PARIS + Quand une catastrophe en entraine une autre

Quand une catastrophe en entraine une autre  

Paris venait de me toucher jusqu'à me faire pleurer d'émotion quand il me fit savoir qu'il ne voulait pas me perdre. Je compris alors que malgré le fait que j'avais perdu Zed car il est retourné dans sa famille, j'avais toujours mon autre meilleur ami et à présent le seul et l'unique, le beau Paris. Celui qui me connait presque autant que Zed pouvait me connaitre, bien sur il ne me connait moins que Zed pouvait me connaitre, vu que je ne connais Paris que depuis plusieurs mois si ce n'est une année déjà. Mais je sais que je pourrais toujours compter sur lui, tout comme lui le sera pour moi. Mais comment résister à cette proposition de me masser quand je voudrais et puis plutôt que de payer un massage en institut, autant faire appel aux services de mon meilleur ami non ? D'ailleurs Paris fut d'accord avec moi. Alors je vins lui acquiescer ses dires, tout en lui faisant un clin d'oeil car j'avais bien remarqué qu'il ne comptait pas arrêter de me reluquer au passage, ce qui est toujours flatteur pour la jolie jeune femme que je suis.

Tout à fait et puis non seulement je n'aurais plus besoin d'aller en institut mais je pourrais plus souvent te voir et c'est pas négligeable pas vrai ?

Puis alors qu'il venait de commencer son massage si parfait à mes yeux, je pouvais sentir comme une envie de sa part de venir me masser la poitrine, ce qui ne serait pas pour me déplaire. Mais j'ai un peu peur qu'on ne vienne à céder à nos pulsions et qu'on regrette ce qu'on pourrait s'apprêter à faire. Après tout, pourquoi venir gâcher une si belle amitié pour une histoire de cul ? Même si je suis très nettement attiré par mon meilleur ami, il reste la seule personne avec qui je souhaite qu'il ne se passe rien dans un lit. D'autant plus qu'il pensait comme moi, on allait pas prendre le risque de venir tout gâcher pour une histoire de sexe après tout. Mais pourtant nos petites taquineries me manqueraient si elles n'étaient plus là. Alors une fois que je me retrouve sans mon soutien gorge, il vint continuer à me masser les épaules avant de venir me masser la gorge, non loin de ma poitrine. Alors je vins lui répondre.

Tu penses pouvoir résister à l'envie de me sauter dessus si tu viens me masser les seins ? Parce que tu as raison, ce serait trop bête de tout gâcher pour du sexe. Je me pince les lèvres avant de reprendre. Mais je dois avouer que même si je pourrais me les masser seule, tu as tellement les mains douces que j'ai envie de voir comment tu fais.

Et si je l'avais en face de moi, pourrais je résister à l'idée de l'embrasser ? Sans doute que oui pour ma part mais lui pourrait il résister, il reste un homme après tout. Je vins attendre sa réponse, tout en restant détendue avec son massage si parfait à mon goût.

La situation commençait à lui échapper et il n’aimait pas cela. Paris aimait garder le contrôle en toute occasion et là, il se sentait sur un terrain glissant en compagnie de Leanne. Il ne plaisantait pas lorsqu’il lui avait assuré qu’il resterait à jamais son meilleur ami. Il tenait à elle non pas comme une petite sœur -à moins qu’il ait des penchants incestueux ; mais comme une véritable amie. Aussi, ce massage prenait une tournure désagréable dans le sens qu’il avait l’impression de partir en vrille. « Je crois qu’il vaudrait mieux que je rentre chez moi Leanne…. On sait tous les deux que si mes mains s’aventurent sur ta poitrine, elles ne s’arrêteront pas là. Je tiens trop à toi pour faire le con. Il vaudrait mieux que je rentre ouais »murmura-t-il en déposant un baiser sur sa joue, la serrant entre ses bras avant de se relever. « Désolé de te planter comme ça mais ça vaut mieux ma belle… Je suis certain que dans quelques années, on en rigolera mais pour le moment, je préfère calmer le jeu. Je t’adore ne l’oublie pas »lui dit-il avant de quitter sa chambre, remettant son t-shirt au passage avant de s’en aller non sans avoir récupérer sa boite à outils. Il était parti comme un voleur mais il valait mieux avant que tout dérape, qu’ils ne le regrettent. Cela avait été agréable, il ne pouvait pas le nier mais hors de question que de faire de Leanne, une conquête parmi les autres.

TOPIC CLOS.