J'éclate en sanglots, bien incapable de parler maintenantn alors que je viens de dire à Bonaventure ce que j'avais sur le coeur sans même réaliser que Nate était de retour... Si je l'avais remarqué, pour sur que je n'aurais jamais déballer tout ça... J'aurais jamais dit que je l'aimais encore... Non, j'aurais continué de garder cela pour moi... Parce qu'à cet instant c'était à Bonaventure que je me livrais, parce que je voulais lui parler à lui, pas à Nate, parce que j'allais juste lui faire encore plus de mal... C'était certain... Pourtant, quand il me prend dans ses bras après le parole du Quincy, je ne bronche pas, je suis juste un peu surprise de le voir là, de le sentir si près alors qu'il m'a dit que je pouvais crever de froid ici quelques minutes plus tôt... Il me haït et pourtant, pourtant, il est là à me serrer contre lui... Je n'ai pas la force, ni même l'envie de le repousser, alors mes doigts se glissent dans son haut pour chiffonner son tissus tandis que je m'y agrippe pour continuer de pleurer contre lui. "Je suis désolée." Me mis-je alors à répéter entre mes sanglots, continuant de pleurer le visage contre son torse, je continue d'ailleurs de tirer sur ta blouse pour le retenir, pour l'empêcher de reculer, parce que je ne veux pas encore le voir partir... J'ai même peur de l'entendre me dire encore des choses horribles. Je ne veux pas... Je ne veux plus l'entendre parler pour dire ça... Pour m'insulter encore, pourtant, c'est ce qu'il fera non ? Il est obligé de cela, il me déteste, parce que je ne lui ai fait que du mal au final... Peu importe ce que l'on a pu vivre avant, peu importe le bonheur que l'on a eu, maintenant, c'est trop tard, il me hait et tout ce qu'on a pu avoir connu avant, c'est le passé et ça ne peut pas rattraper, compenser tout ce que lui ai fait ces derniers mois....
"Tu peux l'être. Parce que tu me fais mal. Et même là, te prendre dans mes bras ça me fait un mal de chien. Ca me fait mal... parce que je sais que... même si tu me retiens en t'agrippant à mes vêtements tu vas disparaitre ensuite. Tu me tortures. Tu me malmènes, et tu n'en as même pas conscience. Parce que tu te laisses aveugler par ta culpabilité. Tu te persuades de choses que personne ne te force à voir. Et tu fais mal, tu blesses. A tel point que j'essaye d'être loin de toi. Mais je peux pas supporter de te voir pleurer. Je peux pas. J'ai jamais pu et je pourrai jamais. Tu dis que tu m'aimes encore, mais est-ce que c'est vraiment de l'amour ? Ou alors est-ce que tu n'aurais pas par hasard développé une obsession malsaine pour ma personne parce que je te raccroche à une partie heureuse de ton passé ? Réfléchis à tout ça. Je t'aime, je souffre, j'en deviens malade. Il y a une tonne de choses sur moi que tu ne sais pas, parce que j'en ai parlé à personne. Parce que je voulais tenir tout ça loin d'Harvard. Et ce sont ces choses là... qui m'ont poussé à la mort. Pas toi. Moi tout seul. Je suis dans un cercle vicieux dont j'essaye de sortir du mieux possible, j'essaye d'échapper au gouffre même si c'est loin d'être évident. Quand j'étais loin d'Harvard, et depuis tout petit... je me suis fait maltraiter par les autres. On me tabassait, un m'insultait, on me brûlait la peau à coup de cigarette parce que je suis une cible facile. C'est ça, les fameuses cicatrices que tu as déjà frôlé du bout des doigts sur mon ventre. On m'a humilié, publiquement. On m'a malmené. Parce que je n'étais pas comme tout le monde, parce que je ne rentrais dans aucun moule. Un jour, malheureusement pour moi... on a filmé une de mes séances d'humiliation, et cette vidéo me poursuit encore parfois aujourd'hui. J'ai du rester cloitré chez moi, je ne pouvais plus sortir, je ne voulais plus d'ailleurs. Les autres sont mon cauchemar et tu étais la première personne sur cette planète à me faire me sentir comme un être humain. J'étais déjà... au bord du gouffre avant notre rupture. Je m'accrochais au bord comme je pouvais. La mort de ton frère... m'a fait un choc, tout comme à toi qui m'a fait lâcher une main. J'étais en équilibre. Entre santé mentale et névrose. Et finalement... finalement j'ai lâché. J'ai lâché prise. J'ai décidé que j'avais plus envie. Tout simplement. C'est ce que j'ai dit à Bon' avant, je sais pas si tu as pu entendre ou pas. Mais je suis malade. Je me suis rendu malade tout seul à force de ne pas chercher de l'aide, à force de tout vouloir régler tout seul. J'ai été forcé à être suivi après mon passage à l'hôpital après l'Ivy League et je recommence à me battre." Il laissa enfin un silence. "Rien n'est jamais facile dans la vie. Je suis une des premières personnes de cette planète à pouvoir te le dire. Parce qu'en plus de pas avoir d'amis... on peut dire que j'avais pas de parents. Rien n'est jamais facile. La vie est une saloperie. Elle nous met des obstacles dans la tronche et prend un malin plaisir à nous faire souffrir. L'essentiel, c'est de lui montrer qu'on est des mauvais payeurs, et que jamais... au grand jamais... elle ne peut nous tuer. Toi, tu es ma vie. Tu es une saloperie, insupportable, avec un putain de caractère certainement aussi pourri que le mien. Indécise, incohérente, incorrigible, butée, adorable, précieuse, fragile. Mais contrairement aux morpions de la vie avec un grand V, je veux pas me débarrasser de toi. Alors oui, tu me fais mal, tu me pompes l'air, parfois je te hais, parfois je ne peux plus et ne veux plus te voir parce que tu me donnes la gerbe. Mais si je ressens tout ça, aussi fort. C'est bien parce que je t'aime. N'oublie absolument rien de ce que je viens de te dire, et si tu oses encore culpabiliser devant moi, alors là... pour la première fois de ta vie, tu sauras ce que c'est quand je me mets réellement en colère. Ne laisse pas la vie te bouffer comme je l'ai laissée me rendre fou. Et ça... si on ne doit plus se voir et que je ne peux pas y veiller, j'aimerais que tu me le promettes."
Il n'avait pas bougé d'un pouce et ne bougeait toujours pas après ce monologue. Il avait parlé comme jamais dan sa vie il n'avait parlé. Et au final... lâcher tout ça, lui apprendre enfin qui il était sans détour. Ca faisait du bien. Elle serait sûrement noyée, désorientée par tout ça, mais au moins c'était dit. Et ça... ça n'avait pas de prix.
"Tu peux l'être. Parce que tu me fais mal. Et même là, te prendre dans mes bras ça me fait un mal de chien. Ca me fait mal..." Ces paroles, je ne les apprécies pas, alors j'essaie, de le repousser, parce qu'au final, je ne veux pas lui faire mal, parce que si cela lui est insupportable autant abrégé cela et rompre ce contact qu'il ne peut cautionné... Pourtant, il m'empêche de le repousser de la sorte, me gardant fermement dans ses bras alors que je me débat pour tenter de le soulager de cette douleur dont il vient de me parler. Me faisant bien comprendre le monstre que je suis.
"Parce que je sais que... même si tu me retiens en t'agrippant à mes vêtements tu vas disparaître ensuite. Tu me tortures." Alors laisse moi reculer maintenant ! Au final, si on en est rendu là, c'est uniquement de votre faute à Bonaventure et toi. J'ai aucunement demandé à me retrouver dans ce chalet paumé, j'ai juste chercher à te fuir, à me tenir loin de toi pour justement éviter de te torturer comme tu le dis si bien ! Je ne veux pas cela, je n'ai jamais voulu ça, alors Arrête ! Sauf que non, il ne s'arrête pas, son monologue continue, sans me laisser le temps de réagir, de parler, de me défendre ou de le soulager de ma présence entre ses bras.. Une étreinte qui me manquait... Il me manquait tout simplement, sauf que je ne peux pas le reconnaître, je ne peux pas lui dire de vive voix. Je suis contrainte de rester silencieuse, comme lors d'un mariage quand le curé demande si quelqu'un veut s'opposé qu'il le fasse maintenant ou se taise à jamais, je dois me taire à jamais sur cela il semblerait...
"Tu me malmènes, et tu n'en as même pas conscience. Parce que tu te laisses aveugler par ta culpabilité. Tu te persuades de choses que personne ne te force à voir. Et tu fais mal, tu blesses. A tel point que j'essaye d'être loin de toi. Mais je peux pas supporter de te voir pleurer. Je peux pas. J'ai jamais pu et je pourrai jamais." Alors dis moi pourquoi, pourquoi tu n'avais pas bougé en juin hein ? Pourquoi il n'a pas cherché à me retenir comme il le devait, pourquoi il a juste dit oui amen à tout ce que je disais ? Pourquoi Est-ce qu'il ne pouvait pas me retenir, avec des gestes des mots et pas simplement partir comme je le lui demandais ? Pourquoi Est-ce qu'il ne réagit que maintenant hein ? Puis, il pense réellement que je ne vois pas que je le malmène ? Je le sais bien, parce que c'est la même chose pour moi... Parce que merde ! C'est lui que j'aime, mais je ne peux juste pas revenir vers lui, pas à cause de cette culpabilité, parce que j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose ! Pourquoi Est-ce qu'il ne peut pas comprendre que je suis mal ? Bien plus mal qu'il ne semble l'imaginé ? Je ne suis même plus au fond du gouffre, parce que je creuse, encore et encore, au lieu de m'en sortir, de remonter la pente comme on dit, je ne fais que dégringoler de plus en plus bas.. Il y contribue aussi...
"Tu dis que tu m'aimes encore, mais Est-ce que c'est vraiment de l'amour ? Ou alors est-ce que tu n'aurais pas par hasard développé une obsession malsaine pour ma personne parce que je te raccroche à une partie heureuse de ton passé ? Réfléchis à tout ça." A ces paroles, l'envie de le frapper, de lui coller une gifle se fait un peu trop présente, pourtant, je ne bouge pas, m'agrippant juste un peu plus à lui, alors qu'il me dit ça, qu'il ne me comprend pas. M'a-t-il seulement un jour comprise ? Je commence à en douter, je crois qu'on a jamais été sur la même longueur d'onde... Il ne me comprend pas, il ne sait pas pourquoi je tiens à lui comme ça, il ne s'imagine que des conneries... Il devrait pourtant savoir qu'il a beaucoup d'importance pour moi, que ça soit par le passé ou même maintenant. Il a été mon premier amour, ma première fois et ça, c'est quelque chose que je ne pourrais jamais changer, que je ne voudrais même pas changer, parce que je ne peux pas l'oublier, je ne peux pas me voir simplement avec un autre que lui... Mais ça, c'est trop idylique pour lui alors il ne peut pas imaginer que je suis quand même rester une réveuse, que je le vois un peu comme mon prince charmant et que j'espère un happy end avec lui avec un ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... Non, il ne peut pas comprendre et ne comprendra jamais je crois.
"Je t'aime, je souffre, j'en deviens malade." Pourquoi ? Pourquoi Est-ce que je n'arrive pas à le croire ? Pourquoi est'ce qu'il ne dit cela après toutes ses paroles mauvaises... Il ne m'aime plus. Qu'il arrête de jouer comme ça... Je me referme, m'agrippant un peu plus à sa blouse, cachant mon visage encore plus contre lui, parce que l'entendre me dire ces mots-là, ça me fait mal... Il me fait mal. "Il y a une tonne de choses sur moi que tu ne sais pas, parce que j'en ai parlé à personne. Parce que je voulais tenir tout ça loin d'Harvard. Et ce sont ces choses là... qui m'ont poussé à la mort. Pas toi. Moi tout seul. Je suis dans un cercle vicieux dont j'essaye de sortir du mieux possible, j'essaye d'échapper au gouffre même si c'est loin d'être évident." Pourquoi ? Pourquoi Est-ce que tout le monde cherche à me trouver des excuses ? Pour Elia, c'était un accident et pour lui, ce n'est pas moi, mais un truc dont il ne m'aurait jamais parlé avant... Je pensais que l'on s'était tout dit, qu'on s'était assez parlé de nous par le passé pour savoir tout sur l'autre, pour le comprendre... Est-ce qu'il m'aurait mentit pendant notre relation ? Je secoue la tête, refusant cette idée alors qu'il continue de parler.
"Quand j'étais loin d'Harvard, et depuis tout petit... je me suis fait maltraiter par les autres. On me tabassait, un m'insultait, on me brûlait la peau à coup de cigarette parce que je suis une cible facile. C'est ça, les fameuses cicatrices que tu as déjà frôlé du bout des doigts sur mon ventre.[...] La vie est une saloperie. Elle nous met des obstacles dans la tronche et prend un malin plaisir à nous faire souffrir. L'essentiel, c'est de lui montrer qu'on est des mauvais payeurs, et que jamais... au grand jamais... elle ne peut nous tuer. Toi, tu es ma vie. Tu es une saloperie, insupportable, avec un putain de caractère certainement aussi pourri que le mien. Indécise, incohérente, incorrigible, butée, adorable, précieuse, fragile. Mais contrairement aux morpions de la vie avec un grand V, je veux pas me débarrasser de toi. Alors oui, tu me fais mal, tu me pompes l'air, parfois je te hais, parfois je ne peux plus et ne veux plus te voir parce que tu me donnes la gerbe. Mais si je ressens tout ça, aussi fort. C'est bien parce que je t'aime. N'oublie absolument rien de ce que je viens de te dire, et si tu oses encore culpabiliser devant moi, alors là... pour la première fois de ta vie, tu sauras ce que c'est quand je me mets réellement en colère. Ne laisse pas la vie te bouffer comme je l'ai laissée me rendre fou. Et ça... si on ne doit plus se voir et que je ne peux pas y veiller, j'aimerais que tu me le promettes."
Je suis au final, toujours blottie contre lui, même si j'ai chercher à le faire me lâcher, parce qu'il ne venait pas du tout d'être tendre avec moi, me disant qu'il me haïssait, que je lui filais la gerbe, que je lui faisais du mal. Je voulais qu'il me lâche, mais pour la première fois, il ne le fit pas... J'ai tellement voulu par le passer qu'il me retienne comme il le fait à cet instant ou je ne peux plus supporter son contact après m'être prit tout mes défauts dans la gueule comme il venait de me les citer... Les larmes se sont d'ailleurs mises à couler toute seule, parce qu'il vient de me faire vraiment mal, de me blesser comme jamais... Je voulais qu'il me déteste, mais entendre tout ça, non... C'est pas tolérable... C'est atroce. Je cherche cependant à me reprendre, parce qu'il attend une personne, parce qu'il veut que je lui promette de pas finir comme lui, folle, névrosée, mais Est-ce que je ne le suis pas déjà ? Ne m'a-t-il pas déjà traité de la sorte par le passé ? Je cherche alors à me reculer, pour ne plus être coller contre son torse, mais toujours dans ses bras, parce que j'ai bien compris là qu'il ne me lâcherait pas cette fois. J'essaie d'ailleurs de mettre un peu de l'ordre dans mes idées, dans ce que je ressens, parce qu'avec un speech pareil, c'est pas facile. J'ai sûrement déjà oublié la moitié, parce qu'il a dit trop de chose, parce que je ne suis pas capable de tout analyser maintenant, j'aurais sûrement des bribes qui me reviendront ensuite, quand je saurais au calme... Mais là... Ce que je retiens, c'est tout ce qui m'a blessé. Sa façon de parler de moi, de me dépeindre comme un monstre, une sale conne. Je sais même pas comment je suis supposé réagir à cela... Je dois lui dire quoi hein ? Pourtant, je finis par laisser entendre ma voix, d'abord hésitante avant de finalement parler plus franchement.
"Alors pourquoi ? pourquoi Est-ce que tu es là ? J'te donne la gerbe, alors pourquoi tu me retiens ? Pourquoi tu me prends dans tes bras ? Pourquoi avec Bona vous m'avez amenez ici ? Tu dis que tu m'aimes, mais t'as vu ce que tu me balances dans la gueule ? Tu peux plus m'aimer. Comme tu le dis toi même, je t'ai fais trop de mal, j'ai trop joué avec toi, alors arrête ! Parce qu'au final, c'est toi qui idolâtre notre relation d'avant ! C'est toi qui pense m'aimer uniquement pour cela ! Parce que je suis sûre que t'es sentiment, tu n'en es pas certain ! Tu penses encore m'aimer, mais tu le dis toi même, tu me hais ! Tu me déteste parce que je ne suis qu'indécision, incohérence en plus d'être buté ! Alors arrête ! Arrête de faire genre c'est toi la victime ! Arrête de dire que ça te fait mal de me prendre dans tes bras ! Je t'ai pas demandé de le faire ! Je t'ai pas demander de me retenir maintenant ! C'était avant, avant qu'il fallait que tu le fasses ! Avant que ce putain de geste devienne douloureux pour toi, quand une étreinte signifiait encore quelque chose de plaisant pour toi comme pour moi. Mais là, je peux plus. Je veux plus que tu me prennes dans tes bras alors que ça fait des mois que j'espérais que tu me retiennes de la sorte. Je peux plus. J'en veux plus, parce que non, non, je ne suis pas cette égoîste. Je sais bien que je te fais du mal, tu crois que je l'ai pas vu après la soirée de l'ivy league ? Tu crois que je t'ai loupé quand tu as piqué une crise dans le couloir de l'hôpital ? j'étais là ! J'étais présente ! Tu crois vraiment que je suis insensible ? Tu crois que c'est pourquoi que je cherches à me tenir loin de toi ? Parce que tu vois, je sais parfaitement que je te fais du mal, que je suis nocive pour toi comme pour n'importe qui d'autre ! Tu le sais aussi, tu le dis toi même, je suis une putain de saloperie. Alors arrête ! Arrête les faux semblant ! Arrête de faire croire à tout le monde que tu n'es qu'une victime parce que merde, tout ce que je veux, c'est que toi, tu ailles bien. je veux pas qu'il t'arrive la même chose qu'à Elia par ma faute. Parce qu'on est tout les deux assez grand pour savoir que ta tentative, j'en suis le déclencheur, même si tu dis le contraire. Tu crois que je me souviens pas de Halloween ? Tu crois que j'ai réellement aucun souvenir ? J'étais là Nate ! J'étais là quand tu t'es fait embarqué par l'ambulance ! J'ai vu ton appartement, j'ai vu ton sang ! J'ai tout vu ! Alors arrête de me dire que ce n'est pas de ma faute alors que sans moi, tu aurais pas craqué, ou alors pas maintenant. C'est ma faute si tu as cette putain de marque indélébile sur le bras. Ma faute si tu es aussi mal. Alors non, non, je ne peux pas te faire une promesse comme ça alors que je t'ai fais tant de mal. Je ne peux pas."