(andrew) this isn't love, it's sport fucking.

Ah au moins, il y a d’autres âmes qui vivent dans cette immense villa. Il n’est tout seul. Quand même, à sa place, je me sentirais bien seul. « Je ne sais pas, c’est une première. » Pas de me retrouver dans un jacuzzi, mais d’y aller avec une bouteille de champagne. Un champagne qui doit coûter la peau du cul, mais bon quand on est un Prince, faut vivre comme tel. Parfois, j’aimerais avoir le culot de dépenser autant de dollars pour une seule bouteille de champagne sans me sentir coupable. Ça c’est mon côté Quincy qui sort lorsque je décide de faire un achat élevé. Par exemple, la robe au bal : une Elie Saab, j’ai dépensé sans regarder parce que c’est Elie Saab, mais j’ai eu un remord par la suite. Enfin bref, j’attends qu’il descende ma fermeture éclair et lorsque c’est fait, je me retrouve en petite culotte devant lui. Tout va bien, je suis à l’aise avec mon corps, merci maman. Mes lèvres s’étirent lorsque ses lèvres se déposent dans mon cou suivi d’un frisson. Un point faible. « Je te suis. » Du coin de l’œil, je le regarde se déshabiller complètement et je ne peux pas m’empêcher de zieuter sur son derrière. Damn. Je vais le rejoindre avec une démarche régulière et je ferme les yeux dès que je me retrouve dans l’eau. Ça fait du bien. « Tu sais ce que tu peux faire ? Me masser ici comme ça tu peux faire deux pierres, un coup. » Je lui dis en hochant la tête comme pour confirmer mes propres paroles et rouvrant les yeux pour le regarder.

« Eh bien, je suis bien content de t’offrir ta première fois dans ce cas » sourit Andrew avant de se mettre en tenue plus adéquate, en gros dénudé intégralement, avant de s’installer confortablement dans l’eau bouillante du jacuzzi. Il avait eu un petit regard en coin ainsi qu’un petit sourire malicieux en remarquant que la jeune femme n’avait pas lâché son petit déshabillage du regard. De toute façon, elle avait déjà vu plusieurs fois son corps de rêve non ? Fin bref, il était en train de servir du champagne quand elle se déshabilla enfin pour qu’elle puisse le rejoindre. Une fois dans l’eau, elle faisait une remarque qui lui avait déjà traversé l’esprit bien entendu. « Serais-tu en train de lire dans mes pensées très chère ? » s’exclama-t-il avec une attitude digne de son rang royal mais il se mit à sourire largement avant de s’étirer un peu. « Profites de siroter ton champagne ». Il lui intima de se mettre dans une posture qui lui permettrait d’avoir un accès conséquent à son dos mais aussi pour qu’elle ne se fasse pas trop mal non plus. Il but une petite lampée de son champagne avant de poser délicatement ses mains sur le dos de la jeune femme puis après avoir déposé dessus des petits baisers, il commença à la masser avec une douceur mais aussi et surtout une qualité qui démontrait ses connaissances en la matière.

« Il semble que ce soit le cas. » Qu’on me surnomme Sookie Stackhouse, à partir de maintenant. Merci bien. Je rouvre les yeux et je lui fais un petit sourire. Comme je suis gentille, je relève mes cheveux en un chignon afin de lui faire plus d’accès à mes épaules. Il ne manque plus qu’à positionner. J’essaie vachement de trouver une position confortable qui ne va pas faire en sorte que je souffre le martyr, demain matin. Au bout du compte, je me retrouve à appuyer ma tête sur mes bras qui sont appuyés sur le bord du jacuzzi. Okay, ce n’est pas si mal comme position, je ne devrais pas me sentir comme une vieille madame demain. À la place de siroter mon champagne, je m’amuse à tracer des dessins imaginaires sur la coupe ainsi que le pied de celle-ci et parfois, je prends une petite gorgée. Le plus important est que j’apprécie ce message. En plus, il est doué donc forcément c’est plus plaisant pour moi que ce l’était pour lui. « Tu dois regretter que je ne possède pas tes connaissances en la matière ? Comparé à ton massage, le mien fait pitié. » Dis-je en rigolant légèrement. J’ai presque honte de l’avoir massé, sérieux. Je ne sais depuis combien de temps ça dure, mais je suis à deux doigts de m’endormir. Du coup, je me relève, je lui fais face et je vais me coller à lui. « C’est sympa, ma fin de soirée se passe mieux que mon début de soirée. » Quand j’ai abandonnée mes copines, mais ce n’est qu’un détail.

HJ:

Il lui demanda de se positionner bien comme il le fallait afin qu’il puisse lui prodiguer un bon massage, pour l’aider, elle avait relevé sa chevelure soyeuse. C’était parfait ainsi ; il se mit à la masser avec application, cherchant au mieux tout ce qui pouvait la satisfaire. Comme elle se détendait bien, il pouvait se dire qu’elle appréciait beaucoup ce qu’il était en train de lui offrir. Elle lui faisait remarquer qu’il devait peut-être regretter qu’elle sache pas masser comme lui parce que soi-disant le massage qu’elle lui avait fait faisait pitié. « Non j’ai bien apprécié ton massage même si tu manques d’expérience. Ce n’est pas si grave tu sais » dit-il en souriant sans cesser de promener ses mains expertes sur le dos et les épaules de la jeune femme. Le massage qu’il était en train de lui prodiguer arrivait à son paroxysme, en effet afin de ne pas s’endormer, elle avait décidé de se tourner vers lui et de se coller à lui. Il sourit d’un air radieux à ses dires alors il se mit à répondre d’une voix amusée : « C’est pour ça que je serais toujours là pour te sauver de l’ennui mon chou ». Il la rapprocha un peu plus de lui afin d’effleurer ses lèvres d’un baiser. « Je suis content que tu sois venue me libérer de l’emprise de mon travail. C’est la meilleure des pauses possibles. »

Honnêtement, ça me va de ne pas avoir d’expérience dans le domaine des massages. En fait, c’est le deuxième que je fais depuis je-ne-sais-trop-combien-de-temps et au fond, j’espère ne pas avoir une autre demande. « Je ne suis pas particulièrement friande des massages. Moins j’en fais, mieux je me porte. » Voilà, c’est dit. Par contre, j’apprécie qu’on me masse, mais je déteste être celle qui doit masser. Je suis terrifiée à l’idée de froisser le muscle d’une personne. Par exemple, dans le cou et la personne bah elle se retrouve paralysée pour le reste de sa vie. Okay, c’est extrême, mais non merci. Je n’ai aucunement envie d’être la personne responsable d’une possible paralysie. « Toujours ? » Un sourcil s’arque et je le regarde, surprise. Un jour, l’un de nous deux allait arrêter d’imposer des pauses ou même sauver de l’ennui. « Peut-être que cette pause va t’aider à trouver les bonnes données pour le jet que tu dois présenter demain. » Oui, j’arrive à me rappeler ce qu’il m’a dit au début. Je ne suis pas idiote, j’écoute les gens lorsqu’ils parlent. Anyway, je vais effleurer ses lèvres une petite seconde avant de dévier vers sa mâchoire et son cou. « Pas forcément besoin d’une bonne nuit de sommeil pour qu’elle porte conseil. »

« Je comprends, moi je les apprécie parce que cela peut me détendre à cause de mon travail qui me prend énormément de mon temps » expliqua le jeune Winthrop tout en continuant à masser la jeune femme avant qu’elle ne se retrouve à tourner vers lui et il lui faisait savoir qu’il serait toujours là. Elle haussait aussitôt un sourcil étonné à ce qu’il venait de dire alors il lui fit un grand sourire pour la rassurer. « Tu es une amie précieuse dans ma vie Palmyr. J’attendrais toujours avec impatience que tu viennes me sauver de l’ennui. Peut-être ça ne sera pas uniquement comme ce soir mais je sais que personnellement, je ne vais jamais te laisser tomber. »[/color]. Sa loyauté envers ses amis était toujours sans borne et encore moins de limites, par conséquent il allait tout faire pour rester auprès de son amie et ce même si au bout d’un moment, il retrouve une femme à aimer et que ça voudrait dire « fini les petits extras avec Palmyr » mais ce n’était pas si grave en fin de compte parce qu’il aurait toujours son amie. Ce n’était pas le plus important le sexe ! [color=crimson« J’en suis sûr. Je te tiendrais au courant par rapport à ça si tu veux. »[/color]. Par la suite, elle s’était rapprochée de lui afin de l’embrasser mais elle vint plutôt embrasser sa mâchoire et son cou tout en lui murmurant qu’une bonne nuit de sommeil n’était pas primordiale pour porter conseil. « Que me proposes-tu de faire à la place de dormir alors ? » dit-il avec un petit sourire malicieux avant de venir lui voler un petit baiser sur ses lèvres.

Andrew a une bonne raison d’aimer les massages. Moi, je n’en ai pas et je m’en fous énormément. Si je veux me faire masser, je n’ai qu’à aller au spa. Boom, un billet par-ci et un massage par-là et j’en ressors épanouie. Pas besoin d’en faire un en retour. « Merci, ça fait plaisir à entendre. Tu sais que c’est pareil de mon côté ? » Je n’ai jamais eu l’habitude de lâcher les gens de toute manière. Sauf Mathilde, mais j’avais des raisons. « Puis, tu m’as promis de vérifier pour un jet qui se dirige vers l’espace. Si tu y arrives, tu vas m’avoir pour toujours dans ta vie. » Oui, je dois ramener cette partie de la discussion maintenant. De toute manière, ça restera à jamais gravé dans ma tête. Je suis sérieuse quand je dis que je donne tout mon argent si je peux avoir un putain de jet qui me permet de voir les étoiles de plus près. « Une activité qui va pouvoir te permettre d’arrêter de penser au moins quelques temps. » Ça, c’est Palmyr qui essaie d’être discrète et de ne pas sonner comme une perverse. Un peu de discrétion ne fait jamais de mal, parole de Palmier. Je lâche sa mâchoire et son cou et je dépose mes lèvres sur les siennes afin de prolonger celui qu’il venait de voler. « Mais si tu préfères dormir parce que tu sais pas si tu vas assurer, ça me va totalement. » Dis-je avec le regard taquin. Je ne sais pas s’il va mal le prendre, mais il faut qu’il sache que c’était une blague. Je sais qu’il peut assurer.