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Allongée sur mon lit dans ma chambre désormais remplie de souvenirs, je fronçais les sourcils en regardant le plafond, un peu perturbée par la scène qui venait de se passer sous mes yeux quelques heures plus tôt. Je n'avais pas vraiment compris le pourquoi du comment, enfin si Zephyr m'avait touché les fesses et Dean était parti. Mais je ne savais pas pourquoi il avait eu cette réaction et cela me dépassait. Il ne pouvait pas décemment réagir comme ça, ça ne servait à rien. J'avais un peu le coeur lourd de me dire que j'avais déclenché cela. Heureusement pour moi, Noah m'avait quelque peu défendu, mais j'aurais très bien pu le faire moi-même en lui en collant une. Mais je ne supporte pas la violence. Je ne supporte pas de frapper quelqu'un, même s'il fallait bien le dire, il l'avait mérité. Je revois encore Dean qui enfonce ses mains dans ses poches avant de partir. Et le revoir encore et encore quand je ferme les yeux et je me dis qu'il ne me mérite pas. Que je ne le mérite pas, ou je ne sais quoi.  Je me tapais la main sur le front en soupirant. Pauvre cruche. Comment j'ai pu croire que je ne lui ferais pas de mal ? J'avais fait du mal à Chuck, il était obligatoire  que j'en ferais à Dean. Je ne pouvais pas ne pas faire de mal aux personnes que j'aimais c'était obligée. Me redressant dans mon lit, j'enfilais mes bottines avant de prendre le métro. Je fixais les gens, le regard triste, le regard vide, pensant à ce que je pouvais lui dire. En premier lieu, des excuses c'était obligé, je devais m'excuser pour le comportement de ce mec. De cet homme que j'avais rencontré une seule nuit au Summer Camp et avec qui je m'étais réveillé simplement, sans ne plus avoir de ses nouvelles par la suite. Sortant du métro, je réajustais mon bonnet et je me pointais devant l'immeuble de Dean, la lumière était allumée, je soupirais de soulagement, cela me rassurait. Je montais les escaliers deux à deux et une fois devant chez lui, je levais mon poing pour toquer et puis non. Je rabaissais ma main, redescendant deux trois marches, le coeur battant. Puis non. Je remontais, et j'ouvrais doucement la porte, retirant mes talons pour ne pas me faire remarquer. Je restais cependant dans l'entrée, j'avais l'impression que mon coeur allait exploser, mon estomac se tordait et j'avais peur. Peur de sa réaction, de la violence. « Dean? » Je ne bougeais pas, me mordillant la lèvre, serrant mon petit paquet de pain d'épice dans les mains. J'avais l'impression que j'allais devenir folle, que mes jambes allaient se dérober sous moi, mais je ne pouvais pas rester comme cela. J'avais déjà laissé ma fierté sur le palier, j'espérais qu'il en fasse de même.
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Plus tôt dans la journée, j'avais eu l'envie de sortir pour me faire le marché de noël. Le destin avait encore foutu Solveig sur mon chemin, mais cela n'avait pas été aussi drôle qu'en boite de nuit. Déjà, j'ai renversé deux verres de vin chaud, et en partie sur mes vêtements. Ensuite, je vois la rouquine se faire enlacer par un jeune homme avec qui j'ai fait connaissance pour comprendre qu'ils étaient simplement amis. Mais j'étais saoulé quand même de la voir dans les bras d'un autre. Sauf que ce n'était rien par rapport a la fin. Un autre mec s'était pointé en insinuant pas mal de choses. Ca parlait d'alcool, de tente, de summer camp... Et il décidé de poser sa main sur le fessier de Solveig. Pour éviter de péter un plomb, j'étais simplement parti du lieu.
Une fois chez moi, pour calmer mes nerfs, j'écoutais de la musique en faisant du sport. Une bonne séance qui fait que mon corps terminait totalement trempé. Ayant bien soufflé, je partais dans ma douche pour me nettoyer et détendre mes muscles. La musique se faisait entendre, elle était entrainante mais je n'avais pas la tête à danser ni chanter. Je préférais simplement sortir, me sécher pour enfiler un short de boxe au dessus de mon boxer. Je n'allais pas sortir, alors je restes simpliste dans ma tenue. Je regagnais mon salon, et je n'arrivais pas a sortir l'histoire de ma tête. Comment la présidente avait elle vécue mon départ? Vu qu'elle avait bien indiqué son indépendance, peut être qu'elle s'en fout non? J'étais triste, et j'avais envie de lui écrire mais il ne fallait pas. Je risquerais de m'énerver une nouvelle fois, ou alors de dire des choses radicales sans pour autant les penser.

Pour éviter ça, je pars dans ma cuisine pour ouvrir le frigo. Aucune inspiration ne me venait pour le diner de ce soir, alors je sors simplement du jambon et du beurre pour me faire un sandwich. Une fois fait, je sors une bouteille d'eau et je m'installe sur mon tabouret pour manger. Mes yeux fixés la table, j'étais vraiment déboussoler et.... Et je me posais les bonnes questions bizarrement. Si je réagissais comme ça, c'est qu'il y avait bien quelque chose, non? Je soupirais, et je ne faisais pas attention aux bruits minimes de l'entrée. Je me disais que c'était les voisins, encore. Mais une voix résonne dans mon logement. Je me redresse en fronçant les sourcils. J'avais rêvé ou quoi? Je ne réponds pas, et je marches pour vérifier. D'un pas lent et prudent, j'atteins le salon et je penche un peu la tête pour regarder. Solveig... Non mais je rêve. Aucun sourire, je relâche ma ride du lion pour venir me poser en face d'elle.    " Et la sonnette tu connais? "    Voilà... J'étais déjà entrain de faire le crétin. Je gonfle mon torse nu avant de soupirer, et de reprendre la parole    " Excuse. Viens, entre. "    Elle était déjà entrée, mais c'était plus une invitation a quitter l'entrée. Je marches sans faire attention  a si elle me suivait ou non, en direction de la cuisine où m'attend mon sandwich. J'avais un pincement au coeur, c'était étrange. Et sur le trajet, je demandes en pensant en même temps a aller me mettre un tee shirt   " Je peux faire quelque chose pour toi? "
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J'avais encore grandi dans mon comportement, puisqu'avant je serais restée camper sur mes positions et j'aurais attendu qu'il vienne de lui même, et s'il ne venait pas c'était tout simplement tant pis. Avant j'avais un caractère de cochon, de nana assez impulsive et très rancunière. Oui, j'étais rancunière, encore et toujours, mais je l'étais un peu moins. Avec lui en tout cas. Peut-être que c'était parce que je m'étais rendu compte que je tenais encore beaucoup à lui et que j'étais en tort. C'était même certainement cela. Quand je pensais à lui, j'avais le coeur qui battait tellement vite que j'avais l'impression qu'il voulait s'extraire de ma poitrine pour lui démontrer à quel point il me rendait folle. Oui cet homme me rendait folle, tellement. Je n'arrivais plus à concevoir ma vie sans lui, ma vie sans son sourire, sans son petit rire. Et je me faisais presque pitié de penser cela mais je ne voulais plus me voiler la face. C'était bien trop stupide. Alors je ne partais pas dans l'optique de lui dire une nouvelle fois ce que je ressentais, mais il n'était plus en couple, même plus en option semi-couple, alors peut-être qu'il le prendrait mieux. Ou pas. Je n'en savais rien, il était tellement imprévisible que cela m'effrayait un peu.

D'ordinaire, j'aimais bien pouvoir déceler les réactions des gens, ce qu'ils pouvaient penser, et Dean, je n'en étais clairement pas capable. La preuve, lors du marché de Noël qui avait eu lieu quelques heures plus tôt, dans ma tête, quand l'autre garçon m'avait touché les fesses, je le voyais bien faire une esclandre, sauf que pas du tout. Il était juste... Parti. Il avait fui comme s'il refusait le combat, comme s'il refusait de se battre contre un autre. Peut-être qu'au fond il en avait vraiment rien à faire de moi et qu'il était mieux tout seul. Alors quand je me pointais dans son appartement, le coeur battant, je soupirais doucement pour me calmer. Pour calmer l'état d'excitation, de peur qui était présent dans mon pauvre esprit torturé. Au moins, je n'étais plus triste c'était déjà une bonne chose. Parce que quand je suis triste, je fais des choses tellement irrationnelles que je me demande bien par la suite, comment elles ont fait pour arriver dans mon esprit. Bon, le seul truc qui n'était pas rationnel ici, c'était le fait que je n'ai pas sonné en entrant. Mais j'avais peur qu'il refuse que j'entre... Lorsqu'il apparaissait, on pouvait voir à travers mon regard que j'étais assez inquiète et je fermais les yeux pour me calmer, après l'avoir regardé de bas en haut, dans un regard furtif. Je ne répondais rien à son attaque, il avait totalement raison de le faire. J'aurais dû sonner. Je le suivais doucement, posant le paquet de pain d'épice sur la commode de l'entrée avant d'atterrir dans le salon alors qu'il me demandait si je voulais quelque chose. Oui, je ne voulais pas tourner autour du pot. Fermant les yeux, je serrais doucement les poings avant de garder les yeux clos et de prononcer « On... On peut pas continuer. Non.. Je.. Enfin.. Je.. » Je soufflais un bon coup avant de reprendre « Je te ferais du mal. Je t'en ai déjà fait... Tout a l'heure, quand j'ai piqué une crise ici, quand.. je te ferais toujours du mal. Et je ne supporterais pas de te savoir mal à cause de moi. C'est au dessus de mes forces... Je suis désolée. Tellement désolée... » Une boule se formait au fond de ma gorge, et je tremblais. Je me rapprochais de la fenêtre pour déposer mon front contre la vitre. J'aurais dû faire cela bien plus tôt. Tellement.
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Je devais réfléchir. A la galerie j'étais en couple et pourtant je n'avais pas supporté de voir quelqu'un l'embrasser. Tout son petit jeu et tout. Ensuite, célibataire, je me surprends à être jaloux dès qu'un mec la serre contre lui, pour terminer en m'énervant réellement quand dans la même journée un autre vient lui toucher les fesses. En faite, j'étais mitigé entre de l'énervement et des interrogations. Combien y'avait - il de mec? Non parce que sérieusement, je crois que c'est l'effet de surprise qui me turlupine. Pour passer mes nerfs, j'avais préféré rentrer pour me dépenser dans une bonne séance de sport pour finir dans ma douche en écoutant la musique dans l'appartement. Je faisais un peu pitié une fois devant mon frigo en manquant complètement de créativité... Donc, un sandwich au jambon beurre fera l'affaire pour me nourrir. Je mangeais avec une boule au ventre en pensant a Solveig. Cette fille... Mon dieu mais si elle savait ce que j'étais entrain de réaliser dans mon cerveau de crétin.

Et, c'est au son de sa voix, pensant halluciner. Que je me retrouves dans l'entrée en face d'elle. Bah j'aurais très bien pu rêver, vu que je n'arrêtais pas de me passer tous nos moments dans mon esprit. Bien sur, méchant comme je suis de temps en temps, je lance un pic mais je ne reçois aucune réponse. Je me contente de soupirer avant de l'inviter a me suivre. J'avais un repas de chef a terminer, bien que la, je n'avais carrément plus d'appétit. Sa venue ne m'annonçait rien de bon. La présidente reste dans le salon, et moi je vais dans la cuisine pour prendre mon bout de pain dans lequel je croques en l'écoutant. Je mâchais, et je n'en croyais pas mes oreilles. J'avais un peu l'impression de manquer d'air d'un coup. Je balance le dernier bout sur mon plan de travail avant de venir m'appuyer sur le dossier du mon canapé. Le silence s'installait quand elle collait son front sur ma fenêtre. Mes mains serraient le tissus de mon divan, et mes dents se serraient. Si j'étais trop sensible; j'aurais pu pleurer, mais ma fierté m'en empêche pour le coup. Je me décides a briser l'ambiance pesante    " C'est la que tu me fais du mal... "    Je relève la tête pour la regarder de dos    " Tu viens, ici,... Pour me dire ça? Merci, ma journée n'avait pas été assez niqué. "    Je fais un non de la tête, et mon coeur se faisait compresser. Je reprends le pas pour revenir dans la cuisine, histoire de jeter mon bout de pain dans la poubelle, et de prendre une gorgée dans ma bouteille d'eau. Ca m'aidera peut être a respirer normalement. Je fermais les yeux quelques secondes, avant de dire en me retournant pour avoir une vision sur la rouquine    " Ce qui me fait du mal, c'est de me dire que je m'en suis voulu. Je me déteste depuis le jour où je t'ai dis que j'avais choisi une autre fille... Qu'il fallait arrêter. "    Je commençais un peu a m'énerver   " Et si je m'en suis voulu, c'est simplement parce que je me disais que j'avais joué au con tu vois. Je pensais jouer sur deux tableaux. Mais toi, y'en a eu combien? "   C'était maladroitement dit, mais tant pis. Il ne fallait pas tourner du pot, bien que la, j'affichais clairement ma jalousie et le fait de ne pas supporter de la voir entourée de garçon.
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On dit souvent que les filles sont compliqués, mais qu'est ce qu'il en ait des mecs ? On parle souvent d'un manuel pour comprendre les filles mais la j'avais vraiment besoin d'un manuel pour comprendre les réactions de Dean. Je ne savais pas à quoi il avait pensé quand il avait fui le marché de Noël. Il avait fait exactement comme à la galerie d'art. Il avait fui, sauf que cette fois-ci, je ne l'avais pas suivi, je l'avais laissé faire, je ne m'étais abaissée à son niveau, enfin son niveau... Je ne m'étais pas abaissé à lui demander de rester, de m'expliquer. Je n'avais pas besoin d'explications pour le moment. Je n'en voulais pas, mais j'étais quand même ici, dans son entrée. A tenter d'obtenir des réponses à mes questions. Questions qui avaient pris place dans mon esprit de par ma faute. Je m'en voulais tellement de lui faire du mal, c'était le monde à l'envers, il m'avait fait du mal avant et c'est moi qui m'en voulait de lui faire du mal par la suite. Pourtant, je n'avais pas à m'en vouloir techniquement. Mais je ne serais pas moi, si je ne le faisais pas. Et la culpabilité avait pris la totalité de mon cerveau, et je ne pourrais pas être tranquille si je ne lui en parlais pas. Si je ne lui en parle pas, je m'en voudrais toujours. Et je ne voulais pas m'en vouloir, peut-être qu'il comprendrait avec le recul. Ou qu'il ne comprendrait pas. Certainement. C'était même sûr.

Heureusement, il me facilite la chose. Il me demande ce que je veux sans rien dire. Sans rien insinuer, sans me montrer que par la suite, il voulait me dire quelque chose et peut-être que je pourrais comme cela. Fuir loin d'ici, loin de Cambridge, de Boston pour les fêtes de fin d'année. Sans avoir à me soucier de mes sentiments pour lui ou non. Les mots avaient tournés dans ma tête avant que je n'entre chez lui et la, ils sortaient avec une facilité déconcertante. Ils s'alignaient parfaitement, brisant le silence qui aurait pu être pesant entre nous. Je lui avoué tout, le fait que j'avais peur de lui faire du mal, que j'étais désolée de lui avoir causé du tort, le fait que je lui ferais du mal, même inconsciemment et la facilité déconcertante des mots me brisait le coeur. J'avais envie de pleurer mais je me retenais, pour ne pas paraître comme la fille faible. Je stoppais notre semblant de relation, je ne pouvais pas pleurer. Je n'avais pas le droit. Je serrais encore et toujours mes poings, calmant ma respiration et sa réponse me brisait le coeur, j'avais l'impression qu'on m'enfonçait un couteau dans le coeur et qu'on le replantait encore et encore. Et je lui faisais encore et encore du mal. Je sentais mes yeux qui me brûlaient à cause des larmes. Je me tournais alors pour lui faire face « Dean je... » suis désolée oui, tu l'as déj dit connasse. J'écoutais ses phrases, ses plaintes et je ne bronchais pas, quoique, je sentais un peu la moutarde qui me montait au nez mais je tentais de rester calme jusqu'à sa dernière phrase, restant à ma place je rétorquais « De quoi ? Des tableaux ? Tu croyais peut-être que pendant que t'étais avec elle, j'allais t'attendre ? Tu pouvais bien te mettre le doigt dans l'oeil. &raquo Puis je me rendais compte de la gravité de mes paroles et je baissais la tête, me rapprochant un peu de lui en mordillant ma lèvre « Tout ce que je viens de dire est un mensonge. Je n'ai joué que sur un seul tableau. Le tien. Je ne supportais pas de me dire que j'étais en train de trahir. Je ne voulais pas te trahir. Ni te faire du mal, mais visiblement, j'ai échoué. Je m'en veux si tu savais. Mais... ne m'en veux pas s'il te plaît. C'est pour ton bien... » Je fermais les yeux, déposant doucement ma main sur sa joue, comme pour m'imprégner des traits de son visage. Comme si c'était la dernière fois. Et au fond de moi, je ne voulais pas que cela le soit.
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Avant que la jolie rouquine ne vienne dans mon appartement, j'étais entrain de penser a tout ça. Je réfléchissais a la nature de mes sentiments, a ce qu'elle représentait vraiment. Mais aussi a tout ce qu'il avait pu se passer entre nous ces derniers temps... J'aurais très bien pu lui envoyer un message ou l'appeler, mais inutile de le faire car elle était ici. Dans la cuisine, attendant l'explication de sa venue, je me disais que c'était soit pour s'excuser ou alors pour tirer au clair ma fuite. Je me trompais, et dans les grandes largeurs. J'étais tellement sous le choc, que j'étais venu m'appuyer sur le dossier du canapé en le serrant entre mes doigts, comme pour éviter un deuxième tsunami dans ma demeure. Le premier avait été fait par la présidente il y a quelque temps. Bien sur, sur ma lancée de super connard, je la pique encore et toujours en lui informant que la, elle me faisait réellement du mal. Je repars vers la cuisine, comme pour ranger un peu mon diner, enfin le jeter. Et je me retournes pour lui poser une question un peu salée. C'est le résultat d'un homme blessé et énervé. Bon, je connais bien Solveig, il était logique de recevoir une répartie digne de ce nom. Je hausses un peu les sourcils en continuant de faire aller ma mâchoire, en faisant gaffe a ne pas me péter une dent, sait on jamais    " Ouais je croyais. Et c'était stupide de ma part de le penser. "    Et prend ça. Je ne bougeais pas en la voyant se ramener devant moi, et pourtant je n'avais pas envie. Encore moins de recevoir sa main sur ma joue alors qu'habituellement j'adore ça. Je ne lâchais pas son regard     " Tu m'embrouilles la... "    Je pinces mes lèvres    " Après tout, je l'aurais cherché non?... Et qu'est ce que t'en sais de mon bien? Ce que tu es entrain de faire c'est uniquement pour ta gueule je crois. "    Je devenais un peu violent, mais je sentais mon coeur qui s'emballait. Je voulais retenir les prochaines paroles, mais non. Dean, laisse tout sortir et tu verras que tu te sentiras soulagé... Mon cul c'est du poulet? Je baissais la tête un instant en ayant les yeux un peu grands ouverts sur le sol.     " J'en peux plus... "    Murmurai - je. Je crois que la jolie rousse n'allait pas tout comprendre. Mais c'est juste que tout se bousculait dans ma tête, que mon coeur explosait, qu'il se brisait... C'était l'apocalypse dans mon corps et dans ma tête. Et c'est comme ça que mes yeux reviennent dans les siens, donnant une expression qui n'avait jamais été aussi franche depuis notre rencontre    " Tu vois... C'est triste et con que tu viennes me dire ça maintenant parce que... Parce qu'au marché de noël j'ai eu une réaction... Qui me dépassait. Et je me suis mit a réfléchir au pourquoi du comment... "    Et la, je n'avais plus de mal a respirer, mais je sentais l'arrêt cardiaque arriver. La boule dans la gorge se faisait de plus en plus sentir. La bouche entre ouverte, je cherchais comment lui dire tout ça; comment lâcher ce que j'avais réalisé ce soir... Ce que j'avais réalisé peut être trop tard. D'une voix plus basse, je dis    " Je n'ai pas arrêté de penser a toi. Parce que c'est ce que je fais tout le temps. C'est mon quotidien. Et ce soir, je crois que, que j'ai senti le besoin d'exprimer des choses. De mettre des mots sur des sensations étranges qui me parcourent les neurones. "   Je prends une grande inspiration   " Je t'aime. Je crois que je suis assez sur pour avancer une chose pareille. Et si ce n'est pas le cas, on s'en fout parce que je t'aime quand même. Je m'en fous du temps que ça prendra entre nous. Mais... Mais je veux que tu saches ça, parce que c'est trop précieux pour passer a coté. "      J'avale ma salive avec difficultés, et je dis en haussant légèrement les épaules   " C'est ce que t'as toujours voulu, non? "    Et sans lui laisser le temps de répondre, je reprends    " Et je viens de réaliser tout ça. Si tu veux savoir ce que j'aime chez toi pour être sûre que je ne me fais pas de fausses idées... C'est ton coté folle. T'es capable de prendre des risques. Comme quand tu as ce regard insistant quand tu sais que tu ne peux pas m'avoir. Mais au fond, la seule chose que tu désires, c'est moi. J'adore quand tes yeux me provoquent, même quand ils ne ressemblent a rien à trois heures du matin après des dizaines de mojitos. "     Je sentais un peu les larmes me venir, et j'appréhendais la suite, mais je ne me stoppais pas    " Tu es naturel, et je le suis avec toi. Tu es douce avec moi mais tu peux partir en feux d'artifice au moindre sentiment de colère. Mais à coté, y'a aussi mon addiction a tes lèvres sur les miennes qui effacent tout. C'est l'extase quand c'est brut et à la limite du sauvage. Et quand c'est tendre et léger, c'est compliqué d'y mettre un terme. "     Je pose ma main sur mon front un instant, et je termines    " Tu vois, je pourrais te dire encore tellement de choses pour te dire que je t'aime, ou que je pense t'aimer, ou je ne sais quoi d'autre. Retiens juste je me sens prêt a écrire une page avec toi. A vrai dire, ça fait longtemps que je le suis, et c'était long pour m'en rendre compte tu vois. Le temps est long sans toi. Alors... Fais moi confiance. Parce que t'es venue pour me dire que tu veux tout arrêter, sauf que moi je ne suis pas encore prêt pour renoncer. "   Et, je peux souffler maintenant.
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J'avais réussi à faire le ménage dans ma vie, à renier mes anciens démons, les anciennes choses qui faisaient que je n'aimais pas mon passé. Mais quand je parlais de mon présent, il n'était pas rare que je me mette à sourire, avant de perdre ce sourire quand je pensais à mon avenir. Avec tout ce que j'avais pu faire, tout ce que j'avais pu dire, j'avais un peu peur de l'avenir, mais j'étais prête à l'affronter. Plus que prête même. Je voulais encore vaincre ce qui me faisait peur, ma peur de l'engagement, ma peur de blesser l'autre, de lui faire du mal. De faire du mal aux personnes que j'aime parce que finalement à trop m'appliquer à leur dire que je les aime, c'est moi qui finit blesser. C'est ce que je voulais faire ce soir avec Dean. Arrêter de lui faire du mal. Parce que je savais que je lui en faisais malgré moi, quand Noah m'avait pris dans ses bras, j'étais persuadée que cela lui avait fait du mal, quand Zephyr était venu, il avait fui et si j'avais pu lire dans ses pensées, j'étais persuadée qu'il était en train de m'assassiner. Et le pire de tout, le pire que j'avais pu faire, c'était lors de la soirée d'ouverture de la galerie quand Caesar était venu, la c'était le pire de ce que j'avais pu faire et je m'en voulais terriblement. La culpabilité avait pris place entière dans mon corps et il fallait que je l'évacue. Je ne supportais pas de le faire souffrir et j'étais persuadée qu'il pourrait trouver quelqu'un de beaucoup mieux que moi. Quelqu'un ui l'aimerait peut-être autant que moi, peut-être moins que moi mais qui pourrait lui offrir ce dont je n'étais pas capable. Les mots que je prononçais étaient totalement irréfléchis. Je ne pensais pas ce que je disais et je me contentais de le lui dire par la suite. Ses mots étaient peut-être aussi violent que les miens, voir plus. Il n'y allait pas avec le dos de la cuillère et je l'en remerciais en vérité. Je ne voulais pas qu'il me ménage. Je voulais qu'il soit franc parce que c'était la clé de la confiance, confiance que je semblais avoir brisé de son côté « Si tu le dis... Oui je ne pense qu'à ma gueule, si c'est ce que tu veux entendre. » Voilà. Mon ton était sec et ma main sur sa joue, je la retirais lentement. Lorsque je sens son regard dans le mien, je le fixe doucement, me mordillant l'intérieur de la joue puis je me rendais compte de la phrase qu'il venait de prononcer et je devenais interrogative « Tu n'en peux plus de ... ? » Je murmurais ses mots comme si je ne devais pas réveiller quelqu'un, comme si, les mots n'avaient plus vraiment d'importance. Je le regardais quand il prononçait son espèce de monologue et je fermais doucement les yeux, me haïssant d'avoir tirer des conclusions hâtives. Je gardais les yeux fermés, me laissant bercer par les mots. Par ses mots qui semblaient dévaster mon coeur. Lorsqu'il prononçait ses sept petites lettres, j'avais l'impression que le sol se dérobait sous mes pieds, mais je restais debout, face à lui, jouant nerveusement avec mes doigts. Lorsqu'il me pose une question, je me mordille ma lèvre tremblante et j'ouvre la bouche pour répondre mais il ne me laisse pas le loisir de le faire. Il était vraiment en train de me déclarer sa flamme ou j'allais me réveiller dans deux secondes, dans mes draps ? Lorsqu'il évoque le passage de la boîte de nuit et des mojitos, un sourire léger se pose sur mes lèvres et je sens mes joues qui se teintent une nouvelle fois de rouge, mais je perd mon sourire pour me concentrer sur le son de sa voix pour éviter de tomber. J'ouvre délicatement un oeil et ses gestes me font sourire, je garde alors les yeux ouverts, me rendant compte que ça ne sert à rien de les fermer. J'ai l'impression que mon coeur va exploser quand il ne parle plus. Je m'installe alors sur le canapé, passant mes deux bras autour de ma nuque et baissant la tête pour réfléchir. Je ne serais jamais foutue de lui faire une déclaration comme ça. Jamais. Je me relève alors, et doucement je dépose mes lèvres sur sa joue avant de murmurer « Oui c'est ce que j'ai toujours voulu. Par contre, je ne suis pas sure de pouvoir te dire autant de belles choses parce que ... au fond, je ne suis pas une belle personne. Mais, merci. Tu me redonne confiance en moi. J'ai l'impression que le monde autour de moi est plus beau quand tu es avec moi. J'ai l'impression que ma vie tourne au ralenti quand t'es la, et j'ai envie que le temps s'arrête quand je te sens contre moi pour ne plus avoir à combler le manque de toi. Parce que... » Je dépose tendrement mes lèvres sur les siennes pour lui offrir un tendre baiser, fermant mes yeux avant de desceller nos lèvres pour murmurer « Parce que je t'aime aussi. » Et je reprend tendrement ses lèvres avant de sourire doucement dessus. Bon sang, j'avais l'impression d'être légère comme une plume. « Écrivons cette page alors... et les pages suivantes... si tu veux bien. » J'attrapais doucement sa main pour entrelacer nos doigts en me blottissant contre lui. Retrouvant cette sensation de bonheur perdue.
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No entry... Shit.  
En même temps, fallait aussi voir la réalité en face quoi. C'est quoi de se disputer, ou de fuir, ou de faire la gueule dès qu'une personne s'approche trop? Je crois en la possessivité amicale, mais faut pas trop pousser non plus. Fallait que j'arrête réellement de laisser couler sans me poser les bonnes questions. C'était évident qu'il y avait des sentiments dans chacune de mes réactions. C'était la fille la plus importante a mes yeux, et rien que ça, ce n'est pas anodin. Bon, la actuellement, la rouquine me prenait un peu la tête en me piquant comme il fallait. Mais je crois que j'avais commencé, alors je ne peux pas trop lui en tenir rigueur. J'étais juste dans le mal de me dire qu'elle souhaitait tout arrêter. D'un coté, je ne voulais pas l'entendre, je ne voulais vraiment pas accepter la chose. " Si tu crois que c'est ce que je veux.... " Non. Je suis conscient que c'est mes actes qui font que nous en sommes la. Si je n'avais pas fuis, ou si je n'avais pas montré que j'avais mal a cause de certains garçon, Solveig ne se sentirait pas responsable. Il fallait que quelque chose cesse, mais pas notre histoire. Il fallait que je sois franc et que je lui dises tout ce que j'avais sur le coeur. Je comptais l'éclairer pour qu'elle puisse comprendre pourquoi je me comportais un peu comme un crétin des fois. Et je murmures alors que je n'en plus plus, ce qui est vrai car je sentais mon coeur se tordre dans tous les sens en moi. Et tous les mots qui voulaient sortir, sur lesquels je tentais d'avoir un contrôle. Terminé tout ça. Je prends mon courage a deux mains en me tenant devant elle, et je commences a monologue, une déclaration d'amour comme je n'en avais jamais faite avant elle.
Je ne m'arrêtais pas, je parlais, je parlais, je parlais, et tout ça en guettant la moindre réaction chez la présidente. Au départ, ses yeux se fermaient, mais je ne stoppais pas, je ne lâchais pas ses paupières en laissant les phrases se suivre. C'était à croire que je ne pouvais pas ralentir, que je ne pouvais pas freiner mes paroles, et tant mieux. Je suis soulagé a la fin, sauf quand je la vois s'éloigner pour se foutre sur le canapé. Tel un piquet, je restes planté en la regardant. Solveig avait l'air déboussolée, complètement anéantie par tout ce qu'elle venait d'entendre. Je fermais les yeux quelques instant, et la réouverture, elle se tenait a coté de moi et son visage s'approche pour m'embrasser la joue. Instinctivement, mes lèvres s'étirent doucement. Et sa voix se porte comme une mélodie. Avant de recevoir son tendre baiser, je réussis a lui dire dans un murmure égal au sien " Tu es une très belle personne. Tu viens de me dire des belles choses, mais le plus important, c'est ce que tu fais. C'est ce qui est encore plus beau " et nos lèvres se rejoignent alors tendrement. C'était le bonheur de sentir que c'était un baiser d'amour, comme ci toutes les barrières et les chaînes n'existaient plus. Et son murmure me foudroie le coeur, mais positivement. Bordel, c'est agréable de se sentir heureux. Je souris comme un idiot avant de renouveler un baiser. Et je sentais bien son petit sourire qui se joignait au mien pendant l'échange. Une main se glisse sur sa hanche doucement. Et nos visages se décollent " Tu crois qu'après tout ce que je viens de te dire, je ne le veux pas?... " Je souris un peu amusé en entrelaçant mes doigts au sien, et je la serre contre moi avant de reprendre la parole " Et toi, ne t'avises plus jamais de me dire que tu veux tout arrêter, ou que tu me fais du mal. Parce qu'en vérité, tu es la seule qui me rend heureux. " Oh mon dieu. Sortez les mouchoirs!
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  Quand j'étais avec lui, j'vais just l'impression d'être moi-même, de ne pas avoir à jouer sur deux tableaux, à jouer un côté de ma personnalité qui n'existe pas dans mon cerveau. Avec lui, je pouvais être ce que je voulais, je pouvais jouer la schizophrène, être heureuse, puis avoir un petit coup de folie. Je pouvais lui dire ce que je pensais, ce que je voulais sans qu'il le prenne mal, enfin il pouvait le prendre mal mais il ne bouderait pas, il m'enverrait tout simplement balader. Ce qu'il avait fait un bon nombre de fois. Et grâce à cela je m'étais forgé un petit caractère de cochon. Et je ne me laissais plus faire. Je ne me laissais plus marcher sur les pieds et c'était en partie grâce à Dean. J'étais vraiment mauvaise et cela pouvait s'entendre au son de ma voix, j'adoptais un ton sec et cassant mais au fond de moi, je m'en voulais beaucoup. Puis au fond de moi, il m'énervait avec ses réactions, il n'était pas foutu de me dire ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait et il fuyait comme un voleur, comme si, il n'assumait rien. Et cela m'énervait au plus haut point. Je ne supportais pas que l'on fuit au premier obstacle et c'est en vérité ce que j'allais faire puisque j'étais censée lui dire que nous arrêtions tout, que je ne pouvais plus rien supporter et que de toutes façons, je finirais par lui faire du mal de toutes façons, c'était toujours ce qui finissait par arriver. J'avais blessé Chuck, Blake, ma mère, mes frères alors Dean était certainement la prochaine cible et cela me rendait triste. Mais je n'avais pas prévu ce qui allait se passer. Je n'avais pas prévu qu'il me dise tout ce qu'il avait sur le coeur. J'avais tellement attendu ce moment la, que je m'étais demandé ce qu'il ressentait, que j'avais attendu ce moment. Et il venait d'arriver. Le jour où j'avais décidé de tout arrêter, il voulait continuer. Lorsqu'il parlait, j'avais l'impression que mon coeur allait exploser, que j'étais en train de tomber sans vraiment le faire. Et je pouvais voir dans ses yeux qu'il était sincère. Lorsqu'il terminait son monologue digne d'un discours de mariage ou je ne sais quoi, je me relevais sans vraiment savoir si c'était mon coeur ou ma conscience qui me guidait et je venais tendrement me blottir contre lui avant d'embrasser sa joue « Arrête je vais avoir les chevilles qui vont gonfler. » Et je riais doucement avant de l'embrasser tendrement, un baiser qui faisait passer tout mes sentiments. Je ne peux m'empêcher de couper notre baiser pour lui murmurer que je l'aime, que oui, ses sentiments sont partagés. Lorsque sa main se place sur ma hanche, je me colle un peu plus à lui, entrelaçant nos doigts comme si je souhaitais sceller quelque chose. Lorsqu'il me pose cette question, je me dis que j'ai peut-être dit une bêtise et mon coeur loupe un raté « Si si ! J'en suis persuadée... » Je reste blottie contre lui, retirant ma main de la sienne pour glisser doucement mes mains sous son tee-shirt en riant. J'aimais le contraste de nos deux peaux et ce qu'il me disait me toucher en plein coeur « Et t'as beau m'avoir rendu malheureuse, tu le sais, et je ne t'en veux pas. Je pourrais aussi te faire un long discours sur les pourquoi du comment je t'aime, mais je crois qu'on en aurait pas fini. » Je souriais en caressant sa lèvre du bout des doigts « D'abord j'aime tes lèvres... Et la façon que tu as de m'embrasser... » puis je faisais glisser ma main le long de sa mâchoire « La douceur de ta peau... » Puis j'attrapais doucement sa main pour mordiller ses doigts « Puis tes caresses le long de ma peau aussi... » Et je le fixais en prononçant ses mots pour qu'il se rende compte que je ne mentais pas, que j'étais tout aussi sincère.
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Ce serait trop embêtant de ne jamais s'engueuler non? Bon, oui, j'accorde le fait qu'en ce moment nous n'arrêtons pas de se prendre la tête. Nous n'avons qu'à dire que c'est pour la bonne cause, ou du moins, c'est pour défendre nos façons de penser respectives. Et, la présidente avait cette façon de parler qui me mettait un peu hors de moi. J'adorais son caractère. Douce et dure à la fois, c'est ce que j'attends chez une femme. Pourquoi? J'ai un caractère assez fort, j'ai besoin d'être recadré, j'ai besoin que quelqu'un ose me dire merde. Et vu que je passes le plus clair de mon temps avec Solveig, je comptes sur elle pour oser se confronter à moi. Ce qu'elle fait à merveille actuellement. Sauf que de mon ressenti, je la trouves un peu trop radicale en débarquant chez moi pour me dire qu'il fallait tout arrêter. En si peu de temps, avait elle effacer tout ce qu'elle ressentait? Avait elle quelqu'un d'autre? Avec les différentes scènes de ces derniers jours, je me disais qu'un de ces garçons pourraient très bien devenait son petit ami. Mais je n'en avais pas envie.
J'avais réfléchis, j'avais enfin décidé de me poser les bonnes questions et de laisser mes sentiments parler pour moi. Ce n'était pas sain d'être jaloux comme ça et de péter des plombs dès que je vois un homme arriver sur elle. Bon, si jamais nous en venons à devenir un couple, va falloir que je calme ma jalousie.. Ce serait contradictoire avec la fois où j'ai avouer lui faire pleinement confiance. Dans un sens, je lui fais confiance, mais je n'en ai pas envers les autres mecs de la terre.
C'est terminé, je viens poser mon regard franc dans le sien, rempli d'émotion pour lui dire tout ce que je ressentais. Tout ce que je venais de comprendre en l'espace d'une journée. Oui, j'ai mit du temps mais l'important c'est que tout soit dit. J'avais peur que ce ne soit pas réciproque. J'avais peur d'ouvrir mon coeur après dix ans sans fonctionnement et que je me prennes un gros stop. Ce serait frustrant, et je serais transformé en sombre crétin. Mais, un sourire vient rapidement sur mes lèvres. Avant qu'elles n'aillent rejoindre celle de la jolie rouquine. Je prolongeais le baiser en laissant ma bouche sourire légèrement. Je me sentais heureux, j'avais une explosion de joie au fond de moi. C'est officiel? Ca y est? Je peux dire que mon ancienne amante est ma petite amie... Wahou. Et je souris de plus belle quand elle affirme être persuadée que je voulais écrire des pages et pages de notre amour. Elle est tellement mignonne. " Ouf... Sinon, j'aurais été obligé de te redire de belles choses pour que tu le sois! " J'affiche un petit air amusé en le mélangeant a la tendresse de mon regard. Non, ça ne me dérangeait pas de lui redire des choses comme toute à l'heure, mais je crois que maintenant nous allons avoir tout le temps pour ça. Pour tes réveils en amoureux, a bien commencer la journée par des mots doux. J'en rêve déjà. Ma main sur sa hanche, et les siennes sous mon tee shirt, mes frissons sont de retours. Je ne me laisse pas déconcentrer et je la fixe en écoutant. Bien sur, je baisse un peu les yeux au refrain du mal que j'ai pu lui faire. Et je dis dans un petit murmure " Je m'en veux assez pour deux de toute façon... " Je le relève, et je lui dépose un baiser furtif sur le nez avant de reprendre la parole " Oh, mais tu peux me dire une raison par jour? " Je lance un petit rire, et je sens ses doigts venir sur mes lèvres. Puis, parcours ma mâchoire en énumérant quelques raisons qui fait que la jolie rousse m'aime. Envouté par son regard, sa voix et ses gestes. Je ne bouges pas. Quand elle mordille le bout des doigts, je passes ma langue sur ma lèvre inférieur avant de libérer ma mimine de la sienne. J'avance mon visage, et je murmures a son oreille, d'une voix sensuelle " Tu vois, je pensais justement au fait que j'avais envie de parcourir ton corps.. " Je reviens pour jouer avec son regard du sien. Ma main descend de son épaule a sa main, la deuxième revenait sur la hanche en allant ensuite dans le bas de son dos doucement. Mes lèvres effleurent les siennes d'un sourire joueur....
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