why I fall on you ? (azraël)

Faut croire qu'il préfère être emmerder. Car franchement, il ne pense pas qu'il lui dira la véritable raison. C'est quelque chose de personnelle, qu'il ne discute même pas avec ses plus proches amis. Penser à elle, lui fait mal. Alors, voir son regard, c'est la pire des tortures. Il hausse les épaules, en guise de réponse. Ouais, pas fameuse la réponse mais c'est tout ce qu'il a. Peut être, qu'il devrait arrêter de jouer au mystérieux, mais l'habitude a pris le dessus. même si, maintenant, il n'a plus aucun secret pour personne. Finalement, il lève les yeux vers elle. Il espère qu'elle soit satisfaite. Parce que, c'est un gros effort, aussi fou que ça puisse l'être. Presque, t'as pas vu, j'ai failli avoir une crise cardiaque. Petite ironie. Il reprend son livre et tout ce qu'il veut, c'est partir. Bordel, pourquoi ça lui arrive maintenant. Maintenant, tu peux aller emmerder, le premier type qui passe.

En fait, t'aimais pas lâcher le morceau aussi facilement. Alors forcément, t'essayais de trouver toutes les raisons du monde pour être encore plus chiante que d'habitude. Ahaha, tu devrais revoir ton humour. Puisqu'il était tout sauf drôle en fait. Tu levais les yeux au ciel n'arrivant même pas à te comprendre toi même. Il t'exaspérait plus que la moyenne et pourtant, tu restais planté là au lieu de partir dans la direction opposé pour faire tranquillement ta vie. Peut être que t'étais un peu conne sur les bords parfois. En fait, c'est tellement plus drôle quand je t'emmerde toi. T'esquissais un sourire battant des cils faisant un pas de plus vers lui. Ce qui était con, c'est qu'il était bloqué contre le mur et que pour s'échapper pour la peine, c'était un peu compliqué. Ouais. Sauf s'il te poussait mais, ce serait pas fair play sachant que t'étais une nana. C'est si irritant ma présence ?

Voilà, il venait de porter son regard sur elle. Et, ça n'a pas été facile. Car beaucoup de choses sont remontés dans sa mémoire. Qu'il tente d'effacer, au plus vite. Et regarder, encore, ailleurs. Non, mais ça devient pathétique, c'est sûr mais s'il continue à la regarder, il ne sait pas ce qui peut se passer. Peut être, quelque chose dont il pourrait regretter. Levant les yeux au ciel, il se demande, par la suite, si elle va aller chercher une autre personne à emmerder. C qu'il l'arrangerait fortement. Mais c'est peine perdue. Et en plus, elle se rapproche. Lui, il recule ? Euh, ouais, enfin, il n'a pas le pouvoir de traverser les murs et il aurait aimé, cette fois. Des frissons le parcourent, il est facilement déstabilisé et il déteste ça. Il fit une grimace mais il sait que ce comportement ne marchera jamais. Donc, autant être lui-même, non ? Son regard se fit plus... coquin ? Un truc du genre. Non mais, si tu continues, je te plaques contre le mur et je t'arrache tout tes vêtements. dit-il d'un sourire en coin. S'il fallait rentrer dans un jeu, le voilà. Et peu importe, où il se trouve.

Non mais parce que t'avais clairement l'impression qu'il était à la limite de gerber en t'ayant en face de lui et tu comprenais pas. Mais peut être que ça servait à rien. Il semblait qu'il n'était pas disposé à faire le moindre effort. Manque de chance pour lui, t'avais du temps à tuer et.. T'avais clairement envie de lui faire péter les plombs. Et quand t'avancais vers lui il reculait butant aussitôt contre le mur. Too bad. Tu souriais alors qu'il sortait un truc que t'aurais cru entendre de sa bouche et pour le coup t'étais un peu choquée. Mais tu te ressaisissait assez vite pour ne pas lui montrer qu'il venait de te déstabiliser esquissant un sourire. Ah ouais ? Essaie pour voir. Ouais, tu le mettais carrément au défi pour la peine. Parce qu'il voulait faire le beau mais restait à voir s'il était capable de faire quoi que ce soit et ça, clairement, t'en doutait.

Aaron ne voulait clairement pas, céder. Enfin, il en joue mais il sait très bien, qu'il peut flancher et tomber dans son propre piège sauf que montrer sa faiblesse, ça va un moment mais après, ça marche plus. Il ne sait pas quoi faire et il n'a pas envie de laisser le contrôle à Azraël. Donc, c'est pour ça, qu'il décide de rentrer dans ce jeu et de lui dire ce qu'il veut vraiment. Car soyons honnête, c'est ce qu'il veut. Il est partagé, avec elle. Ce n'est pas qu'il ne l'aime pas, c'est juste qu'il n'aime pas ce qu'elle lui fait penser. Compliqué. Qu'il essaye ? Avec plaisir. Aaron esquisse un sourire avant d'échanger la position et donc, qu'elle se retrouve contre le mur. Sa main glisse sur son épaule jusqu'à sa taille mais il fait attention, à abaisser une bretelle de son haut alors que sa main, continue son chemin, ensuite, jusqu'à son pantalon. Il se fiche totalement, de ce qu'il y a, autour, c'est hallucinant. Parce qu'en réalité, il a quoi, à perdre ? Je peux continuer. Ce n'est pas une question mais un avertissement. Bien qu'il remarque qu'il a l'avantage et qu'il peut s'en aller, s'il veut.

Ouais, bien sûr qu'il n'en était pas capable. Il pouvait même pas te regarder correctement alors pourquoi est ce qu'il faisait le mâlin à parler de te retirer tes fringues ? C'était du n'importe quoi et pourtant, tu le poussais au défi juste pour voir jusqu'ou il serait capable d'aller. Savoir s'il n'utilisait que les mots ou s'il pouvait aussi avoir les actions. Et d'un seul coup, les positions étaient inversés alors qu'il s'amusait à abaisser une bretelle de ton haut faisant glisser sa main le long de ton corps. Et pendant tout ce temps, tu continuais de sourire amuser. S'il croyait que ça t'intimidais, il s'trompait. Genre carrément. C'était tout le contraire en fait. Il me semble pas que t'avais parlé de baisser une stupide bretelle. Et peut être que tu jouais un peu avec le feu mais t'en avais rien à faire. C'était ce que t'aimais toi. Toujours pousser les choses à l'extrême. C'était comme ça que tu fonctionnais de toute façon.

Bon, bon, bon... Aller jusqu'au bout ? Non mais tenter quelques trucs ? Oui. Sauf qu'il a d'autres idées en tête. Malgré son assurance, pour le coup, il n'en est pas moins, déstabilisé. Juste faire semblant, en quelques sortes. Faire abstraction de ce qu'il pense mais c'est difficile. Alors, il tente de ne pas réfléchir et commence à effleurer une bretelle de son haut, qui descendit sur son épaule. Rien de bien croustillant, c'est certain mais Aaron aime prendre son temps. Ses doigts effleurent le pantalon, au niveau de l'entre-jambe mais ne fit rien, seulement un sourire amusé, sur son visage, quand il entendit les paroles d'Azraël. Il faut certainement le mériter, pour avoir plus. dit-il en haussant les épaules, d'une légère grimace. C'st ensuite, qu'il glisse sa main sous la cuisse de la brune pour la remonter et se coller, totalement à elle. Ses lèvres effleurent son oreille, où il murmure quelques mots. Mais, tu ne m'excites pas assez.. Et sur ses paroles, il s'éloigne de son corps.

T'aimais pousser les limites le plus loin possible. T'y pouvais rien, tu fonctionnais comme ça et.. Ouais, ça te plaisait un peu trop de faire ça. Peut être bien que ça finirait par t'attirer des problèmes mais au final, tu ne faisais rien d'autre que pousser ce type le plus loin possible. Et quand il parlait de mérite, tu roulais des yeux. Des conneries ouais. Y avait pas de mérite pour ce genre de chose. Il allait pas te faire avaler qu'il ne s'prêtait à ce genre de jeu qu'avec les gentilles filles. Ce serait carrément un mensonge. Et il relevait ta jambe s'collant contre toi ce qui avait le don de t'amuser encore plus. Tu t'étais juste pas attendu à la suite et tu croisais les bras sur ta poitrine secouant la tête. J'en conclus juste que t'es un petit joueur que tu balançais en le contournant. Et j'te signale que tu peux pas le cacher, j'suppose que je t'excite plus que ce que tu veux le dire. Too bad. T'es un mec Aaron, l'oublie pas.

Jouer, jouer, jouer. Il ne fait que ça et après, il s'en prend plein la gueule. Faut croire qu'il n'a pas retenu la leçon. Même, si pour le coup, il ne s'engage à rien. Pourtant, depuis le départ de Chrysta, il s'est juré de faire attention, de privilégier un peu les études et non, de jouer de cette façon avec les filles. Car, il ne peut pas y résister. Sa faiblesse, ce sont les femmes, à coup sûr. Mais, elle. Elle. C'était difficile. Parce qu'il y a ce regard. Maudit regard. Finalement, il se détache d'elle mais sa réaction lui plait, allez savoir pourquoi et ça le dérange. Parce que je ne t'ai pas pris sauvagement contre ce mur ? dit-il en haussant les épaules avant de reprendre la parole. D'accord, tu m'excites mais pas assez. Il me faut... plus. Toujours plus. Il soutient son regard, encore, tout en essayant de ne pas voir celle qu'il redoute.

Y avait certaine chose qu'il ne pouvait pas cacher dont ça. Et ça t'amusais de le voir continuer à lutter alors qu'il ne pouvait pas gagner à ce jeu là. Pas avec toi. Parce que tu te défiles. Le truc n'était pas de te prendre contre un mur. Il avait simplement dit qu'il allait t'arracher tes fringues et au lieu de ça, il baissait une stupide bretelle de débardeur. Y avait rien de bien extravagant dedans. Tu pourrais presque être déçu. T'as de la chance que j'aime jouer. Et contrairement à lui, tu ne te défilais pas. Attrapant sa main, tu le tirais avec toi poussant une porte sur le côté avant de refermer derrière vous. L'prochain passage ici est dans 25 minutes. Ça en laisse du temps. Ouais. Et tu lui disais ça tout en faisant glisser sa main jusqu'à son entre jambe. C'est quoi que tu veux ?