you're the perfect friend. (thomas)

J'avais toute confiance en Thomas et je savais qu'il allait très bien s'en sortir. Je ne m'en faisais aucun soucis là-dessus et me contentais de sourire en guise de réponse. Je le rassurais ensuite sur sa barbe qui faisait assez classe sur lui, il faisait plus âgé comme ça et puis, j'aimais bien ce petit côté rebelle que cela provoquait chez lui. Après, c'est pas trop grave, y en a qui donnent 16 ans, c'est pas bien mieux... J'ai fait semblant d'être blasée en levant les yeux au ciel mais finalement, j'ai souri et je lui ai dit que mon frère faisait la même chose donc il n'y avait pas de soucis à se faire. A vrai dire, il était un peu dans le style de Thomas, à quelques détails près. Mine de rien, je l'adore mon frère, bien que je prétende le contraire. Je me retourne vers lui après avoir terminé de mettre mon rouge à lèvres et le fait qu'il approuve me fait sourire. Si t'aimes bien alors, c'est parfait. Je crois qu'on peut y aller ! Il replace une mèche de mes cheveux et je souris de nouveau, sans doute en rougissant parce que c'était une vraie manie chez moi. Finalement, je baisse la tête en me mordant la lèvre et pars ouvrir la porte. Après vous monsieur Darling !

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you are the perfect friend
blandine et thomas.
mise en page par blasphemySans ma barbe, je dois ressembler à un gamin pré-pubère, c’est plutôt dommage mais je me dis que quand je serais plus vieux, je paraîtrais beaucoup plus jeune. C’est un bon point pour le futur même si aujourd’hui, je suis obligé de donner un côté rebelle pour éviter qu’on me demande ma carte d’identité en rentrant en boîte de nuit. On finit de se préparer et autant dire qu’on était plutôt pas mal tous les deux. Il était maintenant temps de passer aux choses sérieuses. Oui, il est temps de partir pour la rencontre avec la belle-famille. dis-je en rigolant avant de remettre une de ses mèches de cheveux. Je la suis finalement en direction de la porte et passe le premier l’attendant par la suite. Je conduis, il faudra juste que tu me guides. dis-je en souriant avant de sortir les clés de ma voiture. Je me dirige à ses côtés vers ma voiture et lui ouvre la porte pour la laisser entrer en premier. Je me mets ensuite au volant et démarre en direction de la maison de Blandine… J’ai peur tout d’un coup.

Ca me faisait tout de même étrange de me rendre à un repas de famille avec Thomas. Je ne regrettais pas mon choix, il était l'un des hommes les plus parfaits à mes yeux et je pense que mes parents l'apprécieraient mais, c'est juste que c'était un ami et j'avais peur que ça fasse bizarre. Enfin, c'était déjà bizarre techniquement parlant mais bon... Ouais, c'est parti ! Je lui souris malgré tout et après qu'il est remis l'une de mes mèches de cheveux en place, on prit la direction de la sortie et marchions jusqu'à la voiture. Il voulait conduire, très bien, pourquoi pas. Pour une fois que je me laissais conduire. Il m'ouvrit la porte et je le remercie en lui souriant. Un vrai gentleman ce Thomas. T'inquiètes pas, c'est pas bien compliqué. Ils ont décidé d'acheter une villa pas très loin d'ici histoire de garder un oeil sur moi d'une certaine façon sauf qu'ils n'y sont que très rarement ! Ma mère est toujours sur les routes, souvent entre les Etats-Unis et la France quant à mon père, il reste en Italie à longueur d'année et il est rare qu'il n'en bouge autrement que pour des raisons professionnelles. Si ça part en couilles, on se tire hein ?!

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you are the perfect friend
blandine et thomas.
mise en page par blasphemyOn s’était lancé dans l’aventure, on était maintenant en chemin pour aller rendre visite aux parents de Blandine, j’allais être son petit-ami ce soir. Je savais que les choses ne seraient sûrement pas faciles mais bon, autant rendre service quand on le peut. Après lui avoir ouvert la portière de la voiture pour qu’elle s’installe, je me mis au volant lui précisant qu’elle allait devoir m’aider à trouver le chemin. Tas pas de chance de ce côté, disons que moi je n’ai pas de famille ici à part ma cousine et deux demi-frères. dis-je en haussant les épaules. Ce n’était pas plus mal et je ne voyais que très rarement mes demi-frères, on n’était plus vraiment proche maintenant. Crois-moi, je serais le premier debout si cela tourne vraiment mal. dis-je en la regardant en souriant. Je suivais ses instructions en essayant de ne pas trop montrer mon stress qui commençait à monter de plus en plus en moi. Dis-moi, ton père n’a pas une salle de torture ? On ne sait jamais si une envie de me torturer lui prend s’il découvre qu’on est rien tous les deux. dis-je avec un sourire au coin, essayant de mettre un peu d’humour pour éviter de mourir de stress.

J'étais super contente de pouvoir partager cette aventure avec Thomas. J'avais vraiment de la chance de l'avoir. J'avais de la chance qu'il ait accepté mes idées on ne peut plus farfelues les unes que les autres. Ouais, il était vraiment génial avec moi Thomas. Je lui expliquais la situation assez rapidement. C'est vrai que je n'avais pas vraiment de chance mais dans un sens, mes parents n'étaient jamais là, mon frère je ne le voyais que très peu. Ma famille, c'était Finn pour ainsi dire. Tu t'entends bien avec eux ? Je tournais la tête en sa direction, lui souriant légèrement. Je lui expliquais ensuite qu'on partirait si jamais ça se passe mal avec mes parents comme avec mon frère de toute façon. Génial ! Il reprend la parole pour me demander si mon père n'avait pas de salle de torture et je rigolais légèrement. Pas à ma connaissance. Après, peut-être qu'il en a fait construire une dans cette maison. Je lui fais un clin d'oeil. C'est vraiment sadique de ma part pour le coup.

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you are the perfect friend
blandine et thomas.
mise en page par blasphemyLe trajet n’allait pas être super long et pourtant je sentais que cela allait être une éternité. J’étais quelque peu stressé même si j’essayais tout de même de ne pas le montrer. Je ne leur parle pas tant que cela en fait, on ne s’est pas croisé depuis mon retour à Harvard mais cela ne serait tarder. dis-je avec un sourire aux lèvres. Je n’avais pas beaucoup de temps pour moi au final, donc c’était un peu normal que je ne croise personne… Dans tous les cas, au moindre problème on a prévu de se barrer en courant comme des voleurs. Cela éviterait sûrement quelque problème familial que j’évite au plus haut point. Me dit pas cela sinon je me barre tout de suite en courant. dis-je en rigolant alors que je tourne dans sa rue. Je cherche le numéro et finit par me garer devant la grande villa. J’arrête le moteur et soupire les mains sur mes cuisses. Bon, on va dire que c’est le moment d’avancer maintenant. dis-je en détachant ma ceinture. En espérant que cela se passe bien. Je viens lui ouvrir la porte et lui tend le bras une fois dehors. Je te suis maintenant, dans l’entre de la mort. dis-je pour essayer de détendre l’atmosphère qui est rempli de stress.

En y réfléchissant bien, je ne savais pas grand chose sur Thomas du moins, sur sa famille alors évidemment, je voulais en savoir plus. Je le questionnais pour avoir des détails et j'étais assez étonnée qu'il n'est pas vraiment de contact avec eux. C'est top ouais. Tu devrais foncer ! Moi, je me suis jamais vraiment entendu avec mon frère et si ça avait été le cas, je crois que je ne l'aurais pas quitté d'une semelle. J'aurais bien aimer avoir une famille un peu plus unie, soudée, présente en cas de besoins comme dans les bons moments mais malheureusement, ce n'est pas le cas. Je me mis à rire suite à sa remarque par rapport à la salle de torture. Je pense pas que mon père soit aussi taré non plus. Finalement, on arrive à destination et il semble vraiment angoissé. Ca me fait légèrement sourire. Dis toi que c'est du fake. T'as rien à perdre ! Ouais, c'est moi qui allais y perdre dans tous les cas de toutes façons. Je souris légèrement avant de prendre son bras. Il me faisait rire en tout cas. Viens, je vais te présenter Satan. Je lui fis un clin d'oeil avant d'avancer en direction de la porte d'entrée.

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you are the perfect friend
blandine et thomas.
mise en page par blasphemyJe n’avais pas pris de temps pour voir les membres de ma famille présent à Harvard, j’avais eu l’obligation d’avoir certains de mes proches que j’avais abandonnés en quittant la ville en juin. Il fallait que je m’explique et donc, cela expliquait le pourquoi je n’avais pas encore vu mes demi-frères. Je vais foncer, ne t’inquiète pas. dis-je en rigolant. J’avais déjà une petit soirée entre frère avec Maxime, avec Isaac cela risquait d’être un peu plus difficile quand on sait que j’ai failli avoir une histoire avec Carrie son ex. Cela avait beau être du fake, cela n’empêchais en rien le fait que je rencontrais tout de même ces parents. Tu as raison, mais la pression est doublement présent. dis-je en lui faisant un sourire. On finit par s’y avancer en rigolant entre nous, au moins on s’entendait bien donc ils pouvaient vraiment croire qu’on était en couple. Me dit pas ça, je te jure que je vais m’enfuir. dis-je en faisant semblant d’avoir peur. On finit par entrer dans la maison et je fus tout de suite accueilli par la famille. Bonsoir, je suis enchanté d’enfin vous rencontrer. dis-je en serrant la main du fameux papa et en saluant également les autres membres aussi chaleureusement que possible.

la famille, c'est important pour la plupart des gens. jj'ai jamais été trop proches d'eux. à mes yeux, ma seule et unique famille, c'est finn, ni plus ni moins. sans doute parce qu'il a toujours été là pour moi. quand j'allais mal mais également quand j'allais bien. dans mes bons comme dans les pires moments. c'est lui qui me proposait un jeu vidéo et une soirée pizza quand je déprimais, lui qui s'assurait de casser la gueule aux garçons qui m'embêtaient bref, il avait toujours eu le rôle de frère, de meilleur ami, de confident. mon frère, c'était une autre histoire et mes parents avaient beau être géniaux, ils n'étaient que peu présents. thomas avait de la chance d'avoir une vraie famille, il fallait qu'il saute sur l'occasion. on arrivait devant la villa familiale où, le lieu dans lequel je mets le moins possible les pieds. je lui précisais que c'était que du fake, juste un entraînement pour faire court. malgré tout, il avait la pression alors, on se détendait comme on le pouvait. je me mis à rire suite à sa remarque et puis, on arrivait à l'intérieur. à peine le pas de la porte franchie, mes parents avaient accouru. ma mère se serra dans ses bras, mon père serra la main de thomas qui lui léchait déjà les bottes. voilà thomas... j'eus rien le temps de rajouter de plus que ma mère me lâcha pour le prendre à son tour dans ses bras alors que mon père s'approchait de moi en levant les yeux au ciel. vous êtes... vraiment beau ! ok maman, ok ! je ne pouvais m'empêcher de rire tandis que mon père déposa un baiser sur le sommet de mon crâne. très bon choix de costume jeune homme ! vous pouvez m'appeler mélanie. normal, rien de plus normal. je regardais thomas en haussant les épaules. je ne pouvais rien contre la bonne humeur de ma mère.

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On ne va pas dire que ma situation familiale était simple, on va dire qu’elle est plus que compliqué et qu’il n’y a que maintenant que j’ai découvert les vrais membres de ma famille. Je ne connaissais toujours pas mon père mais je finirais bien par le retrouver d’une manière ou d’une autre. On finit par entrer dans la demeure de Blandine. Je stressais quelque peu mais j’allais finalement réussir à m’en sortir. Je sers la main du père de famille avant de me laisser prendre au dépourvu par une accolade de la mère cette fois-ci. J’y répondis tout de même n’ayant pas d’autre chose. Je vous en remercie, je sais maintenant d’où viens la beauté de Blandine. dis-je en souriant. Je penche la tête doucement avant de regarder ma tenue, disons que j’avais demandé conseil avant de le mettre, autant faire bonne impression dès le début. Blandine m’a quelque peu aidé à choisir. dis-je en souriant. Autant faire comme si on était vraiment un couple elle et moi, et cela va de soit avec le choix de la tenue.

(Invité)

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