Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFaute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn)
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Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn)

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Brynn Brynn Brynn… J’avais toutes les raisons toutes les raisons de la fuir. D’abord parce que j’avais terriblement honte de mon comportement envers Briony. Rappelons qu’en grande preuve de ma maturité, j’avais été l’embrasser et ce devant son petit ami dont j’ignorais l’existence. Ridicule à souhait. Mais il m’avait fallu cela pour que je réalise qu’il n’y avait vraiment de plus qu’un simple smack de défi entre les deux amies. J’étais quand même une tête de mule quand je voulais, et je me sentais complètement con d’avoir réagi ainsi, d’avoir boudé et ronchonné pendant tout Halloween, d’avoir ainsi douté de la Cabot. Et le pire, c’était que ce n’était pas tout. Je culpabilisais aussi à mort d’avoir couché avec Sienna, ou du moins c’était ce que je pensais avoir fait. Et ça me mortifiait. J’avais tout gâché avant même que l’histoire ne commence. Bref, malgré toutes ces bonnes raisons de prendre mes jambes à mon cou, il n’en restait pas moins que j’avais quand même terriblement envie de la revoir, comme habité d’un espoir vain de pouvoir encore rattraper les choses. Et c’était donc tout penaud que je me rendis à la Cabot, arrivant devant la chambre de la princesse, un brin nerveux. J’hésitai avant de toquer, réfléchissant mentalement à ce que j’allais pouvoir lui servir comme excuses. Il était encore temps de faire demi tour, je n’avais pas encore frappé alors… D’ailleurs c’était ce que je m’apprêtais à faire lâchement, sentant soudain mon courage se dégonfler à mesure que mon élan d’honnêteté s’envolait. Je ne trouvais pas de quoi justifier mon comportement, j’allais me ridiculiser encore plus. Sauf que, pas le temps de faire volte face, comme si elle avait deviné que je me trouvais derrière sa porte, la porte s’ouvrit sur la demoiselle. « Brynn ? » balbutiai-je avec un air un peu crétin. Parce que bon, j’étais devant sa chambre, qui d’autre pouvais-je donc m’attendre à voir m'ouvrir. « J’étais en train d’hésiter à frapper… Je… Je veux pas te déranger, t’allais sortir là non ? Je vais y aller… Je repasserais… » Il s’était envolé bien haut mon courage du coup...
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 "PALOOOMAAAA." hurlais-tu comme une folle en t’apercevant que la demoiselle avait osé mettre de la farine dans le sèche cheveux créant une mini bombe atomique au niveau de ton visage. Tu en avais de partout. Le plus triste c'est que tu venais de sortir de ta douche, la douce odeur de noix de coco enveloppant la chambre. Bien évidemment la  cabot avait prit soin de s'éclipser, surement pour éviter tes foudres. Tu soupirais nettoyant avec un linge les dégâts. Après tout tu avais bien mis du poil à grater dans son savon c'était de bonne guerre. C'était un peu votre unique manière pour vous dires que vous vous aimiez, mais avec un petit A.  Tu t'habillais rapidement avant de rejoindre ton lit mais..."QUELQU'UN A UN CHARGEUR D'IPHONE?" criais-tu à nouveau à plein poumon avec ta douce voix de princesse entre les fins murs de la maison. Tu entendis plusieurs non avant d'entendre un oui provenant de la chambre voisine. Alléluia. Bah ouai ton portable venait de s'éteindre, et c'était peut-être triste à dire mais tu attendais des sms supra important. Des sms d'un certain homme. Tu ouvris brusquement la porte manquant de rentrer dans le dunster qui occupait bien trop souvent tes pensées. Tu sursautais avec légèreté ne t'attendant vraiment pas à le voir devant toi. Une petite moue décontenancée sur le visage tu répondis. "Non moi c'est Karma sa soeur maléfique." tu avais les yeux qui pétillaient de malice toujours aussi contente de le taquiner. Tu étais vraiment heureuse de le voir ici, et ta figure trahissant certainement tes pensées. "Hein? Non j'allais récupérer un truc mais ça peut attendre." dis-tu rapidement, trop rapidement , ne souhaitant pas le voir partir alors qu'il venait à peine d'arriver. "Reste." tu lui attrapais la main le tirant dans ta chambre, regrettant petit un de ne pas l'avoir rangé, petit deux de porter une sorte de tenue du dimanche pas du tout flatteuse. "Qu'est ce que tu fais ici.?" tu te mordillais la lèvre curieuse et anxieuse qu'il puisse être là pour quelqu'un d'autre que toi. Ce qui était stupide.
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Et donc au moment où j’avais mentalement décidé de me dégonfler et de tourner les talons, la porte s’ouvrit sur Brynn. Enfin Karma, sa sœur maléfique me répondit-elle. « Ha bon, je pensais que c’était Brynn la version maléfique… » la taquinai-je à mon tour en retrouvant mon sourire et ma contenance. J’étais là maintenant, face à elle. C’était surement le destin qui me disait qu’il fallait que je fonce et que je joue franc jeu avec la blondinette. J’essayais quand même de me débiner, parce qu’elle avait l’air d’aller quelque part alors je ne voulais pas déranger. Elle me demanda aussitôt de rester, demande qui eut l’effet immédiat de faire s’accroitre mon sourire, d’autant plus qu’elle s’empara de ma main pour me tirer dans sa chambre. « C’est fini la grève ? » demandai-je avec un petit rire en sentant ses doigts contre les miens. Pas que ça me déplaise, me faire attirer de la sorte dans sa chambre par la plus jolie fille du campus, c’était un peu genre -trop beau pour être vrai-… J’allais surement très vite déchanté, quand je lui aurais raconté ce qui m’amenait ici. Un sujet qui arriva trop vite dans la conversation, puisqu’elle me demanda la raison de ma venue. J’observais un peu les lieux, essayant de profiter de cette première fois, et peut être la dernière, dans sa chambre, avant de reposer mon regard sur elle pour répondre : « Je suis venu parce que j’avais envie de te revoir. » Depuis Halloween c’était trop long… Enfin y’avait bien eu mon texto, des plus débiles, lors de mon pétage de plomb avec Briony… Et ça je pressentais que j’allais en entendre parler. « Et puis, je voulais justement te parler de cette histoire de grève… Faut que t’arrêtes. » D’ailleurs, mes doigts se resserrèrent un peu sur les siens, doucement, histoire d’appuyer que c’était le genre de petit contact physique qui me manquait terriblement. M’approchant un peu d’elle, mon autre main alla se glisser tendrement dans ses cheveux… enfarinés ? « T’as encore essayé de faire un gâteau ou quoi ? » me moquai-je avec un petit rire, content quand même que cette poudre blanche m’offre une excuse parfaite pour laisser courir mes doigts un peu plus longtemps dans sa chevelure.
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Zacharias et son humour légendaire. Un grand sourire s'étirait sur tes lèvres, pas celui qui dit haha tu es trop drôle je suis en train de pleurer de rire, plutôt l'autre, le psychopathe. Tu lui donnais un petit coup de coude rompant pour la deuxième fois consécutive ta grève. N'empêche c'était dur de rester concentrer sur le moindre de tes gestes pour tenir une promesse implicite que tu avais dite pour rigoler."Nianianiania." Vive la répartie de malade, disons simplement que de le revoir là te déboussolait suffisamment pour que tu en perdes tout ton vocabulaire shakespearien. Tu l'avais entrainé dans ta chambre sans réfléchir, oubliant pendant un très court instant ta chambre bordélique et tes cheveux blancs. C'était l'effet qu'avait ses yeux sur toi, puissant et envoûtant. "Non mais je m'accorde une pause." dis-tu l'innocence incarnée, un peu comme si tu avais mis en place un gros pouce entre vous deux.  Pour tout avouer tu avais cru qu'il t'évitait et que c'était sa manière bien à lui pour te dire qu'il ne souhaitait plus te voir. Alors c'était bête mais tu te sentais étrangement soulagée. Tu n'étais pas le genre de fille à poursuivre un homme si ce dernier souhaitait être tout seul, mais c'est parce que vous vous n'étiez pas revu depuis Halloween que tu avais compris qu'il t'avait manqué. Vraiment manqué. "Tu me boudes plus alors?" demandais-tu à ton tour un sourcil arqué face à cette révélation. Surtout qu'il y avait eu ce texto des plus mystérieux. Tu t'en souvenais même très bien "on est quitte.", et puisqu'il n'avait jamais répondu à tes points d’interrogation ta curiosité était toujours piquée à vif. Et du coup tout ça était étroitement lié, lui, toi, ton baiser, la grève. Alors que tu allais retirer ta main de la sienne, comme s'il avait lu dans tes pensées, le dunster la pressa avec douceur. Il semblait prendre rapidement ses aises, ses doigts se faufilant tout naturellement dans tes cheveux. Tu rougissais, comme à chaque fois que le jeune homme te touchait. Tes yeux ne quittaient pas son visage, l'analysant sous tous les angles. "J'essaye de lancer une nouvelle mode....disons que c'est un problème de voisinage." tu affichais une petite grimace avant de secouer légèrement ta chevelure. "Que veux tu toutes les fois où tu me vois je suis à mon avantage." soulignais-tu amusée, faisant référence à toi à moitié dans l'eau, ou mieux toi en Merlin avec ta barbe de dix mètres de long.
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C’est qu’elle était sexy aussi comme ça, en mode Karma psychopathe. « Elle me plait bien la frangine de Brynn aussi... » ricanai-je après son petit coup de coude. Devant cette profusion de contact entre nous, je ne pus m’empêcher de supposer à la fin de sa petite grève, imposée à Halloween. Mais apparemment, Brynn me fit savoir qu’elle s’accordait juste une pause. Mais moi je n’étais pas du tout d’accord. D’abord d’une : elle m’avait quand même trop manquée entre la dernière fois et aujourd’hui et de deux, cette grève avait assez duré. La blondinette me demanda donc en toute logique si je boudais toujours. Le deal c’était ça : soit je retrouvais ma bonne humeur et pardonnais son écart en arrêtant de ronchonner, soit je devais me contenter de regarder sans plus jamais la toucher. Je secouais donc la tête : « J’ai l’air de bouder là ? » Si j’étais venu, tout penaud, c’était bien parce que j’étais désolé. « Je m’excuse pour ça. J’aurais pas du réagir ainsi. Tu sais pour cette histoire avec Briony… Je te pardonne, si tu me pardonnes ? » Et dans ma balance, pour le coup, j’étais pas sûr que son petit smack avec la brune pèse aussi lourd que tout ce que moi, de mon côté, j’avais à me faire pardonner. Une main retenant la sienne pour l’empêcher de se dérober, je m’étais approché et les doigts de ma main libre s’amusèrent avec ses cheveux blanchies par de la farine. Nouvelle forme de shampoing ? Je pouvais m’attendre à toutes les folies avec la Cabot qui avoua vouloir lancer une nouvelle mode. « C’est… original. » Et puis pratique pour pouvoir jouer avec ses mèches dorées. Apparemment, c’était du en fait à un problème de voisinage. J’eus une petite grimace compatissante : « Je connais ça… J’suis de retour à la DH maintenant, alors je compatis. » J’avais quand même Sienna comme voisine, pauvre de moi. D’ailleurs, peut être que si la chambre de la VP n’avait pas été si proche de la mienne, ça nous aurait évité certaines complications… En tout cas, la dernière remarque de la jeune femme fit naitre un sourire attendri sur mes lèvres. Comment dire que même enfarinée, même boueuse, même dans sa toge de vieillard, elle avait toujours cet irrépressible pouvoir d’attraction sur moi ? « T’as beau essayer, tu arriveras pas à me faire être dégoûté de toi Brynn Glücksbourg »
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Tu roulais les yeux au ciel toujours aussi amusé par le comportement du jeune homme. Tu devais bien avouer que tu te sentais flattée, Priape avait fait le déplacement jusqu'ici pour tes beaux yeux. Rien que toi. Bon okay la dunster house était peut-être qu'à cinq minutes à pied mais tout de même tu reconnaissais un effort quand tu en voyais un. "Non c'est vrai." répondis-tu en te mordillant la lèvre inférieure le ton hésitant. Peut-être que ce matin il s'était levé du bon pied, mais que Hulk jaune n'était pas très loin. Apparemment tes hésitations n'avaient même pas lieu d'être. Priape était venu en brandissant un drapeau blanc signe universelle de paix, métaphoriquement of course. Il s'excusait avec une douceur infinie, et tu culpabilisais à ton tour et surement pour la dernière fois pour ce fameux baiser. "Non je te comprends....je suppose que j'aurais réagi de la même façon...fin j'sais pas." dis-tu les joues en feux, avouant à demi mots que tu serais tout aussi jalouse s'il embrassait une autre fille que toi et peut-être même un homme devant toi. "Que je te pardonne? Pour quoi?" demandais-tu en fronçant les sourcils. Pour avoir boudé? C'était une réaction humaine, naturelle. Tu ne lui en voulais pas le moins du monde. "Je suis contente que tu me pardonnes." Tu étais sincère, les yeux légèrement humides. C'était que maintenant que tu réalisais à quel point cette petite tension entre vous t'avait à ce point travaillée, fatiguée, et stressée. Te hissant sur la pointe des pieds tu déposais un baiser contre sa joue, contre sa joue certes mais bien trop proche de ses lèvres pour que cela soit un simple baiser. Tu avais tellement plus à te faire pardonner qu'un simple bisou sur les lèvres, que tu te sentais presque obligé de lui faire savoir qu'il comptait vraiment pour toi. C'était plutôt stupide comme raisonnement mais c'était le tien. "Original beau ou original moche?" demandais-tu avec une petite moue de merlan frit après avoir redescendu tes pieds vers le sol quelques secondes plus tard. "Vraiment? Je croyais que tu vivais en ville? et ça va ? J'veux dire tu as retrouvé tes repères?" Vous vous étiez pas vu depuis quelques jours à peine et tu avais l'impression que beaucoup de choses s'étaient passées dans sa vie, et que tu te tenais là ignorante et naive. "Zacharias, serais-je en train de m'inventer des voix dans ma tête où tu es en train de me faire une déclaration?" demandais-tu les yeux pétillants, préférant prendre sa phrase avec humour, que plutôt lui montrer à quel point ses mots te touchaient. Disons que tu ne te sentais pas à la hauteur pour lui. Pas suffisamment belle, ni intelligente, ni rien d'ailleurs."Même si je te dis que j'adore manger mes crottes de nez?" Tu rigolais avec légèreté simplement heureuse.
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Peut être que finalement les conseils de Briony avaient fait leur petit chemin dans ma tête, que c’était pour ça que j’avais fait le premier pas en venant jusqu’ici, en cessant de jouer les gamins boudeurs. Je commençais juste par m’excuser auprès de Brynn, pour ma réaction, pour avoir été aussi désagréable et rancunier lors de notre rencard d’Halloween. Et je sentis mon ventre se serrer à sa réponse, à savoir qu’elle aurait réagi pareil à ma place. Non pas que je ne sois pas content de la savoir un brin jalouse, mais parce que j’avais des choses à me reprocher aussi de mon côté, que mon courage avait ses limites, et que là pour le coup, j’étais plus tout à fait sûr de vouloir jouer le jeu de la franchise à toute épreuve. Pourtant il le fallait. Si il y avait bien une chose que j’avais retenu de mes précédentes relations, c’était que les non dits n’apportaient rien de bon. Je lâchai donc que je lui pardonnais, à la condition qu’elle me pardonne aussi. Ce qui la fit s’interroger brièvement, forcément. Elle pensa surement que j’essayais juste de me faire pardonner de ma réaction excessive… Et lorsqu’elle se hissa jusqu’à ma joue, ses lèvres se posant à la bordure des miennes, je sentis fondre un peu plus ma détermination à jouer les honnêtes hommes. Mais je ne devais pas profiter de la situation. « Attends Brynn… » Mes mains se posèrent sur ses épaules avec douceur pour l’écarter un peu de moi, histoire que cela ne dérape pas, qu’on ne se remette pas à s’embrasser avant qu’elle n’ait toutes les cartes en main. Je voulais que si elle m’embrasse, ce soit vraiment parce qu’elle me pardonnait TOUTES mes conneries, pas juste cette bouderie enfantine. « C’est sérieux, faut que tu me pardonnes… D’avoir embrassé Briony… » Premier aveu. Mes yeux se baissèrent comme un gosse pris en faute. Redoutant sa réaction, craignant de voir cette fois toute autre chose que ses lèvres venir percuter ma joue. Et c’était pas tout. Le pire était à venir. Mais je ne pouvais pas laisser le mensonge et les cachotteries s’installer entre nous. La farine fit un instant un effet de distraction parfait. « Original Brynn. » C’était le qualificatif parfait. Puis même enfarinée comme ça, elle restait particulièrement sexy. « Tu pourrais faire une émission de cuisine, j’suis sur que t’aurais de l’audimat. » rigolai-je en imaginant ce à quoi ça pourrait ressembler. J’évoquai ensuite mon déménagement. « Ca va, j’suis bien à la dunster. » la rassurai-je en évitant d’aborder la raison qui m’avait poussé à y retourner. « J’étais surement pas prêt à vivre seul encore. » Petit poussin perdu sans ses frères jaunes adorés. Et quand ensuite je lâchai à la Cabot que c’était en vain qu’elle essayait de jouer les indésirables, qu’elle ne parviendrait pas à ce que je sois dégoûté d’elle, elle sembla amusée. « J’ai pas dit ça, tu t’inventes des voix Jeanne d’arc. » rétorquai-je avec un sourire qui trahissait qu’au contraire, elle avait bien entendu. Elle tenta une autre révélation, en mode le –tout pour le tout- et histoire de lui montrer que même ça, ça ne suffisait pas, je me laissais tomber sur l’un des lits de la pièce. « Tu te débarrasseras pas de moi comme ça. Fallait pas me faire entrer Brynn. » Joe l’incruste était dans la place.
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L'entendre prononcer ton nom. C'était tellement délicieux. Après l'ignorance et l'indifférence, voilà que sa voix, douce et caressante, venait à te nommer. Tu étais vivante dans son monde, comme il l'était dans le tien.  Pourtant tout ça semblait beaucoup trop beau, irréel. Tes lèvres se pinçaient délicatement l'une contre l'autre en entendant le gros mais arriver. En effet, Priape qui tu pensais aurait été heureux de savoir que tu ne lui en voulais pas te repoussait, creusant encore un peu plus la distance qui vous séparait. Ton visage se crispa, effaçant ton petit sourire espiègle de tes lèvres. "De quoi?" dis-tu d'une petite voix incapable de comprendre les paroles du jeune homme. Tu ne souhaitais pas leur donner un sens, tout simplement parce que c'était impossible. Briony ne l'aurait jamais laissé faire ça, c'était ton amie, une de tes plus proches amies même. Et c'est là que ça fit tilte dans ta tête, il l'avait embrassé, lui. "Tu t'amuses toujours à violer les lèvres des filles à ce que je vois." Tu te mordillais l'intérieur des joues, préférant croire que la jolie mather n'y était pour rien, qu'elle n'avait jamais consenti à tout ça. Oui c'était elle qui après tout t'avait ramassé à la petite cuillère à la suite du départ du dunster dans le bar ce jour là. Tu n'osais pas le regarder dans les yeux. Pas parce que tu étais en colère contre lui, mais parce que tu avais honte. Honte de toi et de ce que tu avais fait. Et sans vraiment que tu comprennes pourquoi, surement parce que là culpabilité était beaucoup trop lourde à porter, ou tout simplement attendri devant la sincérité du jeune homme, les mots s'échappèrent de ta bouche. "Okay bah moi je l'ai embrassé ET j'ai couché avec elle, tu peux faire mieux Zacharias?" Ta voix était forte, assumant parfaitement tes actes. Peut-être pas suffisamment jusqu'à le confronter, et observer la déception sur son visage. Autant y aller directement, un peu comme lorsque l'on enlève un pansement histoire que ça fasse mal d'un coup. Le plus bizarre dans tout ça c'est que tu étais certaine que tout lui révéler t'aurait soulagé, mais au contraire c'était pire. L'ignorance est parfois bien meilleur que la vérité. Tu te détestais pour le faire souffrir lui, mais une autre petite voix dans ta tête ne pouvait s'empêcher de te souffler que c'était bien fait pour lui et qu'il l'avait cherché. Pourquoi diable avait-il embrassé Briony d'abord? Tu aurais souhaité lui poser la question mais après cet aveux tes lèvres semblaient scellées. Et du coup tu n'avais plus envie de parler, ne rigolant même pas à sa petite remarque concernant une potentielle émission de cuisine. Les sentiments n'y étaient plus, pour lui aussi surement. Tu t'attendais à le voir partir d'une façon théâtrale, claquant la porte derrière lui. "J'rigole." finis-tu par dire en tentant d'exploser de rire. Ouai au final tu te refusais de lui faire ça. "Tu devrais voir ta tête franchement haha." Tu te dégouttais presque à jouer comme ça avec ses sentiments, mais au fond tu étais convaincu que c'était la meilleure chose à faire, pour le préserver lui et ses espoirs. Tu souriais, faussement le laissant s'étaler sur ton lit. "Vazy c'est pas journée porte ouverte ici." ronchonnais-tu amusé contente qu'il puisse t'offrir cette petite distraction, t'asseyant à coté de lui, tentant de le pousser un peu pour te faire de la place. T'amusant à mettre tes pieds vers son visage dans l'espoir que ta douce odeur le fasse s'en aller, mais bon vu que tu venais de sortir de la douche ce n'était pas ton meilleur plan.


hj: j'espère que cette tournure te convient je ne savais pas si je devais lacher cette grosse révélation tout de suite ou plus tard alors voici un mixte. Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) 1365124802 Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) 1881463262
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Le visage de Brynn changea d’expression alors que je la faisais doucement s’écarter de moi. Son sourire avait disparu et ses traits se raidirent d’autant plus à l’écoute de mon mea culpa que je me vis obligé de répéter avec une petite voix toute penaude suite à son –de quoi- interrogatif. « J’ai embrassé Briony… » répétai-je en baissant les yeux, vraiment pas fier de ma connerie. Je récoltais une réflexion sur ma tendance au viol de bouche, réflexion qui me laissa un instant l’illusion que j’allais bien m’en tirer. Je me trouvais quand même un peu forcé de me justifier, de m’expliquer : « C’était une réaction stupide, j’sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai voulu qu’on soit sur un pied d’égalité et je me suis dit que  c’était le seul moyen… C’était pour ça le texto tu sais. Je ne savais pas qu’elle avait un mec, j’avais pas pigé que c’était qu’un défi entre vous… » Enchainant les justifications et les excuses peu recevables, plus coupable que jamais pour ce malheureux smack avec la brune qui m’avait presque valu de me faire tuer par Wade déjà, je me stoppai quand même lorsque Brynn me coupa dans mon speech : elle avait embrassé Briony ET couché avec ?!? Là je relevai direct la tête, mes yeux cherchant les siens alors que son ton se faisait amusé, défiant, comme si tout ceci n’était finalement qu’un jeu. « T’as couché avec elle ? » répétai-je comme pour prendre tout le sens de cet aveu. Ca faisait des semaines que les deux copines me martelaient que le baiser n’était qu’un défi, alors quel sens donner à cette coucherie ? Brynn et Briony m’avaient menti ? Leur nuit ensemble ne pouvait pas être le fruit d’un défi… Et le pire dans tout ça, c’est que, mêlé à ma colère et à ma déception de savoir qu’elle m’avait baladé, une petite voix dans ma tête me martelait que de se fâcher c’était l’hôpital qui se foutait de la charité parce que… « Bah oui, j’ai fait pire… » grommelai-je d’une voix à peine audible, essayant de ne pas céder à la tentation de repartir d’ici en boudant pour un retour à zéro immédiat. Et ce fut les mots suivants de la blondinette qui finirent par me retenir complètement, faisant un peu se desserrer le noeud que sa révélation avait fait naitre au creux de mon estomac. Son –j’rigole-, son éclat de rire, la façon dont elle se moquait de moi. « Tu sais que tu m’énerves quand tu fais ça ? » ronchonnai-je de plus belle. Et je finis par prendre racine sur son lit, affirmant qu’elle ne se débarrasserait pas de moi comme ça. « Et moi, j’rigolais pas… » J’avais vraiment fait pire… J’allais ruiner toutes les potentielles chances entre nous en jouant franc jeu, mais il le fallait… Quand les pieds de la demoiselle vinrent se poser sur mon visage, probablement pour tenter de me chasser de son pieu, je retrouvais mon petit sourire un instant en la charriant : « Tu sais que c’est pas comme ça qu’on fait du pied à quelqu’un normalement ? » Et mes mains attrapèrent ses petits petons pour venir les lui chatouiller du bout des doigts.


HJ : c'est parfait Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) 2511619667  J'ai trop ri en imaginant la scène merci :giggle:
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Priape venait d'avouer qu'il avait embrassé Briony, ce qui franchement te laissait de marbre. Tu ne savais pas trop comment réagir, partagée entre l'insécurité et le soulagement. Ton coeur se serrait dans ta poitrine à l'idée qu'il puisse embrasser une autre femme que toi, une pointe d'amertume sur le visage. Même si techniquement puisque tu avais embrassé Briony avant lui et qu'ensuite les lèvres de la demoiselle avait touché celle du jeune homme, c'est comme si au final tu l'avais embrassé lui right?  C'était triste de voir à quel point tu étais mordue de lui pour aller jusqu'à lui inventer des excuses bidons dans ta tête. Le pire dans tout ça c'est que vous ne seriez jamais sur le même pied d'égalité, car comme tu venais de lui avouer à demi mot tu avais couché avec elle. Pas lui, toi. "Tu sais ce qui me rend le plus triste? C'est que tu ne m'as pas cru, ni moi ni Briony." finis-tu par dire avec sincérité ne cachant pas ta déception sur tes traits fins. Même après lui avoir répété plusieurs fois avec une certaine véhémence que c'était une sorte de défi entre vous , il avait fait le sourd d'oreille. Tu avais écouté son explication jusqu'au bout, et ce que tu pouvais bien dire c'est que oui les mots pouvaient être beaucoup blessants que de simples actions. C'était peut-être pour cette raison que tu n'avais pas osé assumer tes paroles. La tristesse présente dans ses yeux te broyait le coeur, incapable de le voir souffrir par ta faute. Tu lâchais un petit "je rigole", mentant pour la première fois à Priape, les yeux dans les yeux. Le genre de "je rigole" qui n'est pas drôle parce que c'est tout simplement la vérité. Il fallait te comprendre, t'ayant déjà repoussé par le passé tu ne souhaitais pas qu'il recommence. C'était ce que tu redoutais de plus à son égard, qu'il te jette comme une malpropre, qu'il pense réellement que ce qui c'était passé entre vous n'était qu'une bêtise, que l'unique raison pour laquelle cela c'était passée était bel et bien l'alcool, ou un moment de folie qu'il le regrettait amèrement chaque jour et qu'il voulait réellement te voir le plus loin possible de lui. Cette idée t'était insupportable. Elle te torturait quotidiennement, à chaque fois que ton regard avait évité le tien, à chaque fois qu'il t'avait été indifférent. La peur s'emparait de toi tout simplement.   "Tu sais que l'énervement c'est une forme de passion?" demandais-tu en papillonnant les yeux dans sa direction, une moue enfantine accrochée au visage. "Je n'y peux rien si tu te lances toujours dans des conclusions hâtives, pourtant tu sais que j'ai un humour pourri." Tu rigolais, faussement, dans une tentative veine pour l'amadouer.  "Nan mais sérieusement tu as fait quoi? Tu as recouché avec ton ex c'est ça? Tu vas partir?" demandais-tu le visage aussitôt déconfit, imaginant les pires des scénarios alors que tes yeux se mettaient déjà à brûler. Tu ne savais pas si tu avais envie de savoir, si tu avais besoin de savoir. "S'il te plait?" l'implorais-tu ta voix n'étant qu'un simple murmure. Tu avais du mal à respirer. Si seulement tu avais su avant de te jeter sur ton lit pour le rejoindre. Avec ton sourire mielleux sur les lèvres, tout simplement heureuse, oubliant  tout sur ta relation "secrète."  Tu avais passé tendrement une main dans ses cheveux, doux et soyeux. Tu n'avais même pas eu le temps de lui lacher un petit "tu devrais me montrer comment toi tu en fais" que le père de famille était passé à l'attaque. Tu te mis à rire te bougeant dans tous les sens alors que Priape prenait joyeusement en otage tes pieds.  "Stop...sto..." commençais-tu à articuler entre deux sons des plus étranges sortant de ta bouche."Je me rends." criais-tu finalement à bout de souffle, attrapant le bout de tissu qui se trouvait derrière toi pour le brandir en signe de paix tel le drapeau blanc. Sauf que c'était un soutien gorge noir que tu avais dans les mains et que tu brandissais juste sous ses yeux. Bref, c'était pareil.


Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) 2109348208
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