Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFucked up : Solveig (HOT) - Page 2
-17%
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à 49,99€
49.99 € 59.99 €
Voir le deal


Fucked up : Solveig (HOT)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We're fucked up



✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


Noah se sentait à la fois déçu, énervé et enjoué. Tout un système émotionnel paradoxale qui le poussait à devenir de plus en plus désagréable, de plus en plus incisif, soit pour faire réagir Solveig, pour qu’elle se réveille, pour qu’elle revienne ; soit juste pour terminer le travail, l’humilier complètement et danser sur ses restes. Il détestait la voir ainsi, comme un fantôme, qui s’excuse, triste et prêt à pleurer. Il voulait vraiment réveiller le feu en elle, qu’elle lui rentre dedans, qu’elle s’énerve, qu’elle ait envie de le tuer. Il ramassait ses affaires et sur ses dernières paroles commençait à s’en aller, un sourire aux lèvres. Un sourire incertain qui voulait dire : soit, je suis satisfait parce qu’une fois de plus je n’ai pas perdu ; soit, je ne perds pas espoir, elle va revenir, elle va se réveiller, elle ne peut pas avoir autant changé en si peu de temps. Et tout à coup, il vit la jeune fille s’établir devant lui, le fixer, et Noah eut un sourire satisfait plus large encore. Dans le même temps, sans qu’il n’ait le temps de réaliser quoique ce soit, elle balance ses affaires au sol et lui colle une gifle. Noah frémit d’une excitation sordide. Elle commençait à se réveiller, à revenir, celle qu’il avait trouvé si jolie, si attirante, si sublime. Sans doute un côté maso mal enfoui se dégageait de ses yeux écarquillés par la stupeur et l’envie de recevoir encore plus de coup. Il se fichait d’avoir mal, il savait pertinemment que c’était le prix à payer. Que plus elle frapperait, plus elle serait la fille qu’il avait rencontré la première fois, celle qu’il avait terriblement envie de revoir. Elle le frappait, et lui ne faisait rien, ayant cette fois des réflexes défensives qui tendaient à protéger certaines parties de son corps. Elle frappait, il avait mal, vraiment mal, mais continuait de sourire, de rire aux éclats, voulant la pousser à en donner plus. Elle finit par une dernière gifle avant de le sommer de partir s’il n’était pas capable de porter ce qu’il avait entre les jambes. Noah était appuyé contre le mur la tête en arrière, du sang sur le visage, ses membres endoloris, et continuait de rire, de moins en moins fort, comme pour calmer ses ardeurs. Il finit par se redresser, et la regardant, il cria assez fort de manière à l’interpeller, l’air enjoué, les bras tendu comme s’il s’agissait là d’un miracle : « Voilà Solveig, on y est ». Il s’avance vers elle tandis qu’elle ramasse ses affaires, et la tire par le bras pour la relever et la tourner vers lui. Complètement euphorique, envahit par des bouffés de chaleur issu de sa colère, de la douleur des coups et de sa folie, il finit par lui dire en la regardant dans les yeux, d’une voix bien plus basse mais tout aussi amusé : « Là j’ai envie de toi ». Il sourit en la fixant, espérant qu’elle ne relâche pas ses efforts, qu’elle recommence à le frapper, qu’elle le mette au sol, qu’elle l’assassine. Jusqu’à ce que la rage exacerbée laisse place à une tension sexuelle incontrôlable.



 



Made by Lackey-G © for ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il était vrai que ça lui faisait du bien à Solveig de pouvoir évacuer sa haine sur quelqu'un de presque neutre. Il n'était pas totalement inconnu aux yeux de la jeune fille mais elle ne le connaissait pas vraiment, donc elle ne pouvait pas éprouver de remords si elle le blessait un peu plus qu'elle ne le voudrait. Mais il faudrait encore qu'elle ose frapper, attaquer. Elle n'osait pas le faire, elle ne voulait pas qu'il la voit comme une hystérique mais visiblement ce qu'il voulait, la voir comme une folle furieuse qui utilisait ses mains, ses poings pour se défendre. Elle n'avait pas la science infuse et ne pouvait pas savoir ce qu'il désirait mais visiblement, quand elle se rapprochait de lui pour pouvoir déverser sa haine, pour lui montrer que oui, elle était en colère. Mais que tout cela restait au fond d'elle comme une boule prête à exploser, comme une bombe à retardement qui ne demandait qu'à sortir. Alors elle ne retenait pas ses coups, elle le frappait, encore et encore, se moquant des marques qu'elle pouvait lui laisser, ajoutant des coups de pieds que son coach lui avait appris. Elle mettait tout en oeuvre pour qu'il souffre, mais pas trop quand même. Peut-être qu'il la détesterait si elle le faisait autant souffrir, mais honnêtement, pour le moment elle n'en avait rien à faire. L'évacuation de sa souffrance, de sa tristesse était ce qui importait le plus aux yeux de la jeune fille. Elle se demandait s'il n'était pas un peu masochiste parce qu'elle le voyait sourire quand elle lui jetait des regards haineux, mais elle n'en tenait pas compte, il l'avait chercher, il l'avait trouvé. Elle venait de terminer sa crise de violence et elle se reculait pour aller ranger ses affaires dans le but de rentrer chez elle. Elle voulait aller se jeter dans ses draps pour dormir, elle sentait la fatigue qui lui prenait, mais elle savait que ce n'était qu'un temps, elle l'entendait dire qu'ils y étaient « Si tu le dis ! » Pauvre con. Ses pensées sont avortées quand elle le sent la tirer pour la relever et elle plonge son regard dans celui du jeune homme. Électrisée. Il avait une nouvelle fois envie d'elle. Elle rapprochait son visage près de celui du jeune homme et du bout des lèvres elle murmurait « J'en ai rien à foutre. » Et elle claquait encore une fois sa main contre la joue du jeune homme, plusieurs fois, rapidement comme pour lui dire c'est bien mon chien. Elle l'attirait jusque sur le ring avant de le pousser pour qu'il finisse dans les cordes « T'as envie de moi ? Prouve le. » Elle tournait autour du ring, mains nues. Elle le fixait comme un félin qui fixait sa proie. S'il voulait vraiment obtenir son corps il allait falloir qu'il joue, parce que pour le moment, il n'y avait qu'elle qui était dans le jeu, et le jeune homme ne lui montrait pas ce qu'il avait dans le ventre. Elle voulait qu'il lui prouve. « Prouve le ! » Elle hurlait comme une folle, comme si elle était possédée. Mais elle voulait qu'il comprenne qu'il avait éveillé un truc en elle, une chose qui ne demandait qu'à être éveillée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We're fucked up



✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


Noah était pris d’une euphorie intense, un rire machiavélique grondait dans son ventre, c’était comme le soulagement à la Fight Club de voir Solveig se déchaîner, lâcher prise, et se laisser aller à ses instincts les plus bestiaux. Il voulait la sentir libérer car une fois libérée elle pourrait redevenir la conasse hautaine et méprisante qu’il avait rencontrée. Celle qu’il avait humiliait et qu’il avait encore envie de baiser. Noah fuyait l’ennuie comme la peste alors dès qu’une tâche lui semblait trop facile, dès qu’il sentait le temps passer où la faiblesse d’un adversaire peu combatif, il laissait tomber comme s’il s’agissait d’une basse besogne qui ne méritait aucune attention. Et il se refusait encore à voir Solveig comme tel, à la mépriser et se laisser gagner par la déception parce qu’il ressentait au fond de lui qu’elle avait une sauvagerie mesquine à lui offrir. Il riait de plus en plus fort au fur et à mesure que les coups de la jeune fille fusaient savourant avec délectation son lâcher le prise et la promesse d’une rencontre intense à se poursuivre. Il sentait sa chaire claquer, sa bouche saigner, ses membres cogner, et même si ses réflexes le faisait entamer des coups de riposte, il les retint. Il n’allait tout de même pas frapper une fille, encore moins la déconcentrer alors qu’elle s’attelait si bien à la tâche.

Lorsqu’il l’attrapa par le bras pour lui dire que c’est ainsi qu’il avait envie d’elle, Solveig lui dit qu’elle n’en avait rien à foutre, ce qui eut pour effet d’élargir son sourire narquois : « Tu mens. Ta bouche dit l’inverse de tes yeux », lui dit-il avec le ton le plus assuré et arrogant du monde. Elle se remit à le gifler et le tirait vers le ring avec une poigne de fer. Noah se laissa emporter, plus ravie à l’idée de la suivre qu’à celle de partir. Elle le poussa dans les cordes et Noah sentit toute la violence de ses actes. Il avait réveillé la bête, sans doute. Mais pas encore assez à son goût. Elle parlait trop, ruminait trop, n’agissait pas assez. Il n’arrivait pas à s’empêcher de rire, un élan diabolique d’excitation, complètement gagné à cet état second d’euphorie violente. Il se redressa pour se retrouver bien droit et la regardait tourner autour de lui comme une bête qui surveille sa proie. Elle lui demandait de prouver ses propos. Noah s’en délectait et ne bougea pas pendant quelques secondes. Plus elle faisait les cent pas, plus il la sentait se perdre dans sa colère. Elle lui hurla une nouvelle fois de le prouver et le sourire de Noah disparu presque totalement laissant place à un regard emplis de haine. Il n’y avait pas trente six façons de le prouver. Il s’avança vers elle d’un pas déterminé comme s’il n’y avait strictement rien à perdre et tout à gagner. Il voyait son regard en feu, ses mains qui tremblent, son corps transpirant. Dans son élan, d’une main il attrapa la fermeture de la veste de Solveig qu’il baissa complètement avant de se coller à la jeune fille et de la coller elle-même aux cordes. Comme il la sentait résister il y mit plus de force, de manière à ce qu’elle ne puisse pas fuir. Il arracha sa veste d’un coup sec la laissant tomber sur le sol avant d’agripper avec poigne ses cheveux, derrière son crâne, faisant baisser la tête de la jeune fille en arrière. Il marqua un temps de pause en la dévisageant, le souffle chaud, la colère commençant à s’échapper de lui également. Ce mélange subtil de tension violente et sexuelle, de haine et de désir, qu’avait le don de l’exciter. Il détailla les traits de la jeune fille passant ses yeux sur chaque parcelle de son visage tout en maintenant bien fermement sa tête en arrière, en faisant attention à ne pas la blesser complètement. Il pencha la tête sur le côté droit avec un sourire mesquin, et vint mordre le cou de la jeune fille. Il la mordit suffisamment fort, comme un vampire, pour qu’elle puisse ressentir l’envie de lui éclater la gueule, ou l’excitation d’un acte charnel à venir. Son autre main attrapa celle de Solveig qu’il posa avec toute l’arrogance qui y sied sur son propre entre-jambe, ainsi pouvait-elle sentir son excitation grimper et se traduire physiquement au fur et à mesure qu’il la mordait, pendant quelques secondes. Il acheva sa morsure par un baiser passionné dans le cou de la jeune fille avant de se redresser et de rejeter sa main, de manière à ce qu’ils ne se touchent plus du tout. Le désavantage d’un short de boxe est qu’il est difficile de cacher ses arrière-pensées lascives. Il replongea ses yeux dans ceux de Solveig, satisfait de la marque qu’il lui avait laissé dans le cou, avant d’ajouter : « Je sais pertinemment que tu vas m’en faire baver, mais je veux bien prendre le risque ». Il se pencha sur elle, de manière à ce que cette fois ils soient plus collés, et lui dit à l’oreille opposé, côté gauche : « J’ai envie de toi. Ici et maintenant ».




 



Made by Lackey-G © for ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si elle devait trouver un adjectif pour caractériser Noah, elle n'y arriverait pas. Mais elle pourrait en trouver deux ou trois : Snob, arrogant mais attachant. Oui parce qu'elle se doutait que derrière son apparence de connard insensible il y avait quelqu'un de bien qui se cachait au fond de lui. Bon, très bien caché à ce prix-la mais elle était sûre que c'était quelqu'un de bien. Enfin pour le moment, elle avait juste envie de le claquer et qu'il crève en enfer. Mais d'un autre côté, elle voulait apprendre à le connaître et voir s'il pouvait vraiment être quelqu'un de bien, une belle personne. Il s'appliquait à faire tourner la tête de la Rousse en le faisant exprès, elle le savait. Solveig avait été poussée dans ses retranchements, le jeune Homme voulait voir ce qu'elle avait dans le ventre ? Elle allait lui montrer, elle le frappait, continuer encore et encore jusqu'à ce qu'il lui demande d'arrêter. Mais il ne lui demandait pas, alors elle s'arrêtait d'elle avant de s'excuser. Et le jeune brun avait tenté le diable, elle frappait, lui contre le mur, elle le frappait encore et encore dans la mâchoire, sur le flanc, elle le frappait. Elle se fichait qu'il puisse saigner, qu'elle puisse lui briser quelque chose. La, elle n'en avait plus rien à faire.

C'était lui qui allait rendre les armes en premier, elle ne voulait pas qu'il parte mais elle n'allait pas l'en empêcher cependant ses mots avaient eu un impact négatif sur la jeune fille. Elle lui annonçait n'en avoir rien à faire et intérieurement, elle avait encore envie de le frapper plus fort pour qu'il arrête de sourire de cette façon, elle ne supportait pas cela “Tu ne me connais pas, je te le répète.” Elle serre les dents en prononçant ces mots assassins. Elle était tellement énervée qu'elle arrivait sur le ring en deux temps, trois mouvements et le balançait contre les cordes. Elle avait l'impression d'être une pauvre hystérique, une sale folle accroc à quelqu'un qui ne s'exprimait que par des crises, des claques et rien d'autres. Sauf que c'est ce qu'il voulait voir, il voulait la voir énervée et cela lui faisait du bien. Au moins, toute sa tristesse s'était envolée. La tristesse avait été remplacée par la rancoeur. Elle ne voulait plus de mots, plus de provocations, mais elle voulait des gestes, des preuves. Elle était stoppée par le jeune homme qui s'était retrouvé aussi vite qu'elle respirait sur le moment près d'elle, et elle se sentait dépossédée de sa veste. La jeune Cabot ne disait rien, ne bougeait plus, elle était comme possédée, elle voulait qu'il continue, qu'il aille plus loin, qu'il la rende folle. Mais elle résistait, elle ne voulait pas le laisser faire, sauf qu'elle sous-estimait sa force, son pouvoir. Et désormais, elle ne pouvait plus bouger. Elle avait un peu peur en fait, mais elle savait qu'il ne pouvait pas lui faire de mal. Il n'en était pas capable. Elle le laissait faire quand il la tirait par les cheveux, et malgré le fait qu'elle ne veuille rien laisser paraître, elle grimaçait mais elle ne disait rien, elle ne voulait pas qu'il sache qu'il lui faisait un peu mal et surtout qu'elle était apeurée. Elle se demandait ce que le jeune homme allait bien pouvoir faire et quand elle sentit ses lèvres se déposait contre son cou, elle fermait les yeux en soupirant, mais elle eut un léger sursaut quand elle sentit ses dents qui se plantait dans sa chair. Mais qu'est ce qu'il foutait ? Elle ne se débattait pas, garder les yeux clos et lorsqu'il saisit sa main pour la placer afin de lui montrer que cela l'excitait, elle entreprenait des caresses lascives et tentatrices jusqu'à ce qu'il se recule en embrassant la plaie qu'il venait de laisser et un frisson parcourait le corps laiteux de la rousse. Elle le détaillait de haut en bas, se mordillant la lèvre et elle passait une main dans ses cheveux en reportant son regard ailleurs. Et elle défiait son regard quand il plantait dans le vert de ses yeux, elle tentait de réapprendre à respirer correctement, parce que son coeur loupait quelques ratées. Mon dieu, elle avait envie de lui à un point qu'elle ne se connaissait pas. Lorsqu'elle entend qu'il veut prendre le risque, un large sourire se dresse sur son visage “Prend le risque alors...” Et elle le repoussait après qu'il lui ai dit qu'il avait envie d'elle. Explosant de rire, elle récupèrait sa veste et la refermait jusqu'en haut “C'est tout ce que je voulais entendre.” Et elle sourit en sortant du ring, le défiant une nouvelle fois de plus du regard, se rendant à son sac en le fixant encore et encore. Il voulait jouer ? Ils allaient jouer. Et elle allait lui en faire baver.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We're fucked up



✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


Noah sentait son excitation grimper comme le gage d’une passion obsédante. Il regardait Solveig et plus elle s’énervait, plus il avait envie d’elle. Il avait une petite amie, même s’il n’en avait jamais parlé, mais à cet instant précis il ne voyait que la jeune rousse. Plus elle gagnait en sauvagerie, plus lui gagnait en folie et voulait la posséder, maintenant et tout de suite. Il n’était pas du genre à être fidèle aux autres. Il n’était fidèle qu’à lui-même. C’est-à-dire qu’en tout lieu, en tout temps, il ne s’agenouillait que face à ses propres désirs, ses plus bas instincts et ses envies. Il était très attentif aux appels de son corps tant il savait que c’était à travers lui que se vivaient les plaisirs les plus délectables. Alors, quand il avait envie d’une fille, vraiment envie comme c’était le cas présentement avec Solveig, il oubliait tout le reste et ne pouvait pas résister à la pression de cette pulsion. Il lui mordait le cou et la sentait répondre à son invitation par des caresses lascives qui eurent le don de l’animer et l’endurcir encore plus. Il se redressait en la regardant tandis que la jeune fille semblait perdre de son souffle. Il ne pouvait s’empêcher de sourire, enjoué, comme s’il s’agissait là du départ d’un long périple vers son abdication. Il savait pertinemment que Solveig n’allait pas se livrer aussi facilement, surtout pas après ce qu’il lui avait fait. Elle finit par le repousser en disant « c’est tout ce que je voulais entendre ». Exactement la même phrase qu’il avait eue à son égard. Il se sentit complètement frustré, coupé dans son élan, avec une envie irrépressible de lui éclater le crâne contre le mur. Et à la fois, il ne pu s’empêcher de se sentir satisfait comme elle venait enfin de revenir à elle, de redevenir la Solveig qu’il croyait connaitre. Etrangement, il eut deux fois plus envie d’elle et mit instinctivement ses mains devant son entre-jambe comme pour le cacher. L’humiliation ne prit pas, il n’était pas du genre à ressentir ces émotions. Elle ne cessait de le regarder en rangeant ses affaires et Noah passait la langue sur sa lèvre en signe d’approbation, sans cesser de la fixer. Il sentit dans ses yeux qu’elle voulait jouer et qu’elle en attendait autant de lui. Il descendit du ring à son tour après avoir récupérer ses gants jetés au sol et passait devant Solveig pour rejoindre le sac de frappe, juste à côté d’elle : « Je suis content de te retrouver », lui dit-il, en lui lançant un clin d’œil amusé, son sourire narquois aux lèvres. Solveig venait de le frustrer, énormément, et il n’y avait que trois manières pour lui d’assouvir son envie présente : lui sauter dessus de force, mais ce n’était vraiment pas son genre ; faire ça tout seul comme un ado sous la douche, mais c’était encore moins son genre ; ou la violence. Alors il renfila ses gants et se mit à frapper dans le sac, plus fort que jamais, sans s’arrêter tant sa rage et son désir était à leur apogée. Il continuait, de la droite, de la gauche, transpirant encore plus qu’à l’accoutumé, le regard vide, l’air sérieux, comme s’il ne voyait plus rien, n’entendait plus rien, se contentant d’exprimer toute sa frustration. Il commençait à se sentir apaisé petit à petit, son excitation complètement tombée tant il se sentait vidé. Il acheva ses coups par quelques coups de poings moins vigoureux et se tournait vers Solveig : « Que d’énergie gâchée ». Il sourit en haussant légèrement les épaules avant de se tourner complètement vers elle, et d’avancer dans sa direction. Il s’essuyait le nez et la bouche dégoulinant de sueur à l’aide de son poignet avant de jeter ses gants par terre. Il s’accroupit face à la jeune fille, de manière à se trouver face à elle : « J’ai eu envie de te baiser là, contre les cordes », lui dit-il en désignant le ring des yeux. « Puis, là », lui dit-il en désignant le banc au fond de la salle. « Et enfin, plus que de baiser, j’ai eu envie de te faire l’amour ici, contre ce mur », lui dit-il en désignant le mur derrière elle. Et en prenant une voix plus basse, presque comme s’il murmurait, il se pencha comme s’il allait l’embrasser : « Dis-moi que tu n’y as pas pensé. Que tu n’en as pas envie, et je te laisserai tranquille. Et je disparaitrai aussi spontanément que je suis apparu ». Il continuait de s’approcher et finit par poser à la commissure de ses lèvres un léger baiser.




 



Made by Lackey-G © for ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si quelqu'un débarquait par cette heure matinale dans le MAC, elle ne donnait pas cher de sa peau et elle se doutait que même s'ils agissaient comme les personnes les plus normales qu'ils soient, ils seraient grillés. Oui parce qu'elle savait que toute la tension qu'ils accumulaient se ressentait quand on les regardait de loin, elle en était sûre. Jamais au grand jamais, elle avait désiré Chuck, son ex-mari, de la sorte. Non et en même temps, il n'avait jamais été aussi insupportables que Noah l'était. Oui, il était insupportable, sombre et on pourrait même croire que son esprit était torturé. Elle ne pouvait pas s'empêcher de le chercher du mieux qu'elle le pouvait, usant de ruses toutes plus implacables les unes que les autres pour le faire craquer, mais il fallait dire qu'elle était tombée sur un adversaire des plus coriaces. La jeune Blackbird ne connaissait rien de lui et pourtant, tout son corps, toute son âme le désirait. Elle avait l'impression que quelque chose devenait fou en elle quand il la regardait, comme s'il réussissait à éveiller en elle, des milliers de sensations. Mais elle ne voulait pas se laisser faire aussi docilement non. Elle n'allait pas se laisser faire parce qu'il l'avait blessé en quelques sortes en la considérant comme l'une des pires catins d'Harvard alors qu'il y avait bien pire qu'elle. Mais elle ne lui dirait jamais. Elle ne lui avouerait jamais qu'il se trompait sur toute la ligne, il le devinerait bien lui-même. Elle jouait avec ses mains, ses doigts sur l'intimité du jeune homme par dessus le tissu de son short, tandis qu'il lui procurait un espèce de sentiment incontrôlable et une profonde envie de lui donner un peu plus de désir par ses caresses. Et un autre sentiment, celui de la fierté, venait de prendre place dans son être quand elle lui disait que c'était tout ce qu'elle voulait entendre paraphasant ce qu'il lui avait dit quelques temps plus tôt alors qu'ils étaient tout les deux dans la Cabot House non loin d'ici. Et puis elle semblait fuir en rangeant ses affaires, mais il n'en était rien, elle ne fuyait pas, elle retardait l'échéance, parce qu'elle était persuadée au fond d'elle, qu'il ne la lâcherait pas comme ça. Le regard de Solveig défiant celui du brun, elle rangeait ses affaires, s'appliquant, pliant ce qu'il y avait à plier pour perdre du temps, sans le quitter du regard. Elle ne comprenait pas ce qu'il faisait quand il passait à côté d'elle, mais elle comprit bien vite quand elle le vit s'exciter contre le sac de sable. La frustration. “De me retrouver ?” Elle se demandait s'il l'avait entendu parler vu qu'il tapait comme un sourd dans le sac, mais elle se fichait comme de la peste de connaître la réponse, cela lui importait peu. Elle était impressionnée quand elle voyait la dextérité à laquelle il frappait dans ce sac pour tout évacuer, et ça la faisait tout simplement sourire, c'est elle qui avait déclenché cela. Sa conscience était fière et elle était fière aussi de lui avoir procurer cette envie de frapper contre quelque chose pour se calmer Elle était dans ses pensées quand elle l'entendait parler de gâchis “Je confirme, que d'énergie gâchée. C'est bien dommage.” Ironie quand tu nous tiens, elle se contente de sourire en le regardant fixement, avant d'écouter la suite de ce qu'il avait à dire. Et elle ne s'attendait pas à cela du tout. Ses mots la percutaient, lui donnaient envie de l'embrasser, cette envie irrépressible qu'elle avait depuis un moment déjà venait d'exploser dans son coeur, dans son esprit. Et sa dernière phrase résonnait dans sa tête, elle soupirait avant de baisser la tête pour mordiller sa lèvre inférieure. La proximité de leurs lèvres était gênante, mais elle ne lui en tenait pas rigueur. Lorsqu'il déposait ses lèvres sur le coin des lèvres de la jeune rousse, elle le forçait à s'allonger sur le sol avant de passer à califourchon sur son corps. Rapprochant son visage au maximum de celui du jeune homme, faisant néanmoins en sorte que leur lèvres se frôlent mais elle laissait encore un peu d'espace entre leur deux bouches puis elle murmurait “Non je n'y ai pas pensé, non je n'en ai pas eu envie.” Et rapprochant encore leurs lèvres, elle continuait toujours en un souffle “Et je suis une très bonne menteuse paraît-il.” Enfin, elle réduisait la distance qui les séparait et elle déposait ses lèvres sur celles du jeune homme pour lui offrir un baiser plein de hargne, passionné. Visiblement, elle avait cédé la première, elle savait qu'elle allait avoir le droit à des moqueries, des pics ou elle ne savait quoi encore mais elle s'en foutait, tout ce qui lui importait, c'était ce qu'il faisait. L'endroit où ils étaient et rien d'autres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We're fucked up



✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


Noah continuait de frapper dans le sac comme un fou furieux qu’avait besoin de déverser toute sa rage, sa colère et sa frustration. Solveig ne l’avait pas vraiment surpris par sa dernière phase, mais le simple fait de la sentir revenir à elle l’excitait plus que tout autre chose. Elle avait semblait moins éteinte, moins aux prismes de son marasme, plus à même de jouer comme un chat sauvage, un félin meurtrier. Pendant quelques minutes il ne captait strictement rien de ce qu’il se passait autour complètement perdu à sa violence lorsqu’il finit enfin par s’arrêter en un soupir, le visage presque rayonnant. Il revenait vers la jeune fille qui n’avait pas quitté la pièce et pressentait qu’il s’agissait là d’une invitation à poursuivre les hostilités : elle n’avait pas réellement envie de partir, il l’avait compris, et pour lui ce fut comme un précieux aveu qu’il prendrait soin d’utiliser le moment venu. Elle confirma dans un premier temps les allégations du jeune homme en disant que c’était effectivement de l’énergie gâché, jusqu’à ce que Noah se retrouve accroupi face à elle. Elle était vraiment belle, il aimait la couleur de sa peau et la profondeur de ses yeux. Noah avait toujours été attiré par les jolies filles et pouvaient passer des heures à les contempler, elles étaient pour lui comme des œuvres d’art surtout lorsqu’elles étaient caractérielles. Il sentait qu’elle n’en avait pas finit avec lui, que même si elle voulait jouer, il lui faisait de l’effet et que leur semblant de relation n’était pas prés de s’achever. Plus il la sentait mal à l’aise ou gêné, plus il prenait de l’assurance pour s’avancer vers elle. Lorsqu’il l’embrassa au coin des lèvres, elle finit par le pousser et Noah se laissa tomber en arrière, la jeune fille à califourchon sur lui. Effectivement ce n’était pas terminé. Elle s’amusait de lui avec le jeu de proximité distance pour faire monter la tension, et surtout lui affirmait qu’elle n’y avait pas pensé. Elle se rapprochait dangereusement, un tas de verres pilés venaient gratter l’intérieur du ventre du jeune homme qui se sentait monter en chaleur et en pression. Lorsqu’elle se contredit en s’accusant de menteuse, Noah esquissa un large sourire en comprenant qu’ils étaient parfaitement sur la même longueur d’onde. Elle finit par l’embrasser et Noah se laissa complètement faire en répondant avec plus de puissance encore à se baiser. Il se redressa avec force, se retrouvant assis, Solveig toujours à califourchon sur lui, ainsi pouvait-il mieux utiliser ses mains. Il lui enleva sa veste brutalement pour la seconde fois de la matinée avant du lui caresser le dos et de la plaquer toujours plus contre son torse mouillé de sueur. Il rompit le baiser avant de venir dire en effleurant légèrement les lèvres de Solveig des siennes : « Tu sais ce qui est excitant ? ». Il redressa la tête de manière à pouvoir lui parler dans les yeux, un sourire malicieux au coin des lèvres : « C’est qu’on ne saura jamais ce que l’autre a derrière la tête. Pour toi comme pour moi. Va-t-elle enfin coucher avec moi ? Va-t-il tout interrompre d’un coup ? Et même quand ce sera fait, et si c’est fait : Est-ce que c’est la dernière fois ? Est-ce qu’il est sincère quand il dit qu’il a envie de moi ? ». Il déposa une avalanche de baiser entre son cou et le lobe de son oreille avant de se redresser pour poursuivre : « On ne sera jamais sûre de rien. On ne sera jamais acquis l’un à l’autre. Et je trouve ça terriblement excitant. De ne pas savoir si je vais enfin pouvoir te faire crier mon nom », dit-il en posant ses mains sur les fesses de la jeune fille et la callant dans un geste vif, complètement sur son entre jambe, avec seuls les vètements pour les séparer : « Si quelqu’un va rentrer dans le gymnase et nous interrompre », dit-il en désignant d’un signe de la tête la porte d’entrée avant de revenir l’embrasser. D’abord très lentement, puis en appuyant son baiser de plus en plus fort de manière à ce qu’il gagne en fougue et en intensité.




 



Made by Lackey-G © for ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle croyait devenir folle. La tension qui régnait dans la pièce activait en elle, un désir de lui montrer qui était le plus fort, le désir qu'il lui fasse sentir ce qu'il avait dans le ventre et qu'il lui fasse l'amour comme il avait pu la tenter quelques fois depuis qu'ils s'étaient rencontrés. Il la tentait, lui faisait ressentir des choses impossibles mais elle ne pouvait plus reculer maintenant, elle n'aurait pas dû le chercher, elle n'aurait pas dû creuser comme elle l'avait fait, parce qu'elle avait l'impression d'avoir réveiller la bête. Quand elle le voyait taper comme un fou furieux dans le sac, elle se demandait ce qu'il ressentait, est-ce qu'il était en colère ? Est-ce qu'il était simplement frustré ? Ou tentait-il seulement d'évacuer tout ce qu'il ressentait ? Elle pourrait lui demander, mais les mots restaient bloqués dans le fond de sa gorge, elle n'osait pas, parce qu'elle ne voulait pas qu'il l'envoie balader comme il avait pu le faire auparavant. Non, elle ne le supporterait pas, pas après tout ce qu'il avait fait, faire monter la tension comme ça et la faire retomber comme un soufflé. Elle ne voulait pas supporter cela une nouvelle fois et rester pantelante comme si on avait promis à un enfant un jouet, qu'on lui avait offert et que finalement, on lui retirait. Non, elle n'avait pas envie de cela, elle avait juste envie de lui, mais elle ne l'annoncerait pas, pas cette fois, elle avait retenue son erreur de débutante. Ne jamais dire qu'on a envie de quelqu'un, quand cette personne est arrogante et a les yeux rivés sur son nombril. Oublier cette idée. Il avait aussi éveillé en elle, une chose qu'elle ne connaissait pas, la rage de gagner, la rage de vaincre, elle avait cette chose au fond d'elle mais elle n'avait jamais eu le besoin d'utiliser cette partie de son caractère dans ses plus lointains souvenirs. Lorsqu'elle prenait le dessus, le chevauchant avant de le tenter, de rapprocher ses lèvres de celle du jeune homme, elle voulait l'embrasser mais elle se retenait lui annonçant qu'on disait qu'elle était une bonne menteuse. EN même temps, elle avait réussi à garder son adultère caché presque une année, alors le mensonge ça la connaissait. Puis elle craquait, ses lèvres sur celles du jeune homme, elle laissait exploser ce qu'elle ressentait, et quand il la collait contre lui, elle se rapprochait du mieux qu'elle le pouvait, retirant le haut du jeune homme tout en continuant de l'embrasser. Mais lorsqu'il se reculait, elle sentait une sensation étrange lui prendre le fond de l'estomac et elle reprenait sa respiration, secouant la tête négativement quand il lui demandait si elle savait ce qui était excitant, elle avait l'impression de ne plus savoir parler. Il posait des questions qui lui semblait sans queue ni tête, elle ne voulait pas trouver de réponses, elle avait envie d'autres choses. Néanmoins, elle l'écoutait attentivement, calmant sa respiration. Elle ne savait pas s'il était sincère alors tandis qu'il l'embrassait dans le cou, elle réussissait à murmurer « Donne moi des réponses à ses questions... » Elle pensait qu'il avait enfin terminer et qu'ils allaient passer aux choses sérieuses mais non, il reprenait et elle fermait les yeux. Se demandant ce qu'il allait faire, est-ce qu'il allait encore une fois fuir ? Non, elle l'en empêcherait. Et si il partait, ça allait en être fini. Elle ne reviendrait plus, elle ne lui donnerait plus le loisir de la rendre folle. Quand il la collait contre lui, elle pouvait sentir qu'il avait envie d'elle et elle sentait au fin fond de ses entrailles que cela se tordait, cela se tordait de désir et d'appréhension, toutes ses questions lui avaient retourner le cerveau. Enfin, elle prenait la parole en venant lui murmurer « Personne n'entrera dans ce gymnase, il est bien trop tôt... » Elle laissait ses lèvres parcourir la mâchoire du jeune homme d'un côté puis de l'autre avant de murmurer une nouvelle fois « Fais moi crier ton nom, mais avant dis le moi. » Oui parce qu'elle n'avait pas perdu le nord, elle ne connaissait toujours pas son prénom et c'était assez gênant. Ses lèvres reprenaient le chemin de celles du jeune homme, tandis que l'une de ses mains se glissait sensuellement le long de son corps pour atterrir sur son entre-jambe qu'elle caressait de façon lubrique, impudique en ne quittant pas ses lèvres, l'embrassant de façon fougueuse et électrique.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
We're fucked up



✧ Gymnase de boxe, 7h du matin. ✧Solveig & Noah


Noah continuait de caresser Solveig et sentait bien au fond de lui que cette fois là, il n’avait pas envie de s’interrompre, il avait envie d’elle, vraiment envie d’elle, et plus il l’embrassait plus elle attisait son désir. Il ne s’interrompit que pour lui expliquer ce qu’il trouvait de remarquable dans leur relation : le fait qu’ils auraient toujours peur l’un de l’autre, qu’ils se demanderaient toujours si ce que dit l’autre est vrai ou faut, ou s’il va s’arrêter en plein acte charnel. Noah détestait la routine aussi fort qu’il méprisait les filles fades et sans esprit. Pour lui une relation parfaite devait le surprendre, tout le temps le surprendre. Et plus il s’attachait à une fille, peu importe la nature de ses émotions ou sentiment, plus il avait besoin qu’elle lui montre que jamais un jour ne serait identique au précédent et que jamais il ne tomberait dans l’ennuie. En fait, Noah se lassait vite, très vite et détestait amèrement s’ennuyer : autant mourir que de vivre à moitié. Et le lien qui commençait à se créer avec Solveig l’excitait de plus en plus car en effet, leur relation ne serait jamais de tout repos, sans doute ferait-elle mal par moment, mais le fait est qu’elle ne le lasserait jamais, car il n’y aurait jamais rien d’officiel, pas d’engagement et surtout aucune routine. C’était mille fois mieux qu’une relation sexuelle régulière : ils ne savaient absolument pas de quoi les jours à venir étaient faits. S’il faut ils arrêteraient de se parler, s’il faut ils tomberaient amoureux. Amoureux ? A la pensée de ce mot Noah eut tout un tas de pensées néfastes. Notamment, des pensées à l’égard d’Amanda qu’était complètement et totalement sorti de son esprit. Il ne suffit que de quelques baisers dans son cou de la part de Solveig pour qu’il finisse lui aussi par chasser toute idée de son esprit et s’évanouisse complètement dans ce moment. Elle lui demanda de lui donner son nom pour qu’elle puisse le crier, et Noah hésita un instant, avant de basculer en un mouvement sec de manière à ce que Solveig se retrouve allongée sur le dos et lui entre ses jambes. Il se penche lentement vers son oreille avant de murmurer : « Tu le sauras bien assez tôt ». En fait il n’avait pas vraiment envie de le donner se rendant compte que ça allégeait leur rapport. Elle ne connaissait pas son prénom, il n’était strictement personne pour elle, et pouvait disparaitre quand il le voulait. Il entendit dans le même temps le bruit d’un ballon de basket qui cogne contre le sol, des étudiants devaient s’entrainaient à quelques mètres d’eux. Noah se tourna vers la porte pour vérifier que personne ne les observait et se tourna de nouveau vers Solveig en souriant avant de l’embrasser et de dire entre chacun de ses baisers qui se faisaient de plus en plus vif, de plus en plus intense : « Finalement, je pense qu’il vaut mieux ne pas faire de bruit ». Il l’embrassa de plus belle et de plus en plus fort, le fait de pouvoir se faire prendre à n’importe quel moment et de devoir se retenir de faire du bruit ajouter de l’intensité à l’excitation. Il enleva d’un geste vif le bas et la petite culotte Solveig sans se préoccuper du haut – il n’avait pas vraiment le temps de faire les choses dans les règles. Il se pencha sur elle complètement afin de pouvoir lui dévorer le coup, se calant complètement contre son entre-jambe, enivré par son parfum et la promesse de quelques minutes de plaisir inouïe.



 



Made by Lackey-G © for ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il fallait qu'elle sache ce qu'elle voulait. Parce qu'elle était persuadée qu'il n'abandonnerait pas. Elle se doutait ce qu'il désirait -à savoir elle- et elle ne pourrait certainement pas se défiler. Mais de toutes façons, elle ne voulait pas le faire parce qu'elle le voulait. Elle le désirait autant qu'un gamin voulait que le père Noël passe le vingt-cinq décembre. Elle le désirait mais des questions se posaient dans son pauvre esprit embrumé. Après ? Est-ce qu'il partirait ? Est-ce qu'il lui balançerait un billet comme il avait pu le faire avant ? Ou est-ce qu'ils allaient continuer à se voir, à se surprendre ? A se chercher comme il le faisait maintenant ? Elle se demandait, et elle ne voulait pas perdre ce lien si étrange qui les unissait. Il était imprévisible, surprenant. Lorsqu'elle l'avait rencontré, elle ne s'était pas imaginé qu'il serait comme ça et elle ne pensait pas qu'elle allait autant jurer. Oui, parce qu'elle n'avait jamais autant prononcé le mot Connard que depuis qu'elle le connaissait. Limite, c'était devenu un mot de liaison, je t'aime connard, bon je vais aller manger connard bisous. Un vrai mot de liaison, un surnom mignon (coucou la stalkeuse). Elle ne voulait pas s'attacher à lui, parce qu'elle trouvait ça totalement absurde, à quoi beau s'attacher quand cela ne sert à rien ? Non, cela ne servait à rien qu'elle s'attache à Noah parce qu'il finirait par lui briser le coeur. Et se faire briser le coeur, elle avait déjà donné, elle ne voulait plus ressentir cela, et elle savait que si elle lui donnait l'occasion, Noah le ferait. Il lui briserait le coeur comme la chaussure de Cendrillon qui se casse quand elle la fait tomber. Il renversait la situation tellement rapidement, qu'elle n'avait même pas eu le temps de se rendre compte de ce qu'il se passait mai Solveig osait lui demander son prénom, parce qu'il voulait soi disant lui faire crier son nom, sauf qu'elle ne le connaissait pas et non, elle n'allait pas hurler Connard à travers la salle, elle le respectait tout de même un peu. Elle ouvrit la bouche mais quand elle entendit les bruits de ballons, elle refermait la bouche et ne disait plus rien tandis qu'il vérifiait que personne ne venait dans le gymnase. Ca aurait été leur veine, stoppés dans leur élan, une nouvelle fois. Elle prolongeait sans cesse les baisers du beau brun en souriant, fermant les yeux parfois, pour laisser son désir l'envahir et la remarque du jeune homme la fit rire « Tu arriveras à ne pas faire de bruit ? » Elle gardait un sourire amusé sur le visage tandis qu'il prenait le contrôle lui retirant son bas et son sous-vêtement, elle sentait les flammes du désir lui laminaient l'intérieur, elle brûlait de désir pour lui et à son tour, elle baissait le bas de Noah et son boxer, et ses baisers dans le cou de la jeune fille lui tirait un soupir incontrôlés. Elle nouait instinctivement ses jambes autour de la taille du jeune homme, déposant ses lèvres sur celle de son amant du jour, lui offrant un baiser enflammé avant de murmurer faiblement « Maintenant.. prend moi.. » Elle ne voulait pas passer par quatre chemins, elle avait envie de lui. Et elle ne voulait pas qu'il s'enfuit.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)