Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityChaton - Je vais tenir comment ? - Page 2
-17%
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à 49,99€
49.99 € 59.99 €
Voir le deal


Chaton - Je vais tenir comment ?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je vais tenir comment ?
"Toi." Voilà ce que je veux, ce que je lui réponds alors que je ne devrais pas alors qu'il est de mauvais humeur, que non, il ne vas pas être sympa avec moi, que ça soit maintenant ou après... Il n'y aucun risque alors je lui pose cette question pour savoir s'il me déteste... Il ne nie pas...Il déteste ce que je suis... une droguée... Je baisse la tête... Pourquoi il est là alors ? Il le sait pourtant, il sait que je me drogue depuis qu'on se connait, je ne lui ai jamais caché, alors pourquoi il crise comme ça maintenant... Pourquoi il fait ça ? Je devrais bouger, réagir, l'empêcher de fouiller comme ça dans mes affaires, mais non, je ne bouge pas, parce que j'ai peur de lui dans un sens, parce qu'il a une certaine domination sur moi, comme un chien, je courbe l'échine devant lui, je baisse la tête et j'obéi...

Puis cette phrase... Je baisse encore plus la tête... Il ne veut même pas essayé de me comprendre... Il en a rien à foutre... C'est pas parce que pour lui tout est rose, que dans son monde les licornes font des cacas papillons que c'est le cas pour tout le monde... Il réagirait comment s'il avait le sang d'un être qui lui ai très cher sur les mains ? S'il était responsable de la mort de son frère, de son meilleur amis ? Comment il réagirait hein ? N'aurait-il pas envie de fuir la réalité alors ? Une réalité trop dure à assumé, à affronté ? Ou bien préférerait-il une solution encore plus lâche, celle de tenter de ce suicider ? Je devrais peut-être faire ça, sauf que j'en suis incapable...

Il n'est plus dans la pièce quand je relève la tête. J'aurais du le suivre, bouger pour l'empêcher de partir, mais j'en suis incapable. la chute de la coke, le mal après le bien être, sa simple affirmation qui tourne encore et encore dans mon crâne. Il déteste les drogués devient rapidement un il me déteste tout court. Je serre les poings, je me crispe aussi. Tout le monde me déteste de toute façon. Délire paranoïaque. Mauvaise chute. Je demandais juste son attention et il me détruit un peu plus. Je me laisse tomber en avant pour frapper mon matelas. Il est partit pour moi, je ne fais pas attention à la chasse d'eau, je ne pense que c'est lui. C'est sûrement mon coloc, rien de plus, rien de moins... Il est partit et ma came avec... J'ai plus rien... Et pire encore. Il me déteste. Alors oui, des larmes de rages et de désespoirs coulent sur mes joues.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Robin & Shunzei

Shun ne répond pas. Il n'a pas envie d'entrer dans une discussion qui tournerait mal. Il n'était pas venu pour ça, ni pour jouer les répresseurs. Il était venu pour voir Robin et profiter d'elle. Mais ça n'avait pas pu être le cas. Au lieu de ça, il avait trouvé une pauvre fille paumée qui disait n'importe quoi. Il avait fait le ménage et était partit finir de nettoyer la came dans les toilettes, sans se douter un instant de l'effet de ses paroles. Il ne comprenait pas les gens qui voulaient fuir la réalité, et à tort les gens pensaient que tout allait parfaitement bien sa vie de gosse de riche. Peu de personne avait fouillé dans sa vie pour savoir les horreurs dont il avait été témoin, et les horreurs qu'il avait pu faire lui aussi, et Shun se garderait bien d'en parler.
Quand il revint dans la chambre, il trouva une Robin qui semblait avoir perdu l'esprit. Il resta quelques temps à la fixer, ne sachant pas vraiment quoi dire ou quoi faire. Il finit par s'approcher et s'asseoir sur le lit près d'elle, caressant sa masse de cheveux sous laquelle devait se trouver son visage quelque part enfoui dans le matelas. Il remit avec tendresse et délicatesse les cheveux de Robin derrière les oreilles, comme sa mère faisait quand il était triste. Mais il ne dit mot.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je vais tenir comment ?
Je suis prostrée comme ça sur mon lit, incapable de pleurer, bien que je rage, contre Shunzei pour m'avoir dit ça, contre moi-même d'être ce que je suis... D'être un déchet de la société, d'être qu'une sale drogué qu'il déteste... Une droguée que beaucoup de personnes déteste... Il n'est pas le seul au final, il y a aussi Nate, Abby, et toute la clique de personnes qui me connaissaient avant qui déteste ce que je suis, même sous leurs faux sourires, leur pseudo-aide, conciliation ou je ne sais quoi d'autre qui au final n'est là que pour me rappeler le monstre que je suis...

Pourtant, je sursaute quand je sens les doigts de l'asiatique dans mes cheveux, ça me surprend et je retiens un petit couinement de surprise, mais il a bien du voir que je ne m'attendais pas à être touché maintenant... Je me redresse, relève la tête vers lui, le regard triste, peureux même. J'ai peur d'être seule, que lui aussi me tourne le dos, surtout après ce qu'il vient de me dire. Il ne peut plus m'apprécier. Je ne suis qu'une droguée et il déteste les drogués. Je finis par lever la main pour le repousser pour briser ce contact. Je ne veux pas qu'il me laisse, mais je le repousse, le chassant dans un sens. "Arrête ! Tu me détestes !"
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Robin & Shunzei

 
Assit sur le bord du lit, près de la petite blondinette prostrée, Shun tentait aussi bien que mal de la réconforter. Et ce n'est pas une mince chose à faire quand on connaît la bête, incapable de vraiment savoir réconforter qui que ce soit, mais il avait au moins le mérite d'essayer. Ne se doutant pas vraiment que ses paroles étaient la cause de cette scène. Il fallut que Robin le repousse pour que Shunzei fasse l'association. Il resta là, à côté d'elle, à le regarder comme une chose étrange. A côté même un Vulcain de Star Trek serait plus humain que Shun. Il lâcha un soupire.  « Un soir, deux gamins qui s'étaient improvisés cambrioleur, sont entré dans ma maison. Ils étaient drogués jusqu'aux yeux. Probablement qu'ils n'ont pas comprit pourquoi ma famille était à la maison. Mais ce soir là, ils ont massacrés tout ce que j'avais de plus cher. Alors oui. Je hais les drogués. Et je détestes ce que tu es, quand tu es "ailleurs". Mais toi, je ne te détestes pas.  » Shunzei ne montra aucune émotion, parce qu'il savait très bien garder une certaine contenance. Mais par moment, ça faisait encore mal rien que d'y penser. Il n'ajouta rien d'autre, il avait beaucoup parlé pour une fois. Il posa sa mains sur le crâne de la blondinette en la tapotant tendrement. c'est pour cela que les Eliot sont la meilleure des confrérie.



@L. Victoria S.-Wildingham
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je vais tenir comment ?
Je viens de le repousser alors que jusque là, je voulais qu'il me touche, me prenne dans ses bras et tout... Mais il m'avait dit ses mots, comme quoi il détestait les drogués... J'en suis une alors par déduction, il me déteste aussi... Ces mots sont douloureux à entendre, ils tournent dans ma tête comme une malédiction... Je le regarde, les larmes aux yeux, mais je ne pleure pas. J'attends sa réponse, sa réaction. Je l'imagine déjà partir, me laisser, m'abandonner comme tout les autres l'ont fait avant lui... Mais il reste et il me parle. J'ai du mal à y croire. Non pas à ce qu'il me dit, mais qu'il reste-là... Pourtant, rapidement ses paroles me rattrape et je baisse la tête, frottant mes yeux comme une enfant qui décide d'arrêter de pleurer. "Je suis désolée." Murmurais-je alors plaintivement une première fois, puis une seconde fois avant de finalement lui parler aussi de moi, de ce qui a fait que je suis devenu cette droguée... "J'ai tué mon frère... Parce que j'étais trop obéissante... Je faisais aucune connerie, j'obéissais à mon père tout le temps et pour tout... J'ai jamais trop bu, fumé ou n'importe quoi avant... Je déteste cette fille que j'étais... Cette enfant trop sage parce que sans elle... Elia serait toujours là... J'ai conduis mon frère à la mort..." Il y avait longtemps que je n'avais plus parlé comme ça, que je n'avais plus dit à quelqu'un cet épisode, bien que là, tout était encore incomplet... Il ne savait pas comment il était mort... Mais ce n'était pas le détail important cela... Puis si je lui disais, il allait faire comme tout le monde, me dire que c'était un accident, alors autant se contenter de ça... De toute façon, je suis incapable de parler encore, prise de sanglot à reparler de toute cela, je pleure pour de bon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Robin & Shunzei

 
Shunzei parlait très peu de lui, et peu en général. Le monde lui reprochait souvent d'être distant d'ailleurs. Robin pleurait, et Shun essayait de la faire cesser comme il pouvait. Il ne laissa pas Robin seule, malgré son état. Il tenait à elle, à sa façon, et même si c'était désagréable, Shun faisait ce qu'il devait faire, comme toujours, il faisait son devoir. Elle s'excusa, et l'asiatique posa ses yeux sur elle.«  Ne soit pas désolé. Tu ne m'a rien fais.» Il écouta attentivement ce qu'elle lui révéla sur elle. Il lui sembla clair que tout deux se sentaient fautifs de la mort d'être cher, mais que leurs routes avaient prit des chemins différents pour supporter cette épreuve. «  Et tu penses que la fille que tu es maintenant est mieux? Fuir la réalité n'arrangera rien. La souffrance sera toujours là. Les souvenirs aussi. Si tu n'apprends pas à passer outre, tu resteras comme ça toute ta vie, bloquée.» Shun avait passé des années dans un état second. Avec le temps, il avait apprit à supporter la réalité, toutes les réalités sur sa condition. Est-ce que ça l'a rendu plus froid avec les gens, certainement, mais il était là, à parler à Robin. Il continuait à lui tapoter tendrement le sommet du crâne, ne sachant pas vraiment quoi faire.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je vais tenir comment ?
Je ramène mes jambes contre mon torse pour me recroqueviller sur moi-même, un bras autour de mes jambes, l'autre dissimulant mon visage. Je pleure, comme une conne devant lui, parce que je craque, parce que j'ai encore parlé de mon frère alors que j'essaie d'en faire un sujet tabou... J'écoute mon chaton, le laissant me toucher, essayer de me rassurer, de me conseiller dans un sens, tout en me faisant la morale... Je renifle un peu, mes sanglots m'empêchant de parler pendant un moment alors que j'essaie, mais c'est vain... Puis finalement, je redresse la tête, en faisant preuve d'une certaine volonté, luttant contre mes larmes et mes sanglots. "Elle est déjà mieux que la meurtrière !" Lui rétorquais-je enfin... Oui, pour moi, j'étais mieux maintenant, même si je ne faisais que des conneries, que je me tuais à petit feu, que d'être telle que j'étais avant, celle qui conduit ses proches à la morgue. Je refuse d'être encore ainsi, de souffrir encore parce que quelqu'un sera mort par ma faute et pourtant... Pourtant, Nate m'a bien montré que je reste une meurtrière, peu importe l'attitude que j'ai... Après tout, c'est uniquement ma faute s'il a tenté de ce suicider... J'éclate alors à nouveau en sanglot, me décontractant d'un coup pour venir plonger soudainement contre le torse de l'asiatique, mes doigts se refermant sur sa blouse, mon visage s'enfouissant dans son coup alors que je continue de pleurer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Robin & Shunzei

 
La psychologie, et le réconfort n'était pas vraiment du ressort de Shunzei. Depuis que sa famille avait été massacré, un part de lui était morte ce jour-là avec eux. Il semblait indifférent à tout, et incapable d'apporter du réconfort à qui que ce soit. Le reste de sa vie avait évolué dans un monde dur et violent, où les sentiments n'y ont pas leur place. Il essaya de la réconforté, en vain sembla-t-il, alors il la laissa pleurer autant qu'elle voulait, restant près d'elle, jusqu'à ce qu'elle finisse par lui répondre. Il la regarda longuement avant de lui répondre très sincèrement. «   Tu n'as rien d'une meurtrière. Tu es beaucoup trop "pure".   » Robin n'était pas chaste, ni vierge, ni même clean. Elle était loin de la définition de pureté. Mais quand Shunzei posait ses yeux sur elle, il avait l'impression de voir une jeune enfant effrayé et chagriné. Quand elle se jeta sur lui pour continuer de pleurer, Shunzei passa ses bras autours du corps de la frêle jeune fille, et la serra doucement, et ni trop peu, ni trop. Il n'avait rien à dire, alors il se contenta du silence et de sa présence, espérant que ça lui suffise.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je vais tenir comment ?
Malgré les larmes, un rire franchit mes lèvres quand il use du terme pur pour me définir... C'est du n'importe quoi... Pure... est-ce que je l'ai été seulement une fois ? Non, je pense pas, même quand j'étais encore vierge... Ce qui remonte à pas si longtemps que ça au final... J'étais misérable avant, mais je le suis encore plus maintenant... Mon rire s'estompe finalement, remplacé par les sanglots alors que je continue de m'agripper au t-shirt de celui que j'appelle Chaton. Je frotte ma joue contre son torse, cherchant à ce qu'il me touche, me caresse, cherchant également son odeur pour avoir une sorte de réconfort en plus. Je me blottie contre lui avant de finalement le pousser en arrière pour le contraindre à s'allonger sur mon lit que je puisse m'allonger contre lui, profiter un peu plus de son corps, de sa présence. Je laisse mon visage contre son torse, les larmes commençant enfin à s'estomper pour de bon, mais je ne dis toujours pas un mot, je reste simplement contre lui, caressant un peu son torse... Caresses s’amplifiant de plus en plus alors que je me calme, que je retrouve un semblant de sérénité contre lui. Je suis bien là... Je serais un chat, je serais d'ailleurs sûrement entrain de lui ronronner dessus, lui casser les oreilles même à cause de mes ronrons trop imposant... Mais je ne suis pas un félin et je ne ronronne pas. Je lui laisse juste entendre ma voix. "Désolée." Pour m'excuser encore, même si cela ne changera rien à son vécu et à ce que je suis... Je m'excuse alors que l'un comme l'autre on sait parfaitement que cela ne sert à rien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Robin & Shunzei

Ce vulcain ne savait pas vraiment quoi dire, ou quoi faire. Il faisait de son mieux, avec des connaissances dans ce domaine très limité. Shun ne s'était jamais vraiment lié à quelqu'un, et n'avait jamais prit la peine de consoler quiconque, en tant que Yakuza il était doué avec le concept de loyauté à la famille, et sans attache. Même son vrai père ne comptait pas tellement pour lui. Il se sentait seul, et se considérait comme seul. Il laissa Robin le caresser et s'allonger contre lui, sans un mot, lui caressant les cheveux, avant d'ajouter. « Tu vas mieux?» Shunzei ne savait pas consoler. Il pouvait être très charmant, et charmeur, mais quand les gens se mettaient à pleurer, il perdait tout cette assurance et ce savoir faire. « Désolé, je ne sais pas consoler, tu es ma première consolation.»

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)