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(dean) what do you fucking want ?

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Je n'avais pas envie de me prendre la tête avec Dean, non, je n'avais plus envie de cela même si je savais forcément qu'un jour on allait devoir se reprendre la tête un jour ou l'aure, c'était sûre. C'était même écrit, mais je ne voulais pas qu'on se prenne la tête. Je voulais qu'on reste ensemble simplement et ce n'était pas parce que nous avions évolués au stade de couple que nous devions nous prendre la tête tout le temps. J'aimais être avec lui simplement, j'aimais tellement nos moments que nosu avions tout les deux, les moments que nous avions passés ensemble, en dehors des moments assez intimes, il y en avait eu des magnifiques, le moment sous la douche, quand nous avions été boire un café et que le jeu s'était installé entre nous. L'endroit dans lequel nous étions, m'était à la fois rassurant et effrayant. Parce que la dernière fois que j'avais franchi le pas de la porte, j'avais fini par tout envoyer balader, sa vaisselle, et j'avais piqué une crise de panique. Je ne supportais pas d'avoir des souvenirs dans les endroits que j'appréciais parce que c'était comme si mes souvenirs me hantaient. Au contraire, à ce moment même, j'aimais cet endroit plus que tout au monde puisqu'il était devenu une petite bulle de confort, une espèce de bulle de renaissance. Je renaissais ici, dans cet appartement qui m'avait détruit. Dans ce lieu qui m'avait détruit au plus haut point, quand j'avais franchi une nouvelle fois la porte, j'avais l'impression que de ressentir une nouvelle fois la sensation de mon coeur qui se brisait. Mon coeur qui s'était déchiré quand il m'avait dit être en couple avec cette fille. J'avais l'impression que mon coeur s'était déchiré, qu'il avait été transpercé par des dizaines de coups de couteaux et que j'avais eu l'impression de me noyer. Mais aujourd'hui, tout cela été oublié, j'avais brisé ma bulle de tristesse, pour me laisser envahir par une bulle de joie. J'étais heureuse désormais. Heureuse d'être avec lui dans cette pièce et lorsqu'il m'annonçait tout ce qu'il ressentait, tout ce qu'il pensait, j'avais l'impression que mon coeur allait exploser. Mais c'était une sensation des plus agréables, et j'aimais tellement cette chose. Ce sentiment assez inexplicable qui m'avait envahi au moment où ses lèvres s'étaient déposés sur les miennes. Et lorsque je lui annonçais que je l'aimais aussi, que ses sentiments étaient partagés, je ne pouvais pas décrire la sensation qui était présente dans mon corps. Je lui parlais des pages que nous allons écrire, et son sourire était la plus belle des choses “Tu peux toujours me redire des belles choses..” Je riais doucement gardant mes mains sous son tee-shirt comme pour réchauffer mes mains, mais j'aimais beaucoup lui faire cela. Lorsque je lui parle du mal qu'il a pu me faire, je m'en veux, je sais que je n'aurais pas dû dire cela, mais c'est sorti tout seul. Je grimace doucement en entendant ce qu'il me répond et pour me faire pardonner, je caresse doucement sa joue. Lorsqu'il embrasse mon nez, je rigole doucement en fermant les yeux avant de les rouvrir pour lui dire ce que je pensais. Qu'est ce que j'aimais chez lui. Ce qui me faisait craquer. Je tente de lui faire comprendre autant par des mots que par des gestes, laissant mes lèvres papillonner sur sa mâchoire, sur ses lèvres, sur son cou et j'attrapais doucement ses doigts pour lui mordiller. Lorsque je m'arrête et que j'entend son murmure, je sens un frisson qui me parcourt . Je riais tendrement avant de laisser le jeu s'installait entre nous, ses lèvres jouant avec les miennes, j'embrassais doucement son cou en le mordillant avant de le pousser doucement sur le canapé, mes lèvres se déposant sur les siennes, pour lui offrir un baiser tendre, un baiser doux, un baiser pour tenter de lui faire passer tout mes sentiments avant de lui murmurer à mon tour “Alors parcours mon corps... Mon amour...”
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Je me refusais de revoir de la tristesse dans le regard de Solveig. C'était insupportable de sentir que je lui faisais du mal, que c'était de ma faute. Et j'avais capté tout ça grâce ou a cause des mecs qui avaient eu le malheur d'être trop près d'elle. Ma jalousie n'était vraiment pas innocente, et c'est comme ça que j'avais pris conscience que j'étais amoureux d'elle. C'était débile de m'en rendre compte maintenant, après tout ce qu'il s'est passé dans nos vies... Il y a eu un tas d'émotions, et j'avoue que j'aurais pu me passer de certaines d'entre elles. Par exemple, au moment ou une certaine nana m'avait demandé de faire un choix, j'aurais du prendre le temps de bien réfléchir. J'aurais pu éviter de passer par une grosse erreur avant d'attraper le bonheur. Je ne sais pas quel courage s'est emparé de moi, mais je ne le regrette absolument pas. J'avais osé dire tout ce que j'avais a l'intérieur de mon coeur, et c'était une chose rare. Très rare, parce que j'ai beaucoup plus tendance a fuir habituellement... Et la jolie rouquine en avait déjà fait les frais. A la galerie, et aujourd'hui au marché de noël. Mais la, il faut retenir que je ne suis pas parti en courant, j'ai déballé ce que j'avais à dire en restant planté devant elle. Et, à son retour, le fait d'entendre qu'elle m'aimait me remplissait de joie. Je n'avais plus ressentis ça depuis tellement longtemps. Je sentais mes poumons qui se gonflaient tout seul, comme si Solveig m'envoyait de l'oxygène automatique, et bien sur, mon coeur s'amusait a fanfaronner. Je sentais mes battements, ils étaient forts et un peu rapide. Je ne donnerais ma place pour rien au monde maintenant. Mon sourire ne s'enlevait plus, et j'en venais même a rire quand elle réclamaient toujours plus de jolis mots. " Tu en auras encore. Je crois que j'ai le temps pour t'en dire non? " Une façon de faire comprendre que je voulais que notre histoire fonctionne, qu'elle soit durable. J'y tenais réellement, je me sentais heureux a ses cotés et je savais au plus profond de moi que Solveig sonnait comme mon alter égo. La moitié qu'il me manquait pour me sentir entier et avancer. Et j'en étais encore plus sur quand ses mains venaient sous mon vêtement pour caresser mon torse lentement. Malgré que la discussion tourne a un sujet qui me tord légèrement le coeur, ses doigts viennent rapidement sur mon visage comme pour m'indiquer que c'était du passé maintenant. Et je m'en voyais soulagé, je me disais que je devais réparer mes bêtises. Et je trouves que je commençais bien. Nos lèvres parlaient pour nous a présent, et je prolongeais le baiser en y mettant le plus d'amour possible. Quand nos visages se décollent, sa bouche mordille mes doigts, et ça a une petite tendance a m'exciter. D'où le murmure qui surgit de ma bouche, et la sienne dans mon cou qui n'arrange rien. Je fermes les yeux en penchant la tête sur le coté pour ne pas en perdre une miette. Et je me retrouve le cul posé sur le canapé. Je souris, et je retrouves ses lèvres. C'est passionné et amoureux. J'en profites pour glisser mes mains derrière ses cuisses pour les remonter a son postérieur afin de l'attirer sur moi. Une fois a califourchon, j'entends son murmure et je souris en coin avant de glisser mes mains dans son dos. Et de commencer a faire mine de vouloir lui enlever ses vêtements " Je crois que nous avons assez attendus... Non ? " Et je passes sensuellement ma langue sur ses lèvres, doucement.
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Pour moi, pour qu'une relation marche il faut la baser sur la confiance et la sincérité, la sincérité était primordial si l'on voulait engendrer de la confiance. Et je ne me voyais décemment pas fixer Dean dans les yeux pour lui mentir, j'avais déjà bien trop menti par le passé et j'étais en train de me racheter une conduite. Chose que j'avais visiblement faites avec mon élection et avec la franchise que j'avais pu exprimer auprès de Dean il y a quelques minutes et même auparavant. Je n'avais pas été franche avec Chuck et cela avait causé ma perte, notre perte mais je ne voulais pas perdre Dean. Je ne voulais pas qu'il croit que je suis une manipulatrice, qu'il pense que j'ai eu ce que je voulais, je me suis lassée alors je l'ai jeté. Non, je ne voulais pas encore penser à l'avenir, à notre semblant de futur, je voulais juste être heureuse avec lui, simplement. En le voyant sourire le matin ou en le rejoignant dans son bureau à l'université pour déjeuner peut-être. Les moments simples de la vie qui me donnerait une entière satisfaction. Des moments sans prises de têtes, sans mélodrames. Il était arrivé à un moment de ma vie, il m'avait révélé ses sentiments alors que dans ma tête ce n'était pas trop ça, je ne le montrais pas, mais mon père m'inquiétait. Non pas parce qu'il était devenu un mafieux mais parce que j'avais reçu des menaces que je ne prenais pas au sérieux, mais j'avais peur tout de même. Il m'avait demandé de passer pour m'offrir mon cadeau de Noël, j'irais mais je ne le dirais à personne. Surtout pas à Dean, vu que je ne veux pas qu'il s'inquiète. Mais qu'importe, pour le moment, je suis avec lui, heureuse et je ne veux que personne n'entache notre bonheur. Le bonheur peut être éphemére alors je compte bien en profiter. J'étais déjà en manque de ses jolis mots et je lui en réclamais ce qui avait le don de le faire rire et il me demandait de lui confirmer qu'il avait encore le temps de me dire tout cela, alors je répondais en un sourire « Oui, tu as encore le temps, le temps qu'il faut, le temps que tu veux.. » Je mettais notre futur entre ses mains. Et j'espérais que le temps ne serait pas écourté par une raison X ou Y, je voulais profiter de lui le plus possible. Je m'en veux qu'il s'en veuille, mais je ne lui en veux plus et j'espère bien qu'il comprend que c'est du passé. Que je ne veux plus qu'on parle de cet épisode de pseudo rupture d'un couple qui n'en était pas un à cause d'une fille qui ne voyait pas plus loin que le bout de sa jalousie. Je tente de déclencher son désir, de l'éveiller. Il parle de parcourir mon corps et je sens mon bas ventre qui se noue quand il me dit cela. Je me contente de continuer mes caresses tentatrices, avant de le pousser sur le canapé tout en reprenant ses lèvres, restant debout face à lui avant de me retrouver sur lui à califourchon sur lui. Je ris quand il fait semblant de me retirer mes vêtements et j'éloigne mes lèvres des siennes en jouant avec les boutons de sa chemise, un sourire en coin dressé sur le visage. Pour répondre à sa question, je me mordille la lèvre avant de prononcer d'une petite voix « Si t'es sûr de ton choix... » Je m'appliquais à commencer à déboutonner sa chemise avant de lui murmurer au creux de l'oreille pour continuer la phrase que je venais de dire « Prouve le moi... »
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Il est vrai que pour avoir une relation qui fonctionne correctement, il faut certaines bases nécessaires. Pour ma part, je penses que c'est la confiance, la communication et la fidélité. Je ne m'en fais pas pour ce qui en est de Solveig et moi. Nous avons ce qu'il faut. Avec le bonus d'une complicité d'un haut niveau. Il suffisait de se remémorer l'instant de la douche, ou simplement nos jeux idiots mais amusants. Et puis, c'est sans relever le fait que c'est fusionnel. Nous avons ce lien inexplicable, une chose qui anime nos coeurs à l'unissons. C'est ces quelques raisons qui avaient réussies à me faire avouer clairement a la jolie rouquine ce que j'avais au plus profond de moi. J'ai mit énormément de temps avant de recevoir cette illumination de mes sentiments. Je pense que j'expliquerais ça par la peur. La peur que ce ne soit pas réciproque avant que Solveig ne se décider a me le dire dans le pire moment de notre relation. La peur de ne pas être a la hauteur de cette merveilleuse fille. Et la surtout, la peur de me faire briser le coeur, de laisser l'opportunité à quelqu'un de le faire. Sauf que, heureusement pour moi, je recevais l'amour attendu en sentant mes battements qui s'accéléraient. Et mes lèvres s'étendaient quand la présidente me disait que j'avais le temps que je voulais. Dans ma tête, je me disais que je voudrais juste avoir l'éternité avec elle.     " Alors, laisse moi t'annoncer que tu vas me supporter longtemps... Très longtemps! "    Supporter est un grand mot, mais façon de dire que je ne comptais pas partir. Jamais si possible. Je ne peux pas prévoir l'avenir, et c'est ce qui est assez dommage. Quoi que, d'un coté c'est mieux de ne rien pouvoir prévoir. Vivre au jour le jour, et s'aimer comme si demain était le dernier. J'en deviens tellement romantique que ça fait flipper. Heureusement que nous en venons rapidement a des jeux physiques. Nos bouchent l'une contre l'autre, avant que ses mains viennent me caresser le torse tendrement. Sauf que je suis un peu surpris quand je suis un peu amené a marcher en arrière pour finir assis sur le canapé. Bien sur, je viens l'attraper pour la mettre à califourchon sur moi, et passer mes mains dans son dos pour lui offrir des caresses à mon tour. Nos lèvres se touchent, et je ne me lasse pas une seconde. J'en deviens un peu excité, et je fais mine de vouloir la déshabiller en murmurant quelque chose. Sa réponse est accompagnée de ses doigts sur les boutons de ma chemise. Je baisse un peu les yeux pour les regarder faire avant de revenir dans son regard pour lui dire en souriant en coin    " Bien sur que je suis sûr... Maintenant. "    Oui, j'avais fait une erreur et c'était suffisant. Et me voilà un peu déstabiliser par sa dernière demande. Lui prouver? Très bien. Je laisse mes dents se montrer avant de pincer ma lèvre inférieure lentement. J'avance mon visage du sien afin de retrouver sa bouche pour un échange passionné et fougueux. Et toujours dans la même cadence, mes deux mains s'entraident pour ouvrir ses vêtements afin de ne pas galérer pour les retirer. Je laisses ma langue parcourir son cou, et une fois ses épaules dénudées, je viens déposer des tendres baisers dessus. Je voulais entendre son souffle augmenter, qu'elle me désire autant que je le fais actuellement.
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Moi qui pensais que je finirais toute seule il fallait dire que Dean était apparu dans ma vie comme un sauveur, un espèce d'Iron man des temps modernes et j'étais assez heureuse qu'il soit dans ma vie, parce qu'il m'avait sauvé de cette espèce de solitude que je m'étais infligée moi-même. J'avais été un peu dégoûtée des relations amoureuse avec Chuck mais il était dans ma vie et un jour je le remercierais pour cela. Un jour, peut-être j'arriverais à lui dire vraiment ce que je ressens, ce que je ressens pour lui sans avoir peur de me prendre un vent, me prendre un espèce de revers de la médaille et qu'il parte en ayant peur de cette afflux de sentiments de ma part. Je n'avais pas pour habitude de dire ce que je ressentais, c'était même très rare de ma part, dans mes souvenirs, je n'avais pas fait de déclarations à Chuck, mis à part le jour de notre mariage. Et quand j'y repense, c'était une belle connerie. Une connerie qui m'avait sevré des histoires d'amour. Enfin, j'avais cherché à ce que cette relation se termine. C'est moi qui avait été infidèle et pas lui. Mais à cette époque j'avais l'impression d'étouffer dans cette relation, j'avais l'impression que je n'étais pas prête pour cela. J'avais dit oui bien trop vite et je m'en mordais les doigts encore aujourd'hui. Sauf que je savais qu'avec Dean, ce serait différent, je le voulais vraiment. J'avais assez attendu et j'étais sûre de ses sentiments, alors je ne voulais pas lui faire de mal alors que je savais qu'il était assez réfractaire en matière de relations amoureuses, je ne savais pas pourquoi d'ailleurs. Et je ne voulais pas savoir, c'était son passé, j'avais le mien et si un jour il voulait savoir de quoi mon passé était fait, je lui dirais sans honte, sans lui cacher quelque chose puisque je ne voulais rien lui cacher. Je ne voulais pas lui cacher quelque chose, parce que je savais que cela allait forcément se retourner contre moi et la confiance était une chose primordiale que je voulais entre nous. Et le fait qu'il m'ait avoué ses sentiments m'avait rassuré. Et même si je ne lui avais pas répondu un discours aussi long que le sien, il savait l'étendue de mes sentiments pour lui et je lui dirais un jour, le jour où il ne s'y attendra pas. La réponse à notre supposé futur me faisait sourire, un sourire franc et sincère qui me trahissait, ce sourire qu'il connaissait si bien. Et il savait que j'étais sincère quand je faisais ce fameux sourire. Et je voulais qu'il sache que j'étais sincère, c'est pour cela que je n'arrêtais pas de sourire, je me permettais de rajouter un petit « Longtemps ce n'est pas encore assez. » Et la tension augmentait au fur et à mesure que nos lèvres se trouvaient, se cherchaient. Mes mains se baladaient sur son torse, aguicheuse. Lorsque ses mains trouvent mes vêtements, j'ai envie qu'il me déshabille, qu'il me prouve de sa façon qu'il m'aime, pas avec des mots mais avec des gestes. Ses gestes à lui qui s'appliquent à me rendre folle. C'est moi qui le cherche et j'ai vraiment hâte de le trouver, mes doigts déboutonnant avec automatisme sa chemise. « Alors maintenant... » Et ce baiser qu'il m'offrait était des meilleurs, je lui rendais son baiser avec la même fougue, et je l'aidais à déboutonner mes vêtements, retirant cette cape qui me gênait. Mes doigts finissaient par déboutonner sa chemise que je m'empressais de lui retirer, séparant nos lèvres quelques instants pour envoyer sa chemise à l'autre bout de la pièce. Puis je reprenais ses lèvres, avant de lui mordiller la lèvre, laissant ma main descendre malicieusement vers son bas ventre, mes lèvres se perdant dans son cou, une nouvelle fois. L'aidant dans sa tâche, je retirais mon haut en souriant et je lui murmurais tendrement « Je suis tout à toi... »
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Disons que si je suis soigné des relations amoureuses, c'est que je ne me sens pas fait pour ça. Je crois qu'il existe des domaines où nous sommes faits pour briller dedans, et d'autre non. Et en ce qui concerne l'amour, je ne suis pas un champion. Loin de là d'ailleurs. Je n'ai pas eu de relation sérieuse, pour tout dire, je crois que j'en ai eu, qu'une seule. Et elle remonte d'il y a dix ans. Alors, je pense qu'il est préférable de laisser aux personnes douées pour ça, le plaisir de s'atteler a des histoires. Sauf que oui, il y a un hic dans mon plan. C'est que je ne pouvais plus me cacher l'envie de dire a Solveig tout ce que je ressentais pour elle, l'envie d'être avec elle, et surtout, celui de lui appartenir complètement. Je crois que je me sens prêt, j'en suis même sur. Prêt a me laisser emporter dans le tourbillon infernal. J'ai un peu peur, peur d'y laisser mon âme ou mon coeur que je ne pensais plus apte a ressentir des choses dans ce genre, mais je m'en vois surpris. Et totalement heureux. C'est bien pour ça que je prends mon courage a deux mains afin d'exposer, de poser des mots sur ce que je ressentais a son égard. J'avais quand même été prit d'un doute d'une réciprocité, mais je m'en vois soulagé a ses mots et surtout a ses sourires qui en disent longs tout comme les miens. Son corps à califourchon sur le mien, mes mains s'amusaient a se promener dans le dos de la jolie présidente. " Jusqu'à mon dernier souffle. " Et nos lèvres se retrouvaient pour des échanges passionnés et amoureux. C'était différent, oui, ce n'était pas les mêmes sensations ni la même façon de pratiquer les baisers. Il y avait une nouvelle touche qui me plaisait. Et encore plus quand nos visages se décollaient pour se rejoindre peu de temps après. Ses doigts commençaient a déboutonner ma chemise très lentement. Et ses murmures me faisait frisonner. Ce qui provoque un baiser fougueux, langoureux et surtout, excitant. Je ne perdais pas trop de temps a ôter ses tissus que je trouvais de trop. Je voulais la retrouver comme avant, sauf que maintenant nous savions ce qu'il y avait entre nous. Torse nu, je la fixe dans les yeux en souriant sensuellement, avant de sentir sa bouche dans mon cou. Je penche un peu la tête, et je fermes les yeux avant de pincer ma lèvre inférieur et laissant un souffle sortir de ma bouche, un souffle chaud. Je contracte les abdominaux au contact de sa main sur mon bas ventre. Et quand la jolie rouquine affirmait qu'elle était toute a moi maintenant, je sentais un battement de coeur qui se ratait. Je la fixe alors, en ne bougeant plus pour lui sourire gentiment. J'étais heureux, et je laisser transparaitre tout par mon regard. Mes mains commencent a venir sur sa peau nue, une sur son épaule, et l'autre au haut de sa poitrine... Et elle descend tendrement. Je transformais ma bouille, en une assez charmeuse. Et ma bouche va dans son cou pour le mordiller avant de descendre sur son épaule pour déposer des baisers alors que ma mimine sur celle ci, part dans son dos pour dégrafer son soutient gorge. Dans un murmure " Et tu le resteras. " Un aveu qui peut sonner comme une demande, ou un gentil ordre. Mais, je tenais simplement a dire ce que je voulais le plus au monde maintenant. Avant que l'excitation m'empêche de parler.
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Parfois, je faisais des cauchemars où Dean partait, sans rien demander. Où il partait un jour, sans rien me dire, j'entrais dans son appartement et il était vide de toute vie. Vide de sa présence, et mes jambes me lâchaient, je m'écroulais sur le sol en hurlant. Ce cauchemar me hantait la plupart du temps et j'avais souvent peur qu'il devienne réel. Pourtant, je n'avais aucune raison de le faire. Je ne devais pas rêver de cela alors qu'avant aujourd'hui, je ne savais pas ce qu'il ressentait mais je pouvais sentir mon coeur qui s'accélérait quand je repensais à ce cauchemar qui me glaçait le dos. Peut-être que je devrais lui en parler un jour, un jour où les confidences prendront place dans la discussion. Où nous nous confierons une fois de plus l'un à l'autre comme on venait de le faire aujourd'hui. Comme aujourd'hui, où il m'avouait ses sentiments, et où je sentais mon coeur qui s'affolait de ce qu'on peut appeler de bonheur. Oui c'était cela, j'étais heureuse de faire partie de sa vie, et qu'il veuille faire, qu'il veuille écrire quelques pages de sa vie à mes côtés. Je ne savais pas si je le rendais heureux, mais je m'appliquerais à le faire, pas comme les autres filles qui avaient pu être dans sa vie sans lui donner le bonheur qu'il semblait leur procurer en retour. Avec Blake et Chuck, j'avais été une jalouse compulsive, mais je tenterais de calmer ce défaut présent chez moi pour qu'il ne souffre pas. Je ne voulais pas le faire souffrir, je voulais juste le rendre heureux. Et j'étais sûre que je serais capable de le faire, parce que je voulais qu'il me rende heureuse, alors je ferais la même chose pour lui. Et j'étais prête à faire des concessions pour lui. Concessions que j'avais cru pouvoir faire avec Chuck alors que non. Ce que je ressentais pour Dean était différent, c'était beaucoup plus fort que ce que je ressentais pour mon ex-mari. J'avais grandi dans ma précédente relation et c'est Dean qui profiterait de cette maturité. Et ce sera lui jusqu'à son dernier souffle comme il me le murmure si bien. Cette phrase sonne comme une douce mélodie et je suis heureuse. Heureuse d'être ici, dans cette situation avec lui. Je ressentais un désir intense qui s'éveillait vers le bas de mon corps quand nos lèvres se retrouvent pour de la tendresse, avant que cela se transforme en un échange langoureux et torride. Mon rythme cardiaque s'accélèrait au fur et à mesure que l'échange gagnait en durée. Je ne contrôlais pas mes gestes, je déboutonnais sa chemise sans réfléchir, concentrée sur nos échanges langoureux. Je me laisse guider par ma conscience et mes lèvres se perdent dans son cou, chose que je sais qu'il aime après tout ces moments passés ensemble dans diverses situations. Et je tente une approche encore un peu plus explicite en glissant ma main vers son bas ventre pour lui montrer que j'ai envie de lui et pour voir si c'est son cas. Et quand je sens ses abdominaux qui se contractent, je souris en mordillant son cou une nouvelle fois. Après lui avoir murmuré que j'étais à lui, je jaugeais son regard et je savais qu'il était heureux à ce moment précis, ce qui me tirait une nouvelle fois un sourire. Sourire qui se figeait quelques instants quand je sentais ses mains le long de ma peau nue. Je sens un frisson qui me parcourt l'échine quand je sens ses caresses et quand ses lèvres prennent le relais de ses mains, je ferme les yeux machinalement, laissant un petit soupir qui s'échappe de mes lèvres entrouvertes. Sa main précédemment posée sur mon épaule dégrafe le dernier tissu qui couvrait ma poitrine, j'ôte mon soutien-gorge en venant reprendre ses lèvres tout en déboutonnant son jean que je retirais en me relevant doucement de lui, et une fois le tissu retiré, je remontais sur lui. Je pouvais sentir tout mon bas ventre qui se contractait au fur et à mesure que le désir augmentait dans mon corps. Alors que ma main malicieuse et mutine se glissait à l'intérieur de son boxer, le dernier bout de tissu qui lui restait je murmurais sur ses lèvres après un baiser langoureux « Faites moi l'amour Monsieur Carmichael. »
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Je ne dis pas que je suis guéri au point de me lancer dans les conventions de couple comme un mariage par exemple. Je pense qu'il va me falloir plus de temps pour en venir la, et certainement plus de preuves de ce que j'ai connu. Ma dernière relation n'a pas pu m'atteindre, elle était bien trop rapide et inutile. A la rigueur, la seule chose qui pourrait me toucher, c'est le fait que j'ai conçu un enfant que je ne verrais certainement pas. Après tout, le monde est rempli de con, et je ne peux pas me battre sans arrêt contre eux. Si la mère de mon enfant décide que je ne ferais pas partie de sa vie, je laisse faire. Jusqu'à ce qu'il soit en age de vouloir connaitre son père. Il (ou elle) va certainement m'en vouloir, mais je suis assez intelligent pour prendre une longueur d'avance et de faire de mon coté, ce que j'ai a faire pour lui. Bref! Il ne fallait pas que je me morfonde avec des choses comme ça pour l'instant, car je venais de dire a la jolie rouquine que je l'aimais, que je l'aime et que je comptais l'aimer encore longtemps. Je pense que l'évidence de notre relation avait mit beaucoup de temps avant de me frapper. Sauf que comme on dit, mieux vaut tard que jamais non? Et pour faire de moi l'homme le plus heureux, il se trouve que Solveig n'a pas écouté mon conseil lors de notre grosse dispute. Celui qui disait qu'il fallait qu'elle mette ses sentiments de coté. Je me voyais recevoir alors son amour, et j'en devenais déjà totalement accro. Et je voulais que nos corps prennent le contrôle, que nos mots se taisent dans des murmures pour laisser nos envies prennent le dessus. Nos mains commençaient lentement a se caresser et a provoquer du plaisir. Notamment quand la sienne descend sur mon vas ventre après m'avoir enlevé ma chemise pour la faire littéralement voler dans la pièce. Je contractais un peu mes abdominaux, et je souriais sensuellement. Je revenais poser mes lèvres sur les siennes avant de partir a l'aventure dans son cou puis sur son épaule. Je mordillais un peu, et ma mimine faisait le travail en lui dégrafant son soutient gorge. Qui, en réalité ne soutient pas la gorge, mais les seins. Passons! Solveig m'aide pour le retirer, et je viens coller nos bustes. l'espace de quelques secondes pour récupérer sa bouche de la mienne langoureusement. Quand elle se décolle, je fixes son visage avant de scruter ses faites et gestes. Et voilà que mon jean me quitte. Ma virilité ne tardera pas a se faire voir... Et ça en devient certain quand la rouquine se positionne sur moi une seconde fois en laissant ses doigts se glisser dans mon boxer. Je laisse un soupir de plaisir, assez discret, sortir de ma bouche entre ouverte et je fermes les yeux. Que je n'ouvres pas de suite, car un baiser langoureux suit. Je prolonges en remontant une main dans sa nuque comme pour bien appuyer l'échange que j'appréciais. J'étais excité, je désirais la présidente, et son murmure me libérer. J'adorais, j'adorais entendre ça de sa bouche car je ne pensais jamais l'entendre de la sorte. J'ouvre alors mes paupières pour fixer son regard, en souriant de contentement. Et ; je me redresse en la tenant. Ses jambes viennent s'enrouler autour de ma taille, et je commences a marcher en direction de ma chambre en lui disant entre deux baiser dans son cou     " A vos ordres Mademoiselle Blackbird! "    Bien que c'est un plaisir, et non une tâche que je vais faire sans envie. Une fois dans ma chambre, je viens l'allonger sur le lit tendrement en me mettant au dessus d'elle. Je lui retires son pas, et dans mon mouvement, je l'embrasse du haut de la poitrine jusqu'au bas du ventre avant de revenir a sa bouche une fois que le vêtement tombé au pied du lit. Je me tenais au dessus d'elle, mes bras affichant mes muscles contractaient.
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Les disputes il faut bien se l'avouer, je déteste cela. Je ne supporte pas de me prendre la tête avec lui et l'autre soir, lorsque les assiettes avaient volés comme dans les films d'amour ou de je ne sais pas trop quoi, lorsque je lui avais dit que je ressentais des choses pour lui et qu'il m'avait demandé de mettre mes sentiments de côté, je détestais encore plus les disputes. Je détestais me sentir faible comme cela et lui montrer que oui, j'avais un sale caractère qu'il allait devoir faire avec. Mais ce comportement, ce sang chaud comme l'appelait ma mère, je le canaliserais du mieux que je le pouvais en sa présence. Même s'il dit des choses qui me mettront hors de moi, je ne lui montrerais pas et je me contenterais d'aller faire du sport et d'évacuer à ma façon, sans lui hurler dessus comme une poissonnière. Oui, je pouvais le faire, pour lui, pour nous et pour le bon avancement de notre couple. Me considérer en couple avec Dean ? Je ne me rendais pas encore compte de l'ampleur que cela pouvait prendre dans ma vie parce que c'était tout frais, parce que je ne me rendais pas encore vraiment compte que nous sommes officiellement ensemble. Plus besoin de cacher les sentiments enfouis en moi, plus besoin de les cacher, je pouvais lui dire que je l'aimais à longueur de journée -bon, faut pas abuser non plus, mais quand même-. J'avais hâte de lui donner toutes ses petites attentions qui étaient dans ma petite tête pour l'impressionner, pour lui prouver que je l'aimais. Et s'il savait à quel point je pouvais être inventive, je me demande s'il aurait peur. Peut-être que oui, peut-être que non. Je n'en savais rien, je verrais bien de toutes façons. J'avais tellement hâte de faire preuve d'imagination quand cela le concerne que j'avais déjà envie de sauter cette soirée pour passer à une autre journée dans ses bras. Mais pour le moment, nous étions la, tout les deux à se chercher, se trouver dans ce canapé. Moi le buste dénudé et lui à moitié nu. Enfin, il ne tarderait pas à finir nu comme un ver vu que je venais de lui retirer son jean en deux temps trois mouvements avant de venir reprendre ses lèvres de façon assez langoureuse. De façon tentatrice, d'une façon que je ne me connaissais pas en vérité. Je ne me reconnaissais pas tant que mon désir montait en flèche et qu'il me tentait encore plus, éveillant cette boule d'excitation qui menaçait d'exploser d'une minute à l'autre. A nous voir de loin, on pourrait croire que nous ne pouvons pas nous décoller l'un de l'autre et que nos lèvres sont automatiquement attirées l'une vers l'autre. Il est vrai que j'ai un peu du mal à rester loin de ses lèvres pendant de longues minutes pour le moment mais il faut dire que l'ambiance assez électrique entre nous deux. J'ai tellement envie de lui que ça en deviendrait presque gênant. Mais c'est normal. C'est la normalité des choses. Quand je lui murmure la chose, je ne me reconnais pas vraiment, mais lorsqu'il ouvre les yeux, un grand sourire se dresse sur mon visage. Quand je me sens décoller du canapé, je ferme les yeux pour ressentir toutes les sensations adéquates lorsqu'il a ses lèvres dans mon cou, qu'il se contente d'embrasser. Une fois dans ma chambre, je me laisse guider, je lui laisse prendre le contrôle de mon corps, je le laisse me faire faire ce qu'il veut et lorsqu'il me destitue de mon jean, j'ai un nouveau frisson qui me parcourt, frisson accompagné par un soupir quand je sens ses lèvres qui parcourent mon corps. Bon sang. Il sait comment attiser mon désir. Et il le fait bien. Lorsqu'il est au dessus de moi, je noue mes jambes autour de moi et mes lèvres viennent tendrement embrasser les muscles de ses bras, avant que je ne retourne la situation pour me retrouver au dessus de lui, mes lèvres parcourant son cou, puis ses épaules une par une, avant de descendre le long de son torse avant de s'arrêter au niveau de son aine. Ma bouche refaisant le chemin inverse, ma main glissait subtilement sur son boxer, tandis que l'autre se déposait sur sa joue, mes lèvres retrouvant une nouvelle fois les siennes pour lui offrir un baiser aguicheur.
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No entry... Shit.  
Je pense que je ne calculais pas encore très bien que nous sommes un couple; officiel. Mais, je sais d'avance que je vais adorer l'idée. Après, il ne faut pas oublier nos statuts qui risqueraient de poser certains problèmes, mais si j'étais prêt a les affronter avec la conne d'avant elle, je ne vois pas pourquoi je n'y arriverais pas pour elle. Au contraire! J'assumerais la totalité des sanctions, et en la protégeant au maximum. C'est une présidente, a la tête d'une maison importante, et surtout, son parcours scolaire et plus important que ma carrière. Je pourrais facilement me rediriger. Je ne dois pas m'avancer, si ça se trouve, il n'y aura aucun souci et tout ira bien dans le meilleur des mondes... Sauf que faut pas trop rêver quand même. Bien que, je sois déjà dans une sorte de rêve la. J'étais sous Solveig, qui se tenait a califourchon. Et nos mots avaient laissés place a des gestes qui faisaient monter l'excitation entre nos deux corps. Lentement, nos vêtements tombaient un a un sur le sol, bien que certains ont le droit a un vol gratuit, comme ma chemise par exemple. Nos mains se parcouraient mutuellement pour s'offrir des caresses, pendant que nos bouches accompagnaient le tout en donnant des échanges toujours un peu plus fougueux au fil des secondes. Je crois que ces instants la, sonnaient également comme une évidence entre nous. En y repensant, dans chacun de nos moments, il y avait eu de la tendresse, des contacts physique, et tellement d'autres choses.
Mais alors que je fermais les yeux sous l'emprise de sa bouche sur ma peau, sa phrase ouvrait mes paupières. J'étais surpris de l'entendre me dire une telle chose, mais agréablement. Ca avait une tendance a m'exciter, le pouvoir des mots existe! Je ne perds pas une minute pour me relever du canapé en la portant a l'unique force de mes bras, avant de sentir ses jambes autour de ma taille. Je m'amuse a l'embrasser dans le cou sur le trajet qui mène a la chambre. Une fois au pied de mon lit, je l'allonge doucement en venant me dresser au dessus d'elle. J'opte son jean, que je laisse tomber, et je ne me retiens pas de l'embrasser le long du buste afin d'augmenter son désir. Je tenais a la rendre un minimum folle de moi, parce que je pense que nous avons assez attendus pour conclure un acte sexuelle. Je voulais la retrouver, comme avant, mais avec cette nouvelle sensation. Sa bouche sur mes bras, je souris en fermant un peu les yeux, et je me replonge dans son cou. Je comptais faire descendre une main, mais la jolie rouquine en décide autrement en inversant la situation. Me voilà en dessous, a la regarder. Décidément, ce soir Solveig a décidé de me surprendre. Et bordel que j'adore, encore. Surtout quand ses lèvres décident de se promener le long de mon torse, en descendant bien bas. Je penchais ma tête en arrière, et ma respiration s'accélère. Ma virilité commençait doucement a se lever, et le faisait d'ailleurs totalement sous la caresse de sa main au dessus de mon tissus. Elle savait comment s'y prendre, et je ne pouvais pas m'en plaindre. Sa bouche retrouve la mienne, et sa façon aguicheuse me donne un sourire pendant l'échange que je prolonge avec fougue et passion. Rapidement ma langue se mêle a la sienne. Ma main vient prendre la sienne pour l'enlever de mon boxer, et la deuxième va dans le bas de son dos pour coller son corps au mien. Mon bassin s'actionnait doucement, et je lui offrais quelques léger coups pour ne pas cesser dans ma quête d'excitation.
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