Jimmy Carter et JFK d'aujourd'hui (pv Kennedy)

Ah merde, maintenant je me sentais mal. J'avais simplement voulu ne pas l'accaparer pour que les autres étudiants de Harvard puisse venir la saluer comme je l'avais fait en brisant la glace le premier. ''Je suis désolé, il faudra que je me rachète alors.''. Je me faisais un devoir de me racheter. Je lui avais proposé de jouer au jeu des 10 questions, c'est une autre manière d'apprendre à se connaître sans rendre l'ambiance bizarre mais il semblait que je venais de faire un faux pas. Je la regardais amusé:''Le but est simple, on se pose des questions en répondant par oui ou par non ou même des courtes réponses, sa évite de chercher des sujets de conversation.''. Je me marrais, j'aimais bien embêter les gens. J'avais tenté de jouer le jeu et deviner son champ d'études simplement en assimilant le peu d'informations que j'avais sur elle pour le moment. À la voir, il semblait que j'avais vue juste pour certains détails, je le savais tout de suite Kennedy était vraiment différente des autres filles, c'était plaisant et surtout plaisant à découvrir. Je hochais la tête approuvant le droit, c'était bien. Je l'entraînais au café du coin pour chercher un truc pour la route: ''Droit c'est bien et le destin t'a apporté dans quel domaine? Donne moi un indice au moins.''. J'étais prêt à jouer le jeu.

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Kennedy & Carter

« Oh d’accord. Va pour le jeu des dix questions alors » répondit Kennedy qui pourtant n’avait pas pour habitude de parler d’elle. Si certaine fille profitait de la moindre occasion pour dire « moi je » et raconter tous les détails de sa vie jusqu'à la couleur de leur petite culotte, Kennedy était plus réservé. Elle aimait garder certain détails pour elle. Pourtant c’était avec une certaine facilité qu’elle parlait à Carter et évoquait son ancien cursus universitaire. « D’accord. Un indice : Crimes, preuve, enquêtes. Voilà avec ça tu devrais pouvoir trouver ! » En fin dans l’optique où se cursus était enseigner à Harvard et non pas seulement à Columbia. Carter l’avait emmené dans un café, loin de la fac d’Harvard mais ça ne semblait pas déranger la Kerrigan, qui appréciait la compagnie du jeune homme.

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Kennedy me captivait, j'avais envie de mieux la connaître, elle avait un jeune sait quoi qui m'intriguait. Elle était sublime c'était vrai mais je n'avais pas envie qu'elle croit que je faisais tout sa pour la draguer, ce n'était pas le but. Je l'écoutais me donner des indices et je croyais saisis maintenant ce qu'elle étudiait. Je lui dis donc: ''Est-ce que j'aurais une future policière devant moi? En voilà une noble profession.''. J'avais conduis Kennedy au café du campus pour prendre un truc pour la route. Je me pris un th; chai latte et laissa Kennedy passer sa commande pour régler le tout après. Je voyais qu'il n'avait pas grand gens de le café alors après avoir pris une gorgée de thé, je lui demandais comme première question: ''Est-ce que tu veux rester dans le café ou tu préfères visiter des trucs?''. Je voulais qu'elle aille un bon passage à Harvard mais j'allais faire ce qu'elle voulait.

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Kennedy & Carter

« And the winner is… » dit-elle avec malice. “ Je fais des études de criminologie. Je ne sais pas si ça existe à Harvard. J’avoue que je marche un peu sur les traces de mes parents. Au plus grand drame de mon père ! » C’est vrai que Mr Kerrigan qui voyait encore sa fille comme si elle avait 4 ans, s’imaginer déjà le pire. Si Kennedy ne voyait aucun inconvénient à discuter simplement autour d’un café avec Carter, elle avait tendance à ne pas tenir en place. Aussi « visiter des trucs » correspondez sans doute plus à son caractère, mais elle craignait que comme à la soirée d’inauguration de la Ivy league ils finissent par croiser des étudiants qui souhaitent se greffer à eux. C’était peut-être idiot, mais Kennedy s’entendait bien avec Carter, elle avait juste envie d’en apprendre plus sur lui. Il lui restait encore beaucoup de temps pour découvrir Harvard avant son retour à New-York, chaque chose en son temps. « J’veux bien rester ici avec toi. Il reste neuf autres questions non ? » Demanda-t-elle en souriant.

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Alors j'avais deviner la bonne réponse pour son cas: Elle était une future policière, ce genre de profession avait besoin de femmes comme Kennedy pour défendre nos lois, je me trouvais presque nul en tant que futur médecin vétérinaire. Alors elle venait d'une famille de policier? C'était chouette sa, je la respectais pour vouloir suivre les traces de ses parents. ''Oui la criminologie existe comme champ d'études ici mais la tendance est plus qu droit et l'école de droit pour les avocats.''. à ce que la tendance se disait pour le moment apart des centaines de personnes qui étudiait en médecine. Elle m'avait laissé un peu sur ma faim quand elle mentionna au plus grand drame de son père? En voila, un truc d'intéressant: ''Pourquoi tu dis sa ton père n'approuve pas ton choix?''. Si c'était le cas, alors on venait de se trouver un autre point en commun. J'étais content qu'elle choissise de rester au café, il restait en masse de temps avant mon examen pratique de ce soir. Je tirais une chaise, y prenant place en face de Kennedy: ''On est pas obligés de passer des heures ici aussi. Voici un des cafés les plus bondés de Harvard mais le meilleur.''. Je n'allais certainement pas lui présenter des trucs lamentables de notre campus quand même, on jouait toujours la carte de la bonne impression. Je riais, oui il me restait 9 questions: ''Tu as raison 9 questions. Alors la prochaine, alors l'Ivy League c'était un truc pour t'échapper ou par intérêt?''. C'était peut-être un peu trop personnel.

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Kennedy & Carter

« A croire que je n’aime pas faire comme tout le monde ! » conclut Kennedy quand Carter se mit à parler de « tendance ». C’est vrai que la Kerrigan était plutôt unique en son genre, une Veronica Mars des années 2000. « Pourquoi tu dis sa ton père n'approuve pas ton choix? » La jeune fille grimaça quelque peu. S’ils commençaient à parler de son père ils n’avaient fini. « Ce n’est pas ça c’est juste… Pour lui je suis la 8ème merveille du monde et s’il pouvait il me garderait enfermer dans une tour comme Raiponce. » dit-elle tout à fait sérieuse. Sa façon de le dire trahissait tout l’affection qu’elle avait pour son père, malgré le fait que parfois son amour pour elle l’empêcher de vivre. Mais elle ne se laissait pas faire ! « Il est vieux jeu aussi. Il trouve que Flic ce n’est pas un métier de femme ! Un truc que bien sûr il ne va pas dire à ma mère ! » Son caractère bien trempé Kenny le tenait de Grace Kerrigan, qui n’hésitait pas à taper du poing sur la table pour avoir ce qu’elle voulait. « Il préférerait que je sois styliste ou vendeuse de gâteau. Un métier sans danger et 100% féminin. » Et voilà qu’elle était en train de se confier à un inconnu. Kennedy se pencha sur sa tasse de café pour sentir le liquide. On ne sait jamais il avait peut-être mis quelque chose à l’intérieur ! La New-Yorkaise n’était pas aussi bavarde sur ses émotions d’ordinaires.

Quand Carter parlait de « s’échapper » ses joues se rougit légèrement. C’était comme si la vérité lui revenait en pleine face, comme un boumerang. S’échapper en effet… Shane… Elle était là à boire un café avec un inconnu alors que son petit ami était à New-York ! Ils ne faisaient rien de mal, il ne faisait que discuter mais tout à coup elle se sentait mal à l’aise, comme elle n’était totalement certaine de ce qu’elle faisait… « C’est compliqué » répondit-elle pour éviter la question.

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C'était une bonne chose de vouloir faire différent de ce que ferait les gens, c'était ennuyant de voir les gens vouloir être une copie conforme des autres, si il y avait bien quelqu'un qui aimait faire différent, c'était bien moi. ''C'est bien, être un outsider, quelqu'un te différent c'est ce qu'il faut.''. Ensuite, elle avait parlé de son père mais si elle ne voulait pas répondre à ma question, ce n'était pas grave mais j'avouais être content qu'elle le fasse, je prenais le tout comme une preuve de confiance? C'était trop tôt ? C'était moche que sa relation avec son père soit comme sa, je détestais les vieux qui avaient la vieille mentalité de merde, genre on est dans les années 200 papi, il est temps de se réveiller. ''Y'a pas juste les mecs qui peuvent porter l'uniforme. Les hommes aiment bien les femmes en uniforme aussi.''. J'espérais de tout cœur que Kennedy pourrait réaliser ses plans et faire changer la mentalité de merde à son père, sa craignait. Ensuite, sans le vouloir une question m'était venu à l'esprit. Desfois, j'avais la vilaine habitude de penser à voix haute. Je voyais que je l'avais mis mal à l'aise, en m'excusant je tentais de changer le jeu: ''Désolé Kennedy, pour qui je me prends. Si tu veux, on oublie ? Je rajoute même une question sur moi pour me faire pardonner.''. Je buvais un peu.

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Kennedy & Carter

Quand Carter affirma que les hommes aimaient les femmes en uniformes, Kennedy eut un léger sourire. « Pas tous. Crois-moi. J‘ai assez d’expérience pour savoir que les garçons préfèrent les filles… docile. » C’est vrai que la Kerrigan n’avait jamais eu de chance du côté cœur. Mais Shane Salvadore, son petit ami ce la jouait souvent prince charmant, il n’était moins conscient et séduit par le fait que Kenny n’était pas fragile et sans défense. Shane… Depuis son arrivée c’était à peine si elle lui avait donné de ses nouvelles. Pire elle se retrouvait avec Carter à discuter comme si… elle était célibataire. ''Désolé Kennedy, pour qui je me prends. Si tu veux, on oublie ? Je rajoute même une question sur moi pour me faire pardonner.'' « Non ça va c’est juste que… j’ai un petit ami ». Pourquoi se sentait-elle obliger de le préciser ? Après tout ils étaient juste en train de discuter, elle n’avait pas besoin de se justifier de quoi que se soit. Pourtant, après la question de Carter elle trouvait ça plus honnête de clarifier ce point. Pour qu’il n’y ai pas de malentendu…

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Décidément, je pouvais voir que malgré que l'on se connaissait depuis 24h, Kenny semblait en baver. Je ne savais pas comment elle faisait pour supporter des mentalités des années 50 comme sa, elle avait du en baver la pauvre. Encore la, il fallait faire attention à ne pas tout mettre les mecs dans le même panier: ''Alors c'est bien que tu sois à Harvard pour voir qu'il y a des exceptions à la règle...''. Je n'étais pas le genre de fille qui aimait les filles dociles, je préférais voir des filles indépendantes et sûr d'elle, je n'allais sûrement pas leur dire quoi faire. J'étais le mec qui appuyait les filles dans la cause du féministe. La new-yorkaise était vraiment différente des autres filles que je connaissais, j'avouais que c'était un véritable vent de fraîcheur de lui parler. Je arquais un sourire en même temps de sourire lorsqu'elle m'avouait avoir un petit ami. J'étais plutôt content pour elle mais en même temps, je me demandais si j'envoyais des mauvais signaux ou des sous-entendus? Je lui répondis donc: ''Oh mais je suis content pour toi que tu sois en couple. C'est génial d'avoir quelqu'un à aimer, je sortais avec une princesse d'Écosse mais elle m'a larguée du jour au lendemain et est rentrer chez elle.''. Elle était honnête avec moi alors je lui avouais ma situation. Je prenais une autre gorgée mais j'étais amusé, je ne pouvais pas m'empêcher de me demander: ''J'espère que je n'envoyais pas des mauvais signaux ? Genre, je ne fais pas tout sa pour coucher avec toi, nul n'est mon intention. Je trouve que tu es quelqu'un qui mérite d'être connu.''.

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Kennedy & Carter

Kennedy eut un sourire quand Carter affirma qu’il était une exception, qu’il n’aimait pas les filles dociles. Ça lui fit réellement très plaisir c’était si rare. C’est à ce moment-là qu’elle pensa à Shane et qu’elle avoua à Carter qu’elle avait un copain. « Oh mais je suis content pour toi que tu sois en couple. » Kennedy fronça légèrement le visage, elle ne s’était pas attendu à ce genre de réaction et elle ne voyait pas où il voulait en venir. Il lui expliqua ensuite sa situation amoureuse et se justifia sur son comportement. Quelle idiote ! « Ça y est j’me sens complètement ridicule » dit-elle en cachant une seconde son visage avec ses mains avec un sourire un peu confus, avant de passer sa main dans ses cheveux pour se donner une contenance. « Je suis désolé. Non rassure toi tu n’as pas donné de mauvais signaux. C’est moi qui… suis stupide ! » Elle eut un léger rire nerveux. « Je suis désolé, je suis une fille plutôt méfiante de nature et… je voulais être sûre qu’il n’y ait pas de malentendu, que moi-même… je n’envoie pas de mauvais signaux. » dit-elle de nouveaux avec un sourire. La honte ! Carter allait penser que les New-Yorkaise étaient toutes super narcissique, à penser que tous les garçons du monde cherchaient à les séduire. « C’était stupide ! Faisons comme si je n’avais rien dit ! Okays ? » Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille. “ Et sinon, tu as des frères et sœurs ?” Kennedy essayait à tout prix de changer de sujet ? Noooon quel idée !

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