Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFaute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) - Page 4
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Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn)

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Je laissais échapper un petit rire alors qu’elle me contredisait et protestait, revenant sur ses mots et sa déclaration précédente. Mon rire redoubla quand la demoiselle avança l’argument du pipi… « Je vais peut être utilisé mes dents pour m’attaquer à ça… » rigolai-je en relâchant un peu le fermoir sous mes doigts. Ce fichu soutien gorge, qu’elle disait avoir de la –chance- qu’elle porte aujourd’hui… « De la chance je sais pas… » En chapeau, il aurait été un obstacle bien moins embêtant entre mes mains et sa peau… Bref, le listing de nos listes de noël se poursuivait, par une description détaillée de ses chaussettes rêvées, avec un brin de sarcasme. « Les soutifs de princesse aussi c’est en poil de licornes aussi ? » Allez savoir pourquoi la dentelle à portée de mes doigts sous ce T shirt, ça m’obsédait un peu. D’ailleurs, je jouais encore un peu plus avec, en illustration de ma menace des intérêts qui s’allongeaient à mesure que ma cravate se faisait désirer. « Ca va te coûter très cher… » assurai-je avec un sourire amusé, histoire de lui montrer que non je n’étais pas vraiment sérieux. Puis je fis à mon tour savoir mes souhaits et doléances à l’égard de ce cher papa noël, ou de toute autre bonne âme désireuse de me faire un cadeau. « Un string léopard ça m’irait à merveille aussi… » me marrai-je alors qu’elle ne semblait pas adhérer à mon désir de boxeur à cœur, m’imaginant plutôt dans un sous vêtement plus minimaliste. Mais après cela, la blondinette se détacha de mes bras, roulant sur le côté. « Hey… » m’exclamai-je en me redressant avec une moue boudeuse en la voyant d’abord s’éloigner de moi. Mais lorsqu’elle se redressa et saisit les bords de son haut, tout air bougon avait disparu de mon visage, remplacé par une expression des plus intéressées, comprenant que trop bien le cadeau qui m’attendait. Le T shirt relevé, la jeune femme s’activa à défaire le fameux et superflu soutien gorge. Et là ce fut limite si ma mâchoire inférieure ne se détacha pas de mon visage. Ne pas baver, ne pas baver… Voilà ce que je me répétais mentalement alors que mes yeux scrutaient la poitrine parfaitement dessinée de la cabot. Cinq secondes qui me parurent bien trop brèves. Parce qu’elle avait déjà tout renfilé. « Moi j’ai l’habitude de taper la bise lors des présentations… » tentai-je d’argumenter alors qu’elle me signifiait clairement de ne plus m’aventurer sous son T shirt. Brynn Brynn Brynn… Elle ne pouvait pas exhiber la marchandise et exiger de moi que je reste sagement assis sur son lit ensuite. Je saisis sa main pour l’attirer vers moi, et briser les interdits. Mes lèvres allèrent à la rencontre des siennes et se risquèrent à un nouveau vol de baiser. Tant pis pour mes bonnes résolutions, la présentation entre sa poitrine et moi m’avait surement un peu monté à la tête…
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"Mais oui tu as raison, j'avais oublié à quel point tu étais souple Zacharias." dis-tu gentiment alors que ta frimousse se moquait ouvertement de lui. Un homme aussi robuste que lui avait surement très peu de chance de réussir une prouesse pareille. Sauf que finalement tu ne savais pas trop s'il parlait d'utiliser ses dents pour dégrafer ta brassière ou pour son truc pour le pipi. Dans les deux cas tu l'observais amusée, te demandant s'il avait toujours été aussi intéressé par ta poitrine mais que tu n'y avais jamais prêté attention, ou si c'était une toute nouvelle passion pour lui. "Au risque de te surprendre oui, tu dois surement sentir la douceur du tissu sous tes doigts, c'est assez unique comme produit." Tu en rajoutais une couche, jouant toujours le jeu. En attendant Priape semblait passer du bon temps, du moins c'était de cette façon que tu interprétais son intrusion dans ton dos. Le plus surprenant c'était que ce rapprochement ne te déplaisait pas non plus. Peut-être parce qu'au fond tu avais les mêmes désirs inassouvis. Heureusement pour toi le sujet de la cravate ne se révélait pas si sérieux que ça, à ton plus grand soulagement. Néanmoins, tu te mis une sorte de pense bête mental pour te rappeler d'en acheter une, ça semblait étrangement lui tenir à coeur. "Bien faudra que tu me dises ton prix alors." finis-tu par concéder, sachant qu'une phrase perverse allait surement sortir de sa bouche dans trois secondes. Tu commençais à bien le connaitre, d'où ta supposition pour le string, en plus ça épouserait parfaitement ses courbes et mettrait en valeur ses jolies fesses. "Ça te donnerait un coté sauvage, bestiale." Un peu comme Tarzan, mais en mieux parce qu'on parle de Priape là, et que l'autre singe avec ses lianes fait pâle figure à coté. Et toujours dans l'optique de lui faire plaisir, parce que oui tu étais comme ça toi la gentillesse incarnée, tu lui dévoilais ta poitrine généreuse. Il l'avait déjà un peu aperçu en écosse mais n'avait pas vraiment pu embrasser toute sa splendeur, parce que oui tu étais fière de ce que Mère Nature t'avait offert. "Je suis désolée mais mes seins sont timides il ne faut pas les brusquer." rigolais-tu à nouveau en voyant ses yeux demander plus. "C'était une sorte de snapchat  "réel" tu vois, tu peux pas regarder à nouv ...." tes mots n'eurent pas le temps de sortir de ta bouche, que Priape t'attira vers lui, déposant ses lèvres contre les tiennes. Tu étais soudainement bien occupée. Vos souffles s'entremêlèrent alors que ta langue jouait avec la sienne. Ton coeur battait à tout rompre, et tes mains devenaient moites, au fond tout ça était devenu quelque chose de naturelle, de familier.
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« Et t’as encore rien vu… » rigolai-je alors qu’elle s’étonnait de ma souplesse. Genre j’allais encore passer pour un pervers, parce que dans mes paroles je faisais clairement un sous entendu à toutes ses positions farfelues du kamasoutra qu’on avait bien du mal à imaginer mettre en pratique parfois, du moins sans se désarticuler… Bref, je continuais de m’amuser avec le tissu de son soutien gorge, du poil de licorne apparemment. Je tâtais un peu plus le sous vêtement, en faisant style je jaugeais le tissu, fin connaisseur. « C’est effectivement très agréable au toucher… » Sauf que bon, ça aurait été encore plus agréable sans ça…  Quand on parla cravate et intérêts, parce que quand même, je l’attendais depuis Halloween, ça commençait à faire long, la jeune femme conclut qu’il fallait que je lui redise mon prix. Je fis mine de réfléchir : « Ca va te coûter au moins… Un dîner… » Parce qu’entre temps, j’avais appris à plus réclamer de conneries comme lors du 31 octobre ou j’avais en premier lieu réclamé une cravate, guidé par ma mauvaise humeur et ma bouderie. Puis je racontais ensuite mes cadeaux rêvés pour les fêtes, et m’imaginer en string léopard ne sembla pas rebuter la demoiselle. « Tu fantasmerais pas sur Tarzan toi ? » me moquai-je alors qu’elle évoquait le côté bestial d’un tel vêtement.  Enfin, je perdais vite mon côté hilare, remplacé par une expression plus sérieuse, poussant des yeux et restant bouche bée devant les présentations que la blondinette m’offrit avec sa poitrine. Trop brève bien sur. N’oubliez pas l’éternel insatisfait que j’étais. La cabot évoqua la timidité de ses seins pour justifier le fait que je ne les reverrais pas de si tôt, elle commença à parler de snap je sais pas quoi là, mais je ne le lui laissais pas le temps de finir sa phrase, fondant sur elle pour lui voler un baiser. Un baiser qui n’avait rien de timide lui, j’étais fiévreux, probablement à cause de la superbe vision qu’elle venait de me donner et très vite nos langues se rencontrèrent l’étreinte s’approfondissant un peu plus. Malgré l’interdiction, mes mains se glissèrent à nouveau sous le tissu de son T shirt, caressant doucement sa peau, avec l’envie furieuse de le lui arracher, sauf que ce fut pile poil à ce moment là que la porte de la chambre s’ouvrit à la volée. Je sursautais, cessant aussitôt mon exploration, mes lèvres se séparant d’un coup des siennes. Ma tête se tourna vers l’entrée de la pièce mais l’intrus avait déjà refermé la porte, surement gêné par la scène qui s’y déroulait. Ok, les chambres des confréries c’était vraiment pas le lieu idéal pour s’adonner à ce genre de démonstration d’affection. Je me raclai la gorge gênée : « T’attendais la visite de quelqu’un peut être ? »
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Priape avait décidément le pouvoir de glisser des sous entendus dans n'importe qu'elle phrase. Comme à ton habitude un "PERVERS." s'échappa du bout de tes lèvres, prévisible. Tu n'en pensais pas un mot, souriant gentiment. Après tout tu ne pouvais pas vraiment changer la nature propre de cet homme, et il semblerait que tu devais accepté de prendre tout le package. D'ailleurs, il continuait à jouer avec ton soutien gorge inlassablement, à croire qu'il venait de trouver un magnifique trésor. Tu te sentais étrangement flattée bien qu'il semblait beaucoup plus s'intéresser à ta poitrine qu'à ta personne, mais puisque l'un était lié à l'autre tu ne t'en vexais pas. "Je pense que c'est dans mes cordes...enfin je crois." Tu rigolais au creux de son oreille en repensant à tes piètres talent culinaire. Même un singe avec du sable arriverait à faire mieux que toi, mais au moins tu persévérais dans la tâche. Puis c'était comme avec les cadeaux, c'était l'intention et l'amour que tu mettais dedans qui comptait. En parlant d'animal, Priape semblait avoir compris que tu fantasmais sur les hommes musclés à moitié à poil. Franchement c'était le cas pour la plus part des filles sur cette terre donc tu n'en avais pas honte, à peine. "Peut-être, il est sexy quoi." avouais-tu alors que le dunster se moquait de toi. Tu n'ajoutas pas que petite tu étais amoureuse du personnage de disney, embrassant son poster tous les soirs avant de te coucher. Heureusement cette habitude t'était passée. Sinon il te prendrait vraiment pour une folle. Et peut-être que tu l'étais. Ça ne pouvait être que la raison plausible pour le geste qui s'en suivi. D'une humeur nudiste tu retirais ton haut, offrant une magnifique vue à l'homme qui se tenait juste devant toi. Un peu comme un cadeau de noël bah avant noël. Tu avais fait ton petit effet. Moins de deux secondes plus tard Priape t'embrassait avec fougue, une envie qui était plus que partagée. Alors que le dunster glissait à nouveau ses mains sous ton t-shirt, tu t'abandonnais à tes pulsions approchant ton corps encore davantage à celui du jeune homme, si cela était possible d'être plus proche. Tes mains s'enroulèrent autour de son cou alors que tu t'apprêtais à explorer cette zone encore inconnue avec ta bouche quelqu'un ouvrit brusquement la porte. Par réflexe tu t'écartas rapidement, les joues roses d'envie, les yeux surpris. Merdouille tu avais oublié que Maxine devait passer te voir pour faire une après midi entre fille. C'est que Priape arrivait toujours à te faire tout oublier, même qui tu étais. "Oui Maxine on doit passer le reste de la journée ensemble." dis-tu piteusement."Peut-être que tu devrais y aller ça vaudrait mieux..." Tu ne voulais pas, mais toutes les bonnes choses avaient une fin.
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C’était devenu un jeu, comme pour alourdir un peu plus le dossier perversion que la jeune femme devait mentalement tenir contre moi. Mais n’oublions pas que ce petit côté vicieux lui était réservé à elle uniquement. M’amusant à laisser courir mes doigts sous son T shirt en de menaçantes caresses, j’avais réclamé en guise d’intérêts de retard, un dîner avec la demoiselle qui opina, précisant que c’était dans ses cordes. « Je me rappelle d’un jour où tu avais parlé de me concocter un gâteau empoisonné… On est d’accord que le dîner doit être mangeable et sain hein ? » Je ne souhaitais pas mourir jeune moi. Je plaisantais bien sur, curieux néanmoins d’éprouver les talents de chef cuistot de la princesse. « Et tu triches pas, je veux pas de restau ou un traiteur… » Trop facile sinon. Oui, je faisais mon exigeant, éternel insatisfait que j’étais. Finalement, on dévia sur mon cadeau de noël. Un string léopard m’irait à merveille. Enfin, vu l’aveu de la jeune femme concernant son attirance pour Tarzan, j’allais peut être véritablement investir dans ce genre de sous vêtements. « Donc si je résume tu les aimes barbu, dénudé, et un peu sauvage quoi ? » rigolai-je avant de conclure : « En effet, Briony ne collait pas vraiment à la description. » C’était fou, depuis que je savais que ce n’était qu’un défi, j’arrivais vraiment à en rire de leur bisous, utilisant même ce petit détail pour la charrier. Sauf que le strip improvisé et les présentations entre les seins de Brynn et moi eurent l’effet de me clouer le bec puis de me conduire directement à ses lèvres. La jeune femme s’était rhabillée, mais mes mains retrouvèrent naturellement le chemin de sa peau, sous son T shirt, remontant doucement dans son dos avec l’envie de lui défaire à nouveau sa lingerie en poil de licorne. Sauf que, coupés dans notre élan fiévreux, la porte s’ouvrit à la volée pour se refermer aussitôt. Brynn m’informa alors que normalement, elle devait passer le reste de la journée avec l’une de ses copines. « Peut être que je ferais mieux d’y aller en effet… Je vais aller prendre une douche froide à la dunster je pense… » acquiesçai-je avec un petit sourire, sous entendant clairement que la blondinette avait su enflammer tout mon être lors de ce moment ensemble. Je ne regrettais vraiment pas d’être venu. Je me penchai une nouvelle fois vers elle, déposant mes lèvres sur les siennes avec plus de retenue cette fois, pour un baiser plus doux, plus tendre, plus rapide aussi, je m’écartai déjà d’elle pour dire : « On se voit bientôt de toute façon. Puisque tu me dois un dîner… Et une cravate ! » Petite piqure de rappel au passage. Je finis par me diriger vers la porte, espérant que l’intruse ne serait pas en train de faire le pied de grue devant, parce que ça rendrait ma sortie un peu gênante. Mais la personne qui avait interrompu notre étreinte semblait avoir déguerpi, le couloir était libre. Je me tournai vers Brynn pour la saluer avant de partir : « A très vite… »
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