montrer envahissant dès le départ, il rongeait son frein. Peut-être justement aurait-il dû briser la glace car il aurait découvert la force de la frustration de la jeune femme. Une frustration qui faisait écho à la sienne. Combien de fois depuis qu’il avait appris à ses rares amis qu’il était en couple, avait-il subi la question sur leur vie sexuelle. Paris avait toujours battu en retraite jusque-là, n’osant avouer que tout était au point mort. Oh ce n’était pas faute de la désirer et se réveiller en pleine nuit à cause d’un rêve érotique. Le Dunster ne comptait même plus le nombre de douches froides qu’il avait pris depuis le début de leur relation. Si cela continuait, il allait choper la crève !

En fait, c’était même étonnant qu’il n’ait pas encore compris le mal qui rongeait sa compagne, lui, qui était un expert en femme. C’était à se demander si perdu dans son besoin quasi-maladif d’être parfait aux yeux de Summer, il ne perdait pas l’essentiel de vue à savoir : combler ses attentes. Paris n’avait jamais été un homme de grandes réflexions malgré son côté scientifique. Il était fait pour l’action alors pourquoi n’agissait-il pas à la fin ?! Pourquoi ne comblait-il pas la distance qui se creusait peu à peu entre eux ? Non, il paniquait, se murait derrière ses nouvelles connaissances. Heureusement, Summer ne semblait pas trop lui en tenir rigueur, restant cette femme adorable, son petit ange qui chavirait son cœur de bien des façons. « Tu aimes faire de la photo ? »lui demanda-t-il, glanant chaque nouvelle information la concernant dans sa tête. « Ne t’inquiète pas bébé, j’ai pris tout ce qu’il nous faut ! »lui dit-il en la soulevant dans ses bras, d’un coup, la forçant à lier ses jambes autour de ses hanches pour ne pas tomber. « Et puis, je connais plein de techniques pour se réchauffer si la couverture que j’ai prévu n’est pas assez chaude pour toi »plaisanta-t-il en l’amenant à sa mot qui était garée un peu plus loin. Là-bas, d’une main, il ouvrit le coffre de cette dernière pour en ressortir un petit pique-nique. « Promis, ce n’est pas moi qui l’ait cuisiné. Je suis passé chez le traiteur » lui dit-il avant de lui tendre le paquet pour qu’elle le tienne pour lui, bien décidé à ne pas la laisser toucher terre ce soir. Puis, il sortit une grosse couverture de style polaire avant de refermer le tout. « Prête à voir les étoiles mon ange ? »lui demanda-t-il en butinant ses lèvres.

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Paris & Summer

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J’avais bien envie de tout connaitre de l’homme qui partageait ma vie en ce moment, et ses passions étaient sans doute un très bon point de départ. J’avoue qu’il y avait tout un tas de chose auxquelles je n’avais pas encore de réponse, mais je partais du principe que je les aurais tôt ou tard et qu’il fallait juste que je me montre patiente. Surtout que je savais bien que les relations amoureuses étaient une première pour Paris, alors il ne valait mieux pas le brusquer. Je mettais de côté ma curiosité mal placée et préférait attendre que Paris s’ouvre de lui-même à moi ; ainsi j’avoue toute la garantie qu’il le faisait en toute confiance et en tout état de cause. Parce qu’il l’aurait voulu, tout simplement…Paris m’arracha un sourire en m’avouant qu’il comptait bien me découvrir lui aussi, mais mon sourire avait bien plus l’apparence d’un sourire malsain parce que dans ma tête, je ne pouvais pas m’empêcher de lui répondre « Découvre-moi au sens littérale du terme et tu connaîtras UNE « Passion » débordante que je peux avoir pour toi ! » Mais ça bien sûr, je le gardais pour moi, comme d’habitude…parce qu’encore une fois, on n’oublie pas la règle première : on ne brusque pas les choses, Paris a l’air de vouloir prendre son temps. * et moi je te dis qu’il a un problème, c’est évident *

En parlant de mes passions, c’est quelques instants plus tard – après m’avoir dit les raisons plus qu’adorables de notre venue ici – que je lui informais de la première d’entre elles : la photo ! Info qui ne passait pas inaperçue apparemment « Ouais, j’adore ça !! Enfin…je ne suis pas une pro en la matière mais : disons que, j’aime immortaliser les choses qui me prennent au cœur, comme si j’avais besoin de garder un souvenir figé du moment où j’ai été touché par un lieu, un objet, une personne…. » Et puis finalement, un peu pressée à l’idée de me mettre à l’aise avec Paris, j’avais fini par lui demander s’il avait pris ce qu’il fallait pour la soirée, en pensant en premier lieu à quelque chose de chaud qui pourrait nous réchauffer. Je sentis soudain les mains de Paris se poser sur ma taille pour me soulever de terre avec une facilité déconcertante ! Surprise mais ravie, je compris très vite ce qu’il attendait de moi et sur le coup, je ne faisais pas prier, entourant mes jambes autour de sa taille et passant mes bras autour de son cou. Mais une fois dans cette position – bien que très habillés tous les deux – un flash assez sulfureux d’une de mes pensées érotiques entre Paris et moi, me parcourut instantanément l’esprit, m’électrisant littéralement tout le corps ! Le pire, c’est que les paroles de Paris n’arrangeaient rien !! C’est simple : je ne voyais plus un Paris vêtus de son manteau me tenant dans ses bras alors que nous étions dans un parc public ; non, là je voyais un Paris à moitié nu, prêt à ne faire qu’un avec moi alors qu’on se trouvait dans sa chambre ! Ah, non pardon. rectification : dans la douche ! Oui, oui, le décor vient tout juste de changer !!

Que répondre à cette remarque qui portait clairement à confusion dans ma tête ? Franchement là, telle que j’étais – complètement à sa merci – la seule chose que je réussie à faire c’est d’avaler difficilement ma salive et de tenter une remarque peut-être trop sincère sur le sujet : « Je crois que tu devrais éviter de me dire ce genre de chose quand on est dans cette position…c’est déroutant » avouais-je avec une voix enraillée et emplie de désir. Il me gardait dans ses bras, et à chaque fois qu’il faisait un pas, je ressentais son corps se mouvoir contre moi. Bon sang, je sens que cette soirée allait être un véritable supplice! Je le fixais intensément alors qu’il nous amenait vers la place où il était parqué et je me disais que si je ne déviais pas mon regard tout de suite, j’allais au-devant de gros soucis de self-control. Je décidais donc de regarder devant nous et je pu découvrir pour la première sa moto…enfin pas la première fois, mais…la première fois de près ! « Woaw… » M’exclamais-je tout en observant cette beauté mécanique. « J’ai le droit de trouver ça sexy ? » demandais-je d’un air amusé avant de pouffer de rire tandis que Paris sortait un sac à pique-nique en m’assurant que ce n’était pas lui qui l’avait cuisiné ! « Alléluia ! On va pouvoir manger décemment alors ! » Plaisantais-je alors que je prenais le sac dans mes mains mais remettaient très vite ces dernières derrière la nuque de mon petit-ami que je ne voulais surtout pas lâcher. Je regardais ensuite Paris prendre une couverture et là encore, j’avais des idées mal placées sur ce que j’avais envie de faire sous cette dernière. Je me pinçais les lèvres l’une contre l’autre et passais discrètement ma langue dessus pour dissimuler mon trouble et quand enfin Paris fermait son coffre, en me demandant si j’étais prête à voir des étoiles, je ne pus m’empêcher de répondre avidement à ses rapides baisers qu'il m'offrait, m’emparant de ses lèvres avec passion, parce que j’avais vraiment besoin de m’apaiser d’une manière ou d’une autre…Tout en l’embrassant sensuellement, je réussissais à lui répondre « Oui, je sens que je vais en voir des étoiles ! ». il était tellement étourdissant que c'est sans doute ce qu'il allait m'arriver! J’étais légèrement essoufflée, non pas parce que je manquais d’air, mais parce que l’excitation me faisait battre le cœur à mille à l’heure. Mais cela ne m’empêchais pas d’ajouter « Je veux atteindre le septieme ciel », mais heureusement pour moi, mes mots avaient été bien trop étouffés par la force de mon baiser que Paris n’avait pas dû tout entendre dans son intégralité. Mon dieu, je le désirais tellement que ça commençait à devenir physiquement douloureux !! Alors si je pouvais calmer mes ardeurs en embrassant mon petit-ami comme si c’était la dernière fois que je pouvais le faire, je n’hésiterais pas une seule seconde !

Seulement voilà, au bout d’un moment ce baiser ne me calmait plus. Au contraire : il m’irradiait tout entière et réaccentuait mes envies. Je lâchais les lèvres de Paris à contre cœur, cachant mon rougissement et mon trouble dans son cou, tandis qu’il nous amenait dans cette forêt, à la recherche d’un endroit pas trop ombragé pour que l’on puisse avoir une vision clair du ciel au moment de regarder les fameuses étoiles


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Summer & Paris
« Il faudra que nous nous prenions en photo dans ce cas ! »décréta Paris sur un ton qui ne souffrait d’aucune réplique. Si la photographie était aussi importante que la danse pour lui, alors Paris voulait bien prendre autant de photos qu’elle le voudra pour satisfaire cette passion. Le pire, c’est qu’il s’imaginait bien la prendre en photo… En lingerie fine, toute nue, dans son sommeil. Bon sang, il s’était promis de ne pas titiller sa libido avec de pareilles pensées. Ce soir, le romantisme avait sa place et il se devait de rester dans son objectif du jour. Il faut croire que la belle Summer n’était pas la seule à ne plus en pouvoir du manque de sexe dans leur couple. Le jeune homme commençait à la voir partout et surtout dans n’importe quoi : même les donut’s lui donnaient des envies peu catholiques. La dernière fois, Zoïa en avait ramené pour fêter la fin des entrainements et lui, il n’avait pu s’empêcher d’imaginer Summer. Il commençait à perdre la tête ! Ne pouvait-il pas pour une fois dans sa vie, ignorer sa libido pour passer une soirée romantique avec sa petite-amie ?

Summer s’était plainte que Gabin la mettait de côté, qu’ils ne faisaient rien ensemble. Il ne voulait pas commettre les mêmes erreurs que ses ex-petits-amis. Il était bien décidé à lui montrer qu’il était prêt à faire des efforts pour la faire rêver. Une excuse de plus pour ne pas passer à l’action lui souffla cette petite voix désagréable. Il n’avait pas peur de faire l’amour à son ange. C’était même tout le contraire. Dans ses rêves, ils avaient déjà fait tout le kamasoutra en long en large et en travers ! Ouais mais entre le rêve et la réalité, ta baguette magique fonctionne plus lui asséna toujours cette même voix. Génial, il allait se choper la crève et en prime, il allait virer schizophrène ! Son avenir sentimental s’annonçait magnifique ironisa Paris, dans l’intimité de son esprit.

Le jeune homme souleva son ange, glissant ses bras autour de sa taille. Elle était si légère, si parfaite pour son propre corps, comme s’ils s’emboitaient parfaitement. Ce genre de pensées n’allait pas l’aider une nouvelle fois mais heureusement, la perspective de tout installer allait lui occuper l’esprit. « Il se pourrait bien que cela soit fait exprès bébé »murmura-t-il alors qu’il plongeait son regard dans le siens. La séduction était toujours aussi forte entre eux mais la tension sexuelle qui s’abattait entre eux devenait lourde surtout quand elle lui lançait un regard aussi chargé de désir. Comment Paris avait-il pu passer à côté de cela ? Etait-il devenu complétement aveugle depuis qu’il était en couple ? Il déglutit difficilement, prenant enfin conscience de l’état de Summer. Il s’en serait donner des claques mais pour le coup, il en oubliait même de réfléchir. Sa petite taquinerie au sujet de la nourriture le fit redescendre sur terre et il lui pinça la fesse gauche en représailles.

La suite. Il la conduisit jusqu’à une petite clairière, entre deux baisers qui manquèrent de le faire chuter plus d’une fois. Paris en oubliait ce rendez-vous, il en oubliait même les étoiles. L’un comme l’autre s’était retrouvé pris au piège de leurs baisers qui devenaient de plus en plus passionnés, de moins en moins contrôlés si bien que Paris lui fit lâcher le petit sac plastique contenant leur repas. La couverture tomba à son tour à leurs pieds tandis qu’il se laissait tomber à genoux, la gardant toujours dans ses bras. La passion avait visiblement raison de son romantisme, du lieu où ils se trouvaient et encore plus de ses blocages récents. « Mon ange »murmura-t-il en glissant ses mains sous son pull et son haut pour toucher directement sa peau chaude et soyeuse. Ses lèvres quittèrent les siennes pour attaquer la peau tendre de son cou qu’il mordilla. Il se sentait pris d’une fulgurante envie de lui faire l’amour à cet instant précis. « Je voulais être romantique ce soir » murmura-t-il dans son cou, peinant à reprendre le contrôle mais c’était comme si, on venait d’ouvrir une vanne et qu’un torrent de lave en fusion s’écoulait dans ses veines. A nouveau il reprit ses lèvres dans un langoureux baiser, la serrant davantage contre lui comme s’il désirait se fondre en elle, de ne plus faire qu’un.

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Paris & Summer

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Plus rien n’avait d’importance en cet instant. En fait non, c’est juste que je ne voulais plus rien savoir, surtout ! J’étais tellement accaparé par mon désir pour Paris qui était clairement en train de me transformer en braise que je me fichais de savoir ce qu’il se passerait par la suite !
Je crois que finalement, mon regard et les baisers que j’avais enclenché avait été le message clair pour Paris ! Il se montrait soudain aussi troublé que moi et même si nos taquineries ne changeaient pas le moins du monde, quelque chose me disait que lui comme moi laissions enfin notre désir parler pour nous.

J’y mettais de mon côté vraiment du mien pour lui faire savoir à quel point je le désirais. Pour être claire : A chaque fois qu’il avançait et que son déséquilibre séparait malencontreusement nos deux corps, je me collais très vite contre lui, renforçant nos baisers, resserrant l’étreinte de mes jambes sur ses hanches afin de combler le vide que je ressentais entre nous. Et je fis cela à plusieurs reprises si bien que je commençais à quémander quelques frictions qui ne firent rien pour arranger ma frustration. Heureusement pour moi, Paris semblait soudain bien plus réceptif à mes attaques. Bon…c’était déjà arrivé, ça ! Il y avait bien eu cette fois où j’avais débarqué tard le soir quand les enfants dormaient, parce que j’avais fait un service à l’hôpital jusqu’à 22h : Paris m’avait proposé une fin de soirée télé et comme de toute façon, je crevais d’envie de le voir, je n’avais pas hésité une seule seconde. Sauf que voilà, à mesure que le film déroulait, je me sentais vibrer par le rythme de sa respiration, la chaleur de son corps et j’avais fini par m’épancher sur lui plutôt que sur le film, réussissant à lui déboutonner sa chemise et lui desserrer sa ceinture tout en l’embrassant dans son cou, sur son torse…son abdomen….jusqu’à ce qu’il invoque la présence des enfants qui venait à peine de s’endormir. Là, je m’étais sentie refroidie, lui il s’était levé et comme si la terre ou le ciel avait voulu nous lancer un signe, Ashlynn s’était réveillé parce qu’elle avait faim! J’avais dû me calmer dans mon coin, tentant de reprendre mes esprits alors que j’avais été persuadée à ce moment-là que Paris et moi étions sur la même longueur d’onde et qu’il en avait eu envie tout autant que moi !

Alors là, oui ! Il avait beau répondre à mes assauts, approfondir nos baisers, je m’attendais à un STOP de sa part….Apparemment, on était arrivé à destination puisque l’une des mains de Paris attrapa le sac derrière lui que je tenais, et le fit tomber au sol ! Il lâcha également la couverture, et délicatement, il se mit à genou sans pour autant me faire descendre de mon perchoir ! Je nous sentais descendre au sol, et je gémissais instinctivement contre ses lèvres alors qu’il m’interpellait en m’appelant son ange ! Bon comme d’habitude me direz-vous, mais là…c’était différent. Totalement différent parce que j’avais l’impression que ce « mon ange » murmuré était là pour traduire son propre désir. J’en étais d’ailleurs plus que convaincue lorsque ses mains passèrent sous mon pull et mon haut pour venir électriser ma peau. Là encore, je gémissais sauf que ce qui sortait de ma gorge s’apparentais presque à de la souffrance tellement le désir devenait intenable. Ses lèvres quittèrent ma bouche et je cherchais à reprendre un souffle correct…en vain ! Mon cœur battait la chamade et je ne savais même plus ou j’avais envie de poser mes mains. Elles se baladaient partout sur Paris, se mêlant à ses cheveux, caressant sa nuque, s’agrippant à son épaule, venant s’immiscer comme elles le pouvaient sous le manteau de Paris, pour finalement s’échouer sur le bord de son pull, que j’eus à peine le temps de soulever pour venir toucher sa peau quand Paris murmurait à nouveau. Son ton me donnait l’impression qu’il éprouvait une sorte de peine et je ne savais pas si cette peine avait un rapport quelconque avec celle que je ressentais ou s’il éprouvait ce sentiment parce que les choses dérapaient. Il voulait que ce soit une soirée romantique et moi je gâchais tout avec mes caprices hormonaux!

Je finissais par geindre comme une gamine avant de me reprendre. Je prenais sa tête entre mes mains alors qu’il venait à nouveau m’embrasser passionnément et entre chaque mouvements de nos lèvres je réussissais à lui dire « Oh oui, je sais… pardon…pardon, j’suis trop nulle » Je l’écartais alors de mon visage et grimaçant quelques peu, je fronçais le bout du nez et ajoutais : « Je vais me calmer, promis !! » Je me mis à souffler fortement pour évacuer la tension sexuelle évidente et descendit de moi-même le peu de centimètres qui me séparait du sol en déployant mes jambes pour ne plus l’encercler… Je laissais mes fesses toucher terre et je me débattais comme je pouvais pour quitter ma position autour de lui. Je me levais ensuite pour regarder autour de nous, inspirer profondément et lui dire « Et si on s’installait plus convenablement ? » lui proposais-je en regardant le sac à pique-nique et la couverture posé complètement à la sauvage par terre. Il voulait absolument de cette soirée romantique, alors je me devais de me tenir correctement, d’arrêter mes caprices et de le laisser se comporter comme l’homme merveilleux qu’il était. J’attrapais alors la couverture, tandis que Paris s’occuperait sans doute du pique-nique


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Summer & Paris
Les frictions entre leurs deux corps, ses baisers, ses soupires, sa recherche constante de contact, tout ceci l’avait rendu fou de désir et lui avait fait tout oublier : la raison de ce rendez-vous, son blocage, tout.  Il n’y avait plus qu’un homme et une femme, perdus dans la forêt, sous les étoiles. Il voulait sentir ses mains partout sur son corps, que les vêtements tombent, qu’elle lui arrache sa chemise. Bon sang, il la voulait là maintenant ! Il se fichait bien que tout ne soit plus aussi romantique qu’il l'epérait. Paris avait éteint son cerveau, il agissait ENFIN. Son instinct reprenait le dessus sur ses craintes, il se laissait finalement aller comme il aurait toujours dû le faire. Il était hors de question qu’il s’arrête en si bon chemin sous peine de voir ses peurs les plus viles reprendre ses droits sur son esprit. Pour l’heure, il ne pensait plus qu’à Summer, il ne ressentait plus que son amour, la force de son désir, son besoin quasi douloureux de la faire sienne.

Elle lui appartenait autant qu’il était siens et il ne pouvait se passer d’elle une seule seconde de plus. Oui il avait placé de grands espoirs dans cette soirée. Il voulait lui montrer qu’il n’était pas qu’un homme qui pensait qu’au sexe ; Il souhaitait lui montrer une image romantique, lui faire comprendre qu’il ferait tout et n’importe quoi pour elle. Le magazine n° 13 lui avait conseillé d’accepter sa part de féminité pour être en phase avec sa compagne ; Mais Paris se rendait compte que tous ces conseils avaient été rédigés par des femmes pour des femmes. Summer se fichait bien à l’heure actuelle des étoiles, tout ce qu’elle voulait, c’était lui. En voulant bien faire, il s’était coupé de sa propre petite-amie. Rien ne l’empêchait de faire ce genre de soirée… plus tard. Beaucoup plus tard. A cet instant précis, ils avaient seulement envie de se donner l’un à l’autre comme pour sceller leur union, comme pour affirmer clairement qu’ils s’appartenaient. Paris n’avait jamais été sensible à ce genre de détail parce qu’il n’avait jamais ressenti le désir d’appartenir à quelqu’un. Il était comme un étalon sauvage, un indomptable.

Malheureusement, son petit ange comprit de travers ses dernières paroles. Paris ne regrettait pas cette soirée, il s’en fichait bien. Il lui expliquait juste qu’il avait cherché à être romantique mais qu’il avait échoué pour son plus grand plaisir et voilà qu’elle s’éloignait de lui, lui arrachant un grognement de protestation. « Mais reviens… j’ai les mêmes à la maison » marmonna-t-il sur un ton de gamin capricieux car il avait froid sans sa chaleur. Assis sur ses talons, il la regardait s’activer avec l’envie de rejeter la tête en arrière et de beugler comme un loup furieux et frustré. « J’ai pas envie de m’installer convenablement… J’ai envie de toi » reprit-il en lui attrapant rapidement la jambe pour la faire tomber dans ses bras. « La seule chose que j’ai envie d’installer convenablement, c’est cette couverture… avec toi dessus, dessous, peu importe tant que t’es avec moi » lui dit-il d’une voix rendue rauque par le désir. Il reprit aussitôt ses lèvres pour faire taire la plus petite de ses récriminations. « Je serais romantique en te disant combien tu es belle sous la lueur de la lune, combien tu me rends fou quand tu gémis mon prénom, combien je me sens dans la peau du plus chanceux des hommes quand je te ferais atteindre le septième ciel et que tu viendras te blottir entre mes bras après l’amour. Je te murmurerai alors combien je me sens heureux à tes côtés… je te promets d’être le plus romantique que possible mais là, je suis un homme qui a juste envie de faire l’amour à sa petite-amie »


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