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(flashforward) don't fuck with my love ◇ Romyr

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— with palmyr.

J'étais soulagé de ne pas avoir été uniquement la cause de son départ, mais je me demandais quand même qui avait été dans le lot. Son frère? Je ne voyais personne d'autre. Après tout, je ne connaissais pas toutes les fréquentations de Palmyr. J'avais eu une petite discussion avec Walter et quelques mots m'avaient interpellés. J'avais même pas envie de répondre à son attaque ou son reproche, je ne sais pas comment appeler ça. Mais elle n'est pas en position de me râler dessus après ce qu'elle venait de faire. « Pas tant que ça, j'ai cherché après un appartement. » répondis-je en haussant les épaules. Je me suis ennuyé et les seules fois où je me divertissais c'était quand je voyais Delilah de temps en temps. Mais à part ça, j'avais juste cherché un toit et les nouvelles ont étés brillantes. Je lui avouais comme un con qu'elle m'avait manqué et puisqu'elle n'a pas voulu répéter ce que je lui avais demandé, je faisais la sourde oreille. Oui vraiment, pas besoin de le dire une seconde fois. « J'ai eu une petite discussion avec Walter. » je ne m'aventurais jamais dans ce sujet. Parler de ses frères n'étaient pas le meilleur sujet à aborder. « Il m'a menacé de me briser la nuque. » je riais car c'était drôle. Le jour où un mec veut me briser la nuque, je le brise avant. « Et il m'a certifié que tu avais de vrais sentiments pour moi. » mon but n'était pas de la mettre mal à l'aise, mais si elle rougit, alors cela voudrait dire qu'il avait raison. Je savais déjà qu'elle ressentait des trucs mais c'était vague.

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— with royce magyar.

Je le croyais qu’à moitié sauf que je ne le relevais pas. Royce était libre de faire ce qu’il désirait, j’étais partie et j’étais prête à parier que j’allais l’entendre souvent. Puis, je l’avais dit; il n’avait aucun compte à me rendre. Lui demander ne servirait à rien et être jalouse, non plus. Alors, je me taisais. « Ça c’est bien passé ? Tu as trouvé un appartement ? » J’espérais pour lui après l’avoir mis à la porte. Je n’allais pas le reprendre, vivre tous les deux entre quatre murs semblait être un moyen de se prendre la tête. Sinon, il avait probablement d’autres amis qui pouvaient l’héberger quelques jours ou même retourner chez sa mère. Il me semblait qu’elle vivait toujours ici. Je n’en étais pas certaine. Un autre mystère à résoudre plus tard. La suite me choqua. Il a eu une petite discussion avec Walter ? Mon Walter ? Celui qui me servait de frère ? Vraiment ? Je croisais les bras sous ma poitrine en fronçant les sourcils. « Quoi ? Quand ? Pourquoi ? » Leur relation n’était pas au beau fixe alors pourquoi est-ce qu’ils s’adressaient la parole. Lui, il riait au fait que mon frère allait lui briser la nuque et moi, je restais sérieuse. Pour connaître Walter, il devait être sérieux. Sa manière de me protéger, certainement. Puis, j’eu l’impression sur le cul. Je me mordillais l’intérieur de la joue en évitant le regard de Royce. Je lui répondais quoi ? « Certifié, hein ? Il ne sait même pas c’est quoi avoir des sentiments alors comment est-ce qu’il peut savoir. » Disais-je toujours en évitant de le regarder en pleine face. Déjà avec cette attitude, ça devait lui prouver que quelque part Walter avait raison. « Alors cette recherche d’appartement, elle s’est bien passée ? » Oui, Palm, change la conversation en revenant sur une question que tu as déjà posée.

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— with palmyr.

On se parlait mais au fond je ne savais même pas si elle avait envie de me parler ou si elle faisait ça par politesse. C'est ça que j'ai du mal à cerner chez Palmyr. J'aimais bien quand les choses se disaient clairement. Mais bon, je vais paraître tout à fait naturel pour lui montrer que moi, je n'avais plus l'intention de me battre. Une chose est sure, elle est soulagée de ne plus m'héberger. « Oui, à Boston dans le centre ville. Il n'est pas aussi grand que l'ancien mais ça fera l'affaire. » je ne suis pas difficile. Tant que j'ai un toit je suis content. Je lui parlais de Walter et je la voyais immédiatement changer d'expression. J'en avais marre de rester debout à rien faire donc je l'invitais à marcher avec moi d'un pas lent le long de la rue.« A ton avis? Parce que j'étais inquiet. Je pensais qu'il savait où tu étais. » et ça n'avait pas été le cas. Elle avait vraiment rien dit à personne. S'il lui était arrivé quelque chose? Comment est-ce qu'on aurait pu être au courant? Elle avait pensé à ça? Non. Durant ma discussion avec son frère, j'avais été surpris qu'il me dise que Palmyr avait des sentiments pour moi. Il avait insisté et même si je le savais, ça m'étonnait de la part de son frère de me dire ça. Sachant qu'il me déteste. « Je ne sais pas, mais il me l'a dit noir sur blanc. » Je peux même lui montrer le message si elle ne me croyait pas. Je secouais ma tête lorsque Palmyr me reposa la question de tout à l'heure. Mais où avait-elle l'esprit? Est-ce qu'elle m'écoutait quand je parlais? J'arrêtais de marcher et je lui prenais la main exactement car elle n'aimait pas que je le fasse. « Arrête d'être nerveuse. Qu'est-ce que tu as? Tu n'es pas contente de me voir? Je t'embête peut-être? Tu n'as qu'à me le dire et je partirai de mon côté. » je n'ai pas envie de dire pour de bon car je ne pensais même pas mes mots.

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— with royce magyar.

J’étais contente pour lui, vraiment. Il avait – enfin – un appartement et j’espérais qu’il arrive à le garder, lui. Je ne parlais pas financièrement parlant juste qu’il n’allait pas faire comme la dernière fois. C’est tout. En tout cas, c’était une bonne chose qu’il ne soit plus à la rue. Il avait un appartement où son fils allait pouvoir dormir. Rester, grandir, faire des trucs que font les bébés. J’avais déjà une réponse avant de lui reposer la question bêtement et j’avais décidée de commencer par ce point. Éviter d’embarquer tout de suite dans le train sur ce que Walter certifiait. « Oh, c’est bien. Tant mieux, je suis heureuse pour toi. » Ma voix était sincère, mon attitude également. Malgré que je sois toujours déstabiliser par le fait que ma main soit dans la sienne. « Walter sera presque toujours une des dernières personnes à savoir où je me trouve. Il ne faut pas te fier sur le fait que nous soyons frère et sœur. » La dernière fois, je l’avais giflée puis nous étions allés voir Caleb. Ça c’était plutôt bien passé… Pour une fois. Malgré ça, je préférais tenir Walter écarté de ma vie. La prochaine fois, j’allais dire à Walter de fermer son orifice buccal. L’empêcher de certifier des choses impossibles à remettre en cause. Quand c’est dit noir sur blanc, t’es foutu. Du coup, j’inspirais profondément en cherchant les bons mots. Parce qu’il fallait bien que je trouve quelque chose à lui dire, un truc pour l’empêcher de partir de son côté, de lui faire croire qu’il m’embête alors que ce n’est pas du tout le cas. Il y a cinq ans, il m’embêtait, pas aujourd’hui. Alors, je serrais sa main dans l’espoir que ça l’empêcherait de s’éloigner d’moi. Je prenais une seconde inspiration avant d’expirer et de le regarder. « Je fais des efforts, tu l’sais pas vrai ? J’en fais, ils sont petits, mais j’en fais. J’essaie d’être moins distante avec toi parce que j’en ai envie et non parce que tu me l’as demandé. Je t’ai dis que j’allais essayer, j’essaie. Et parfois, j’ai l’impression de ne pas en faire assez et j’ai peur que ça te refroidisse et que tu décides de t’éloigner. Pour de bon. Alors, le fait que Walter te certifie que j’ai des sentiments pour toi me dérange parce que malgré mes efforts, j’en suis encore à la case où j’essaie de m’ajuster à ce que je ressens pour toi. »

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Oui, tant mieux, comme ça elle n'aura plus à me supporter, on se disputera moins et je ne serai plus là pour la surveiller. Idem pour moi, chacun fait sa vie de son côté et voilà. Je n'aimais pas cette situation vu j'avais tout le temps envie d'être à ses côtés. Mais je pense que c'est le mieux à faire pour nos deux. Je lui laisse son intimité, son espace de princesse. Ça me faisait bizarre de ne plus me réveiller à côté d'elle. D'après ce que je comprenais, Walter n'était pas le grand frère idéal pour Palmyr et je trouvais ça triste, déjà qu'elle avait perdu son autre frère Caleb, un très grand ami à moi. Moi je considère ma soeur comme la prunelle de mes yeux, celle que je dois protéger jusque à la mort. Je ne répondis pas, je voyais bien qu'elle n'était pas à l'aise dans le sujet familial. Je la trouvais distante, putain je flippais presque pour ça. Elle est partie sans rien me dire et elle ose me dire qu'elle fait des efforts? Désolé, mais je n'appelais pas ça un effort, je ne sais même pas comment je peux appeler ça. « Tu fais des efforts, tu me montres que t'as envie mais le jour d'après tu me montres le contraire. Je suis désolé mais quand tu pars sans rien me dire ça me donne juste l'impression que t'en as rien à foutre de moi. » dis-je en haussant les épaules. Je ne voulais pas me victimiser, loin de là, je voulais juste lui faire comprendre qu'elle n'était pas crédible de temps en temps. Je veux bien concevoir qu'elle a du mal avec les hommes depuis sa dernière relation amoureuse, mais à partir d'un moment il faut savoir ce que l'on veut. Elle s'en rendait bien compte que je pouvais partir soudainement en lui disant qu'on fonçait droit dans un mur. Je peux me refroidir, c'est vrai, je suis un mec qui se lasse vite. Mais elle sait ce que je ressens pour elle donc ça devrait être suffisant pour la rassurer. Je sentais ses doigts serrer ma main. « Et si je te dis que je ne m'éloignerai pas... » j'arrêtais de marcher et je me mettais encore face à elle. J'ai besoin de la regarder pour ne pas louper une seule expression de son visage. Mmh, un jour elle me dit qu'elle ressent la même chose que moi, l'autre jour elle ne sait plus. Il faudrait savoir. On ne joue pas avec les sentiments, ils ne viennent pas et repartent comme le train. Même si ce n'était pas cool à entendre, je veux quand même lui poser quelques questions pour l'aider à l'éclairer. « Tu ressens quoi quand t'es jalouse? Tu ressens quoi si je te dis que j'ai passé la nuit avec une autre fille? Dis moi à quoi tu penses si je te dis que cette fille est complètement sous mon charme et qu'elle est déterminée à m'avoir rien que pour elle? » ah! Le sujet qui fâche. Je parlais de Delilah et il fallait que Palmyr sache qu'elle n'était pas la seule à me désirer. Mais malgré ça, c'était quand même Palmyr pour qui je craquais.

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— with royce magyar.

Pour une fois, je ne tournais pas autour du pot. Je n'évitais pas sa question en changeant complètement de discussion. Je lui répondais de la manière la plus honnête. Ça c'était selon moi puisqu'il semblait que Royce n'était pas d'accord avec moi. Pas complètement. Il ne le voit peut-être pas, mais je faisais réellement des efforts. Lui, il voyait clairement que la moitié de ces efforts et le retournement qui se produisait, parfois, par la suite. Bien sûr, je ne m'attendais pas à ce qu'il remarque tous les efforts, mais au moins une partie. Juste une toute petite. « Combien d'fois tu vas l'utiliser celle-là ? Je suis partie cinq jours, pas une année. Cinq jours, Royce. » Je voulais savoir combien de fois j'allais l'entendre me dire que j'étais partie moins d'une semaine ailleurs sans dire le moindre mot à personne. Le pire est qu'il connaissait la raison de ma fugue soudaine et de mon envie de ne pas donner la moindre nouvelle à aucune personne de mon entourage. Ce n'était pas la fin du monde et j'étais de retour. J'étais là devant lui, à m'agripper à lui comme s'il était comme une bouée de sauvetage. Oui, j'étais distante et oui, ça devait le faire chier, mais il fallait me prendre par la main. J'étais comme un enfant par rapport à l'amour, préférant qu'il se produise autour de moi qu'à moi depuis ma dernière relation. Je ne tombais pas amoureuse comme les gens tombent d'une chaise. « Je préfère que tu ne me le dises pas. Comme ça, ça fera moins mal quand tu vas t'éloigner. » Je préférais être honnête voir même pessimiste. J'étais naïve, certes, mais rêveuse ne faisait pas partie de ma personnalité. Sans le vouloir, je sentais mon attitude se changer suite à ses deux dernières questions et je retirais ma main de la sienne comme s'il était le feu. Je savais que je n'étais pas en droit d'être jalouse ou en colère, je l'avais cherché, mais je l'étais. Point final. « Quand je suis jalouse, je ressens de la frustration de laisser des situations ridicules m'atteindre. Et j'me sens comme une idiote, mais peut-être que je l'ai cherché. Je suis partie, tu t'es senti comme un con, j'imagine, de t'être accrocher à une fille comme moi. » Quant à cette dernière question, je n'étais pas certaine. Pas du tout. « Sincèrement ? Je n'y peux rien contre sa détermination et ne va pas croire que c'est parce que tu ne comptes pas pour moi, c'est faux. Mais parce que je n'ai probablement pas la force de me battre contre une fille qui peut t'apporter c'que tu veux. Maintenant. Pas je-ne-sais-quand. » Par exemple, des démonstrations d'affection sans un retournement de situation. Une sécurité de ne pas voir une fille qui te plaît disparaître sans un mot et réapparaître cinq jours plus tard.

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D'habitude, les filles savent ce qu'elles veulent avec moi. J'ai jamais eu de problèmes comme ça quand une fille me plaisait. Je lui disais ce que je ressentais et elle aussi me répondait honnêtement. Soit ouais Royce tu m'intéresses ou non tu ne m'intéresses pas. Mais avec Palmyr c'était ni l'un ni l'autre, c'était confus et je détestais l'embrouille qu'elle mettait dans ma tête. C'est comme si je me battais pour quelque chose que je n'aurais pas au final et ça commence à me lasser. Je ne me lasse pas de Palmyr en elle-même, je me lassais juste de son comportement. Je me sentais pas con de m'être attaché à elle, je n'ai pas dit ça et je ne le pense pas. « Non, je me sentirais con si au final notre relation n'aboutira à rien. » répondis-je simplement. Pas besoin d'expliquer plus, c'était clair et net ce que je disais. Je souriais nerveusement. Quel manque de confiance en elle! Elle avait tout pour battre Delilah. Déjà, avec Palmyr, il y avait les sentiments alors qu'avec la student, il n'y avait rien, juste de l'attachement et de l'affection. C'est sur que si je devais choisir entre les deux femmes mon choix serait d'office porté sur la jeune blonde. Sans hésiter. « La question n'est pas de se battre, pour moi tu as déjà gagné. Je suis complètement dépendant de toi, tu te rends compte de ça? » je sentais mon coeur battre vite mais je ne sais pas si cette sensation était agréable ou pas. J'ai l'impression que la quincy va encore me sortir quelque chose qui me fera mal. Moi je me battais pour elle, tous les jours, je veux qu'elle enlève ses barrières complètement mais c'était trop lui demander. Que dois-je faire du coup? Peut-être mettre un peu de distance entre nous le temps qu'elle sache vraiment dans quoi elle veut s'engager ou pas.  « Si tu ne sais pas ce que tu veux, on a qu'à rester amis pour le moment. »  ce n'était pas un reproche, je le disais même avec le sourire. Si ça pouvait la rassurer, alors on va diminuer la cadence, en tout cas je le ferai de mon côté, histoire qu'elle se bouge toute seule car j'ai l'impression d'encore une fois la forcer.

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— with royce magyar.

Parfois, j’avais de la difficulté à comprendre pour quelle raison Royce s’accrochait à moi. J’étais définitivement la fille la plus incertaine de son entourage. Certains jours, j’étais certaine de le vouloir alors que d’autres jours, ça me terrifiait. Il était en droit de penser que je jouais avec lui, avec ses sentiments alors que ce n’était aucunement le cas. M’amuser avec les sentiments des autres, je ne connaissais pas. Je soupirais en baissant le regard préférant davantage regarder me torturer les mains. J’occupais mes mains depuis que je l’avais retirée de celle de Royce. « Non, c’est ça le problème. Mon problème. Je suis aveugle, je ne vois rien même si c’est évident pour les autres. » On en parle de Tamsin ? Adrian ? Eux, ils voient que j’ai bien plus de l’affection pour Royce. Moi, je me dis que ça va me passer. Comme ça va lui passer. Pourtant, je continuais à m’accrocher à lui. À faire des efforts même s’ils étaient minimes. Ils étaient présents, il fallait tout simplement une loupe. Mes efforts étaient comme la poussière; invisible. Mon regard se releva quelques secondes, sourcils froncés afin de décerner une toute petite trace de colère ou même de reproche dans sa voix ou sur son visage. Absolument rien. Un second soupir. Je pesais les pours et les contres. Est-ce que j’étais contente de cette décision ? Non. Sauf que c’était une bonne idée. « Très bien, on fait ça. Ça te donnera le temps de te remettre de ta rupture par la même occasion. » Qui datait d’un peu moins d’un mois, je le rappelle. Ça lui évitait de se précipiter dans un second gouffre après d’en être sorti d’un. Ça m’évitait de me sentir comme une rebound girl pour lui et tout le monde.

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— with palmyr.

Ça me faisait chier d'en arriver là mais c'était sans doute la meilleure solution pour ne pas faire de bêtises et ne pas nous faire du mal encore plus inutilement. D'ailleurs elle le disait, elle ne voyait rien. Pas grave Palmyr, prends le temps de chercher à ton aise et le jour où tu auras ta réponse on verra si je suis encore à ton cul ou pas. Selon moi, elle était jeune, elle manquait affreusement de confiance en elle et elle n'arrivait pas à faire confiance aux gens, à me faire confiance. C'est des points négatifs, je vois pas ce qu'il y a de positif dans la discussion. Ça me désole. Au fond, on faisant cet accord, je me dis que c'était un peu comme si on mettait un trait à tout ça. Est-ce que je le veux? Non. Je vais devoir vivre normalement les prochains jours en me demandant si je devais l'oublier ou pas. Je n'espérais jamais pour rien, quand je sens que je n'aurai pas ce que je désire, c'est même plus la peine d'y penser. A l'heure actuelle, je le sens mal, mais je ne dis rien. Je fronçais les sourcils lorsqu'elle me parla de ma rupture. M'en remettre? Aha, c'est la meilleure, je me porte comme un charme chérie. « Pff, j'ai pas besoin de m'en remettre. Ma rupture a été la meilleure chose qui me soit arrivée depuis des mois. » dis-je en rigolant. En gros, cela ne me faisait pas plaisir. Sérieusement, j'en avais plus à rien à foutre de Leevy et si elle doutait encore là-dessus c'était décevant. Je l'ai quand même trompée avec elle non? Je commençais à avoir mal au crâne à force de parler avec elle. J'avais du mal à croire qu'elle était d'accord qu'on reste ami alors qu'il y avait une fille à l'extérieur qui pouvait me sauter dessus si je claquais des doigts. « Si on prend nos distances, ce n'est pas pour moi, c'est pour toi. » soupirai-je d'un air triste. C'est la vie, c'est comme ça quand on prend l'habitude d'arroser le palmier; on en devient accro. Je vais la laisser respirer. La balle était dans son camp, c'était à elle de la lancer ou pas.

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— with royce magyar.

Peut-être que je faisais une erreur, peut-être que non. Je n’en savais absolument rien et comme toujours, je n’allais pas être préparée au pire. Ou alors minimalement. Je ne savais pas combien de temps pouvait s’écouler avant que je réalise qu’il me manquait. La dernière fois, cela avait pris quelques semaines avant que j’accepte que Royce me manque. En tout cas, je préférais laisser le temps agir par lui-même. Que de me forcer pour quelque chose dont j’étais incertaine. Ça me brisait le cœur et j’aurais préféré que Riley décide de me sortir ce soir au lieu d’hier. « Okay, si tu le dis. » Disais-je tout simplement d’une toute petite voix. Je n’allais pas en parler davantage. Ni même le contredire. S’il le disait c’est que c’était vrai. Ça ne faisait que confirmer que j’étais le problème entre lui et moi. Que j’étais celle qui avait besoin d’espace et qui était terrifiée de l’attachement. Est-ce qu’on peut m’en vouloir ? Non. Il venait de le dire; si on faisait ça c’était pour moi. J’acquiesçais de la tête, muette et regard dans le vide. Puis, j’inspirais profondément et expirais en le relevant les yeux vers lui. Je n’aimais pas voir un air triste sur son visage. J’osais faire quelques pas vers lui puis enrouler mes bras autour de son torse parce que c’était ma signature. Ce n’était pas la première fois que je faisais ce geste. « Ce n’est pas un adieu, tu sais. Je suis toujours là, je ne vais pas prendre la fuite. » Murmurais-je contre lui. Promis, cette fois, je n’allais pas m’enfuir à quelques heures de vol chez ma mère. J’allais rester ici, chez moi. À me retourner le cerveau, incertaine de cette décision d'accepter qu'on soit amis pour le moment.

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