Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDoliprane et Ibuprofènes, les meilleurs amis. (dean) - Page 3
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Doliprane et Ibuprofènes, les meilleurs amis. (dean)

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Pourquoi tout ne pouvait pas être comme maintenant ? Simple, sans prise de tête ? Je me demandais si le jour ou on aura mis les cartes sur table, ce sera pareil ? Si, nos jeux seront toujours les mêmes, Si nos enfantillages resteront intacts et si, il sera toujours pareil. Je ne voulais pas perdre cette complicité, cette chose qui nous unissait et qui me faisait tellement plaisir. Bon les passages sous la douche était assez... exclusifs, je ne supportais pas prendre ma douche avec quelqu'un, pour moi la douche était assez sacrée c'était ici que je pouvais réfléchir. Penser à ma peinture, à mes cours, à ma vie. Oui, je faisais beaucoup de choses super inintéressante dans ma vie et je pensais que cela me ferait du bien. La petite insulte qui fuse, et qui me fait rire, semble le faire rire aussi et évidemment, il ne prend pas au sérieux ma petite menace ce qui me fait automatiquement levé les yeux au ciel et sa provocation est terriblement amusante « Je ne sais pas, je verrais bien et tu verras bien... » Je le fixais avec un sourire en coin. Je n'allais pas le frapper, non je ne supporterais de lui faire du mal, je lui en avais déjà bien assez fait, en abîmant son mobilier, en lui disant des mots que je ne pensais pas. Mais même si mes insultes envers sa chose l'avait blessé, alors non, je ne m'excuserais pas. Pas le moins du monde, à moins de me brûler la langue, la bouche et encore. Même sous la torture je ne m'excuserais pas. La niaiserie de retour, je lui dis que je ne supporterais pas de lui faire autant de mal parce qu'il me manquerait bien trop et que je ne supporterais pas, que je ne supporterais plus de vivre sans lui. Sa réponse me touchait tellement, je souriais doucement, pas tellement habituée, je ne savais pas vraiment quoi lui répondre, de peur qu'il prenne peur, qu'il le prenne ou je ne savais quoi encore. Je me contentais de rougir avant de rajouter d'une petite voix « J'aurais aimer y être aussi... » Oui et ça, il le savait. Il était au courant de tout cela. Et je voulais qu'il le sache encore et encore. Mais la niaiserie, ça va bien cinq minutes. J'attaque alors, au moment il s'y attend le moins, laissant parcourir mes doigts sur son torse. Je sais que c'est l'un de ses points faibles et je suis tellement fière d'attaquer avant qu'il ne le fasse. Mais monsieur, maître de la provocation revient à l'attaque et je répond aussi rapidement que possible, je lui annonce que je suis au courant des regards, des gestes, des réactions. Et tout ce qu'il trouve à répondre c'est qu'il est désolé ? Vraiment ? Il est désolé ? Puis qu'il le ravale son rictus aussi la ! « T'es désolé ? Je ne te pensais pas comme ça, plus du genre à assumer. » Je lui tire la langue avant d'écouter son excuse du téléphone. Pff. Pathé-tique. Je ris doucement avant de répondre « L'excuse du téléphone, on me l'a déjà faites tu sais... Tu me déçois Dean. C'est pas beau de ne pas assumer... » Et je ne me gêne pas pour le reluquer à mon tour, avant de me regarder dans le miroir, passant mes mains sur mon visage. J'avais vraiment une mine affreuse. Je repassais devant lui en serviette, et je retournais vers la machine à café pour m'en faire couler un. Je m'installais une nouvelle fois sur le comptoir. Uniquement vêtue de cette serviette. Je parlais assez haut pour qu'il puisse m'entendre « Je me fais un café et j'y vais ! Je songe à sortir en serviette et à appeler un taxi comme ça... » Je voulais avoir sa réaction. Je voulais qu'il me dise ce qu'il pense.
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Je peux affirmer que j'ai, avec la présidente, la plus belle relation parmi toutes celles que j'ai. Oui, il y a eu l’ambiguïté, et d'ailleurs nous pouvons nous apercevoir qu'il y a toujours une pointe de cette dernière. Mais a coté de cela, je me sens bien. Je me sens moi même et je ne me retiens pas pour avoir des coups de folies. En plus, ça a tendance a la faire rire. Bon, elle rigole pour ensuite s'en prendre a moi de toutes les manières possibles. Je ne suis pas du genre a me laisser faire, je répond par quelques actions toujours plus vache. A la menace d'une autre, je reçois un avertissement, comme ci elle serait capable de me frapper. Je sais bien que non, alors je me permets de faire un petit sourire amusé pour finir en bougeant ma tête de bas en haut. Non, je ne reprenais pas la parole, j'attendais de voir!
Et ce que je trouves hallucinant entre nous, c'est qu'ont peut passer du rire a des confessions sincères et mignonnes. Je venais de lâcher des choses touchantes, et je voyais bien ses joues qui rougissaient. Je suis complètement fan! J'ai envie de lui croquer tellement c'est choupinou. Et puis, sa petite voix derrière qui me donne un sourire tendre.     " La prochaine fois, si il y en a une. Je t'embarques avec moi! "     C'est sincère. Si je devais m'absenter encore autant de temps, je l'inviterais. Je ne peux pas savoir si la présidente pourra se rendre disponible. Si jamais elle le peut, je crois que ça risquerait de devenir un voyage intéressant. Avec d'autres douches dans ce genre!
Je ne sais pas où nous voulons en arriver en jouant et en se provoquant de cette manière. Pour ma part, j'ai une petite idée, mais d'un coté je me dis que ce ne serait pas très bien. Parce que je suis célibataire depuis peu, et que je ne voudrais pas que la rouquine se sente utilisée.     " Ah non, j'assume totalement... Le fait que ce soit mon téléphone quoi! "    Je ne lâchais pas l'affaire, et je gardais ce rictus sur mes lèvres. Mais quand mon ancienne amante m'indique que ce n'est pas beau de prendre cette excuse, je soupires comme pour annoncer que je vais dire la vérité. Et, avant de me retourner, je dis rapidement    " J'y suis pour rien si tu as cet effet sur moi. "    Et je pars, lâchant la serviette au passage, en direction de ma chambre. Une fois dedans, j'enfile un boxer, et un jean noir. Je reste torse et pieds nus. Je reviens dans la salle de bain, mais Solveig n'y est plus. Je me parfumes, petit coupe de déodorant ainsi qu'un passage de mains dans mes cheveux pour tenter de coiffer un peu tout ça. Je me souriais tout seul, et a l'entente de sa phrase, il s'efface. D'un pas rapide, je débarques dans la cuisine, et je la regarde sur le plan de travail. Je fronce les sourcils et je m'approche d'elle    " Euuuuh nan. "    Je croises les bras    " Tu ne sors pas en serviette.... Et puis, pourquoi tu veux partir? "    Bah oui, elle n'est pas bien ici? Et la, je ne peux retenir   " J'ai pas envie que les gens te matent... Enfin te voient comme ça. "
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Je ne voulais perdre Dean pour rien au monde, non ce n'était pas concevable, pas imaginable, pas rien du tout. Je m'étais prise à imaginer ce qu'aurait été ma soirée et surtout ma matinée si jamais je n'étais pas rentré avec lui hier soir. Est-ce qu'il aurait pris de mes nouvelles ce matin ? Peut-être, peut-être pas. Est-ce que j'aurais réussi à vaincre aussi vite ma gueule de bois que ce matin ? Certainement pas. Je serais probablement encore coucher si j'étais rentrée à la Cabot House après ma folle soirée d'hier soir. Mojito, Tequila tout y était passé et je m'en voulais. L'amour vache qu'il y avait entre nous deux était amusant, j'aimais bien qu'il ne se laisse pas faire et qu'il ne me ménage pas non plus. Je pense que ça pourrait donner des choses comiques quand même. Des choses assez cocasses. J'espérais qu'il s'imaginait ce que je pourrais lui faire si jamais il continuait. Et j'espérais qu'il s'imaginait des choses intéressantes. On parlait de manque, de choses assez sérieuses dans des situations assez marrantes, assez enfantines. Et ce qu'il me disait me faisait vraiment plaisir. Et j'espérais qu'il était sincère dans ses propos, je ne supporterais pas les mensonges. Je ne voulais pas qu'il me mente. Je voulais qu'il y ait de la sincérité entre nous « Oh oui prend moi dans ta valise ! » Après peut-être que j'aurais un empêchement sur le moment, que je ne pourrais pas aller avec lui mais je m'arrangerais forcément pour le rejoindre ne serait-ce qu'une soirée ou deux pour lui faire une surprise. Puis ses excuses me faisaient tellement rire que je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire remarquer avec un petit pique. Mais je ne le pensais pas, il ressentait ce qu'il voulait, son téléphone ou non, je n'avais pas été la pour vérifier, enfin si mais non. J'allais le tuer avec son rictus la, je vais lui faire manger. Vraiment. Quand je l'entend soupirer, je me demande si je suis allée trop loin, je me mordille la lèvre comme si j'étais honteuse et sa réponse me fige sur place. wait, what ? Je le suivais du regard alors qu'il partait, m'appuyant sur le lavabo assez fortement avant de partir dans la cuisine. Je ne m'attendais pas du tout à cette réponse et il fallait dire que cela me déstabilisait un peu. Je me faisais couler un café et je m'installais sur le plan de travail, la tasse chaude entre les mains, uniquement vêtue d'une serviette. Et lorsqu'il revenait dans la cuisine après ma petite annonce, j'étais persuadée que j'allais passer un sale quart d'heure. Je gardais un sourire assez fier sur le visage et je plongeais mon regard dans le sien quand il se rapprochait de moi « Bah je sais pas, tu as des trucs à faire non ? Parce que sinon, je te préviens, j'envahis ton appartement.. » Je faisais une tête très sérieuse en ouvrant doucement mes bras pour qu'il vienne se blottir dedans avant qu'il ne pique une petite crise de jalousie « Ne t'inquiète pas, personne ne me matera comme ça. Je remettrais mon jean et mon chemisier pour repartir. Si jamais je repars. » Si seulement il pouvait comprendre que non, je ne voulais pas partir, cela m'arrangerait.
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Je dois bien reconnaitre que j'ai conscience que la journée n'aurait pas aussi bien commencé si j'étais rentré seul hier soir. Je n'aurais pas eu le plaisir de me réveiller avec de la panique, pour ensuite terminer dans une douche a faire les enfants. C'était des actions, des paroles et des menaces. Et la sienne, je tentais de m'imaginer ce qu'elle pourrait bien me faire si je tenter de lui faire reprendre une douche froide. J'avais un petit sourire amusé, je me disais simplement qu'elle serait peut - être du genre a me bondir dessus en quittant le sol comme pour tenter de me faire tomber. Tenter, car vu son gabarie, je n'aurais aucun mal a la réceptionner. Ou alors des chatouilles? Je ne sais pas trop, mais avec Solveig je pourrais m'attendre a tout. Une action enfantine comme celles précédentes, ou un truc complétement fou. C'est tout ce qui nous anime et j'adore. En mélangeant a ça les instants où nous arrivons a être sérieux, comme maintenant. C'était une dérivation sur le manque, et notamment sur le fait de trouver le temps long quand nous sommes loin l'un de l'autre. Je proposais alors que pour ma prochaine escapade, elle m'accompagne. La rouquine rétorque directement qu'elle aimerait aller dans ma valise, et je sors un petit rire en la fixant avant de reprendre la parole    " Tu sais, je peux tout aussi bien te prendre un billet. Ce sera plus confortable. "     Pliée en quatre dans une valise, j'imagine la douleur et la galère du voyage. Mais j'étais content de voir a quel point ça enjoué la présidente. Et si jamais je n'ai aucune formation a venir, je pourrais toujours tenter d'organiser un petit week-end en sa compagnie. Je ne risquerais pas de m'ennuyer, et elle mérite amplement de se faire trainer quelque part pour passer du bon temps.
En parlant de bon temps, mon ancienne amante revenait sur le sujet d'hier soir, et un peu de ma façon de la mater sous la douche. J'espérais m'en sortir avec une excuse bidon, mais rien a faire. Elle n'est pas dupe. Je me sens alors dans l'obligation de lui dire la vérité, mais une fois la phrase finie, je pars rejoindre ma chambre pour enfiler un boxer et un jean. Une fois ma préparation finie, je l'entend de la cuisine. Solveig... Je vais te tuer si tu fais ça. Je débarques alors rapidement pour me positionner en face d'elle, en  montrant que non, je n'étais pas du tout d'accord. Les bras croisés, je fixe son regard du mien. A sa réflexion qui indique qu'elle va envahir mon appartement, j'étire mes lèvres pour sourire     " J'ai tellement de choses a faire. Comme lézarder dans mon canapé, me commander a manger et ne pas bouger. "    Je décroises mes bras, et je viens alors la prendre dans mes bras. Je fermes les yeux un instant dans notre étreinte et j'écoute ses paroles. Elle a retrouvé la raison, ça fait plaisir. Je me décolle un peu pour pouvoir venir remettre mes yeux dans les siens en laissant mes bras autour d'elle    " Ou alors... Je pourrais te prêter des vêtements confortable pour que tu restes avec moi. Si mon programme te tente! "    Bon après, je dis que je veux lézarder, mais nous pourrions tout aussi bien faire autre chose. Dean, franchement, faudrait que tu sois peut être plus clair et plus direct. C'est alors en souriant que je dis    " J'ai envie de passer la journée avec toi. "    Et un baiser furtif sur ses lèvres, avant que je tentes de me décoller d'elle pour m'enfuir dans mon logement.
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Un jour, on arriverait peut-être à se dire tout ce que l'on a sur le coeur, tout ce que l'on éprouve l'un pour l'autre, si jamais il éprouve quelque chose. Et tout ira pour le mieux, j'en suis persuadée, j'ai bien trop lu de romans à l'eau de rose je pense. Maisj 'étais persuadée que le jour ou tout deviendrait plus clair, ça ira mieux. Nous sommes déjà sur la voie de la réconciliation puisque notre relation semble être revenue au beau fixe, nos petites blagues, notre complicité le démontrant et j'étais tellement heureuse que je ne pouvais pas demander mieux. Et je savais, je sentais que ça continuerait encore et encore, jusqu'à atteindre un point de non-retour, et je ne savais pas ce qu'était le point de non-retour mais je savais qu'il ne me ferait pas peur. Que cela ne me ferait pas peur. Et quand il me proposait de m'emmener en voyage, j'avais l'impression que mon coeur allait exploser, de bonheur, de stress je n'en savais rien. J'avais peut-être peur de partir en voyage avec lui, parce qu'on pourrait faire ce que l'on fait d'habitude sans avoir besoin de se cacher, si jamais cela se produit. Je lui avoué qu'il me manquait, qu'il m'avait manqué et je savais qu'il me manquerait une fois que je ne serais plus avec lui et ce qu'il me disait me tirer un sourire franc, sincère. Je lui demandais alors de le prendre dans ma valise, parce que je ne voulais pas le forcer à me prendre, je lui faisais juste une proposition un peu déviée je l'avoue. Mais le fait qu'il me propose de me prendre un billet me donnait des envies d'ailleurs. Et j'espérais qu'il ait une nouvelle formation d'ici quelques temps pour que nous nous retrouvions tout dans des moments rien qu'à nous. Je m'y imaginais déjà et je me demandais si je n'allais pas un peu trop vite en besogne. Sauf que comme d'habitude, je cherche à prêcher le vrai du faux et je m'attire ce que je pourais considérer comme des ennuis, lui demandant de me dire la vérité. Je ne voulais pas qu'il prenne des excuses bidon.s, des excuses que tout le monde avait l'habitude de servir. Les excuses bidons qu'on servait aux pauvres filles et qui y croyaient. Moi, non, je n'y croyais pas. Quoique, j'aurais préféré ne pas entendre, je me fixais dans le miroir en face du lavabo, serrant le marbre de mes pauvres mains. Je ne savais pas ce que je ressentais. C'était assez étrange, un mélange de dégoût de moi-même de le chercher et un mélange d'une sorte de tristesse incompréhensible. Mais qu'importe, je me dirigeais jusque la cuisine pour le cherche une seule et dernière fois, une unique fois. Lorsque je pousse le bouchon trop loin, je le vois revenir, passablement énervé, dans la cuisine. Je l'écoute parler et après lui avoir répondu, j'ouvre mes bras pour qu'il vienne se nicher dedans, pour le sentir contre moi mais avant cela, je lui annonce que je veux envahir son appartement, que si je pouvais le faire, je le ferais. Et je lève les yeux au ciel en riant “Si ton frigo n'est pas vide, je cuisinerais...” Oui, encore une façon de le chouchouter, mais il le méritait. Je caresse doucement son dos, quand il est blotti dans mes bras et je dépose mes lèvres sur son épaule nue avant d'entourer sa taille de mes bras tandis qu'il me proposait des vêtements pour que je participeà son programme qui semblait tout de même être super intéressant. Je faisais mine de réfléchir, gardant mon regard dans le sien avant d'entendre ce qu'il me disait. Je n'avais pas le temps de répondre qu'il s'enfuyait. Je vidais alors ma tasse d'une traite. Je replacais ma serviette pour que les voisins ne se rincent pas l'oeil et je caressais doucement mes lèvres qu'il venait d'embrasser avant de courir dans son appartement, à pas feutrés pour qu'il ne m'entende pas et je le prenais dans mes bras, entourant sa taille de mes bras et posant ma tête contre ses omoplates “Alors passons la journée ensemble. Dans un jogging trop large pour moi, dans tes bras, contre toi, je m'en fous. Tant que je suis avec toi.” Et je me pointais doucement contre lui, me plaçant sur la pointe des pieds pour l'embrasser doucement. Je lui ouvrais un peu plus mon coeur, mais j'étais persuadée que c'était pour la bonne occasion.
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C'était étrange. De se dire que notre complicité était revenue comme ça d'un coup. A croire qu'au final, elle n'était jamais partie. Et d'un coté, ça me soulage. Parce que je peux affirmer que Solveig est la seule personne que je ne voudrais pas perdre. J'avais bien eu peur le soir où j'avais avoué que j'avais choisi Sally. Franchement, qu'est ce qu'il s'est passé dans ma tête? Je ne suis pas du genre a regretter, mais la c'était quasiment ce qu'il se passait. J'étais trop bien avec elle, il y avait un truc inexplicable. Ou que je ne voulais pas m'expliquer, j'en sais trop rien. Après, je faisais certainement des rapprochements notamment en parlant d'un futur voyage. Si c'est possible, il est obligatoire que j'embarque la présidente avec moi. Le temps est long sans elle, et je ne supportes pas la distance. C'est bien pour cela que je ne laisserais personne nous séparer. C'était mignon de se confier. Et quand elle disait se foutre dans une valise, j'affiche directement que je lui prendrais un billet. Et je remarques bien sa petite bouille joyeuse. Je l'étais aussi. Je m'imaginais déjà partir a l'aventure en sa compagnie. Peu importe l'endroit, je sais que nous allons facilement s'adapter, et se créer des tonnes de souvenirs. Je me voyais déjà préparer l'appareil photo pour immortaliser les moments, et surtout pour avoir des clichés de mon ancienne amante. Franchement, j'ai envie d'aller réserver un séjour. Genre, pour partir dans les prochains jours. Mais non, je ne pouvais pas pour le moment car j'étais trop occupé a devoir dire la vérité sur quelque chose qu'il s'est passé hier soir. Je tentais de fuir, mais Solveig sait trop y faire. Alors je dis effectivement la vraie raison, et je m’éclipse. J'ignorais sa réaction, et je tentais de ne pas trop y penser en m'habillant.
Quelques instants plus tard, paroles malheureuses. Je cours jusqu'à la cuisine pour me présenter devant elle et afficher clairement que je n'étais pas d'accord. Je suis jaloux oui, si c'est ce qu'elle voulait vérifier c'est réussi. Je ne pouvais pas jouer le mec énerver car je me retrouves rapidement contre elle pour une étreinte.     " Je ne sais pas trop ce qu'il y a dedans. On regardera ça! "    Disons que la dernière fois que je devais manger un de ces plats, bah... C'était parti en live alors je n'ai pas touché a mon assiette malheureusement. Nous rattraperons cela! Sauf que je n'avais aucune envie de bouger, surtout en sentant ses mains dans mon dos et ses lèvres sur mon épaule. Poussé dans l'élan de tendresse, je proposes des solutions pour qu'elle reste avec moi. Et, je me dis qu'il faudrait être clair. Je prends la parole encore une fois pour lui indiquer mes envies, je l'embrasse rapidement et, je me décolle pour marcher vers le salon. Pas par peur... Ou quoi que. Je n'osais pas me retourner, et j'aurais peut être du. Car d'un seul coup, son corps vient se percuter au mien en s'accrochant. Par un réflexe, mes mains se posent sur ses bras et je sors un petit rire. Qui se transforme automatiquement en un sourire a l'entente de ses paroles    " Que toi et moi. Ont verrouillent la porte, nous éteignons nos téléphones et laissons le monde extérieur se débrouiller sans nous! "     Je tournes un peu le visage pour apercevoir le sien, mais elle me rend la tâche plus simple en venant en face de moi. Je la fixe alors, et je peux la voir grandir. Ses lèvres se posent doucement sur les miennes. Et mon coeur manque un battement pendant que mes yeux se ferment. Une main se glisse dans son dos, et l'autre se pose sur sa joue pendant que je prolonges. Et dire que j'ai faillit me priver de ça... Quel idiot. Et justement, dans ma tête revenait le moment où j'avais dit a la jolie rousse de ne pas recommencer quand elle m'avait embrassé. Ma bouche sourit contre la sienne, et je les décollent pour dire dans un murmure    " Recommence quand tu veux. "
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Je ne voulais pas aller trop vite, me dire que ça y'est tout était redevenu comme avant. Parce que j'avais juste peur d'être déçue. De forger mes espoirs sur des choses futiles, et que je sente une nouvelle fois mon coeur qui se brise, parce que j'ai encore imaginé trop de choses qui ne sont rien. Mais il fallait bien que je m'avoue, que je me rende à l'évidence que j'aimais la présence de Dean dans ma vie, qu'il avait cette façon d'être, cette façon de parler, de dire les choses qui faisaient que je le lui faisais amplement confiance et que je savais pertinemment que cette confiance n'allait pas être entâchée. Lorsqu'il me parlait de voyage, bon dans un cadre professionnel pour lui, je me demandais s'il savait à quel point j'aimais voyager. Si j'avais pu, j'aurais fait le tour du monde. J'avais toujours rêver de faire le tour du monde, voyager sans me soucier de la technologie, avec seulement mon appareil photo, sans internet, sans Cambridge Secret's sans rien. Peut-être qu'un jour, en ayant marre, je le ferais mais ce n'est pas sûr du tout. Et puis je venais tout de même de lui avouer que le temps était long sans lui, et je me prenais à l'imaginer avec un sac à dos énorme, et son petit chapeau d'explorateur et il fallait dire que même dans une situation pareille, je le trouvais assez mignon. Enfin je l'imaginais. J'étais assez heureuse quand il me faisait cette proposition et j'espère qu'il s'en rendait compte, qu'il se rendait compte du plaisir qu'il me procurait sans même le savoir. Enfin, j'imagine bien ma tête, la tête de niaiseuse que je dois avoir et je suis assez heureuse de cela, de savoir qu'il peut voir ce que je ressens pour lui, sans avoir besoin de mettre un mot dessus. Et ça c'était parfait. Enfin je ne pouvais pas cacher mes émotions à cause de cela, étant donné que j'avais un visage assez expressif mais qu'importe. M'enfin j'avais peut-être un visage expressif mais quand je voulais savoir quelque chose, s'il ne me disait pas la vérité, je tentais tout de même de le savoir et je me sentais un peu mal de faire cela. Et je cherchais, mais quand je trouvais j'étais dans un état assez... étrange. Bien fait pour toi Blackbird. Au fond de moi, je ne savais pas si j'étais mal d'avoir fait des pieds et des mains pour savoir, ou alors si c'était parce qu'il avait fui comme un voleur après m'avoir dit la vérité, comme s'il avait honte. Non, je ne pouvais pas penser ça. Il ne pouvait pas avoir honte. N'ayant visiblement pas été rasasié ou calmée, je continuais mes conneries en attisant sa jalousie, le provoquant sur le fait que j'allais repartir en serviette de chez lui, n'ayant aucune affaire. Il avait la réaction que j'escomptais, et je le vis revenir comme une fléche. Je tentais de le calmer comme je le faisais habituellement en le prenant dans mes bras. Je lui propose aussi de faire la cuisine, et sa réponse me fait rire, évidemment qu'il n'allait pas dire non. Et j'espérais qu'il ait quelque chose dans son frigidaire “Ou alors... pizza !” Oui je n'étais pas contre une pizza en vérité. J'avais envie de gras, symptôme de la gueule de bois. Je mangeais beaucoup trop après avoir beaucoup trop bu. Et ça se ressentait aujourd'hui. Et il fuyait encore, dans le salon cette fois, après une nouvelle révélation. Je ne pouvais pas le laisser sans rien faire. Je serrais les dents et je me collais contre lui en quelques secondes. Je peux entendre qu'il sourit vu le ton qu'il a prit et je souris à mon tour, fermant les yeux pendant une seconde avant de répondre “Mon téléphone n'a plus de batteries de toutes façons... Et je m'en contre-fiche. Juste toi et moi.” puis je me pointais devant lui pour l'embrasser. Je n'avais plus peur de le faire, je n'avais plus envie de me dire que ce n'était pas bien, qu'il ne fallait pas. Non, je l'embrassais tendrement, furtivement, légèrement. Je fermais les yeux au contact de sa main sur ma joue et je le laissais prolonger le baiser avant de sourire quand il se recule pour prononcer un murmure que je ne manquerais pas de garder en mémoire. Je ne répondais rien et me hâtais d'aller dans sa chambre, abandonnant ma serviette en plein milieu du salon, j'attrapais en fouillant un peu dans ses tiroirs un jogging qui était bien trop large pour moi, et un tee-shirt. Coiffant mes cheveux d'un chignon rapide, je le rejoignais dans le salon et je me rapprochais de lui “Je suis prête pour une journée farniente.” Un sourire, un baiser furtif et je me blottissais tendrement contre lui, fermant les yeux. Et les gueules de bois, j'en voudrais des comme ça tout le jours.
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C'était naturel entre nous. Il n'était pas toujours utile de parler pour se faire comprendre, et j'appréciais énormément ce lien fusionnel. Et je me mettais doucement a rêver a une escapade avec elle. Partir a l'aventure en laissant le monde derrière nous. Ce serait trop bien de se faire un genre de road trip, du camping sauvage, des randonnées,... Je ne sais pas pourquoi, mais j'imagine assez bien Solveig comme la professionnelle du feu et de la débrouille. Je n'en serais pas a mon coup d'essai, mais je pense qu'il était possible d'être étonné. La présidente est du genre mystérieuse et remplie de surprises. D'autant plus quand elle fait tout pour me faire avouer. Hier soir, nous dansions collés serrés, et il est vrai qu'à partir du moment où je l'avais foutue de dos contre mon torse, bah.... Pas besoin de forcément faire un dessin. Je n'étais pas parti par honte, mais simplement par peur de sa réaction. Mais vite rappelé a l'ordre quand la rouquine titille un peu trop ma jalousie. Je déboules affichant mon point de vue, et mon sentiment face a ses paroles. Mais me connaissant, elle ouvre ses bras pour que je ne sois pas trop en colère ou furieux. Dedans, nous en venons à parler d'un éventuel repas pour passer le reste de la journée ensemble. Au départ, la présidente se dit capable de cuisiner, mais voilà qu'elle désire une pizza. Je lance un petit rire avant de lui dire    " Va pour la pizza! "    J'adore les pizzas. Et je peux me permettre de me goinfre étant donné les heures de sports que je pratiques.
Me sentant bien, j'en viens a lui avouer clairement que je voulais réellement rester avec elle ici, je déposes mes lèvres sur les siennes rapidement, et je pars dans le salon. Je ne m'attendais pas a ce qu'elle vienne me rejoindre, mais si. Et j'adorais sa façon de faire en venant se blottir contre mon dos.    " Ah bah tu vois, même ton téléphone il est d'accord! "    J'affiche une mine amusée, et je la retrouves face a moi. Nous nous embrassons de manière passionnée, tendre et sans retenue. Ma main caresse sa joue pendant que l'autre la maintiens un peu dans le dos pour la garder contre moi. Je ne reçois aucune réponse a ma dernière phrase, mais elle m'offre un spectacle appréciable. Dénudée dans le salon, elle s'en va en direction de la chambre. Je m'installe alors dans mon canapé,où je retrouves mon téléphone portable, et j'attends son retour. Heureusement, Solveig n'a pas mit trop de temps a enfiler des fringues trop grandes pour elle. En la voyant revenir, je souris tendrement en ne la quittant pas des yeux. A sa phrase, je prends mon cellulaire et je la reçois contre moi après un baiser furtif. Mon bras autour de son corps    " Je vais l'éteindre, et je serais également prêt! "     Aussitôt dit, mes doigts vadrouillent pour l'éteindre avant de le poser sur la table basse. Pour commander les pizzas, il y a le fix. Si je le laisse en fonction, c'est qu'il est rare que je reçois des appels dessus.
Mon visage se tourne vers le sien, et je fais aller mes yeux un peu partout sur elle avant de revenir dans son regard    " Même comme ça je te trouves belle. C'est dingue, comment tu fais? "    Bah oui je veux son secret. Ma main vient prendre la sienne, et je la pose doucement sur mon torse nu. J'aimais sentir ses doigts sur ma peau, alors autant prendre les devants.
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Je ne voulais pas de quelque chose de très compliqué avec lui, je voulais que ce soit simple. Que nous vivions simplement sans jamais usé d'artifices plus différents les uns que les autres. Et je savais que Dean n'était pas le genre de personnes à fréquenter les soirées mondaines et huppés, enfin je n'en étais pas sûre. Et s'il était le genre de personnes à les fréquenter, je me demandais bien s'il appréciait cela mais peu importe. Je préférais un petit road trip sans savoir ou j'allais ni même ou j'allais dormir le soir, je trouvais cela beaucoup plus intéressants que les verrines et le champagne. Pour le moment, l'alcool était à prohiber de mon vocabulaire de toutes manières. Enfin pour aujourd'hui, pour demain, mais jusque quand ? Je n'en savais que trop rien. Peut-être jusque Noël. D'ailleurs, je ne savais même pas ce que je faisais ce jour-là étant donné que j'avais refusé l'invitation au restaurant de mon père. Je le connais par coeur et quand j'ouvre mes bras, je sais qu'il viendra se blottir dedans pour se calmer et c'est ce qu'il faisait après que je lui ai proposé de se faire livrer une pizza et qu'il ait accepté. Ouf, je n'aurais pas à faire à manger. Je n'en avais pas la force de toutes façons. Ses mots m'apaisaient clairement et j'étais heureuse qu'il me demande de passer la journée avec lui. Je trouvais ça terriblement tentant. J'acceptais sa proposition et il me proposait de couper tout contact avec le monde extérieur ce qui m'arrangeait terriblement et je lui annonçais alors que mon téléphone n'avait plus de batterie et je pouvais le sentir sourire et cela se confirmait quand je me pointais devant lui pour l'embrasser d'une façon que je ne nous connaissais pas, tendrement, doucement. Lorsque je revenais dans le salon je le rejoignais sur le canapé, me blottissant contre lui pour commencer notre journée farniente. Il m'annonçait éteindre son téléphone et je le regardais faire du coin de l'oeil. Et je souris quand il le dépose sur la table, au moins, nous ne serons pas dérangés. « Merci. » Pourquoi merci ? Je n'en savais que trop rien, mais je trouvais cela important. Je me sens un peu rougir quand il me dit qu'il me trouve belle même dans un sac à patate et je lui répond timidement « C'est toi qui me rend belle. » La niaiseriiiiiiiiiiie. Lorsque je sens sa main qui prenne la mienne pour la déposer sur sa peau, je souris en coin avant de venir doucement à califourchon sur lui pour lui murmurer au creux de l'oreille « Profitons de cette journée qui s'annonce parfaite. » Et doucement, je déposais mes lèvres sur les siennes pour lui offrir un baiser qui se voulait assez langoureux et qui allait donner le tempo à cette journée qui se promettait d'être riche en émotions.

fin du rp.
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