COKA ✮ YOUR SMILE IS LIKE A DRUG

À l'entente de la réponse de ton mari, t'avais failli t'étouffer avec ta salive et vous savez pourquoi ? Il venait de dire "mon amour" le plus naturellement possible, lui qui avait horreur de ça. UNE GRANDE PREMIÈRE. Il faut que t'accroches ça sur le mur de ta chambre bon sang !. Ton sourire se fit plus large alors que tu avais adoré cet instant. « Tu évolues Bleeker. » Disais-tu avec la plus grande joie qui se lisait sur ton visage et par contre, t'allais pas lui dire le pourquoi du comment parce que tu voulais qu'il le refasse sortir tout naturellement, même si bon, t'étais certaine qu'il n'avait même pas fait attention et que s'il réfléchissait bien, il se demanderait comment il avait pu faire sortir ça comme ça. Non mais c'était incroyable, à croire qu'à chaque dispute, il évoluait ce n'était pas relou ça par exemple ?. Un homme né à l'envers on dira. « Non-non, on ne va pas revenir là-dessus, mais j'y peux rien parce que mon sang bouillonne lorsque qu'une nana se rapproche trop de toi. Je le vis très très très mal. J'te veux que pour moi t'sais. Avec toi, je peux me permettre d'être égoïste et je m'en fiche, que ça plaise ou pas. » Et bien-sûre on ne comptait pas sa fille et sa mère dans l'histoire ein, parce qu'eux, ils ont priorité sur le bonhomme. Cela dit en tant que bonne attaquante, tu venais de profiter d'un moment de silence pour lui balancer des coussins à la tête et lorsque tu le vis foncer sur toi, tu t'allongeais automatiquement en essayant de te protéger, mais en vain, t'éclatais de rire alors qu'il pressa pratiquement le coussin sur ton visage, mais pas au point de t'étouffer encore heureux, t'étais beaucoup trop jeune pour mourir maintenant. Il laissa tomber le coussin de côté pour plaquer ses lèvres contre les tiennes tandis que tu prolongeais son baiser en croisant tes jambes autour de sa taille. « Dis ? T'as rien rien rien remarqué ce soir ?. » Demandais-tu en mettant fin au kisskiss à contrecœur. Tes yeux glissaient automatiquement sur tes vêtements histoire de lui guider le chemin vers ton petit sous-entendu. Le tout, en entourant tes bras autour de son cou. « T'as été un vilain garçon ce soir, tu ne mérites que la fessée !. » Fis-tu en glissant ton nez contre le sien et en lui pinçant doucement sa fesse droite. Puis.. t'éclatais de rire à nouveau.

Meuuuh nonnnn Cody avait dit ’mon amour’ pour pas que Diamantika ne parlemente davantage. Vous savez, c’est un genre de ’oui mon amour tout ce que tu veux mon amour tu es parfaite mon amour’ synonyme du très célèbre ’cause toujours tu m’intéresses’ ou, comme dirait ce bon vieux poète Bazooka, Fatal de son prénom ’tu fais trop pitié tu m’saoules vazi parle à ma maiiin si t’as pas compris ça veut dire non merci hinhin’. Dans tous les cas, Cody ne capta pas en quoi il avait évolué, alors il fronça les sourcils et demanda ; « Tu m’as pris pour un Pokemon ? » Il espérait être un Pokemon cool, Arcanin, Artikodin ou Mewtwo ! Des personnages à la fois BG et costauds. Genre tu te prends une Déflagration d’Arcanin dans la gueule, c’est toi qui évolues en merguez grillée quoi, ou en galette-saucisse comme on fait chez moi en Bretagne. « Mais tu t’en fous roooh je ne sais même plus à quoi elle ressemble. » Brune, blonde ? He doesn’t remember. Tout ce dont il s’en souvient, c’est qu’elle avait une grosse paire de tétés. Après l’attaque aux coussins voltigeurs, Cody improvisa une prise de catch avec Dia, l’écrasant de tout son poids sur le tapis. Bon, finalement, il était aussi un peu prisonnier parce qu’elle refermait le compas de ses cuisses autour de sa taille. C’est là qu’elle demanda s’il n’avait rien remarqué ce soir. « Euh … » Puis « AIE. » Maaaaiiiis où elle a vu qu’on passait les fesses de son mec comme ça ? Il amena sa main jusqu’à sa fesse droite – merci pour la précision – qu’il massa lentement avant de reprendre appui contre le sol. « Le sado-masochisme ne m’émoustille pas. » Non, qu’ils restent à leurs classiques et se montrent créatifs que par les spots de crac-crac et les positions, merci. Il essaya toutefois de comprendre sa femme, avant de finalement tilter ; « Ahhhhh mais si je l’avais remarqué ! Ta nouvelle coupe de cheveux ! Elle est parfaite. » fit-il en posant sa main sur la joue de Diamantika et lui embrassant le front. Behhhh quoi, en général, quand une femme demande à son mari s’il n’a rien remarqué, c’est FORCEMENT ses cheveux. Dans tous les films c’était comme ça, et même dans Scènes de Ménage. ciale, heing, il trouvait Dia magnifique comme ça. Mais la poitrine, oui oui.

« Maintenant que tu le dis, t'as des airs de Pokemon. » Répondis-tu en plissant légèrement les yeux et en éclatant de rire. Non sérieusement, si Bleeker devenait un pokemon, il fera certainement fuir les autres et aucun d'eux n'acceptera de l'affronter en duel parce qu'ils ne pourront certainement pas s'empêcher de rire et du coup, Bleekemon gagnera facilement la bataille. Anyway, revenons plutôt à la guenon qui avait posé ses lèvres sur la joue de ton mari et bien t'allais surement pas t'en foutre, jamais de la vie, t'avais horreur de ça et ce soir, t'espérais qu'il avait bien saisi pour ne pas qu'un fâcheux incident de la sorte ne se reproduise. A l'avenir, il saura faire quelques pas en arrière si jamais une nana veut lui re-marquer sa précieuse joue. « Tu ne sais pas à quoi elle ressemble, mais je suis certaine qu'en revanche, tu sais à quoi ressemble sa poitrine. » Le connaissant, ses yeux auraient automatiquement viré vers le bas de son corps aka ses boobs et si la demoiselle avait une petite poitrine, alors il ne s'en souviendra probablement pas. Ceci dit, tu maintenais le fait que t'avais pas une si petite poitrine, Bleeker exagérait toujours. Tu viens par la suite à lui pincer sa fesse alors qu'il émet des grognements en t’avouant que le sadomasochisme ne l’intéressait pas du tout. « Quoi ? T'avais pas aimé que je te menotte à mon lit ?. » Quand tu te rappelais de cette partie-là de votre vie, tu ne pouvais pas t'empêcher de rire. Tu ne t'en croyais jamais capable de faire ça et pourtant, tu l'avais fait et t'avais même poussé le bouchon très très loin. Néanmoins, ce fut à ton tour de grogner lorsqu'il te donna une mauvaise réponse. Le mec n'avait même pas remarqué ta tenue quoi. Grrr. « Non, je n'ai pas de nouvelle coupe. » Fis-tu en fermant les yeux pour accueillir ses lèvres contre ton front. « Tu me regardes de temps en temps toi ?. » On ne dirait pas du tout. Sérieusement, t'avais l'impression qu'il matait des poitrines plus qu'il ne relookais. « J'ai mis un jean, UN JEAN !. » Olalalalalala faut tout lui dire à celui-là ce n'est pas croyable. « Ça te dirait d'aller marcher un peu au bord de la plage ?. » Proposais-tu sur une petite envie du moment. Il n'y avait personne à cette heure-ci. Et en attendant sa réponse, tu libérais ses hanches de tes jambes.

Ouais donc maintenant Cody était un Pokemon. Bien bieeeennnn … N’empêche qu’à mon prochain RP Hot je vais comparer Codynosaure à un Pokemon, sisi. Je vois bien lancer des trucs ’Codynosaure attaque Griffe’ ou bien ’Codynosaure attaque Frénésie’ et terminer par un ’Codynosaure attaque Hydrocanon’. Oh, et puis le post orgasme, le fameux ’Codynosaure attaque Choc Mental’. Ah mais ouais, il ne fallait ni me lancer, ni lancer Cody là-dessus, il risquait de casser toute l’excitation du moment en lui ressortant tout son Pokedex. Puis maintenant qu’ils parlaient de la poitrine de la nana en panne de toute à l’heure, le jeune homme se laissa rêvasser en murmurant ; « Ouais … Un 90E. Je n’en avais jamais vu d’aussi près avant. » Avec cette même passion qui émanait parfois des collectionneurs d’œuvre d’art, genre je n’ai jamais vu un vrai Picasso sous mes yeux auparavant. Mais bon, s’il continuait, c’est sa tête qui finirait en Picasso. Il le sentait, comme l’odeur de poulet grillé depuis la cuisine. « Sisi, c’était cool. D’ailleurs, tu ne l’as jamais refait, je suis un peu déçu. » Ah ben pour faire les Chapins et les jeux de rôle tordus, elle était la première. Mais pour attacher son mari de temps en temps au lit et le torturer lascivement, il n’y avait plus personne. M’enfin, t’façon, la question n’était pas à l’ordre du jour tonight parce qu’ils avaient décidé qu’ils laissaient parler leur cœur plutôt que leur corps, enfin tout le blabla bien chiant qui n’intéressait pas spécialement Cody Bleeker, mais comme il avait la flemme de faire l’amour ce soir, ça lui allait. Et flemme de regarder Diamantika, se contentant donc de dire que Dia avait changé de coupe de cheveux et qu’elle était en rade de compliment, et qu’il fallait donc boursoufler un petit peu son égo à base de ’tu es magnifique ma Diamantikouille, au premier abord j’ai cru que c’était mon reflet dans le miroir’. « Et donc ? Je dois te féliciter chaque fois que tu fais un truc normal ? » soupira-t-il en levant les yeux au ciel, amusé par sa femme qui n’était décidément pas comme les autres quoi. Les filles attendaient qu’on les complimente pour une nouvelle coupe de cheveux, pour un repas préparé avec amour. Diamantika, elle, faut la féliciter quand elle enfile un pantalon, NARMOL. « Ouais, allons-y. » Mais d’abord, ses lèvres se perdirent dans son cou, elles étaient si fraîches sur une peau si brûlante qu’elles avaient l’effet d’un comprimé effervescent. Puis, il l’embrassa tendrement, avant de se relever et de tendre la main à Dia pour l’aider. « Félicitations ! Tu es debout. » Il avait retenu la leçon. Puis, elle marcha, et là, Bleeker enchaîna ; « Félicitations ! Tu as fait un pas. » Et là, elle ouvrit la porte ; « Félicitations ! Tu as ouvert une porte. » Il apprenait vite. Une vraie éponge.

« Euh...tu veux finir en patté pour chat ?. » Non parce que tu ne te gênerais pas pour lui faire payer son insolence-là ou sa manière à te rendre doublement plus jalouse en confirment tes dires. Mais de toute façon, tu le savais. Monsieur ne résiste jamais aux grosses poitrines, c'est pas pour rien qu'il a décidé d'en avoir une aussi. Le mieux, c'est qu'il se taise effectivement. Toutefois, il réussit à te soutirer un petit rire en t'avouant qu'il avait aimé se faire attacher à ton lit. Si ce n'est que ça. « Bah t'aurais dû me dire que t'avais des tendances masochiste, je t'aurais attaché autant de fois que tu le voulais. T'aimes le fouet aussi ?. » Te renseignais-tu sait-on jamais s'il voulait aussi que tu le fouettes jusqu'à lui faire rougir ses grosses fesses. Ahem Ahem. On s'égare un peu effet. Et par contre, tu fronçais les sourcils à sa remarque et autant dire que tu n'attendais pas du tout qu'il te félicite, mais juste parce qu'il souhaitait tant te voir en jean alors tu voulais quand même avoir un petit commentaire à ce sujet, ou même un "Oh t'as mis un jean ?" aurait probablement suffi. « Bah non, tu te plaignais tout le temps de pourquoi je ne mettais pas de jean alors du coup je voulais te faire plaisir ce soir. » Rhooo, il ne comprenait rien lui, il croyait que tu cherchais les compliments alors que même pas quoi. Ceci dit, il accepta ta proposition d'aller marcher et profita pour te provoquer avec ses lèvres. Non sérieusement ? Il te disait ne pas vouloir faire l'amour ce soir et à la place, il te torturais. Grrr. Tu frissonnais au contact de ses lèvres sur ton cou alors que tu prolongeais desuite son baiser en glissant rapidement ta langue dans sa bouche. Bah bien fait, tu ne seras pas la seule torturé dans l'histoire. Il t'aida à te relever en jouant au mec super relou. Comme ci t'avais demandé à être félicité chaque seconde. Manquait plus que t'ailles pisser et qu'il t'en félicite aussi. Pas normal ce mec je vous jure. Mais tu connaissais une bonne méthode à ce pétage de plomb. Tu glissais ta main dans la sienne et l'attirais au bord de la mer où tu te mettais à marcher en sa compagne. Rapidement, tu passais de l'autre côté et hop, tu le poussais de toutes tes forces dans l'eau presque glacial. « Ça va ? Ça t'a rafraîchi les idées un peu ?. » Grand sourire aux lèvres, tu instaurais une certaine distance entre toi et le Bleeker pour éviter qu'il prenne sa revanche. « Bah quoi ? Tu ne me félicites plus là ?. » Tu le provoquais et t'allais bientôt en payer le prix, le sentant, mais tu restais néanmoins sur tes gardes et prête à prendre la fuite si jamais il tentait quoi que ce soit.

(Invité)