Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFaute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn) - Page 2
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Faute avouée, à moitié pardonnée ? (Brynn)

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Je me sentais déjà bien ridicule de devoir avouer ma réaction puérile et le baiser que j’avais été volé à Briony, mais lorsque Brynn confessa que c’était le fait que je ne l’ai pas crue qui l’attristait le plus, mon sentiment de culpabilité redoubla. Je fixais mes chaussures, pas fier et bredouillai de nouvelles excuses : « J’suis désolé… » J’avais cru percevoir quelque chose entre les deux amies, un truc en plus, qu’un simple smack de défi n’expliquait pas. Je crus d’ailleurs l’espace d’un court instant avoir enfin mis le nez sur ce dont il s’agissait, quand Brynn balança de but en blanc qu’elle avait couché avec la brune. Sauf que très rapidement, elle pouffa en annonçant qu’elle rigolait, me déroutant un peu plus et me faisant ronchonner. Et mon énervement sembla l’amuser. « Et bien, tu me passionnes Brynn… » repris-je donc après qu’elle ait fait remarquer que l’énervement était proche de la passion. J’étais de mauvaise humeur ça y est, et c’était pas avec de telles vannes que ça allait changer. D’autant plus que moi, je n’avais pas fini mon mea culpa. Si seulement je n’avais eu que ce malheureux bisou avec Briony à me reprocher… Mais non, j’avais encore autre chose à avouer. Je le fis savoir à Brynn qui sembla perdre un instant son sourire, me questionnant sur  ce que j’avais pu faire, supposant un instant que j’avais remis le couvert avec mon ex. « Avec Talya ? Mais n’importe quoi… » rétorquai-je aussitôt, étonné qu’elle ait pu s’imaginer sur le champ une telle chose. Bon au final, j'avais couché avec la meilleure amie de mon ex, ou du moins c'était ce que je pensais, donc on était pas si loin de la vérité... Je fus encore plus surpris de l’entendre me demander si j’allais partir. « Mais non arrête n’importe quoi… » Et je finis par m’asseoir sur son lit. « C’est qui qui se lance dans des conclusions hâtives là ? » C’était son tour de s’adonner à ce qu’elle me reprochait quelques minutes plus tôt. Bref, je n’eus pas le temps de chercher mentalement le meilleur moyen de me lancer dans la confession de mes méfaits parce que la demoiselle me rejoignit et que la torturer en prenant en ôtage ses petons pour une séance de guili en règle, c’était bien plus drôle. D’ailleurs, se tortillant dans tous les sens, elle me demanda d’arrêter avant de brandir son… soutien gorge sous mon nez. Je stoppai mes chatouilles en me marrant : « T’essaies de me distraire c’est ça ? Tu vas encore m’offrir un de tes soutifs ? » Je me rappelais que celui qu’elle portait lors de son striptease écossais, elle avait voulu me l’offrir en souvenir…  « Tu sais que tu me dois une cravate, pas un de tes sous vêtements ? J’suis pas un pervers contrairement à ce que tu penses. » affirmai-je avec une voix sage et un petit air sérieux. Pour le coup, j’avais un peu oublié l’erreur que je me devais de lui raconter, préférant rigoler et profiter de ce moment avec elle. Mais le sujet allait surement revenir sur le tapis…
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Cet homme te déroutait. Les sentiments que tu ressentais pour lui te déroutaient. Tout te déroutait. Tu avais vraiment envie de le croire quand il disait qu'il était désolé, mais une infime partie de toi en était incapable. Alors que l'autre au contraire rigolait à ton nez, te criant que c'était un peu toi qui se foutait de lui à cacher des choses importantes derrière son dos. Tu ne rajoutais rien, car au final tu ne savais pas quoi dire. En ce qui concernait Briony tu l'excusais, aveuglément, mais pour ce qui était du reste....et bien tu ne savais même pas à quoi tu avais à faire. Les sourcils froncées, tu attendais qu'il veuille bien dire la suite, car cette attente était tout bonnement insupportable. C'est un peu comme s'il te torturait, prenant un malin plaisir à te voir douter et souffrir. Ton cerveau était venu à penser que ça devait être une chose tellement horrible que jamais il n'oserait te le dire en face. C'était surement pour cette unique raison que le visage de son ex, la jolie blonde s'imposa dans ta tête. Tu te mordillais la lèvre te rendant compte que tu ne le connaissais pas suffisamment bien pour pouvoir penser à quelqu'un d'autre. "N'importe quoi? Je ne vois pas en quoi c'est n'importe quoi!" t'exclamais-tu le regard froid, ta voix partant légèrement dans les aigues. Avais-tu réellement besoin de préciser qu'ils avaient eu tous les deux un enfant ensemble? Et que donc de ce fait ils étaient tous les deux liés à vie? Découragée tu te laissais tomber sur le lit. Peut-être qu'au final Priape avait tort quand il disait qu'il lui en fallait plus pour te quitter...parce qu'il y avait vraiment plus ailleurs qu'ici. "C'est ton ex tout de même....et c'est la présidente de la DH...et maintenant tu vis à la DH...alors excuse moi si j'en viens tout de suite à cette conclusion..." cette fois-ci c'était à ton tour de te justifier. Tu relevais le regard, cherchant la vérité dans ses yeux, incapable de savoir ce qu'il pensait. Tu n'eus pas vraiment le temps de savoir sa réponse que Priape commençait à te faire des chatouilles, tellement que tu commençais à en pleurer. Ne sachant pas si c'était de joie ou plus de confusion dans le stress de nouvelles révélations. Incapable de tenir plus longtemps tu avais souhaité faire une pause, lui mettant sous son nez un de tes soutifs. Okay pas ce genre de pause. "Ça dépend...ça marche? Et j'te signale que tu ne l'as même pas voulu même pas en souvenir." dis-tu cette fois-ci un vrai sourire aux lèvres, lui lançant ton petit bout de petite tenue sur le visage. Si en plus il se mettait à refuser tes cadeaux aussi.Tu te rapprochais légèrement de lui, plaçant ton visage devant celui du jeune homme, ancrant ton regard dans le sien. "J'ai oublié je l'avoue." avouais-tu en cachant ton visage derrière ta chevelure dorée, légèrement honteuse de ne pas y avoir pensé." T'es un pervers, c'est le premier pas vers la guérison de l'assumer j'te signale." dis-tu de ton petit rire argentée.
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J’avais été coupé dans mon élan par une vanne, pas drôle, de la blondinette, selon laquelle elle aurait couché avec Briony… Sauf que de mon côté, je ne rigolais pas du tout parce que ce n’était pas drôle, et parce que j’avais toujours sur le cœur ma bêtise avec Sienna. Je n’avais pas fini de vider mon sac et les théories que Brynn s’empressa d’émettre sur le potentiel pêché que j’aurais commis me firent protester. Sauf qu’elle insista, expliquant en quoi son idée de me voir remettre ça avec Talya n’avait rien de loufoque : selon la cabot, Talya étant mon ex ET présidente de la DH, et moi étant retourné vivre à la DH, c’était une conclusion évidente… Je secouais la tête avec un petit air agacé. « Tu sais quoi ? J’suis allé vivre chez elle l’aider avec notre fille pendant une semaine aussi, tu peux rajouter à la liste des raisons pour lesquelles tu t’imagines des choses infondées. » Mon ex petite amie et moi avions bel et bien cohabité pendant une semaine après halloween, puisque sa cousine était alors hospitalisée, que Mila faisait des siennes et que donc Talya n’était pas au meilleur de sa forme et avait besoin de moi. Et pourtant, cette période où l’on avait vécu sous le même toit n’avait pas signé un quelconque rapprochement physique entre nous.  Mais le fait que mon interlocutrice saute aussitôt à cette conclusion cela prouvait qu’elle avait besoin d’être rassurée sur ce point. Et, sur un ton plus adouci, plantant mon regard dans le sien pour qu’elle puisse s’assurer que j’étais sincère, je repris : « J’ai pas couché avec Talya… » Mais avec Sienna. C’était le moment où j’aurais du le dire non ? Fallait croire que je ne savais pas saisir les occasions pour me lancer. Je le redoutais cet aveu. Parce que j’étais vraiment trop bien avec Brynn. Et que je savais que cette connerie avec Sienna allait venir tout gâcher. Je préférais nettement la torturer à coup de guilis. Torture qui prit fin lorsqu’elle exhiba un de ses soutiens gorges sous mon nez. « Ca marche plutôt bien… » rigolai-je, mes prunelles étant en effet facilement attirées par la dentelle de la lingerie. Ca me rappela l’écosse, et son offre de m’offrir son sous vêtement en souvenir. J’eus un petit sourire malicieux quand elle me le lança  au visage en rétorquant qu’à l’époque, je n’en avais pas voulu. Là encore, j’envoyai valser le bout de tissu dans la pièce en expliquant : « C’est parce que ce ne sont pas tes soutifs qui m’intéressent, c’est ce qu’il y a à l’intérieur. » Et là, après une telle phrase, je ne pouvais plus nier, avec un petit haussement d’épaule désolé je finis par l’assumer : « Ok j’suis un pervers… Quand il s’agit de toi Brynn… » Je me rapprochai un peu plus d’elle, avec une petite moue contrariée en reprenant sur cette histoire de cravate oubliée : « Bah, si t’as pas la cravate que tu me dois, il va falloir me récompenser avec autre chose… » De toute façon j’avais été vraiment trop crétin de réclamer une cravate sérieusement, j’en portais jamais en plus. Qu’est-ce qui m’avait pris ce soir là ? Ha oui, c’était vrai que je boudais encore pour des bêtises… « Bon, qu’est-ce que tu as pour moi à la place ? » réclamai-je avec un sourire amusé, mes yeux la dévorant du regard.
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Tu venais de t’apercevoir qu'au final toi aussi tu avais bien du mal à lui offrir ta confiance. C'était peut-être complètement idiot de ta part, mais une infime partie de toi était persuadée que Talya ferait tout pour le "récupérer." Bien qu'elle t'avait fait comprendre le contraire lors de la soirée à salem en mode c'est bon je vous laisserais mener votre vie tranquillement patati patata. Mais bon à tes yeux sa parole ne valait rien. Et au fond elle avait bien raison quand elle t'avait dit que Priape était  trop bien pour toi.  Surtout maintenant que tu arborais ta facette de femme jalouse, peur que son copain se remette avec son ex. Même si pour le moment tu ne savais pas encore comment tu devais définir ta relation avec le dunster. "Désolé j'ai pas l'habitude de côtoyer des hommes proches de leur ex..." commençais-tu à dire mollement ne souhaitant pas créer une énième discute, sentant que le sujet était glissant. Tu replaçais une mèche rebelle derrière ton oreille, comme pour lui montrer que finalement tu passais au dessus de tout ça et que ça ne te dérangeait pas, du moins presque pas. Bien que tu avais encore du mal à digérer que l'homme qui se tenait devant toi était déjà père. C'était surement une des rares choses que tu avais encore du mal à assimiler sur Priape.Ton index venait se glisser sous son menton, l'obligeant à replonger ses yeux dans les tiens. Ses yeux, merveilles inventions dans lesquels tu aurais pu te noyer sans craindre de mourir. "Okay donc si tu as pas couché avec talya, et pas avec moi, et que tu n'es pas enceinte...c'est quoi la big mauvaise news?tu t'es marié à vegas? ou mieux tu as tué quelqu'un?" demandais-tu dans une vague tentative d'humour pour l'encourager. C'était limite maso de ta part, mais bon c'était lui qui avait débuté le sujet. "Non attends..." dis-tu doucement alors ton index remontait doucement ses lèvres pour qu'il garde le silence.  "Faut que je me prépare mentalement." Tes yeux pétillaient de malice, te disant que de toute façon il ne pouvait vraiment pas avoir fait pire que toi et Briony.  Breeef, c'est là que tu lui avais gentiment offert un de tes soutiens gorges, même que c'était le noir un de tes préférés. Et que comme d'habitude Priape trop poli refusait d'accepter ton offrante, désireux d'en avoir un autre type. "Tu sais que j'offre pas mes soutifs à n'importe qui?" rigolais-tu pour lui montrer que tu n'étais uno pas une fille facile, et deuxio qu'il avait une certaine importance pour toi. "Que pour moi?" rigolais-tu de plus belle, roulant les yeux vers le ciel. Et même si c'était loin d'être les paroles les plus romantiques que tu avais pu entendre, tes joues reprirent cette petite teinte rosée si familière. Il réussissait toujours à te donner l'impression que tu étais à ces yeux la personne la plus importante de la pièce. Tu adorais ça.  Tu te rapprochais un peu plus du jeune homme ne laissant pratiquement pas d'espace entre vos deux corps. Il faut dire que ton lit une place n'était pas tellement conçu pour deux. Zachariais dis-tu, doucement, en déposant un baiser sur sa joue droite. Tu es. ajoutai-tu, cette fois en embrassement lentement sa joue gauche. Tu inspirais pleine d'espoir. l'homme le plus. soufflais-tu pour la troisième fois, cette fois en déposant un baiser extrêmement doux sur son petit nez, ce qui te fit sourire. fatiguant du monde soulignais-tu en déposant un baiser sur son front. Tu saisis ses deux mains à la fois, avec douceur, et tu les approchaient de ta bouche, pour déposer un baiser sur ses mains jointes. Tu levais les yeux vers lui, et tu dis, à nouveau, avec un sourire sincère.mais je crois que j't'aime bien vraiment bien. Voilà ce que tu pouvais lui offrir, une vue sur tes sentiments les plus secrets. "Du moins tu me donnes pas envie de vomir." rajoutais-tu moins sérieusement gênée par tes gestes et paroles.
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Je voulais la rassurer sur le point Talya. La rassurer vraiment. Mais je devais surement m’y prendre comme un manche. Peut être parce que j’avais en tête ma nuit avec Sienna et que du coup, je ne pouvais pas lui affirmer la tête haute que j’étais blanc comme neige… La demoiselle finit néanmoins par lâcher qu’elle était désolée, la proximité entre ex étant quelque chose qui ne lui était pas familier. « Je suis proche de Caly aussi… Et tu vois ça ne veut rien dire non plus. » Comme si amener mon autre ex copine dans la discussion pouvait aider. Au moins, la question des filles qui avaient comptées pour moi aurait été abordée une fois pour toute. Le verdict restait le même : c’était mes ex petites amies, EX, et Brynn, elle, elle était… Bon pas vraiment mon actuelle puisqu’on n’avait pas vraiment officialisé quoi que ce soit, mais elle était la fille avec qui j’avais envie d’être. Et peut être que pour espérer démarrer quelque chose de sérieux il allait vraiment falloir que je joue carte sur table. D’ailleurs, l’occasion se représenta puisque mon interlocutrice me demanda une énième fois qu’elle était cette connerie commise qui m’obsédait tant, tentant un peu d’humour en évoquant de nouvelles théories farfelues. Un petit sourire se dessina un court instant sur mes lèvres, mais mon sérieux revint vite et je pris une grande inspiration, prêt à me lancer. « J’ai… » Pas le temps de finir. Son index qui vint se poser sur mes lèvres me coupa dans mon élan, alors qu’elle me demandait d’attendre qu’elle soit mentalement prête de son côté… Et puis ce fut ensuite mon tour de ne plus du tout être dans cette optique. Fallait dire qu’avec le coup du soutien gorge, la blondinette m’avait bien distrait et détendu l’atmosphère au passage. « J’suis pas n’importe qui alors ? Waw, je suis flatté… Je vais peut être le garder en fait et l’encadrer dans ma chambre, au dessus de mon lit… » Puisque j’étais parti dans l’idée d’assumer ma perversion, autant en rajouter une couche. Sauf que je précisais bien une chose : je n’étais pas comme ça avec toutes, c’était un traitement de faveur spécial pour la jeune femme. « Sois flattée aussi… » rigolai-je avec elle alors qu’elle se moquait de ma déclaration… Fallait dire qu’on pouvait franchement faire mieux en la matière. Mais miss Glücksbourg allait devoir s’habituer : je n’étais pas le roi de l’étalage des sentiments. D’ailleurs, dans ce domaine, elle ne semblait pas la plus expansive non plus. Alors que je réclamais une compensation pour ma cravate oubliée, Brynn m’offrit tout autre chose. D’abord un petit jeu de baisers, joue droite, joue gauche, mon nez, et à ce moment là mon sourire s’agrandit un peu, cette balade de ses lèvres sur mon visage ne faisant qu’accentuer mon envie de l’embrasser… Sauf que finalement, la chute de ces mots ne fut qu’un rappel de mon côté fatiguant, agrémenté d’un baiser sur le front qui m’arracha pour le coup un petit rire. « Je peux dire sans mentir que c’est réciproque… » Je l’avais pas surnommée attachiante pour rien. Sauf que ce n’était pas fini, c’était un autre aveu qu’elle me réservait, et saisissant mes mains, elle y déposa un nouveau baiser et elle se lança en me révélant avec un sincérité touchante et un petit air réservé qui la rendait encore plus irrésistible qu’elle m’aimait bien, vraiment bien. Mon regard se planta dans le sien, alors que nous étions plus rapprochés que jamais sur son petit lit. « Peut être que ça aussi c’est réciproque… » soufflai-je alors avant qu’elle ne fasse redescendre la tension en lançant un aveu sur un tout autre ton. « Heureusement que je te donne pas envie de vomir, j’ai mis une nouvelle chemise et tout en plus, j’ai pas envie que tu me la salisses. » rétorquai-je avec la même note d’humour. Et malgré ce petit aparté plus léger, j’étais toujours désespérément attiré par ses lèvres, comme si les avoir fait voyager partout n’avait fait qu’attiser un peu plus mon envie de l’embrasser. Sauf que je me rappelais très bien nos précédents… Me penchant quand même vers elle, je réduis à quasi rien du tout le peu de distance qui séparait nos deux visages et je vins lui murmurer à l’oreille : « Tu m’as interdit de violer ta bouche, mais t’as jamais rien dit concernant ton cou… » Et d’un geste délicat, je dégageai ses cheveux pour venir déposer mes lèvres à la naissance de son cou, descendant de son oreille vers le creux de son épaule en parsemant sa peau de baisers.
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Caly? La cousine de Maxine? Tu ne la connaissais pas très bien, et apparemment il en allait de même pour le jeune homme. Tu ne savais pas que les deux étaient sortis ensemble, peut-être parce qu'à l'époque tu étais bien trop occupée à te soucier de ta propre vie que celle de deux parfaits inconnus? Tu grinçais des dents dans un soupire. Tu ne pouvais pas vraiment lui en vouloir pour ça, toi aussi tu avais une longue liste d'exs. Bon okay une supra courte de peut-être trois noms max. Au fond tu savais que tu n'étais pas en droit d'exiger la même chose de Priape. Vous étiez tous les deux dans une phase de découverte,  alors voilà tu venais d'apprendre une nouvelle chose sur lui c'était toujours mieux que rien du tout. "Et je suis toujours proche d'Alejandro..." dis-tu piteusement, même si "proche" n'était pas tout à fait le mot adéquate. Disons que tu l'avais revu que trois ans après votre rupture, vous aviez flirté pendant quoi un mois? Avant que tu choisisses de te concentrer sur ton histoire fleurissante avec Charlie pour nada. Tu l'avais revu à peine deux secondes à Salem, juste le temps de lui asséner un coup de poing dans le nez croyant que c'était un voyeur venu te kidnapper. Frapper les hommes ça semblait être une mode pour toi dernièrement. Tu préférais taire les détails et te focaliser sur le présent. "Peut-être...et tu devrais, si ça se trouve un jour il vaudra de l'or...ou tu peux le porter si c'est ton truc, moi j'juge pas." dis-tu avec légèreté, hilare en imaginant le dunster vêtu d'un tel accoutrement.Ensuite, Priape t'avoua que  tu avais le droit à un traitement de faveur de sa part, puisque toi seule semblait avoir le don de le pervertir, selon ses mots. Même si à ton humble avis c'était surement le cas pour n'importe quelles filles avec une chevelure blonde et une poitrine généreuse."Je le suis." Tu clignais des yeux plusieurs fois avant d’arborer une petite moue attendrissante sur le reste de ton visage. Tu ne savais pas vraiment ce qui t'avait pris, ayant pour la première fois envie de partager tes émotions avec lui. Plus exactement ce qu'il te faisait ressentir. Ainsi, tu avais saupoudrer son visage de plusieurs baisers, ponctuant tes gestes par de belles paroles. C'était pas une déclaration d'amour, mais sortant de ta bouche c'était ce qui s'en approchait le plus. Tu avais évité avec soin ses lèvres, zone dangereusement attractive pour toi , pour lui. Tu n'étais pas douée avec les mots, tu espérais donc que tes actions avaient réussis à passer l'intensité de ton message. Il te répondit que c'était réciproque ce qui te fit de plus belle rougir. Maladroitement, tu déposais une de tes mains sur sa poitrine, sentant le battement de son coeur sous tes paumes. Tu ne disais rien silencieuse, comme pour donner le temps à Priape de digérer ce que tu venais de lui exprimer. Il te murmurait au creux de tes oreilles des mots doux dont tu ne saisis pas tout de suite le sens. Tu savourais les caresses et la chaleur de ses lèvres qui se posaient contre ton cou pour y déposer leur empreinte. Il marquait ta peau. Ses lèvres te faisaient frissonner.C'était étrange, c'était troublant et cela t'emportait complètement. Tes mains se refermaient contre les siennes, les serrant doucement pour ne pas qu'il puisse s'échapper. Il faudrait que tu apprennes à lui faire confiance, il faudrait que tu apprennes à croire en lui et surtout, à croire en vous. Le voile de chair se souleva, ton regard s'ancrant dans le sien, tu ne pus m'empêcher de sourire à la vue de son visage et de ses traits parfaits, si proche du tien. Tu pouvais sentir la chaleur de son souffle délicat contre ta peau, éternel. L'une de tes mains s'était glissée dans ses cheveux, affectueusement. Tu te mordillais la lèvre ne sachant pas si tu devais l'embrasser, et pour une fois faire le premier pas dans sa direction. "Merci." dis-tu dans un souffle, enfouissant ton visage dans le creux de son cou. Tu en avais eu besoin, ça faisait du bien parfois de se sentir aimer.
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Brynn sembla un peu surprise lorsque j’évoquais mon ancienne relation avec Caly et le fait qu’à l’heure actuelle, nous étions malgré tout en bons termes la jeune femme et moi. Cet étonnement était bien la preuve que la Cabot n’accordait guère d’intérêt aux ragots. Un point de plus pour elle donc. Je n’étais pas fan des commères. Donc nous voilà lancés en plein dans l’épineuse question des exs, sujet que j’avais refusé d’aborder lorsque j’étais en couple la dernière fois et qui m'avait donc conduit en parti à mon célibat actuel. Il fallait croire que j’avais retenu de mes erreurs, et que j’étais prêt cette fois à ne pas les commettre à nouveau avec Brynn. Elle en fit de même, évoquant son lien avec Alejandro, dont j’ignorais même qu’il était son ex copain. « L’ancien Eliot qui a rejoint la DH cette année ? » J’associais ce prénom au brun barbu avec qui j’avais brièvement discuté lors du paint ball. « Vous êtes proches proches ? Ou juste proches ? Et vous êtes restés longtemps ensemble ? » L’inquiétude transparaissait surement dans ma voix et dans cette série d’interrogations. Finalement, j’avais peut être autant besoin que Brynn d’être rassuré sur tout ça. Heureusement que le soutien gorge de la demoiselle apporta une note plus légère et plus fun à notre discussion. Je promettais finalement de l’encadrer, histoire de me montrer digne de ce présent. La blondinette en proposait un tout autre usage : que je le porte carrément. Sa suggestion me fit marrer : « Ne me tente pas, j’sais que t’aimes bien embrasser tes copines maintenant, alors peut être qu’avec un soutif j’aurais davantage mes chances de décrocher un jour un baiser. » Je la charriais là dessus, parce que maintenant c’était clair pour moi que ce n’était qu’une histoire de défi avec Briony. En rire c’était aussi une façon de montrer que je ne comptais plus ronchonner à ce propos, preuve de toute ma bonne foi. Surtout que je n’avais pas du tout envie que la grève reprenne. J’aimais beaucoup mieux lorsqu’on était proches comme à l’instant, quand ses lèvres vinrent parsemer mon visage de baisers, tout ça dans un aveu attendrissant. Et là, exit toutes mes bonnes résolutions d’aveu et de mea culpa, je n’y pensais même plus d’ailleurs, trop accaparé que j'étais par Brynn, toute mon attention étant focalisée sur elle. J’aurais été fou de briser ce moment. Et après avoir déposé mes lèvres le long de son cou, savourant la douce sensation de sa peau en m’enivrant de son parfum, je redressai finalement les yeux pour croiser son regard, un peu troublé par le silence, notre proximité soudaine, et le fait que pour une fois aucun de nous ne semblait jouer ou vouloir lutter contre l’attraction qui nous poussait ainsi l’un vers l’autre. Mon regard vacilla sur sa bouche, parfait appât prêt pour piéger la mienne, et j’hésitais un moment à m’en emparer… Sauf que je me retins, pour ne pas risquer un énième rejet, pour ne pas gâcher tout ça en me montrant trop pressé. Mais pour une fois, ce ne furent pas des remontrances ou des protestations qu’elle émit, mais tout au contraire, un remerciement lâché dans un souffle avant de s’enfouir dans mon cou à son tour. « De rien… » Mes paupières se fermèrent un instant pour juste savourer ce moment avant de les rouvrir à nouveau et de reprendre : « Mais ne me remercie pas trop vite, parce que j’avoue que j’ai terriblement envie de transgresser l’interdit et de t’embrasser à nouveau… » admis-je finalement, tout en laissant danser mes doigts sur sa joue, caressant doucement son visage avant de les glisser sous son menton pour l’inviter d’un geste délicat à relever les yeux vers moi. « Est-ce que j’ai ta permission ? » Parce que je ne l’embrasserais pas sans ça. Pas cette fois. Elle ne pourrait ainsi pas m’accuser de lui avoir dérobé ce baiser, de ne pas l’avoir prévenue…
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Les exs, sujet toujours très délicat à aborder. Tu replaçais des mèches imaginaires derrière ton oreille, quelque peu gênée d'avoir dû aborder le sujet. Ce n'était jamais vraiment une bonne idée d'en parler, et tu voulais tout sauf blesser Priape, qui avait déjà tant souffert par ta faute autant physiquement que mentalement. Tu opinais de la tête pour lui confirmer qu'il s'agissait bien du même Alejandro. "Du calme inspecteur gadget." rigolais-tu devant sa montagne de question. "Aloooors nous sommes restés quelques mois ensemble, mais c'était il y a au moins trois ans. Donc oui je n'ai eu personne d'autre entre temps, oui je sais je suis une vieille fille. Et non nous ne sommes pas proche proche à moins que lui foutre un coup de poing dans le nez compte?" expliquais-tu en roulant les yeux au ciel. Étrangement tu ressentais le besoin d'être sincère avec le jeune homme, de mettre réellement les choses à plat. Tu avais simplement peur qu'il adopte un ton moqueur, car contrairement aux apparences tu n'attirais pas autant d'hommes que cela.À ton plus grand malheur. C'était peut-être pour cette raison que tu avais voulu tenter l'expérience avec une femme? Trois ans c'est vraiment long quand tu y penses. D'ailleurs, oublier le fait qu'il y avait eu quelque chose avec Briony semblait toujours être quelque chose de difficile à digérer pour le dunster, bien que l'humour était bien présent. "Embrasser des filles oui, des travestis je ne sais pas...Conchitta Wurst ne m'a jamais vraiment attiré." rigolais-tu avant de lui octroyer un petit clin d'oeil. "Tu peux toujours essayer un jour si tu veux en avoir le coeur net." Tu haussais les épaules, incapable d'effacer les images comiques formées dans ta tête. Breeef. Le regard plongé dans celui de Priape, irrésistiblement attiré par le fruit interdit tu venais de lui avouer à demi mot tes sentiments. Ton coeur battait tellement fort dans ta poitrine, que tu t'étonnais presque de ne pas pouvoir l'entendre. Les baisers que t'avaient déposé Priape te brûlaient encore la peau. Pour la première fois depuis longtemps tu te sentais bien. Dans ses bras tu avais la divine impression d'être à ta place. Tu avais terriblement envie d'embrasser les années qui vous séparaient, mais étrangement tu avais peur d'essuyer un échec. Pourtant cette tentation ne te quittait pas, tu souhaitais par dessus tout : que vos lèvres s'unissent, que le temps s'arrête, que plus rien de compte à part vous deux."Non Zacharias pas touche." Raison, toujours la raison. "Ne te méprends pas j'en meurs d'envie." Tu relevais la tête, le poussant sur le dos tu montais alors à califourchon sur lui . Rapprochant ton visage du sien. Puis tout doucement tu lui souris, simplement, ta main se glissant contre sa nuque tu venais poser ton front contre le sien, mordant légèrement ta lèvre inférieur. "Est ce que tu m'autoriserais à t'embrasser?" chuchotais-tu alors que ta bouche se mettait à narguer la sienne. Puisque tu lui avais interdit de violer tes lèvres, tu supposais qu'il en allait de même avec lui. Vos lèvres étaient si proches, son souffle était si doux... tu aurais pu rester des heures planté là, en sa compagnie, avec pour seule satisfaction de le regarder.
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Le rire de Brynn résonna suite à ma succession de questions, dans lesquelles perçaient un peu mes inquiétudes et ma panique. Au moins elle ne s’insurgeait pas devant ma trop grande curiosité, elle essayait plutôt de me rassurer, un peu comme je l’avais fait concernant ma relation actuelle avec Caly et Talya. Elle me raconta donc qu’elle était restée quelques mois en couple avec ce garçon, que ça datait d’il y a trois ans, occasion pour elle de me glisser qu’elle n’avait eu personne durant ce temps, et finalement elle conclut que non, ils n’étaient pas si proches que ça, plaisantant même sur un coup de poing qu’elle lui aurait mis. C’était dur de ne pas laisser trop voir mon soulagement, parce que l’espace d’un instant, quand elle avait parlé de sa proximité avec Alejandro, j’avais imaginé un tout autre scénario qu’un remake de Rocky. Du coup, c’est beaucoup plus léger et avec un sourire un peu amusé que je répondis : « Etant donné que moi j’ai eu le droit à un coup de boule, j’imagine que oui ça compte. Je pensais que j’étais la seule cible de tes pulsions violentes. » ajoutai-je avec une moue boudeuse, poursuivant : « D’ailleurs je suis jaloux… » J’en rigolais, c’était dit sur le ton de l’humour, mais au fond de moi, le prénom du brun était désormais bien enregistré, et je savais que je l’aurais à l’œil maintenant. C’était normal d’adopter un tel comportement envers l’ex de la personne qui nous plaisait non ? Même si la blondinette avait été rassurante à son sujet… Y’avait toujours l’épisode Briony, pas loin dans ma tête, sauf qu’à présent j’étais capable d’en plaisanter, évoquant l’idée d’enfiler vraiment son soutien gorge pour obtenir un baiser. Sa réponse me fit marrer. C’était certain qu’avec ma barbe de trois jours, je ne serais jamais des plus crédibles avec sa lingerie sur moi. « Ca te donnera encore une occasion de te moquer de moi surtout oui… » ricanai-je alors qu’elle m’encourageait à tenter l’expérience. J’avais bien assez de vents à mon actif avec la jolie blonde sans en rajouter. Sauf que, là, installés sur son lit, plus proches que jamais, il semblerait que la météo soit devenue bien plus clémente. Les lèvres de Brynn parsemèrent mon visage et mes mains de baisers avant de se lancer dans un aveu, et elle ne me repoussa pas lorsque les miennes parcoururent son cou. Ce qui me fit penser que peut être, cette fois, je n’essuierais pas de refus, d’où la question sur sa permission, qu’elle ne me donna d’ailleurs pas. Mes doigts cessèrent un instant de caresser sa joue alors qu’une lueur déçue éclaira mes yeux, effectuant un imperceptible recul. Déception de courte durée, puisque quasi aussitôt, la jeune femme reconnut qu’elle en mourrait d’envie. Un petit sourire étira alors mes lèvres et je me laissais faire lorsqu’elle me poussa à m’allonger dos au matelas. Mon sourire s’élargit un peu plus alors qu’elle s’installait au dessus de moi et je sentis mon cœur s’emballer. Ses doigts qui se glissèrent au creux de ma nuque provoquèrent un léger frisson dans tout mon corps et son front vint se coller au mien alors qu’elle se lançait à son tour me demandant mon autorisation… « A ton avis ? » Ca faisait des mois que je me languissais, alors la voir ainsi prendre l’initiative, c'était inespéré. Nous retrouver tous les deux à deux doigts de céder, baissant les armes, cessant de lutter et de résister, ça semblait presque irréel. Un rêve. Mais je n’avais nullement envie de me réveiller. Ce que je voulais pour le moment, c’était juste de profiter.
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Tu souriais, rigolant de ce rire franc. "Un coup de boule ça veut dire que j't'aime bien, fin je peux te supporter quoi...alors qu'un coup de poing c'est plus violent ça veut dire dégage tu vois? Faut savoir lire entre les lignes Zacharias." commençais-tu à expliquer comme si c'était la chose la plus évidente au monde. Tu te foutais légèrement de sa figure, mais dans un sens tes paroles résumaient tout de même bien tes pensées. Le jeune dunster t'avoua qu'il était jaloux, ce qui te fit rouler une nouvelle fois les yeux au ciel, ça commençait à devenir une habitude ces derniers temps. Pour seul réponse il reçu ton oreiller dans la figure, l'air de lui dire ne raconte pas de bêtises. Une petite voix avait presque envie de lui souffler que si tu avais préféré être avec ton ex tu ne serais certainement pas là avec lui allongé sur ton lit. Néanmoins les mots ne franchirent pas le seuil de ta bouche tellement tout ça te paraissait logique et transparent. D'ailleurs, si tu semblais convaincue par l'idée de lui portant tes petites tenues, Priape restait septique face à cette idée. Aurait-il du mal à abandonner sa virilité de bûcheron? Peur de se ridiculiser devant tes yeux? Tu trouverais cela presque attendrissant. "Comme si j'avais besoin que tu t'habilles en fille pour me moquer de toi." plaisantais-tu dans un petit ricanement. Tu passais tout ton temps à rigoler de lui, ou du moins avec lui, et jusqu'à présent il t'avait toujours bien rendu l'appareil. Tu l'observais longuement, la proximité entre vos deux corps n'arrangeant rien. Ça te rappelait étrangement votre voyage en Ecosse, si près, si tentant.  Après un tendre échange de caresses, le jeune père te demanda l'autorisation de l'embrasser. Un refus fut la seule chose que tu pus lui fournir, ce qui sembla le blesser . Que pouvais-tu dire d'autre? C'est que tu avais une toute autre idée en tête, car jusqu'à présent c'était toujours lui qui avait fait le premier pas, et allez savoir pourquoi aujourd'hui tu sentais que c'était à ton tour. Un peu comme pour renforcer les paroles que tu avais prononcé un peu plutôt , pour lui montrer que tu étais sérieuse, du moins à cet instant présent. Tu poussais avec douceur l'étudiant, afin de te retrouver au dessus de lui. Il était si craquant, si patient avec toi. Le front contre le sien, tu souriais bêtement quand il t'avoua à demi mot que tu avais le droit de l'embrasser. "Tu sais..." ajoutais-tu songeuse "si Salomée ne m'avait pas invité en Ecosse, et si je n'avais pas accepté on ne se serait surement jamais parlé? Et encore nous sommes tous les deux tombés à Gryffondor...mais avant ça je ne te connaissais pas, je voyais à peine qui tu étais..." Toi et tes révélations, toujours au pire des moments. "C'est bizarre hein? De voir comment des petits choix nous poussent dans certaines directions?" Tu avais ce petit regard émerveillé qui t'animait, alors qu'au dessous de toi Priape devait être désespéré à attendre que tu passes à l'action. Tu restais silencieuse pendant plusieurs longues secondes, comme pour le faire espérer encore un peu. Puis vos lèvres se trouvèrent enfin, doucement, mettant un terme à l'attente cruelle que tu lui avais fait subir. La respiration haletante, tu prolongeais le baiser encore, tu cherchais un second souffle, répondant à des instincts où l'envie prime sur tous le reste. Tu ne mis fin au baiser que pour reprendre ta respiration, le cœur battant à tout rompre, comme s'il était sur le point d'exploser dans ta poitrine.
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