Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashforward) don't fuck with my love ◇ Romyr
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


(flashforward) don't fuck with my love ◇ Romyr

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't fuck with my love
— with palmyr.

Cela faisait cinq jours que Palmyr était portée disparue. Cinq jours ou plus, pour moi cela faisait plus d'une semaine qu'on ne s'était pas vu face à face et putain, qu'est-ce que ça me saoulait. Je ne savais pas ce qu'elle faisait, ni avec qui elle était donc forcément je m'inquiétais, moi et mon côté jaloux qui sortait de plus en plus. Elle me manquait, atrocement. Elle ne répondait pas à mes appels, ni à mes textos et son frère m'envoyait chier quand je lui demandais des nouvelles de sa soeur. J'étais lessivé, j'en avais marre de m'accrocher aux filles qui prenaient la poudre d'escampette. Au final, je ne m'attacherai plus à aucune nana sur cette terre. Dans mon grand moment de solitude, j'en ai profité pour passer du temps avec Delilah qui était revenue et récemment on avait retrouvé notre complicité d'avant. Roylilah le retour faisait fureur, pour le plus grand plaisir de madame Cartwith. Même si je passais du bon temps avec elle, je ne pouvais pas me sortir Palmyr de la tête et j'aimerais bien qu'elle disparaisse de mon esprit, les choses seraient tellement plus simples. Aujourd'hui je devais faire des courses car j'avais enfin récupéré mon ancien appartement, le tout petit miteux mais si convivial. Il me fallait donc de la nourriture, des trucs de bébés pour l'arrivée de bébé Oscar. Au moins, maman sera contente de se débarrasser un peu de son fils. Enfin, je ne peux pas dire qu'elle l'a eu h24 vu qu'elle avait engagé une nourrisse. Je marchais dans les rues de Boston le sourire aux lèvres et juste devant moi, je voyais une jolie blonde sortir d'une boutique. Je connaissais ce visage, se déhanché et ce fessier. Palmyr is back. Mon visage changea totalement d'expression. Je marchais vers elle pour la rattraper et je lui volais le téléphone qu'elle tenait dans ses mains pour me l'approprier. Au moins, elle sera forcée de me faire face car miss je me barre sans rien dire ne pouvait pas partir sans son iphone. « Oh tiens, j'ai sept appels en absence de Royce et pleins de textos que j'ai vu sans répondre. » l'imitai-je avant de lui lancer un regard noir.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
DON'T FUCK WITH MY LOVE.
— with royce magyar.

Cinq jours. Cinq petits jours qui étaient passés depuis que j’avais prise la décision de partir loin de Boston. Ces quelques jours à Hawaii, chez ma mère, m’avaient fait du bien. Être auprès d’une personne qui ne complique pas mon cerveau avait fait changement. Durant ce laps de temps, mon portable avait été au repos, ne l’utilisant pas. Même sur Instagram, j’avais été absente alors que je suis la meuf qui poste une photo tous les jours, pratiquement. J’avais juste disparue quelques jours sans le dire à personne et je ne me sentais même pas coupable, c’était ça le problème. Parce que je savais que durant ces cinq jours, Royce et Zéphyr avaient tentés de me rejoindre. L’un plus que l’autre. Je n’avais tout simplement pas répondu. Pour une fois, j’ai été sans-cœur et j’ai pensé à moi. C’est ce que veut Zéphyr depuis Halloween; que je pense à moi avant les autres. Sauf que toute bonne chose à une fin et ma petite fugue s’était hier quand j’ai embarqué dans l’avion et que j’ai atterri à Boston. Encore là, je n’avais prévenu personne. Bref, je serais bien restée enfermée entre mes quatre murs, mais fallait que je fasse les courses du coup j’étais sortie à l’extérieur en direction du magasin biologique. À Hawaii, ma mère m’avait fait goûter à un truc et j’en voulais. C’était tout ce dont je désirais et je pouvais enfin retourner chez moi et c’est à quoi je pensais en sortant de la boutique. Ouais, ça c’était avant qu’on me prenne mon portable. Avant de reconnaître Royce, j’étais prête à crier au vol; ma vie entière se trouvait dans ce portable, j’en avais besoin. Mes souvenirs, absolument tout. Je soupirais en l’entendant m’imiter, il était agaçant. Ça lui faisait quoi que je n’ai pas retournée ses appels ou répondu à ses textos ? En plus, j’ai droit au regard noir, je suis mal barrée. « J’ai échappé mon portable dans l’eau, il était mort. Je viens d’en racheter un. » C’était faux, mais je me voyais mal lui dire que j’étais partie chez ma mère après la dispute de l’autre soir. Et c’est une excuse de merde parce que je sors d’un magasin bio. « Et peut-être que j’étais occupée à aller me faire foutre. C’est ce que tu m'as dit, je t’écoute. » Ces mots étaient encore frais dans ma tête.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't fuck with my love
— with palmyr.

Menteuse. Je sais quand elle ment maintenant. Elle a exactement le même téléphone qu'avant, il ne fallait pas me prendre pour un con. Je soupirais en levant les yeux au ciel. Qu'est-ce qu'elle pouvait m'exaspérer quand elle faisait semblant. Je faisais mine de lui rendre son téléphone mais je le fourrais dans la poche de mon jeans. Confisqué jusqu'à nouvel ordre. Je lâchais un petit rictus suite à sa deuxième phrase. Elle revenait encore là-dessus. Je pensais qu'elle m'avait dit que je devais aller dormir avec d'autres filles car elle ne voulait plus de moi. Il ne fallait pas tout mélanger. Sous prétexte que je lui ai dit d'aller se faire foutre elle prenait ça comme un ordre. Okay, je sais pas ce qu'elle a foutu mais on dirait qu'elle a sacrément pris un gros coup sur la tête. « Arrête. » dis-je sérieusement en mettant mes mains derrière mon dos. Je n'étais pas là pour l'attaquer, je voulais comprendre ce qui lui a prit de disparaître sans rien dire. « Tu as un coup de soleil sur le nez et le soleil de Cambridge n'est pas assez fort en Décembre pour te cramer la peau. » j'étais très observateur. Elle avait voyagé. Avec qui? Je ne sais pas. Je sens mon ventre se retourner.  « On est partie en vacances? » lançai-je d'un ton amer en ne cessant de lui lancer ce regard qui devait surement la mettre mal à l'aise.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
DON'T FUCK WITH MY LOVE.
— with royce magyar.

No lies, j’aimerais apprendre à mieux mentir. Ou du moins, trouver des excuses meilleures que celle-ci. Il faut avouer qu’elle était vraiment très nulle. C’est ça que ça donne un Palmier sous pression; ça donne une explication ridicule. « Toi, arrête. Rends-moi mon portable. » Déjà, avant d’arrêter quoique ce soit, j’aurais besoin de savoir quoi arrêter. Lui, il a besoin d’arrêter de ne pas vouloir me redonner ce qui m’appartient. En passant, mon portable est toujours accessible, si je le voulais je pourrais m’aventurer dans ses proches. « Quoi, tu te prends pour Sherlock Holmes, maintenant ? » Foutu soleil d’Hawaii. Moi qui aimais tant le soleil, il fallait que ce soit lui qui me trahisse. Enfin, qui lui dit que je suis partie en vacances ? Ça pourrait très bien être le salon de bronzage, right ? Qu’est-ce que j’en sais, je ne fréquentais pas ce genre d’endroits. « Faire des courses, sortir le chien et faire des tâches ménagères n’est pas du tout ma définition de vacances. » Parce que, ouais, même quand je m’enfuis, j’ai des trucs à faire. Il n’y a pas de place pour le repos. Je soupirais en croisant les bras et le regardant en mode qu’est-ce que ça te fait, hein ? parce que je ne comprenais pas en quoi ça l’intéressait. J’étais partie cinq petits jours. Moins d’une semaine. Je ne pouvais pas lui avoir manqué durant ces jours.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't fuck with my love
— with palmyr.

Pff, on était encore en train de se chamailler comme des gamins. Le pire, c'est que je ne savais même pas quoi faire pour que ça cesse. Quand elle décide de vraiment m'en vouloir c'est horrible. Elle cherche à m'en faire baver par tous les moyens. J'ai cette vague impression qu'elle se foutait de moi en fait. Je levais un sourcil quand elle expliquait qu'elle n'était pas partie en vacances. Alors pourquoi son nez est cramé? Pourquoi même son frère ne savait pas où elle était? Je laissais tomber. Je sentis son téléphone vibrer dans ma poche et je ne pouvais pas m'empêcher de regarder qui c'était. « T'as un message d'Adrian. Tu devrais lui répondre. Tu lui réponds à lui non? » vu son message, ils étaient en train de discuter, donc oui, elle lui répondait. Je lui donnais son téléphone car j'avais plus envie de me battre. Il fallait se rendre à l'évidence, elle voyait quelqu'un d'autre. « C'est pas grave, j'ai saisi. » je déglutissais puis je chassais son regard. Je regardais de l'autre côté du trottoir en me demandant si elle allait s'expliquer ou rester muette. Si dans deux secondes elle ne parle pas, je me tire, pour de bon. Marre qu'on me prenne pour un con.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
DON'T FUCK WITH MY LOVE.
— with royce magyar.

Je ne savais pas combien de temps il allait m’interroger, mais ça commençait à m’agacer. Retourner chez moi, en paix, semblait tellement loin maintenant qu’il était là. Avec mon portable dans sa poche. À me passer un interrogatoire afin de savoir où j’étais. Il s’était inquiété, c’était mignon et j’ai lu ses textos et reçu ses appels, mais je les avais ignorés. J’avais voulu lui répondre de ne pas s’inquiéter, mais les gens s’inquiètent davantage lorsqu’on dit ça alors il avait reçu le traitement du silence. Là, il m’en voulait, je le comprenais tout en ne le comprenant pas. C’était 50/50. Lorsqu’il sortit mon portable de sa poche, j’allais le remercier et probablement partir sauf que non. Il fallait que ce soit un texto d’Adrian. « Si je lui réponds, c’est parce que je suis de retour. Tout le monde a eu droit à mon silence, Royce, ne te pense pas spécial. » Même Zéphyr alors que je pouvais échanger des dizaine de textos avec lui. Ouais, bon, pourquoi est-ce que je lui donnais une explication ? Ça ne changeait absolument rien. Il arrivait quand même à me faire sentir mal. « Et qu’est-ce que tu viens de saisir exactement ? » Je le regardais alors qu’il regardait ailleurs. « Je vais te dire ce que t’as saisi ; rien du tout. Je n’étais pas avec lui ni avec personne, j’étais toute seule chez ma mère avec mon beau-père et ma mère et leur chien. Ça t’aide à saisir quelque chose ou pas du tout ? » Soupir, j’en avais marre de me prendre la tête avec Royce. Ça me donnait des migraines.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't fuck with my love
— with palmyr.

J'étais curieux mais je ne sais pas si je voulais plus d'informations sur ce Adrian. J'étais jaloux et je pouvais vraiment être méchant quand c'était le cas. Donc je vais m'abstenir tant que ce prénom ne sortira pas trop de sa bouche. On ne peut pas dire que j'ai été sage, j'ai vu Delilah plusieurs fois pour me vider la tête. Je prenais mal sa remarque. Ça me donnait envie de rire nerveusement et de continuer mon chemin pour couper court à la discussion. Je n'étais pas spécial... ce mot résonne dans mon esprit et je ne pouvais pas penser à autre chose qu'à ça. « Je ne suis pas spécial pour toi? » j'ai besoin de l'entendre une deuxième fois, je suis un peu maso faut croire. Palmyr m'expliqua qu'elle était partie voir sa famille mais hélas, ça ne m'aidait pas à saisir. Elle ne m'expliquait pas pourquoi elle avait prévenue personne. Si elle voulait s'en aller, très bien qu'elle voyage, mais j'aurais aimé être au courant. « Non, ça ne m'explique pas pourquoi tu as décidé de partir sans prévenir. » et je ne parle pas forcément de moi. Si c'était sa façon de se venger car j'avais pas prévenu que je rentrais tard l'autre soir, c'était tout bonnement ridicule.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
DON'T FUCK WITH MY LOVE.
— with royce magyar.

Je laissais échapper un soupir. De tous les mots prononcés, il fallait qu’il relève la seule partie potentiellement négative. Celle où je dis qu’il n’était pas spécial. « Arrête. Tu sais ce que je voulais dire. » Peut-être que ce n’était pas clair, mais quand je dis qu’il n’est pas spécial, je veux dire que pour ce coup-là il ne l’était pas. Royce a une place spéciale dans ma vie, dans mon cœur également, il devrait le savoir. Il ne le savait peut-être pas, mais il devrait. Je ne me voyais pas lui dire à répétition qu’il était spécial à mes yeux. « J’avais besoin d’être toute seule loin de tout, okay ? Je n’avais pas envie de donner des explications sur le pourquoi alors je suis partie. Cinq petits jours. » En fait, je voyais davantage ça comme une sorte de fuite. J’étais carrément allée me réfugier chez ma mère parce qu’elle était plus près que mon père et qu’elle comprenait plus. Ce n’était pas comme si j’étais partie un an, mais seulement cinq jours. Un voyage de moins de 24 heures. « Si j’avais su, je t’aurais prévenu, mais je n’en voyais pas l’utilité sur le moment. » Franchement, j’aurais préféré éviter qu’il me fasse la gueule ou répondre à ses questions. Et j’avais été égoïste au moment de prendre cette décision.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
don't fuck with my love
— with palmyr.

Non je ne savais pas ce qu'elle voulait dire. J'avais un cerveau de mec, un cerveau qui fonctionnait deux fois moins vite donc je n'arrivais pas à tout décoder le langage féminin. Spécial? Moi je le prenais comme si j'étais un mec banal qui comptait pas pour elle, ouais je voyais bien en noir sur le coup. Soit elle a parlé trop vite, soit on n'avait pas le même sens du mot spécial. Maintenant que je savais la raison de son départ, je culpabilisais. Je faisais le lien avec notre dispute et je me sentais con de ne pas avoir fait le rapprochement plus tôt. « Je ne voulais pas te mettre dans cet état. » dis-je honnêtement en faisant référence à la fois où elle m'avait foutu dehors. C'était ma petite façon de lui dire que j'étais désolé. Plus de pression s'il vous plait, je voulais juste retrouver mon petit palmier, comme à chaque fois qu'on était content de se voir. « C'est long cinq jours. » j'affichais un faible sourire qui ressemblait à une moue et je sortais les mains de mes poches. Si je n'avais pas arrêté mes bras, je serais en train de lui faire un câlin, par réflexe. « Tu m'as manqué. » avouai-je tout bas. La fin de ma phrase était à peine audible. Je ne sais pas pourquoi mais je me sentais déjà mieux. La revoir, c'était tout ce dont j'avais besoin.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
DON'T FUCK WITH MY LOVE.
— with royce magyar.

Que ce soit Royce ou une autre personne qui m’avait mise dans cet état, je serais quand même partie de Cambridge. Être loin de tout avait été plaisant et par la même occasion, ça m’avait permis de revoir ma mère en près d’un an. Elle m’avait manquée. Étrangement, Richard aussi. « Ne t’excuse pas, tu n’es pas la seule personne a m’avoir donné envie de partir. » Il y avait Tamsin et Adrian. Tamsin avec cette histoire ridicule et Adrian avec sa requête de choisir entre lui et Royce. J’avais carrément remis tout ça plus tard avec un non, merci. « Pas tant. Ça passe vite et puis, t’as probablement trouvé des trucs à faire pour ne pas t’ennuyer. » Des trucs ou quelqu’un, je ne voulais pas savoir. Ça allait juste mettre du gaz sur ma jalousie, l’enflammer davantage et ce n’était pas ce que je désirais. J’en avais marre d’être jalouse alors que notre relation était qu’un énorme point d’interrogation. Le fait de se chamailler comme si nous étions un couple n’aidait aucunement. Pourquoi il s’arrêtait dans son geste de me faire un câlin ? Hein, pourquoi ? « Vraiment ? » Même s’il l’avait dit tout bas, je l’avais compris. Ça m’avait surpris du coup le vraiment était sorti tout seul. Sans que je réfléchisse.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)