Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDoliprane et Ibuprofènes, les meilleurs amis. (dean) - Page 2
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Doliprane et Ibuprofènes, les meilleurs amis. (dean)

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A quoi cela sert de regretter des choses qui n'ont peut-être pas eu lieu ? Je ne dis pas que je regrettais s'il s'était passé quelque chose, j'aurais peut-être voulu que cela se passe finalement. Enfin, je n'en savais rien, et je ne voulais pas savoir parce que je ne savais même pas ou j'en étais dans ma tête. Et je n'étais pas non plus dans la sienne et peut-être que lui, il n'aurait pas voulu que cela se passe, et j'en serais bien triste, mais je ne lui disais rien. Je faisais semblant de réfléchir et lorsqu'il me parlait du baiser, je mettais ça sur le compte du jeu alors que c'était tout le contraire. J'avais voulu ce baiser et je l'avais obtenu, de ma façon, mais il ne m'avait pas repoussé donc c'était une petite victoire dans ma tête. Sa réaction me faisait rire, cette façon nonchalante de lever les épaules me faisait rire. Puis de toutes façons, il n'était pas dupe et il savait très bien que je mettais ça sur le compte de sa victoire pour ne pas lui avouer que j'avais eu terriblement envie de poser mes lèvres sur les siennes. J'avais retrouvé mon jean, j'étais rassurée qu'il ne soit pas quelque part d'autre, dans la rue, dans l'escalier de son immeuble, ou je ne savais trop où, mais il était juste dans l'entrée. Bon, qu'est ce qu'il foutait dans l'entrée, je ne savais pas trop et à voir sa tête il s'imaginait des choses, et j'avais confirmation qu'il avait sûrement eu peur que cela se soit produit. Alors Solveig, super rassurante, je le rassurais en posant délicatement ma main sur sa joue, lui parlant de sa psychose, qu'il fallait qu'il arrête sinon j'allais devoir le mettre sous anti-dépresseurs, sous drogue ou je ne sais quoi encore pour calmer son cerveau ne serait-ce que trente secondes, voir plus. « Oui ça sert à rien. Après tout, ça reviendra sûrement quand on s'y attendra le moins. » Cette phrase était terriblement à double sens et ça me faisait sourire. Et de toutes façons, je me souvenais seulement de la nuit de sommeil que j'avais passé et j'avais bien dormi pour une fois, quand je disais qu'il m'aidait à bien dormir. Il me proposait d'aller prendre une douche et j'imaginais ce qu'il pensait dans sa tête. Et j'allais le stopper directement, en l'emmenant dans la salle de bain, et en lui demandant de s'installer sur les toilettes pendant que je prenais ma douche, j'avançais dans la salle de bain, et il m'obéissait. Bien Homme obéis. Ma réflexion me tirait un sourire et je mordillais ma lèvre en retirant sa chemise, frissonnant légèrement. Je sentais aussi son regard sur moi et je m'étirais la nuque avant de tourner uniquement ma tête « Monsieur est à la pointe de la technologie. » Retirant les derniers vêtements qui me restaient sur la peau, je faisais couler l'eau de la douche quelques instants et effectivement la musique résonnait dans la pièce quand j'entrais sous l'eau brûlante. Je me trémoussais en riant, passant mes mains sur mon visage et, discrètement, je passais ma tête en dehors de la douche pour le voir, dansant comme un fou dans la salle de bain, sa voix accompagnant la chanson. Mon dieu. J'attrapais alors la paume de douche et je l'arrosais en riant « Hé ho, te prend pas pour Justin Bieber, dis donc ! » Puis je faisais une tête désolée en levant les yeux au ciel pour rajouter « T'es tout mouillé dis donc... Tu devrais venir sous la douche non ? » Puis je lui tirais la langue, réactivant la paume de douche fixe, dansant sous l'eau en riant.
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 Tout ce que je pourrais dire sur ce sujet, c'est que si jamais il s'est passé quelque chose, c'est que nous en avons eu envie. Alors pourquoi se prendre la tête? Je dis ça, alors que je suis le premier a psychoter. Mais c'était vraiment plus pour le fait que je n'arrivais pas a me souvenir, et c'était perturbant. J'ai des belles images en tête, alors j'adorerais avoir la suite. C'est comme regarder un film, et le couper dans la dernière demi heure. Frustrant! Mais sa main sur ma joue, et sa voie rassurante me calme. J'étais totalement d'accord avec la présidente, ça reviendra sans chercher. Et je dois bien dire que dans mon cerveau, il y avait effectivement un double sens a cette phrase. Et je souris en pensant que nous, nous étions déjà de retour. Il suffisait de voir la complicité, et cette façon d'affronter "un problème" ensemble.    " Oui, laissons faire le temps! "    Je souris en la fixant dans les yeux tendrement    " Et puis, peut - être que c'est juste parce que nos cerveaux ne sont pas totalement réveillés! "    Je lance un petit rire. Avant de lancer une idée. Prendre une bonne douche! Entrainé dans le lieu, j'étais impatient de sentir l'eau couler sur ma peau. Sauf que Solveig en décide autrement. C'est elle la première, et moi je dois gentiment attendre sur le trône. Bon, j'accepte. Je sais être gentleman des fois. Je m'installe donc, et j'annonce pendant que mes yeux se promène sur son corps qui se dévêtit lentement, que ma douche a une option radio automatique. Alors pas besoin de tenir la discussion pour lui éviter de s'endormir. Au pire, elle aurait pu mettre l'eau froide.     " Faut vivre avec son temps! Et puis c'est tellement plus cool de prendre sa douche en musique. "     Vous savez ce qui plus cool que ça encore? Prendre une douche a deux. Mais restons sages. Nous étions paniqués a l'idée d'avoir couchés ensemble, alors se retrouver dans une petite surface, nus... Voilà quoi. L'eau coule, et mes yeux vagabondent dans la salle de bain. Sauf que la radio me réveille d'un coup, une musique entrainante qui passe. Sur mes deux pieds, je commences a danser et a donner de la voix. J'avais l'air d'un fou, mais je m'éclatais totalement.
Dans ma lancée, je fermais les yeux, mais je fis vite surpris. De l'eau arrive sur mon corps et mes fringues. Je sursautes en poussant un petit cri, viril toujours, et mon regard vient alors se poser sur la coupable. J'étais trempé, et heureusement que j'ai aussi la technologie du chauffage! Les bras ouverts, je faisais un O de ma bouche en me regardant le corps dégoulinant. Je relève le visage, et je dis en fronçant les sourcils     " Te plains pas, je ne fais pas le même tarif que lui pour le concert! "     Je rigoles, et je dis dans un soupire pour plaisanter    " Pfff...Jalouse de mon talent! "    Et je ne peux me retenir de garder mon sérieux.
Je me diriges vers les serviettes pour éponger un peu, et a sa dernière phrase, je hausses mes sourcils en me retournant a nouveau pour regarder en sa direction. Les parois de la douche cachaient les parties intimes du corps, alors bon.    " Ah ouais? T'es sure de toi? "    A vrai dire, je ne lui laisse pas le temps de répondre. Et j'avance pour entrer sous la douche. Elle nue, et moi avec mon jogging au dessus du boxer. Oui, je venais me foutre sous la douche sans enlever mes deux vêtements. J'avais un petit rire, la mine rieuse, et l'eau qui me coulait dessus allait dans mes yeux, donc j'avais du mal a les garder ouverts.     " Putain, je vois plus rien! "    Dis je en tentant de frottant mes yeux. Mais il serait tellement plus simple de me retiré du jet d'eau.
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De toutes façons, j'allais prendre un bail dans son appartement les nuits où mes insomnies seraient à leurs points culminants et que je passerais des nuits et des nuits sans dormir. Au moins, je pourrais squatter son lit qui était confortable et ses bras qui étaient rassurants. Comme cette nuit en somme, sauf que je me suis réveillée la tête dans l'oreiller, j'aurais pu m'étouffer ça aurait fait la même chose. Mais peut-être que j'avais dormi contre lui, je n'en savais foutrement rien et peut-être que j'avais dormi surtout parce que j'étais complètement saoul. Ma phrase à double sens et moi étions assez fière l'une de l'autre et il me parlait de temps. Oui c'était sûr que le temps, j'allais le prendre, j'allais attendre de voir où les choses nous menaient, si nos cerveaux se décidaient à refonctionner et à récupérer toutes leurs fonctions initiales, et c'était certainement l'option qu'il me proposait « Oui, mes deux neurones ne doivent certainement pas se toucher. J'en ai déjà pas beaucoup. » Je me perd dans son regard, mordillant l'intérieur de ma joue pour chasser l'image qui me vient à l'esprit et je reprend le contrôle de mon corps en l'emmenant dans la salle de bain pour lui demander de s'installer sur les toilettes, le temps que je prenne ma douche. Bon, j'aurais préféré qu'il vienne avec moi, mais je n'osais pas le lui proposer et puis j'étais persuadé qu'il allait venir de lui-même. Sauf que non, il m'écoutait et s'installait sur le trône après que je me sois déshabillé et tandis que la musique se faisait écouter, je dansais en souriant. J'aimais beaucoup cette musique et à l'entendre chanter, lui aussi semblait l'apprécier. Ma conscience nous trouvait un nouveau point commun et je la faisais simplement taire en levant les yeux au ciel avant de passer ma tête en dehors de la douche pour l'arroser. Et son petit cri me fait exploser de lui avant que je ne lui parle de Justin Bieber. Il réagit sur le tarif de ses concerts, ce que je trouve très petit et quand il me dit que je suis jalouse de ses talents, j'hausse les sourcils en rétorquant « Moi ? Jalouse de tes talents ? N'importe quoi, j'ai d'autres talents moi. » Oui, bon, nouvelle phrase à double sens et j'en suis pas peu fière. J'en profite pour l'inviter à me rejoindre, prenant conscience de mes paroles bien après que je les ai prononcés et je me mord la lèvre en secouant la tête positivement quand il me demande si je suis sûre de moi. Oui, j'étais sûre que je voulais qu'il vienne me rejoindre. Enfin, tandis que j'hochais la tête frénétiquement, il me rejoignait... habillé. Mais le boulet celui-la, c'était pas possible. Il m'en ferait voir des vertes et des pas mûres pendant combien de temps ? Je levais les yeux au ciel exaspérée. Il me fatiguait cet enfant. Mais d'une force qu'il n'imaginait même pas. Je l'avais juste un peu mouillée et il se retrouvait carrément trempé. Petit enfant perdu. Sa réaction ne se faisait pas attendre et j'explosais de rire, m'étouffant avec l'eau de la douche que je coupais. « T'es vraiment un boulet Carmichael. Tu ne pouvais pas retirer ton jogging non ? T'étais trop fatigué ? » Me rapprochant de lui, je retirais doucement ses cheveux qui prenait la place sur son visage pour qu'il ne se mette pas à me dire qu'il avait les cheveux trop long et qu'il le gênait, il en serait bien capable même si ses cheveux, comparés au mien ce n'était pas grand chose. Je restais alors stoïque, ma main qui caressait doucement son visage du bout des doigts, me mordillant la lèvre avant de me reculer pour attraper le gel douche et me frictionner. Lorsque la mousse apparaissait, j'en mettais un peu sur ma main pour lui écraser sur le visage en riant, moi aussi j'étais définitivement une enfant perdue.
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 Et puis, un peu de mystère dans nos vies, c'est sympa non? Comme ça, notre quotidien ne sera pas monotone, nous allons surement passer des heures a chercher la partie de la soirée qui nous manque dans nos souvenirs. Nous n'allons pas nous l'avouer, mais j'en étais certain, surtout pour ma personne. Mais je connais un petit peu trop Solveig pour ne pas pouvoir l'affirmer avec assurance non plus. Malgré que, dans l'histoire, ce soit elle la plus calme, et celle qui tente de canaliser ma paranoïa. Ce qui est réussi pour le coup. Et elle réussit surtout a me faire rire en parlant de ses deux neurones    " Ils sont assez connectés pour que tu prennes conscience du nombres qu'ils sont! "    Oooooh, l'enfoiré! Mais j'ajoutais un sourire taquin pour montrer que ce n'était pas méchant.
Une fois dans la salle de bain, je me fais ordonner comme un esclave. Heureusement, la radio de la douche me sauve. Elle a l'option une, qui est de veiller a ce que la présidente ne s'endorme pas, et l'option deux, m’égayer au point de me mettre a danser et a chanter comme un fou. J'étais a fond, je faisais aller mes jambes, un peu mes bras, et je fermais les yeux pour pousser un peu de la voix. Comme ci j'étais tout seul. Oui, je ne cache pas que je le fais souvent quand je suis solo dans mon salon. Mais chut, mon image de professeur sexy risquerait d'en prendre un coup si ça venait a se savoir. Déjà que je m'affichais devant mon ancienne amante, faut pas trop pousser. D'ailleurs, je crois qu'elle n'apprécie pas trop le spectacle parce qu'elle profite de mon inattention pour m'envoyer de l'eau dessus grâce a la pomme de douche. Je ne retiens pas ma surprise en poussant un cri et en revenant a la réalité. J'étais trempé, et en plus, j'ai le droit a une comparaison avec Justin Bieber. GE-NIAL! Je la fixes choqué, et j'utilise une petite répartie. Pour rattraper le coup, j'utilise l'excuse de la jalousie pour justifier ce qu'elle venait de faire. Et voilà qu'elle m'intrigue dans sa réponse. Je souris en largeur sans montrer mes dents, ce qui me fait une tête de débile un peu, et je hausses un sourcil    " D'autre talents? Je ne crois qu'à ce que je vois moi madame! "    Et je souris avant d'admirer l'ampleur des dégâts des eaux sur moi, et autour. Elle va passer la serpillière ! Mais pas le temps de trop m'attarder, que je reçois une invitation a la rejoindre. Ok! Je ne perds pas une minute, et j'oublie mon action de prendre une serviette. Je pénètre dans la douche à moitié habillé. Oui oui. L'eau dans la gueule, je n'arrivais pas a ouvrir les yeux et j'informe. Je peux au moins entendre ce rire que j'aime tant, avant sa phrase. Non mais!    " Blackbird... Tu vas mal finir! "    Je souris, et l'eau était coupée. Je sens ses doigts sur mon visage, et j'ouvre lentement mes yeux pour les poser dans les siens en souriant amusé avant de dire    " Bah... J'étais trop enjoué a l'idée de te rejoindre, alors j'ai zappé le déshabillage! "    Sa lèvre qu'elle se mordille, hum. Je passes ma langue sur la mienne, et elle se recule en enlevant ses mains de ma peau. Pendant qu'elle se savonne, je retires les fringues trempées pour les balancer un peu au hasard en dehors de la douche. Alors que je regardais son corps, tentant d'être discret... Solveig vient m'écraser de la mousse sur le visage. Ah bah, je ne voyais plus a nouveau. Je rigoles en synchronisation, et j'enlève d'une main avant de postillonner un peu de ce que j'avais dans la bouche.    " Brr... pfffrou! "    Je la fixe a nouveau, avec un oeil a moitié fermé    " C'est décidé. Je vais me venger de ça, et pour toutes les fois où tu as prononcé mon prénom. "    Je souris, taquin et mon visage s'approche du sien. Une main passe derrière elle comme pour aller dans son dos. Et alors que nos bouches sont a une proximité très réduite, j'affiche un énorme sourire en la regardant dans les yeux... Et ma main actionne l'eau, du coté gelé. Bien sur, je me recule rapidement en pouffant de rire. A faire les enfants, j'en oubliais nos nudités!
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Je n'allais m'éterniser cent mille ans sur si oui ou non, nous avions couchés ensemble. Si c'était oui, j'étais sûre que j'avais pris mon pied, si c'était non, tant pis, j'avais bien dormi. C'était le principal. Solveig Blackbird, Marmotte d'état, et j'assume. Je tente tant bien que mal de le rassurer pour qu'il arrête de péter un plomb dans sa tête, bientôt je vais croire qu'il lui manque une case. Et à sa remarque sur mes neurones, je fais cette moue boudeuse qu'il semble aimer. Une fois dans la salle de bain, il m'obéit et j'ai un sentiment de puissance qui monte en moi quand je suis dans la douche. Bon un sentiment de puissance, de bien-être, de soulagement, le genre de sentiments qui te prend quand tu es sous la douche après une soirée assez mouvementée ou après une longue nuit de sommeil, le sentiment de plénitude parfait. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y est une radio dans la douche et surtout que cette musique passe. Je m'attendais plus à des musiques douces, relaxantes. Non, la c'était tout sauf relaxant, bien que c'était terriblement amusant de le voir danser de la sorte. Heureusement qu'il n'a pas dansé comme ça en boîte de nuit, je me serais caché derrière le barman, ou sous le bar en prétextant que je ne connaissais pas cet ovni. Même si le voir torse nu, en train de se trémousser est un spectacle assez alléchant, je ne peux m'empêcher de le stopper dans son élan et il ne semble pas si d'accord que ça. Tant pis Carmichael, c'est toi qui t'enflamme pas moi. Il était jaloux de mon talent ? J'allais lui montrer du talent moi. Il savait très bien que j'avais d'autres talents et il jouait sur les mots « Ouais, ba je ne te montrerais plus grand chose alors si tu es jaloux. » Et toc. J'étais plutôt fière de ma répartie, et du fait que j'ai réussir à le faire venir dans la douche, bon habillé, mais j'ai réussi à le faire venir quand même sans avoir à prononcer de mots pour qu'il me rejoigne. Je savais qu'il détestait que je l'appelle par son nom de famille et à sa réaction, je prend une petite mine étonnée avant de lever les yeux au ciel « J'aimerais bien voir ça tiens. » Des mots, des mots, toujours des mots. Son excuse est tellement lamentable, que je ne prend même pas la peine de relever. Un jogging, c'est pas un jean ça met beaucoup moins de temps à se retirer. Mais qu'importe, je veux juste lui faire croire qu'il a raison. Et je sens son regard sur mon corps, ce qui me fait grogner légèrement avant que je n'écrase ma main pleine de mousse contre son visage. Sa réaction est tellement mignonne que je ne peux m'empêcher de glousser comme une dinde. Je retire alors doucement la mousse qu'il a dans l'oeil et j'entendais ce qu'il me disait, je prenais alors un air faussement effrayé avant de voir son visage qui se rapprochait du mien. Hep doucement, je déglutissais lentement avant de respirer un grand coup et je fixais ses lèvres, bloquant ma respiration. Mon. Dieu. Mon regard se perd dans le sien et je sens l'eau froide qui m'arrive sur le dos et je me met à hurler « MAIS T'ES MALADE ? » Je me recule et je le pousse doucement pour éteindre l'eau, attrapant sa main et la bloquant pour qu'il ne puisse plus l'atteindre. Je respirais assez rapidement et je le fixais, la moitié du corps et du visage couvert de mousse « Je te jure que je vais te tuer. J'te le jure CARMICHAEL. » J'attrapais alors la paume de douche mobile et je me mettais à l'arroser à une température ambiante donc correct, le bloquant contre l'une des parois de la douche pour qu'il ne puisse plus m'échapper. Nous étions tout les deux, nus, dans une douche, seuls et on s'arrosait comme deux grands enfants. Le bonheur.
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 Heureusement que la folie de l'amnésie passe quand nous sommes dans la salle de bain. Je me fais entrainer par la musique, et mon dieu que je m'amuse comme un fou. Je chantes et je danses librement sans penser une seconde que je pourrais me faire juger. Je sais que Solveig ne sera pas du genre a avoir une pensée trop négative... Quoi que! Il fallait me voir faire, et heureusement pour moi, je ne peux pas. C'est peut être la raison qui fait que je ne me retiens pas pour laisser libre court a mes envies de bouger et de hausser la voix dans les refrains. Sauf que ma partie de plaisir est vite coupée par un jet d'eau, enfin, c'est une vague la. Trempé, je me retrouves a ne plus bouger. Comme ci j'étais devenu une statue alors que non.     " Jaloux... C'est une excuse pour ne pas avouer que tu n'as pas de talent ça! "    Je rigoles, et bizarrement, je retrouves l'utilisation de mes jambes quand je suis invité a la rejoindre. Je ne prends pas la peine de ôter mes vêtements, et ceci l'a fait rire. Moi aussi par la même occasion. Bon, un peu moins quand elle cite Carmichael pour la énième fois entre hier soir et maintenant. Décidément, la présidente a une obsession de mon nom de famille, c'est hallucinant. Je menace alors, en informant qu'elle finira mal a force, et il lui tarde de voir ça. Bientôt ma petite, bientôt !
Alors que la rouquine décide de se savonner le corps, je regardes discrètement, ou pas du tout, en me déshabillant. Oui, je n'allais pas rester en jogging il ne faut pas abuser. Et quand je redresse mon corps nu, c'est sa main remplie de mousse qui m'arrive en pleine face. Etant un peu en galère, je tentais de retirer la mousse et d'ouvrir les yeux. Heureusement, je peux compter sur elle pour m'aider dans cette tâche. Ce qui me donne l'idée de la vengeance. J'annonce, gentiment, et je commences a approcher mon visage du sien. Je jouais parfaitement bien le mec qui allait l'embrasser, jusqu'à ce que ma main vienne ouvrir l'eau, carrément froide. Une fois l'action faite, je me recule un peu pour ne pas finir comme l'arroseur arrosé! Et je pars en fou rire en la voyant gesticuler et crier.     " Ca réveille hein? "    et je la fixe en gardant cet air taquin et amusé sur le visage, fier de moi. Je me retrouves rapidement emprisonné de la main, et je tentais de garder mon sérieux face a sa menace. Mes yeux sur son visage     " T'es même pas cap de me tuer Blackbird! "   Nouveau jeu? La guerre des noms de famille après celle des additions! La demoiselle attrape la pomme de douche, et vient alors me bloquer sur la paroi pour m'arroser la bouille. Elle est plus gentille, car l'eau est a bonne température. Je rigolais, en m'étouffant a moitié.    " Arr...gh.... Arrête! "   J'avais du mal a parler, et a voir avec la puissance de l'eau sur la tronche. Ma main libre vient alors sur le robinet pour faire passer le liquide a la pomme fixe. Je reprenais ma respiration, toujours a moitié collé a elle, nus.    " Bordel, prendre une douche avec toi... C'est sportif! "    Je souris, et je jette un coup d'oeil au gel douche. Ouais allez! J'en choppe un, mine de me laver, et je le place au dessus de sa tête en appuyant pour lui en foutre plein les cheveux. Amuse toi pour tout retirer! Et je pars sous le jet en pincant ma lèvre de fierté, une seconde fois. Je crois que ça va mal finir ces enfantillages!
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Dans mes plus lointains souvenirs, nous n'avions jamais eu de délires assez enfantins comme ça mis à part le coup de l'addition. Bon ça c'était enfantin et un peu beaucoup présent à cause de notre fierté. Ma fierté était cependant intact, même si je lui avais laissé la première victoire, je ne comptais pas lui laisser les prochaines. Même si sa récompense avait aussi était la mienne puisque j'avais réussi à obtenir un baiser, et je comptais bien en avoir d'autres en mettant ça sur le compte du jeu. Quand il me parle de sa jalousie, je lui tire la langue avant de rajouter « Tant pis, tu ne profitera plus de mes talents dans ce cas. » Et toc. Je me sens un peu coupable de le couper dans son élan de pétage de câble. Mais c'était pour la bonne cause. Qu'il me rejoigne, même si rien ne se passerait, j'en étais sûre et certaine. J'aimais bien dire son nom de famille, il sortait aussi facilement que le mot PUTE dans la bouche de certaines personnes. Et comme je savais que ça l'énervait, c'était encore mieux. Mais ses menaces sont comme du vent pour moi, je sais qu'il ne me fera pas de mal, il n'en est pas capable. Je lui lance des petits piques en lui mettant ma main plein de mousse dans la figure. Puis il se venge de la pie façon qui soit, me faisant espérer que ses lèvres se poseraient sur les miennes, me faisant perdre pied dans son regard, et il le voyait, il pouvait sentir que je me faisasi avoir comme une débutante, parce que mes joues se coloraient de rouge, et les battement de mon cœur s'accéléraient. Puis non, la douche froide. Littéralement, j'ai le temps de m'extirper de sous le jet avant que mon coeur ne se transforme en glaçon. « Ouais ça réveille ! Petit con. » Je disais ça sur un ton tellement léger que ça paraissait forcément pour de la rigolade. Je ne voulais pas qu'il le prenne mal. Je lui promettais que j'allais le tuer par la suite et il me mettait en quelques sortes au défi. Je plongeais mon regard dans le sien par la suite avant de murmurer « Non, tu me manquerais trop. » Bon, c'était la vérité. Il me manquerait beaucoup trop s'il venait à disparaître de ma vie comme il l'avait fait durant son long mois de formation. Puis, à la fin de ma phrase, je l'arrosais avec la paume de douche mobile, tout en le bloquant contre la paroi de la douche, non il ne m'échappera pas. J'explose de rire quand il me demande d'arrêter, le voyant assez galérer pour parler et il reprend le contrôle de la douche. Le terme sportif pour notre douche était véridique. Mais la, ça allait l'être encore plus. J'éteignais l'eau de la douche, tandis qu'il était dessus et je glissais subtilement ma main le long de son torse, traçant le contour de ses abdominaux avant de faire parcourir subtilement ma main jusqu'à son bas ventre, avant de déposer furtivement mes lèvres sur les siennes et de sortir de la douche « Très sportif. » Attrapant une serviette, j'enroulais mon corps dedans en un sourire, le défiant du regard, appuyée oontre le lavabo.
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C'est ce que j'aime avec Solveig, c'est notre façon de se comporter naturellement sans avoir honte. De toute façon le ridicule ne tue pas, et si jamais il le faisait, nous ne serions pas les premiers touchés. Bien que mon petit spectacle l'était suffisamment, je pouvais compter sur la présidente pour me stopper d'une manière inattendue et radicale. Attaquant sur le fait qu'elle était jalouse de mes talents, pour rétorque qu'au final c'est moi, je souris en la regardant avant de dire " Oh... Franchement, je suis tellement triste! " Oui oui, je disais ça ironiquement, mais toujours sur le ton de la plaisanterie. Finissant ensuite dans la douche pour l'accompagner. Je m'attendais au départ a un moment normal, genre ont se savonnent ont rincent et ont sort. Mais non, il a fallut que je viennes habillé pour déclencher des fous rires, et des délires dignes d'enfants.
De la mousse en plein dans la tronche, j'en viens alors ma revanche. Je sais que ce n'est pas très gentil d'utiliser mes charmes, et de jouer un peu avec les sentiments de la belle rousse. J'avançais comme pour l'embrasser, pour terminer a allumer le jet d'eau gelée. Comme quoi, j'adore jouer et je suis doué pour les mauvais coups. A son insulte, qui vient a mon oreille comme une douce mélodie. Je lève mes sourcils en riant silencieusement avant de dire " Oh du calme, sinon tu vas repasser a la douche froide chérie! " Je savais très bien que c'était dit sans une once de méchanceté. Mais taquiner c'est mon don! Les yeux dans les yeux, je venais d'affirmer que j'étais sur qu'elle ne serait pas cap de me tuer. Et j'espérais avoir raison, manquerait plus que je me fasse assassiner sous la douche. Mais son murmure confirme, et je me dois d'afficher une bouille tendre avant de dire doucement " C'est trop mignon. " Je passe ma main sur la sienne, en l'effleurant " Mais j'aime bien te manquer! " Bah oui, j'imaginais mon absence comme une terrible chose. Je voyais bien la présidente devant de nombreux films a l'eau de rose avec une glace ou du chocolat en attendant mon retour..
Sauf que l'imagination n'a pas le temps de continuer. L'eau se coupe, alors je reviens en posant mes yeux sur son visage, et sa main commence a glisser le long de mon torse. Ma respiration se bloque, et mon coeur loupe un battement quand celle ci va a mon bas ventre. J'allais baisser la tête, mais ses lèvres attrapent furtivement les miennes, et elle sort. Frissonnant sous les caresses. Mon regard ne la lâche pas. Une fois que Solveig se cale contre le lavabo me défiant de ses beaux yeux, je fais un sourire en coin. Je connaissais bien cet air, et je l'aimais tout autant que sa moue de boudeuse. Elle veut jouer? Très bien. Je rallume l'eau en montant un peu la température, et je me savonnes d'un geste assez lent tout en continuant de la fixer. Un peu comme ci, je tentais de la déstabiliser. C'était rapide, car je rince le tout avant de couper et de sortir a mon tour en choppant mon peignoir. Je l'enfiles, et je le ferme avant de venir en face d'elle. La rouquine n'avait pas bougé du lavabo, et son visage suivait le mien. Je passes ma langue sur ma lèvre et je dis d'une voix semi provocatrice " Je suis un peu déçu. Je pensais que tes mains auraient souhaités me savonner... " Et j'affiche mes quenottes en ne bougeant pas.
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On m'a toujours dit que les relations étaient différentes et je suis bien placée pour dire que c'est la vérité. Même si nous n'étions pas ensemble, je remarquais déjà des différences dans ma façon de me comporter avec Dean, je n'étais pas aussi ouverte quand j'étais avec Chuck, notre relation était un peu plus réservé, nous ne faisions pas autant les enfants, nous nous contentions de nous taquiner de temps à autre et encore, il stoppait souvent avant moi. Ce qui me rendait assez triste, mais notre relation était différente sur pleins de points, c'est en quelques sortes Chuck qui prenait soin de moi. C'est lui qui cuisinait, alors que pendant un temps la cuisine de Dean était mon antre, c'est moi qui le taquinait alors que la c'est Dean qui lance les hostilités (quoique, c'est moi qui l'ait cherché en l'arrosant). Sa jalousie est terriblement amusante, et je m'en amuse d'autant plus. Il serait triste de ne plus profiter de mes talents ? Il verra bien sur qui il est tombé. Nos moments enfantins avaient le mérite de me remonter le moral, de me faire oublier tout ce que j'avais pu vivre en quelques temps, notre espèce de séparation, mon père, mes frères. Toutes les choses qui s'accumulent et qui sont à même de te faire péter un plomb, mais il était, plein de mousse, à me remonter le moral sans même le savoir. Même si je l'insulte, je sais qu'il ne le prendra pas mal et le petit con ne saute pas comme une insulte dans ma tête, c'est plutôt un compliment. Enfin, dans mon sens. Et à sa réaction, je sais qu'il ne le prend pas mal, ce qui me fait sourire « Si tu fais ça... &raquo Je ne continuais pas ma phrase, la laissant en suspend pour qu'il s'imagine les choses qu'il voulait s'imaginer, mais je ne le frapperais jamais. A moins qu'il me brise le coeur, et c'était déjà fait, mais il se rattrapait pour me le réparer et je trouvais ça tellement, tellement, adorable. Je lui avoue qu'il me manquerait trop si jamais je le tuer et sa réaction est tellement mignon. Je me sens une nouvelle fois rougir et je souris au contact de nos peaux, fermant les yeux quelques instants « Moi j'aime pas quand tu me manques... je trouve le temps trop long... » On voit comment ça avait terminé quand il était parti en formation, j'avais trouvé le temps tellement long, j'étais passé souvent devant chez, espérant la lumière, mais je voyais encore et toujours les rideaux tiré et la lumière éteinte. Et à chaque fois, je me rendais compte encore et toujours que j'étais pathétique. Mais je recommençais encore et toujours, jusqu'à le revoir sur un banc devant l'université. Nos jeux stupides ayant arrêtés, je me vengeais une seul et dernière fois, caressant doucement sa peau nue à ma merci, glissant mes doigts sur son torse, jusqu'à son bas ventre avant de l'embrasser, rieuse, pour sortir et m'entourer d'une serviette. A voir sa réaction, son regard qui me fixe, je sais qu'il va me tuer. Il va m'en faire voir de toutes les couleurs. Il se savonne tout en me fixant et je garde mon regard dans le sien, me mordillant l'intérieur de la joue pour ne pas lui montrer que j'étais à deux doigts de craquer. Lorsqu'il arrête tout, je détourne rapidement mon regard, reprenant ma respiration, ne bougeant cependant pas. Mon dieu. Lorsqu'il se rapprochait de moi, lui et sa phrase tentatrice, je me mordille une nouvelle fois l'intérieur de la joue pour éviter de dire des bêtises et je lève les yeux au ciel avant de me rapprocher de son oreille pour lui murmurer « Je voulais juste me venger du fait d'avoir senti ton regard sur moi tout a l'heure. Et de ce que j'ai pu sentir hier soir, si tu vois ce que je veux dire. » Je savais qu'il allait rétorquer quelque chose, je ne savais pas encore quoi mais j'en étais persuadée. Je me reculais alors pour le fixer, croisant mes bras sur ma poitrine, plongeant mon regard dans le sien.
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WTF!  
Quand je penses a nos derniers moments ensemble, je me dis qu'il y a du progrès. La dernière fois que la rouquine était venue ici, elle avait littéralement tout envoyé valser. Bon, je ne lui en tiens pas compte, car ce soir là, j'avais brisé son petit coeur. Et des fois, je m'en veux encore parce qu'elle ne méritait vraiment pas autant de peine. Ensuite, il y avait eu l'épisode de l'ouverture de sa galerie. Animée elle aussi, mais plus calme sur la fin. Il est donc obligatoire que je préfères largement ce que nous avons vécus hier soir, et actuellement. Des délires enfantins, des taquineries comme je n'en ai pas avec d'autres personnes. Et tout nous utilisons tout ce que nous pouvions trouver. De l'eau, de la bêtise en arrivant habillé sous la douche, de la mousse, un espoir de baiser et de l'eau froide. Je récolte une insulte que je ne prends pas mal, il faudrait être con pour ça. Et puis; avec sa bouille, comment lui en vouloir? Bon, j'annonce tout de même que la présidente risquer une seconde douche froide par principe, et sa réponse me fait hausser les sourcils avec un air étonné avant de demander avec un peu de provocation    " Qu'est ce que tu vas me faire? "     Je fais un sourire en coin en la fixant dans les yeux. C'était un jeu plaisant de se faire des petites menaces. Je l'imagine entrain de me frapper avec ses petits bras, et franchement j'en rigoles d'avance. Bon, si Solveig s'énerve réellement, elle pourrait me faire du mal quand même. Je l'ai vu a l’œuvre avec mon mobilier, et je n'aurais pas aimé être a leurs places.
Un petit instant de tendresse, car elle avoue que j'en viendrais a lui manquer si elle me tuait. Pour m'informant que quand je m'absente, elle trouve le temps long. Je souris tendrement en faisant des petits yeux mignons. Mon coeur s'en voit touché, et je reprends la parole    " Ca me rappelle une discussion.... "    Je mordilles ma lèvre inférieure avant de continuer    " Quand je suis revenu de formation. Le temps avait été long, et je me souviens avoir dit que j'aurais préféré que tu sois avec moi la bas. "     Euh... Dean, t'emballe pas! C'est joli de rappeler des souvenirs, mais c'est a la limite du romantisme. Heureusement, elle me sauve en venant me caresser. Du haut du torse, jusqu'au bas ventre en effleurant pour finir en quittant la douche. Décidément, elle est très forte cette petite. Je m'amuse à mon tour en me savonnant d'une manière sensuelle en la fixant. En y pensant, nous n'avons aucunes gênes a se retrouves nus. Un peu comme ci c'était normal. Je sors, et je viens me présenter devant elle souriant d'un air provocateur avant d'accompagner ma bouille d'une petite phrase. Et Solveig se croque la lèvre avant d'avancer a mon oreille. Et a son murmure, je souris au départ, avant de passer ma langue sur l'intérieur de ma joue. Grillé! Je poses mes yeux dans les siens, et j'affiche un rictus avant de rigoler légèrement.    " Franchement... Je suis désolé! "    Je souris doucement,     " J'avais oublié de retirer mon téléphone portable de ma poche. "     Et je relève un peu le visage, fier comme un coq. Je m'avances, et je dépose un baiser sur le coin de sa bouche avant de tourner les talons. En marchant vers ma chambre, j'enlève ma serviette. Oui oui, maintenant la présidente peut me voir nu, de dos.
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