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Fucked up : Solveig (HOT)

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Impatiente, incontrôlable, c'était ce qu'il ressortait quand on voyait Solveig sans savoir ce qu'il se passait. Elle n'aimait pas savoir que quelqu'un pouvait les surprendre, mais ça rendait la chose plus excitante et c'était une chose nouvelle pour la jeune fille. Elle n'avait qu'une hâte c'était qu'il la rende folle. Qu'il la rende folle dans tout les sens du termes, même si ça commençait déjà bien. Même s'il était assez doué dans le fait de la rendre folle, elle tentait de lui rendre l'appareil en l'embrassant, en le caressant cherchant à le rendre complètement malade. Ses questions étaient toujours sans réponses mais elle ne se prenait pas la tête pour le moment, elle ne voulait pas gâcher ce moment, elle voulait juste profiter et ne plus se prendre la tête avec des futilités. Il la transportait ailleurs quand ses lèvres s'attardaient sur le cou de la jeune fille, quand il arrivait à la rendre folle avec seulement des gestes futiles, comme un baiser dans le cou, une caresse isolée. Il lui annonçait qu'il lui mordrait le cou si jamais il n'arrivait pas à se contrôler et elle trouvait cela terriblement excitant, savoir qu'elle pouvait faire quelque chose dans le seul et unique but qu'il s'exprime et qu'il lui morde le cou « Et ça ne me dérangerait pas... » Et oui, elle avouait, la jeune Rousse avouait que cela ne la dérangerait pas, parce qu'elle adorait cela. Il faisait des choses qui lui donnait envie de s'exprimer, de crier, de soupirer mais elle n'était pas encore à son paroxysme. Mais elle savait que cela n'allait pas tarder à arriver, qu'il lui ferait vivre des choses qu'elle n'avait jamais vécu.
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✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


La relation qu’avaient les deux jeunes gens, même si elle n’en était qu’aux prémices, étaient déjà complexe et bien intense. Il n’y avait absolument rien de définit ou de déterminé entre eux mais ils semblaient irrémédiablement attirés l’un par l’autre. Pas comme deux amoureux fous, mais plus comme deux personnes complètement perdues dans leur propre vie qui avaient trouvé l’une en l’autre une manière de s’échapper, d’oublier un instant leur vie et le monde. Et Noah appréciait beaucoup Solveig. Elle était plus âgée et il se sentait bien avec elle, rassuré, reposé. Peut-être parce qu’il avait le sentiment d’avoir le dessus ? Ou peut-être simplement parce qu’il n’y avait pas de méchanceté fondamentale dans leur lien, rien qui vaille un véritable accrochage. Quoiqu’il en soit, quand leurs deux corps étaient en fusion  il ressentait une véritable osmose, comme s’ils étaient capables de se comprendre sans parler. Il n’y avait pas besoin d’artifice, un coup d’œil, un sourire, et il savait déjà ce qu’ils devaient faire pour séduire ou mettre à genoux l’autre. Ils étaient totalement naturel l’un envers l’autre n’essayant pas de se déguiser derrière un masque de convenance et c’est ce que Noah appréciait le plus : le fait qu’ils puissent être eux-mêmes sans se sentir jugés. Comme il l’avait pressentit, à peine laissait-il des marges de manœuvre à Solveig qu’elle prenait les dessus comme une fière dictatrice. Noah eut beaucoup de mal à se retenir toutes les fois où elle était sur lui, où il sentait tout son corps remuer dans ses bras, mais heureusement, la force et les muscles lui donnent l’avantage de l’ascendance. Ils finirent par se retrouver allongés au sol, Noah sur le dos, Solveig sur lui et quand vint l’instant de la jouissance, ce fut comme une déferlante, des feux d’artifices, un torrent déchainé dans tout le corps du jeune homme qui se sentait complètement libéré. Il embrassait Solveig, reprenant son souffle petit à petit et le sourire au coin des lèvres : « A votre service », dit-il l’air arrogant, comme un coq fier, avant déposer un dernier baiser sur ses lèvres de la jeune fille et de se relever, Solveig avec lui. Ils étaient debout et nus, Noah regardait un peu autour de lui pour voir s’ils n’avaient pas commis trop de dégâts et où se trouvaient ses affaires. Ils n’allaient clairement pas passer mille ans à se faire des papouilles et se dire des mots d’amour, ce n’était absolument pas leur genre ni le moment. Alors une fois l’acte terminé, le naturel revenait au galop et ce n’était pas comme ci de rien n’était, mais comme ci, c’est bon c’est fait, on peut passer à autre chose. Noah vit son caleçon dans un coin, son short dans un autre et ainsi de suite. Il s’avança de quelques pas vers Solveig avant de déposer un baiser furtif sur ses lèvres, passant sa main derrière sa tête : « Tu devrais te dépêcher avant que l’envie me prenne d’hurler dans tout le gymnase que je viens de m’envoyer salement en l’air avec la présidente Cabot », dit-il en plaisantant pour la taquiner. Il fit le tour de la salle pour récupérer ses affaires, ramassant celles de Solveig qu’il rencontrait au passage, comme son soutien-gorge qu’il lui jeta : « Tiens ». Il s’habille à la hâte avant de rassembler toutes ses affaires dans son sac. Il s’assoit au sol de manière à pouvoir attacher ses chaussures et regarde la jeune rousse qui est entrain de s’habiller également, avec un air taquin mais pas vilain. Il se sent complètement détendu et libéré, il est heureux présentement, léger comme une plume : « On devrait s’échanger nos numéros de téléphone et aller manger un morceau un de ces quatre ». Ses chaussures attachées, il plonge la main dans son sac pour chopper un bout de papier et un stylo sur lequel il note son numéro de téléphone apostrophé d’un « M. Connard ». Il tend le papier à la jeune fille en ajoutant : « Il va de soi que ce sera toi le morceau », en lui lançant un clin d’œil. Il se relève, attrape son sac sur le dos et son ipod avant de s'avancer vers elle et de l'embrasser : « A bientôt Solveig ». L’air fier et arrogant, impérieux et insolent, il met ses écouteurs aux oreilles et s’en va, comme si de rien n’était, sur cette musique .





 



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