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MAXWAN ∇ The powerfull can be powerless

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« T'es mignon dans le genre produit parfait du système. » Il ne le prend pas comme un reproche. A quoi bon ? Elle sait comment il est. Droit dans ses baskets, qui fait ce qu’il doit être fait, dit ce qu’il doit être dit. On ne change pas une éducation en un claquement de doigt. Il hausse les épaules, signe qu’il ne peut rien y changer. « T'es excité de vivre ? Tu ressens de l'adrénaline parfois ? Est-ce que des fois, tu te sens enivré d'une envie de tout envoyer valser ? Ou est-ce que tout est calme à Wayans town ? » Calme non. Si ca l’était il n’aurait pas envie de boire. Mais elle touche un autre point plus.. tabou. Il n’a pas de réponse. Elle le prend de court, à tel point qu’il n’a qu’un seul sourire forcé pour réponse.  Celui qui veut tout dire. Une manière d’admettre qu’elle a raison sans obliger les mots à sortir de la bouche. « J’en ai pas besoin. » C’est tout c’qu’il a. « Pas comme certaine qui provoque une folle avec un flingue. » Ca, c’est de l’autodéfense. Il retrouve les yeux adverses qu’il avait fuit deux secondes plus tôt. Retrouve l'équilibre qu'elle a chamboulé en deux questions. « Je parlais pas que de cette nuit, hein. » C’est pas une bonne idée dans ce monde, mais ça n’empêche pas le garçon d’être tenté. Pour la deuxième fois en quelques minutes, elle arrive à le surprendre. « Tu m’veux tout le temps ici ? Tu ne me supporteras pas une semaine. » Il décrédibilise la proposition pour qu’ils arrêtent avec ce sérieux. Les choses sérieuses ne sont pas leurs trucs. « Pire. Tu supporterais pas mes invités. »

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Comment, en ayant reçu la même éducation, on a pu suivre deux routes aussi différentes ? Les McAllister me rêveraient tellement comme toi. Mais un jour, j'sais que je vais tout perdre. Je vais prendre le contrôle de leur empire, et tout saboter, volontairement. Parce que j'ai toujours eu cet attrait pour les choses qui brûlent. C'est ce qui fait qu'on se complète. Que tu me dis stop et que je te bouscule, à tour de rôle. Que je le vois, quand j'ai touché là où ça pique un peu. Faut pas me montrer tes failles Antwan, tu sais que j'arrive pas à les oublier. J'le vois, que ton regard s'éloigne du mien, que tu te dérobes avec un : « J’en ai pas besoin. » qui me soutire un de ces sourires presque carnassier. Se recule un peu, y a pas besoin de plus. « Pas comme certaine qui provoque une folle avec un flingue. » J'arrive pas à réduire ce sourire malin. J'l'entends même pas cette défense, tellement elle sonne creux. Le timbre est presque enjôleur. « Oh que si t'en as besoin. T'as besoin d'adrénaline plus que n'importe qui, d'hurler, de faire n'importe quoi, d'avoir peur, de te faire submerger. » Sérieusement, est-ce qu'un jour t'as agis sur l'instinct, en mettant tout le reste de côté ? Est-ce qu'un jour t'as rangé ton costard propret dans le placard pour t'écorcher les genoux ? Hausse les épaules, revenant à la convention, trempant ses lèvres dans le champagne. « Ou alors je me trompe, et si tout s'arrêtait demain, t'aurais aucun regret. » Et j'fais la fille qui s'en fout. Alors que mon souffle s'épuise à essayer de faire s'embraser les quelques braises de folie qui se terrent dans ton calme. Je provoque plus que je propose. « Tu m’veux tout le temps ici ? Tu ne me supporteras pas une semaine. » Secoue la tête doucement, ca vaut pas comme excuse, ça. « Pire. Tu supporterais pas mes invités. » Peut-être une, et encore. « On a partagé une confrérie, c'est un peu comme partager un salon. » Je m'amuse de tout ça, parce que je sais que tu ne peux pas dire oui. Et finalement, c'est même pas ce que j'attends de toi. J'veux juste que t'en ai envie. « T'auras même une place dans le frigo pour ton caviar. » Qu'elle rajoute avec une pointe d'amusement. Laisse deux-trois secondes, posant ses billes sur lui. « C'est bon je plaisante, j'sais que tu peux pas. Puis tu pourrais pas résister à Agathe quand elle fait son yoga en soutif. » Comme ça, t'as même pas à être gêné de refuser. Géniale amie que je suis.


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Wayans ne s’était jamais posé cette question. Est-ce qu’il a vraiment besoin d’adrénaline comme elle le dit ? Honnêtement il n’en ressent pas le besoin. A force d’être dans son rôle de « produit parfait de la société », il a pris l’habitude de se priver de certaines choses. Il doit tout contrôler, alors lui demander de se faire submerger lui parait impossible. Lâcher prise toussa, c’est pas pour lui. Il a besoin de son équilibre. Celui qu’elle tente de déstabiliser depuis qu’ils sont gamins. Maxym sait qu’elle l’a touché. Elle sait aussi que jouer à la fille détachée va titiller un peu plus le garçon. « Qu’est-ce que tu me proposes alors ? J’dois faire quoi pour la ressentir cette adrénaline ? » Entre demander et exécuter il y a qu’un pas qu’Antwan ne se sent pas de franchir, mais il demande pour ravir son amie. Il boit une nouvelle gorgée comme pour se donner un peu de courage. Wayans essaye tant bien que mal d’éloigner le sérieux de la proposition de Maxym. Sauf qu’elle balaya l’argument du classique « tu m’supporteras pas » par le souvenir de leur confrérie commune.  Il rit doucement à la remarque de son amie. C’est pas à Agathe qu’il ne pourra pas résister. Il remercie Maxym de lui avoir donné un moyen de s’échapper. « Surtout elle. J’suis un adepte du torse nu, elle tiendra pas une semaine sans me sauter dessus. » lance t-il avec une assurance qui sonne faux. « Mais je viendrais vous tenir compagnie, promis. » Il pourra même dormir ici vu le nombre de chambre libre. C'est juste que rien ne sera officiel.

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Oh, Maxym sait très bien qu'elle se bat contre plus fort qu'elle. Antwan, c'est perdu d'avance. Pour tout d'ailleurs. C'est juste que c'est dans son caractère, de taillader encore alors qu'elle est à terre, voyez. Pour le principe de ne jamais abandonner. Pourtant, on voit que la demoiselle se résigne peu à peu. « Qu’est-ce que tu me proposes alors ? J’dois faire quoi pour la ressentir cette adrénaline ? » Un petit sourire se souligne sur ses lèvres qui sortent du verre. « Pourquoi ? Pour que tu vois ce que tu perds ? On sait tous les deux que t'es coincé dans ta petite cage dorée. » Hausse les épaules. J'te dirais bien d'aller voler un truc, de te balancer seulement tenu par un élastique d'un pont, de m'embrasser, mais on sait tous les deux que t'es pas foutu de le faire. « Enfin, si t'es heureux c'est le principal. On a pas tous besoin de la même chose. » A se demander ce qui nous a réunit un jour. A mieux comprendre ce qui nous sépare souvent. Ce qui fera que jamais, on aura nos noms l'un à côté de l'autre sur une boite aux lettres. Parce que j'suis pas naive, et que cette proposition n'en était pas vraiment une. Peut-être juste un moyen de me montrer où s'arrête notre amitié, une amitié qui me pousse à t'ouvrir une porte comme échappatoire. Que tu prends sans sourciller, évidemment.  « Surtout elle. J’suis un adepte du torse nu, elle tiendra pas une semaine sans me sauter dessus. » Un sourire amusé, léger. « C'est sûr, c'est un trop grand risque à prendre. » Auquel on ne croit pas, aucun des deux. «Mais je viendrais vous tenir compagnie, promis. » Ne me prends pas pour une enfant qu'il ne faut pas vexer, surtout pas. Finit sa coupe, qui cherche à se remplir de nouveau en tendant le verre vide vers Antwan. « Mais rien de trop ébruité, quoi. » Qu'elle balance à voix basse, le regard sur le champagne, plus comme une ironie faite à elle-même. Ses billes vont sur lui à nouveau. « Si on avait pas.. ce passif, t'aurais dit oui ? » Ouais, j'aime bien me faire du mal un peu. « Vous allez pas tarder à habiter ensemble avec Lizie de toute façon, je suppose. Tu devrais lui demander, ça lui ferait plaisir. » Me faire du mal donc, je disais. D'ailleurs je me sers moi-même tiens, ça ira plus vite.

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« Pourquoi ? Pour que tu vois ce que tu perds ? On sait tous les deux que t'es coincé dans ta petite cage dorée. » Ils savent qu’il ne fera rien. C’est à se demander pourquoi ils en parlent encore. « Enfin, si t'es heureux c'est le principal. On a pas tous besoin de la même chose. » C’est toujours la même technique. Lui dire qu’il est heureux de cette manière, qu’il n’a aucun regret pour qu’il se remette en question. Au final, ca n’aboutit jamais à rien. Elle l’a bien vu, mais elle continue. Finalement, c’est ça le carburant de leur amitié. « Y a des choses que j’ai pas envie de faire c’est tout. » Il déteste devoir se justifier d’être lui-même. « Mais allez faisons un truc à sensation la semaine prochaine, tant que je ne risque pas de mourir ou d’aller en prison. » C'est juste pour qu'elle soit contente. Les sensations fortes, c’est tout c’qu’il s’accorde à faire.  Son sourire s’efface progressivement quand elle lui parle des raisons de son refus. A cause de leur passif dit elle. Il a presque envie d’en rire. De quel passif tu parles McAllister ? Il n’y a jamais rien eu entre eux, si ce n’est ce baiser au Housing Day. Baiser qui ne signifiait rien vu qu’il n’a jamais eu de suite. C’était une belle claque dans la gueule de l’eliot. Voilà une raison qui le pousse à rester dans sa cage dorée : ne pas être vulnérable. Car il l’était longtemps après avoir admis ses sentiments. Jusqu’à c’qu’il retrouve une stabilité qu’elle continue de bousculer. Encore. Toujours. Son sourire a totalement disparu lorsqu’elle parle d’Elizabeth. « De notre passif ? » Répète-t-il accompagné d'un rire nerveux. « Tu veux dire quand j't'ais dis que je t'aimais et que t'es partie ? » De bons souvenirs. Et hop, c'est lui qui reprend la bouteille et qui s'en sert rapidement. « Ouais c'est pour ça. »
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Obstinée, trop. McAllister n'en fait qu'à sa tête, c'est une constante. Même quand on ne bouge pas, elle bouscule, jusqu'à s’abîmer elle-même. C'est presque ridicule, avec du recul. Surtout qu'Antwan n'est pas du genre à changer, juste parce qu'autrui le veut. Maxym est comme ça aussi. Et ils tournent en rond, à s'éloigner pour mieux se rejoindre. « Y a des choses que j’ai pas envie de faire c’est tout. » Un sourire automatique se forge sur ses lèvres, sans vraiment de profondeur. « Mais allez faisons un truc à sensation la semaine prochaine, tant que je ne risque pas de mourir ou d’aller en prison. » J'crois que c'est ce qui nous a toujours éloigné. Moi, j'ai pas spécialement peur de mourir, ou de l'illégalité, j'me crois invincible. Avec Ricardo, on avait ça en commun. Lui peut-être même plus que moi.  A ce point que j'ai presque oublié que d'autres mentalités existaient, que j'avais pas le droit d'imposer mon monde aux autres. « Y a une course de voitures mardi prochain. » Petit sourire en coin amusé ; dangereux et illégal, tout ce que tu m'as demandé. J'écoute rien, j'te dis.« Ca va j'rigole, on ira faire un grand huit. » Taquine, jusqu'à ce que toute trace de mimique heureuse disparaisse de son visage. J'sais pas trop comment ça peut dériver à ce point. Comment on fait pour toujours se casser la gueule à un moment donné ? « De notre passif ? » De.. ouais, tu veux que j'dise ça comment ? De ça. Bordel, j'dois dire quel mot ? J'ai pas mieux. « Tu veux dire quand j't'ais dis que je t'aimais et que t'es partie ? » L'inspiration se fait brûlante, brusque, les doigts se crispent sur le verre. Elle se redresse un peu, comme réveillée de plus d'un an de torpeur. « Ouais c'est pour ça. » Ouvre les lèvres, les referme. Rassemble son esprit, ses mots qui veulent sortir alors que Maxym les interdit de passer. « Pas aimais. Que tu m'avais aimé. La conjugaison, c'est important dans ce cas là. » Qu'elle siffle à voix basse. « J'suis partie parce qu'on s'était embrassé, que j'avais ressentis quelque-chose, et que tu m'as balancé que t'avais eu des sentiments pour moi. Ca m'a fait flipper. CA M'A FAIT FLIPPER D'ACCORD ? » La voix porte, comme une espèce de colère qu'elle n'a jamais pu exprimer. Parce que j'crois que je te l'ai pas dis, vraiment je veux dire. Clairement. Puis, à quoi ça servait que j'te le dise, alors que j'avais déjà perdu par KO ? En deux gorgées qui vide la coupe. Le verre se retrouve sur la table, posée par la brute. « Et j'ai essayé, j't'ai demandé.. mais toi t'étais déjà passé à autre-chose. Tu me l'as imposé sans te demander si ça me ferait quelque-chose. » M'étalant ton bonheur devant la face alors que tu voyais que je me décomposais. Tu m'as pas laissé le temps d'avoir peur, pas une seconde. « J'suis partie d'accord, mais j'suis revenue et toi t'étais plus là. » Alors j'me suis dis que j'avais aussi le droit d'être heureuse. « J'vais nous chercher à manger. » Qu'elle balance vite en se levant dans un sursaut, passant devant lui pour s’engouffrer dans la cuisine.
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« Y a une course de voitures mardi prochain. » Superbe proposition. Il n’y a pas pire comme idée ? « Ca va j'rigole, on ira faire un grand huit. » Woo, l’adrénaline va être forte. Ca va être dingue. « Deal. » Il s’en sort bien. Très bien même. Ca lui étire un large sourire qui finit par disparaître quand Maxym se lève. Il a dit la chose qui ne fallait pas. « Pas aimais. Que tu m'avais aimé. La conjugaison, c'est important dans ce cas là. » Nan, c’est pas important. Parce qu’il l’aimait toujours. Que son cœur lui appartenait encore surtout après l’avoir embrassé. La conjugaison était là pour qu’il puisse se protéger, pour qu’il ne soit pas totalement nu devant elle. « J'suis partie parce qu'on s'était embrassé, que j'avais ressentis quelque-chose, et que tu m'as balancé que t'avais eu des sentiments pour moi. Ca m'a fait flipper. CA M'A FAIT FLIPPER D'ACCORD ? » Elle a ressentit quelque chose pour lui. Ca n’adoucit pas Antwan qui sent la colère grandir en lui. Une colère due à de la frustration. « Et j'ai essayé, j't'ai demandé.. mais toi t'étais déjà passé à autre-chose. Tu me l'as imposé sans te demander si ça me ferait quelque-chose. » Alors il devait attendre qu’elle daigne revenir vers lui. Il devait passer sa vie à esperer qu’elle se trouve un jour des sentiments pour lui ? Pour la première fois depuis des années, il avait trouvé quelqu’un d’autre qui le rendait heureux. « J'suis partie d'accord, mais j'suis revenue et toi t'étais plus là. » Qu’est-ce que ca signifie ? « J'vais nous chercher à manger. » Quoi ? Non. Antwan se lève pour la rejoindre dans la cuisine. A lui de parler. « Donc j'devais attendre que TOI tu te décides à revenir. » Pourquoi est-ce qu'elle ne lui a pas dit. « Elizabeth ne signifiait rien au début, c'était toi. » Ca l'a été pendant toutes ses années. Les sentiments ne s'effacent pas au bon vouloir de quelqu'un. « J't'aimais toujours. » Son ton se fait plus fort. C'est toujours aussi dur de l'admettre.
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« Deal. » Je choisis une chose ridicule que tu ne peux pas refuser. J'évaluerai plus tard si t'es capable de plus. Puis on aura qu'à se faire attacher les pieds ensemble sur un pont, ou se balancer d'un hélicoptère. Ou se balancer des vérités qu'on a pas envie d'entendre. Voilà, c'est ça. T'vois, c'est ça de vivre. Et c'est bizarre, parce que pour une fois j'en ai aucune envie. Apprends-moi à rester froide, à ne pas déborder. Je fuis pour te fuir toi, et ce que t'as à répondre. Me fuir moi et mon cœur qui parle à ma place. Les mains qui s'appuient sur le bar, le regard qui fixe le marbre, la respiration qui se saccade. J'me noie là-dedans. J'dois me forcer à ne pas garder une distance infinie entre nous quand tu te rapproches. « Donc j'devais attendre que TOI tu te décides à revenir. » Oui. Oui, c'est comme ça que ça devait se passer, parce que j'suis pas le genre de fille à qui on peut pas parler de sentiments sans qu'elle ai peur. « Elizabeth ne signifiait rien au début, c'était toi. » Ferme ses paupières, encaisse. Allez Maxym, ne manquait plus que ça. Puis on s'en fout que tu tapes sur le sol, que tu sortes le drapeau blanc. Y a pas d'abandon dans la vie. « J't'aimais toujours. » Ferme plus fort ses paupières, allez, jusqu'à ce que ça fasse mal, tu vas les fendre. « Tu mens. » J'aimerais, à ce moment. J'ai espéré que tu le dises, pour me dire que j'étais pas si oubliable que ça. Mais en fait, maintenant que ça raisonne dans l'esprit et que ça secoue mon battant, j'veux plus jamais l'entendre. « Retire ça. » C'est un murmure de menace, et ses billes s'ouvrent sur lui, légèrement rougies. Plus foncées. « T'as pas le droit de me dire ça alors que.. vous veniez, toi et elle.. je venais de l'apprendre et... tu m'as dis que t'étais heureux. » J'suffoque, j'sors des bouts de phrases au fil de mes errances. Et tu savais quand tu me l'as dis ; tu savais ce que ça voulait dire pour moi. « Alors ne me dit pas qu'elle ne signifiait rien, parce qu'elle signifiait déjà plus que moi. » J'ai essayé de t'atteindre là-bas, à ma manière. Peut-être pas assez fort, peut-être pas de la bonne manière. Mais j'ai essayé. Trop tard, surement. 
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Il essaye d'expulser sa douleur au ventre, mais il n'y arrive pas. Il ne controle plus ses émotions. « Tu mens. » C'est déjà assez dur de l'admettre. Il ne s'infligerait pas cette peine si ce n'était pas le cas. « Retire ça. » C'est trop tard Maxym. Y a une partie de toi qui le sait, il en est convaincu. Antwan reste là, face à elle alors qu'il ferait mieux de s'en aller loin de tout ça. « T'as pas le droit de me dire ça alors que.. vous veniez, toi et elle.. je venais de l'apprendre et... tu m'as dis que t'étais heureux. » Oui. C'est vrai. Il se souvient surtout qu'elle ne lui avait rien dit à propos du Housing Day. Pas un mot. Alors qu'est-ce qu'il devait en conclure ? Surtout que le comportement de l'ancienne eliot en disait long sur son envie de partir. Elle ne voulait pas rester seule avec lui. Wayans a pris son attitude dans le mauvais sens, il le comprend un an après. « Alors ne me dit pas qu'elle ne signifiait rien, parce qu'elle signifiait déjà plus que moi. » Il aurait laissé Elizabeth pour Maxym. La question ne se posait même pas. Quand on affronte des sentiments qui datent de plusieurs années au début d'une relation amoureuse, le gagnant est évident. Ca le tue de la voir dans cet état. De voir à quel point elle se torture pour croiser son regard. Il balance sa tête de droite à gauche. Doucement. « Non. »  Il est désolé de le dire. Antwan n'ajoute rien jugeant qu'elle ne pourra pas encaisser une nouvelle remarque de sa part. Il devrait s'en aller et la laisser seule. Pourtant il n'en ressent pas l'envie. Il veut être près d'elle, plus que jamais. S'approcher. C'est ce qu'il fait instinctivement. Il commence à contourner le bar derrière lequel la brune s'est réfugiée. Et maintenant Wayans ? Rien. Il ne fait rien, sauf rester à proximité.
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Pourquoi on s'inflige ça ? Pourquoi tu m'infliges ça ? Parce que pour toi, Antwan, c'est pas si grave. C'est que du passé, t'as remplacé des cases par d'autres cases, une brune par une rousse. Y a tout qui a l'air de s’emboîter si bien dans ta vie, je sais pas comment tu fais. Je jalouse ce talent que t'as d'évoluer sans te faire hanter. J'ai pas réussi. Et j'peux même pas te reprocher de pas l'avoir vu, quand ma jalousie s'aiguisait de la plus primitive des façons, parce que j'le voyais pas vraiment non plus. Et j'peux même pas regretter, parce que ça effacerait cette quiétude que j'ai vécu auprès du vert pendant des mois. Pourtant, y a des nœuds qui se forment, dans l'estomac, dans le cœur, dans la gorge. J'aimais pas notre passé, mais j'aime encore moins celui-la. J'sais même pas comment j'vais réussir à avancer avec ça. « Non. » Trois lettres, ça peut vous broyer de l'intérieur. Maxym lui balancerait bien le premier objet qui passe, écraserait bien ses phalanges sur son torse, en lui hurlant qu'il aurait dû lui dire. Il n'y aurait fallu qu'une faille pour qu'elle s'y engouffre. Une faille, et on en serait pas là. T'aurais dû.. Comprendre, attendre, voir, l'aimer plus, plus longtemps. Mais c'est l'énergie qui semble avoir quitté le corps immobile de la poupée. Son seul mouvement vient de ses doigts, qui griffent légèrement le marbre, comme s'ils cherchaient à se raccrocher à quelque-chose. Elle le regarde sans vraiment le voir, restant fixée à un emplacement maintenant vide de ta présence, toi qui te déplace, mettant le peu de force qui reste à juste ne pas s'effondrer. Ses épaules se soulèvent à peine, tandis qu'un sourire se forme. L'ironie de la situation fait sourire. Ses épaules tracent un « tant pis » que ses lèvres n'arrivent pas à sortir. Ouais, tant pis, dans une autre vie peut-être qu'on aurait su s'accorder.
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