new years, new me, new us ✩ lucas

Seulement quand tu es en sa présence, le reste du temps la folie s'estompe pour devenir du cynisme et de l’hypocrisie. Et le 5% du reste de ce temps, il devient une folie meurtrière, qui est capable de quitter la table alors que le dessert s'avère être un fondant au chocolat. « C'est ce qu'on va voir, c'est une bouteille de richard, je suis sûre qu'il a du la payer quoi ? Milles dollars, voir plus. » tu secoue la bouteille avant de lui donner, tu avais bu une gorger avant bien sur, histoire de voir ce que tu vas lui donner. Et effectivement, c'était une bouteille bien cher et bien pétillante, remplis d'alcool et d'autre truc néfaste pour la sante, c'est rare maintenant des choses qui ne soit pas néfaste pour la santé de toute façon. Lorsqu'il se met à boire, tu fais la pompom girl, et agite les bras en hurlant. « ALLER LUCAS, ALLER LUCAS, ALLEEEEER. » tout en étant morte de rire, il ressemblant à ses chiens à qui en donne de l'eau avec un tuyau d'arrosage. Il sait pas boire alors il en mais partout, ton maillot de bain compris. Et vu comment il descend la bouteille, il doit déjà avoir bu tout l'alcool et le reste de truc néfaste pour la santé doit être entrain de couler le long de ses joues. « C'est donc à ça que tu ressembles, quand tu enfiles ton déguisement de mathers ? » dis-tu toujours morte de rire, et essuyant les résidu de cracha qui sont tomber sur ton maillot. Tu ris encore plus quand il se met à pincer sa langue, on dirait un gosse qui aurait bouffer de la soupe trop chaude. Tu sors un petit sachet d'amphétamine.  que tu avais garder pour les 12 coups de minuit, pour te transformer en super excité Alaska. « Tiens avales, c'est de l'aspirine. » dis-tu en rattrapant le fond – et cette fois-ci il ne rester vraiment que le fond – de la bouteille de champagne.

Une bouteille de quoi ? Richard qui ? Bof, je connais rien en marque de Champagne, moi tant qu'il y a de l'alcool, ça me va parfaitement. Et bien Richard va atterrir dans mon petit corps. Bien que dit comme ça, c'est vraiment chelou en fait. Alors que je bois bien sagement ma bouteille de Richard, Alaska se met à faire la pompom girl. Oh non, si en plus de ça elle me fait rire, je vais en mettre de partout. Et c'est le cas d'ailleurs, puisque de la mousse glisse le long de ma joue, de mon cou. Bien, charmant, classe, tellement sexy Watson. Chu, tu le kiffe ton petit Mather, je lui dis en posant la bouteille vide, tout en essuyant ma bouche de mon bras. Mais qu'est-ce qu'elle fait ? Elle me drogue ? Non mais je rêve ! Je n'ai rien le temps de lui dire, que j'ai déjà avalé son machin. Ah ben voilà, je vais finir la soirée drogué de force !, dis-je en prenant un ait faussement choqué. Bon, on continu, où on part visiter le reste du Yatch ?, je lui demande tout en regardant la grandeur du bateau. Je suis sur qu'on serait capable de se perdre tellement qu'il est immense.

Richard est en lui ? tu arques un sourcil, parce que c'est grave pervers quand même. Richard c'est un surnom pour les gosses de riche, 'fin c'est comme ça que tu les appeler quand tu été à New York, et qu'il se la pété avec leurs Mac alors que t'avais un calepin pour noter tes cours. "Mon petit Mathers, ressemble à un labrador!" dis-tu en gloussant, parce qu'effectivement, c'était à quoi il ressemble actuellement, mais tu ne peut pas t'empêcher de trouver ça adorable. Tu lui file ensuite une petite pillule du bonheur, parce qu'une soirée sans pillule du bonheur c'est un peu une soirée raté tout de même. Il fait un air choquer, mais c'est un mathers ! j'suis sure que chez eux au lieu d'avoir un bol avec des bonbons pour les invités, c'est un bol de LSD. "Fait pas comme si ça te choquer!" dis-tu en avalant la tienne. Tu le tire ensuite, vers l'intérieur du yatch, parce qu'effectivement il y avait pas mal de truc sur ce mini las végas flottant. Tu étais sur qu'y avait même un bowling cacher quelques part. "on va trouver la salle de jeu ! j'ai vu sur le plan qu'y avait une piscine de ballon !" dis-tu en dansant dans les couloir, entre les gens déjà étaler par terre.

Elle me parle d'un Richard, ouais va savoir d'où elle le sort celui-là mais ce n'est pas grave, je compte bien vider la bouteille comme elle me l'a demandé. Un labrador ? Rien que ça, dis-je en rigolant, alors que je viens de vider la bouteille, et que j'ai de la mousse de partout. Par la suite, Alaska entant que nouvelle grande dealeuse, se permet de me mettre une pilule du bonheur. Venant de toi, oui, je suis choqué, je lui répond avec la bouche grande ouverte. Ce que j'aimais chez elle, c'est qu'elle soit différente de toutes les filles que je côtoie, mais visiblement, elle a décidé de devenir comme elles. Bref, elle m'attire de force vers l'intérieur du Yatch, qui est magnifique. On se promène dans les couloirs, bien qu'Alaska se trémousse plus qu'autre chose entre les corps d'étudiants à moitié fracassés. Une piscine de ballon ? Tu veux pas une piscine tout court ?, je lui demande toujours en la suivant, m'arrêtant devant un plan du bateau. Hmm est-ce que salle d'amusement, serait la salle que tu cherches ?, je demande à nouveau, en l'attirant par le bras, vers "la salle d'amusement".

Tu sais pas vraiment si il est choqué, ou si il fait genre. C'est le problème avec Lucas, tu sais pas si ce qu'il ressent est réel ou si ça l'éclate juste d'avoir une petite brunette à ses pieds. Alors tu relève pas vraiment quand il te dis que ça le choque, parce que ça pourrais une blague en mode : hey tu devient aussi mather, petite coquine ! Ou alors il est vraiment deçu, et tu ne serais pas vraiment comment réagir. Et puis ton cerveau commence déjà à tambouriné, tu te met à danser dans les couloirs remplis de gens HS en chantant. « QUI VIT DANS UN ANANAS DANS LA MER ? » dis-tu en te tournant vers Lucas pour qu'il répondre, sinon c'est pas drôle de chanter le générique de bob l'éponge seule. Tu danses encore lorsqu'un bras te tire, aïeu. « Salle d'amusement ? Ça sonne plus comme une chambre contenant des jeu érotique, genre balançoire à sex et godmichet. » dis-tu en gloussant, un truc comme 50 nuances de Grey. « Ou sinon là y a un jacuzzi, à l'étage -2, j'aimerais bien y aller, mais j'ai peur qu'y est plein de gens bourée et du sperme dans l'eau. » les gens savent pas se tenir, et généralement les jacuzzi sont l'endroit préféré de ses mêmes gens pour féconder. Quoi que Lucas décide, tu ne t'arrête pas de danser la macarena, en entendant la musique du haut. « HEEE MACARENA. » dis-tu en balançant ton bassin.

Je la taquine toujours quand je suis avec elle, mais il faut dire que dans le fond, je suis un peu choqué de la voir ainsi. Après tout, ce n'est pas pour rien que je lui ai fait une crise pour Kenny. Il y avait le fait bah qu'elle semble bien l'aimer, mais aussi le fait qu'elle consomme des produits qui sont mauvais. Moi j'ai l'habitude, ça fait des années, à notre époque je fumé déjà même. Bref, elle n'y est tellement pas habitué, qu'elle commence déjà à délirer. Mouais, je crois qu'à minuit je vais embrasser un coussin... BOB L’ÉPONGE, je lui répond en hurlant. Je ne connais pas la chanson, mais je sais que Bob vit dans un Ananas. Ouuuuh, faut que j'y jette un coup d’œil alors, je lui répond en posant ma main sur la poignet de porte, avant qu'elle ne m'arrête. Bah quoi, ça doit être sexe d'attacher une fille ou quoi, non ? Non, bon d'accord. Allons voir ton jacuzzi, on ne sait jamais, je lui dis en la tirant par la main, alors qu'elle s’agite en chantant la macarena. Putain, finalement petit pilule si tu pouvais faire ton effet, ça serait cool. Je rigole en la voyant danser, arrivant devant la salle de jacuzzi. J'y jette un coup d’œil, et visiblement, personne n'y est encore venue. Bah voilà, on peut piquer une tête, bien qu'on ne puisse pas vraiment nager dedans.

Tu propose d'aller dans la salle de jeu, parce que merde, les piscines de ballons et les toboggan t'as toujours fait planer, mais il semble que la seule salle de jeu qu'il y a est une salle d'amusement et dit comme ça, ça sonne plus comme une salle à la 50 nuance de Grey. "Hors de question. On fera ça arriver à Cambridge!" dis-tu en lui faisant un petit clin d'oeil aguicheur. OU PAS. les balançoire à sex et les trucs bizarre ou on s'attache, c'est super bizarre, surtout si quelqu'un vous surprend. Alors c'est partit pour le jacuzzi. "C'est cool, parce que je suis déjà en maillot, alors pas besoin d'enlever plus.. a moins que tu veilles que j'enlève plus?" tu fait marche arrière, le pas long jusqu'au fameux jacuzzi. ça aurait été plus convainquant si tu n'était pas tomber en arrière à cause d'une serviette par terre. "Aïe.. Bon, fais comme si t'avais rien vu hein. reste concentrer sur mon petit corps mouler dans se maillot de bain." fais gaffe bordel, t'es vraiment pas douée. Tu cherche de la mousse pour le bain, sur l'étagère dans le coin que tu vide dans le jacuzzi, avant d'y plongé.

On trouve enfin la fameuse salle de jeux, enfin, salle d'amusement mais le nom ne plaisant pas à madame, elle décide d'aller ailleurs. Moi qui pensais qu'elle était fan de 50 nuances du gros pervers, je suis déçu. Pourquoi pas de suite ?, je lui demande avec un grand sourire, alors que nous regagnons la salle où se trouve le jacuzzi. A sa question sur le fait d'enlever plus, je ne peux m'empêcher d'avoir un sourire malicieux sur le visage, tout en lui répondant u n'as déjà plus rien dans ma tête. Oh ça va hein, je suis un mec, elle a un beau corps, c'est dans ma nature de l'imaginer nue. M'enfin, je ne dirais pas non, bien au contraire, si elle décide d'enlever le reste. Sauf que là, ma vision sexy se brouille en entendant un gros BOOM. Oh merde ça va ?, je lui demande en explosant de rire, lui tendant la main pour qu'elle puisse se relever. T'inquiète, j'ai ton petit corps à l'oeil, dis-je en entrant dans le jacuzzi, alors qu'Alaska y met de la mousse. Si tu ne viens pas dans une minute, je retire le bas, je lui dis en poussant la mousse qui se fait un peu trop présente.

« Parce que tout de suite, j'ai envie d'être dans le jacuzzi. » les délires à la 50 nuances de Grey's pourrons reprendre en janvier, à Cambridge quand la vie sera trop banale et qu'il faut la pimenter. Pour le moment elle été déjà assez pimenter, tu en perd carrément le pied en trébuchant dans des serviettes. Et monsieur au lieu de t'aider, se moque ouvertement de toi, pff, quel faux gentleman. Heureusement, il te tend sa main pour t'aider à te relever, c'est la moindre des choses. « Tu peut enlever le bas, je suis pas contre. » dis-tu en glissant dans un coin du jacuzzi. Tout aller l'air de bien se passer, vraiment tout. ça aurait pu être comme ça depuis le début, et pourtant tu avais trouver le moyen de gacher les choses la première fois, tu voulais faire un petit point la dessus. C'est du passer certes, mais tu avais tout de même des remord d'avoir gacher votre diner. « Je suis désolée pour la dernière fois en fait. T'sais parfois ça m'arrives de m'emporter, genre d'un coup sans pouvoir comprendre pourquoi, ni comment. C'est comme si y avait des feux d'artifice dans ma tête, et chaque fois qu'on se voit ça explose. » le quatorze juillet dans ta tête à chaque fois que vous voyez, aujourd'hui plus que tout les autres, puisqu'en plus de ça, t'était pas mal droguer. Tu t'approches de lui, et pose ta main sur son torse, avant d'un poser ta tête.

Alors si madame veut aller dans le jacuzzi, allons-y sinon, je vais avoir le droit à une crise. En réponse, je roule seulement les yeux, préférant la suivre et ne pas la contre dire. Hmm okay, dis-je en faisant semblant de défaire le nœud, avant d'ajouter en fait non.... Et bah ouais, pourquoi elle aurait le droit à mes petites fesses, alors que je n'ai pas le droit aux siennes ?. Nous entrons enfin dans le jacuzzi, enfin, après que madame ait ajouté de la mousse, parce que visiblement, il n'y a pas suffisamment de bulles. Assis sur le rebord qu'il y a sous l'eau, j'allonge mes bras le long du rebord extérieur du jacuzzi, fermant les yeux quelques secondes avant d'entendre de nouveau la voix d'Alaska. La belle brune s'excuse une nouvelle fois pour son comportement, le soir de notre rendez-vous au restaurant, avant de venir se blottir contre mon torse. Je souris, appuyant ma joue sur le sommet de son crâne. C'est vrai que tu peux être une vraie chieuse, je lui répond pour la taquiner, lui faisant des chatouilles de ma main droite. Mais ce n'est pas grave, c'est pour ça que j'aime être avec toi, j'ajoute naturellement, profitant de ce moment et de la chaleur de l'eau.