why I fall on you ? (azraël)

Tout serait plus facile si elle était blonde ou rousse. Ou autre chose que brune avec un regard comme celui-là. Là, il n'y aurait pas de souci. Vraiment pas. Il est partagé entre aller vers elle ou partir en courant. Et difficile de savoir ce que son cerveau veut réellement. Trop faible. Bordel. C'est ensuite qu'il arque un sourcil. Elle aime jouer ? Et voilà, pris dans ton propre piège, Aaron. Bravo, tu vas jamais t'en lasser, de jouer. T'aimes trop ça. Mais la suite n'envisage rien de bon, dans ses résolutions de fin d'année. Non, parce qu'il se retrouve derrière une porte, seule avec Azraël. Qu'est-ce qui le retient, maintenant ? Parce que le faire, dans un endroit vraiment, vraiment public, c'était gênant enfin, il n'a pas envie de se faire prendre et être viré de l'université alors que justement, il commence à être studieux. Vingt cinq minutes mais il n'a pas le temps de réagir, qu'il sentit la main de la brune sur son entre-jambe, ce qui a le don, de faire son effet. Il la regarde, laissant un silence planer... Toi. Et sr ce mot, il la fit reculer et poser ses lèvres sur les siennes. Allez, il craque, le faible.

Suffisait qu'il le dise. T'étais peut être pas au point d'effectuer le moindre de ses désirs mais.. T'aimais trop jouer pour laisser une occasion pareil passer. Et forcément que tu t'y mettais à fond pour le faire craquer et quoi de mieux que l'enfermer avec toi dans une pièce sans l'ombre d'un regard ? Disons que ça aurait peut être le don de le dérider un peu. Et ouais, ça marchait plutôt bien puisqu'à peine après avoir placé ta main sur son entrejambe, il cédait finalement à la tentation te faisant reculer pour attraper tes lèvres en même temps. Encore une fois, t'avais gagné. Et puisque tu n'aimais pas passer par quatre chemin, tu défaisais la ceinture de son jean, déclipsait le bouton et baisser la fermeture éclair pour le libérer de ce qu'il avait carrément en trop avant de rompre le baiser. Je t'excite assez maintenant ? que tu disais avec un petit rire. D'toute manière, il pouvait plus vraiment dire le contraire maintenant.

Faible. C'est bien un mot, qu'il le définit. Et comment changer ? Ah bah ça, c'ets la grande question. Une question, à laquelle, là, il ne veut pas se poser. Tant pis, il craque totalement. Voilà qu'il l'embrasse en la faisant reculer alors que son bas fut immédiatement, enlevé. Et il fait de même, avec elle. Tu veux parler ou prendre du bon temps ? Simple question, car pour lui, son choix est vite fait. Il ne veut plus parler. Juste, passer aux choses sérieuses. Voilà, pourquoi, il lui retire son haut alors que sa main, glisse, ensuite, vers son entre-jambe pour qu'elle soit, un peu, au même niveau que lui. Ouais, ça serait plus cool, non ?

Absolument pas même. Parce que vraiment, suffisait de voir son état pour comprendre que t'avais pas besoin de faire grand chose pour le mettre dans un état second et.. Tant mieux pour toi. Au moins, t'avais la conviction que tu lui faisais de l'effet et que s'il évitait de te regarder dans les yeux c'est parce qu'il avait définitivement quelque chose. Il venait tout juste de te retirer ton jean te posant une question qui t'arrachais un sourire. Effectivement, pas besoin de parler dans ce genre de moment. D'ailleurs il virait aussi ton tee shirt avant de faire glisser sa main jusqu'à ton entrejambe et tu ne pouvais t'empêcher de laisser s'échapper un gémissement. Ouais bon, peut être que t'étais un peu en manque. Et tu t'attaquais à son caleçon pour le lui faire descendre avant de plonger la main de ton sac sortant une capote. Que les choses sérieuses commencent.

De toute façon, Aaron est incapable de parler, dans ces cirsconstances. Soit, on parle, soit on passe à l'action. Il faut choisir. Et heureusement que la jeune brune fait aussi le même choix, que lui. Pratiquement, tout les vêtements sont à terre, il ne reste plus que les sous-vêtements. Sa main à lui, se fait plaisir, plus bas, histoire qu'elle soit préparé, sinon, ça pose problème. Un sourire apparaît sur son visage en la voyant faire, avec cette protection. Il ne peut attendre. Il a envie d'elle. Totalement. Il ne réfléchit plus, il est dans l'instant présent. Déjà au top, et capote dans son emballage, Aaron se rapproche d'elle, après lui avoir retiré, son bas. Il se rapproche davantage et quand il remarque que c'est bon, il rentre dans un long soupir, tout en portant la jeune femme et la plaquant mieux, contre le mur, qui se trouvait, derrière elle.

Pour le coup, si tu ne pouvais pas vraiment le supporter en temps normal, là vous étiez carrément sur la même longueur d'onde pour ton plus grand plaisir. Puisqu'à peine avais tu sortit la capote qu'il attrapait celle ci la sortant de son emballage avant d'entrer en toi te collant contre le mur. Tes mains aggripés dans ses cheveux, tu le laisser rythmer la cadence te contentant de gémir à chaque mouvement de sa part. Et.. Peut être bien que c'était un bon coup en fait. Plus que ce que tu n'aurais pu croire à vrai dire. C'était quand même stupide d'en arriver là juste en partant dans l'optique de le faire chier. Mais c'était fait et tu venais retrouver ses lèvres avec envie alors qu'il accélérait un peu plus la cadence en augmentant ses coups de bassin. Ouais bah disons que tu ne regrettais pas tellement en fait. Et tu pouvais constater qu'au final, il n'usait pas que des paroles.

Impatient. Il es trop impatient. Voilà pourquoi, il enfile la capote et voilà qu'il rentre en elle, dans un long soupir, alors qu'il la porte, en le tenant fermement. Ses coups se font lent, intense avant d'accélérer un peu plus, nichant ses lèvres dans le creux du cou de la jeune femme. Puis, retrouvant ses lèvres, un baiser. Un baiser qui en dit long, sur son désir pour elle. Pense-t-il, à cette fille ? Non. Parce qu'il fait abstraction, de tout. C'est Azraël, devant lui et pas une autre. Il en est bien conscient. Mais c'est vrai qu'il garde les yeux fermés, quand il remonte, à son visage. Quelques baisers, il vient même à la mordiller, de par endroit, sans lâcher le rythme qui lui donnait beaucoup de plaisir. Depuis, quelques mois, il n'a rien fait, en fait, depuis son retour.. Donc, il essaye de ne pas trop finir mais, difficilement.

Bref, peut être que tu dépassais un peu les limites par moment. Parce que t'étais quand même en train de t'envoyer en l'air dans un cagibi et si vous vous faisiez attraper, tu savais que c'était l'exclusion. Le sexe dans l'université était absolument pas toléré et.. Peut être bien que tu partais trop en vrille ces derniers temps. Mais peu importait, tu prenais ton pieds, c'était l'essentiel au final. Et l'acte touchait à sa fin, tes pieds regagnaient le sol et t'inspirais profondément le poussant pour récupérer tes affaires. Et une fois que t'étais correctement vêtu, tu le regardais avec un petit sourire passant tes doigts dans tes cheveux pour avoir l'air présentable. Tu vois que ça peut avoir du positif de me regarder. Ouais, clairement, encore une fois, tu te moquais de lui mais c'était juste pour le taquiner un peu. Et faudrait vraiment qu'il pense à t'expliquer quel était son putain de problème en fait.

Difficile d'y résister. Voilà que la fin se présente et Aaron put lâcher un long soupir, après cet acte. Il se recule d'elle, tentant de reprendre ses esprits. Il n'aurait pas imaginé faire ça, maintenant et surtout avec elle. Est-ce qu'il regrette ? En fait, il regrette d'avoir été faible. Trop faible. Il vient à remettre tout le bas mais il prit la parole alors qu'il n'avait pas encore remis le haut. Et ça sera bien, la dernière fois, que j'te regarde.. Ouais, il redevient comme au début. Pas facile à suivre. Bon, c'était cool d'avoir ce moment avec elle, elle était plutôt douée mais, son avis sur elle n'a pas changé et il veut toujours l'éviter. Il ne veut pas rentrer dans ce petit jeu.

De toute manière, tu ne le lâcherais pas. T'avais peut être pas eu la réponse aujourd'hui mais tu finirais par l'avoir sans aucun doute. C'était un fait. Parce que tu savais te montrer persévérante quand tu voulais quelque chose et qu'il n'allait pas y échapper. Tu veux parier ? Parce qu'il disait exactement la même chose avant et pourtant, voilà ou vous en étiez. Haussant les épaules, tu posais ta main sur la poignée de la porte avant de le regarder en haussant un sourcil. J'sais pas exactement ce que je t'ai fais en premier lieu mais.. Quand je veux quelque chose, je l'obtiens. T'esquissais un sourire avant d'agiter tes boucles brune. Et aujourd'hui, j'ai décidé que c'était toi que je voulais. Il pouvait bien résister autant qu'il voulait, tu gagnais toujours. Tu maîtrisais les jeux à la perfection et ce n'en était qu'un nouveau.