Very bad roomates. (pv Carter & Priape)

Carter & Priape
Very bad roomates.

mise en page par mad love

Honnêtement, le nom de ship Priarter je trouvais que c'était hyper vendeur, genre j'imaginais sa comme la nouvelle tendance sur le web, on aurait notre propre hashtag grâce à cette nouvelle bromance. ''L'idée est pas bête, gare à tes fesses le grec, je pourrais te prendre au sérieux.''. Je pourrais lui offrir un tatouage temporaire même au pire, si le marquage à vie n'était plus une option. Hahaha, il n'avait pas tort, jouer le jeu pourrait plus être un désavantage qu'un avantage s'y il devait rencontrer une fille qu'il lui plaisait, alors j'eu une autre idée. ''Ou alors si elle trouve que tu manques un peu de bad boy attitude, je leur dis que tu étais mon bizuteur et que c'était un défi de bizutage.''. Ok suffit les conneries on en avait déjà assez fait. J'hochais la tête, oui il faudrait penser à se procurer des décorations de Noël et un petit sapin pour mettre notre chambre dans l'ambiance, en plus fallait penser à notre pensionnaire: ''On va pas manquer de lait de poule en tout cas!'', malgré que j'étais un peu sceptique qu'une poule pouvait produire du lait bref. On était à bord de ma caisse de nouveau à Boston, prêt à découvrir quel connerie Sienna l'humaine nous avait fait faire sans le vouloir. Après les indications de Priape, je me garais dans le stationnement du pressing. Je sortis mes lunettes aviator et les posait sur mes yeux, prêt à tout, allez`mon frère. Je poussais la porte du pressing et regardait autour...On semblait au bonne endroit mais qu,est-ce qu'on pouvait venir faire ici dans la nuit bordel? Une dame asiatique mi-quarantaine semblait nous reconnaître et immédiatement, elle éclata de rire. Curieux, je regardais Priape comme si je m'attendais à ce qu'il me dise qu'il la reconnaissait, ensuite devant son hésitation, je tentais ma chance: ''Hello, je viens récupérer des trucs au nom de Carter W. Hermann et Priape Zacharias.''. Elle éclata de rire de nouveau et alla vers l'arrière de la boutique et revenait avec deux immenses sacs noirs: ''On a tué quelqu'un ou quoi?''. Je paniquais un peu en regardant Priape, mais pourquoi elle aurait rit et n'avait pas appeler la police la vieille dame? Elle revenait nous voir en souriant, elle était flippante. Elle demanda: ''Billet de pressing svp.''. Je l,avais pas pris avec moi, Priape?

Carter & Priape
Very bad roomates.

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Je rigolais de plus belle alors que Carter entrait dans mon jeu. J’aurais pas pu tomber mieux au niveau chambre. Au final, ça tombait bien que je sois arrivé en cours d’année et que je sois tombé sur lui. Le courant passait trop entre nous. « Je crois qu’on va finir par se faire virer de la DH si on se refait une soirée comme celle ci. » me marrai-je alors qu’on envisageait de nouveaux tatouages délirants. On fila ensuite, poursuivant notre enquête. Quand on sortit de la voiture de Carter et qu’il enfila ses lunettes, je le charriais : « T’assumes pas ta tête de lendemain de cuite mon chou ? » Et en même temps, je l’enviais un peu : j’aurais du prendre mes lunettes aussi. Il avait beau de pas faire grand soleil, le peu de luminosité qu’il y avait aujourd’hui m’éblouissait et j’avais une migraine qui commençait à bien me taper sur le système. Merci la gueule de bois. En poussant la porte, on découvrit le pressing, la caisse, les machines à laver, les sèches linges, bref un pressing classique mais pas le lieux où j’avais l’habitude de passer mes soirées. Qu’est-ce qu’on avait pu fabriquer là ? Et la dame derrière la caisse explosa de rire en nous voyant… J’échangeai un regard intrigué avec mon coloc, qui se lançait et demandait à récupérer ce qu’on avait laissé là. Nouveau rire de la femme. De plus en plus bizarre. Et lorsqu’elle revient avec deux sacs noirs, Carter sembla paniquer. « J’espère que l’un des deux corps est celui de Sienna alors… » Histoire qu’on se soit venger quoi. Je plaisantais bien sur, surtout que ça n’avait pas franchement les formes d’un cadavre là dessous. Je tendis à la vendeuse notre billet et elle l’attrapa en nous disant : « Vérifiez donc si le lavage vous va… » Donc c’était des fringues sous la housse noire ? On était venu faire notre lessive ici dans la nuit ? Je tirais sur la fermeture du sac qu’elle m’avait tendu et là, je découvris un immense costume de cerf. « C’est à moi ça ? » Et la nana se remit à rigoler de plus belle, nous rappelant qu’on était arrivé dans nos costumes recouverts de terres et qu’on les lui avait donc laissés pour les faire laver…

Carter & Priape
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Honnêtement, je crois que ma colocation avec Priape à la Dunster House était un choix ''made in heaven''. Jamais j'aurais cru vivre une soirée d'enfer comme sa à la confrérie des mecs et nanas les plus intelligents de Harvard mais j'étais content de voir que c'était qu'un stéréotype et les grosses têtes savaient amplement s'amuser. ''Tu crois que Talya et Sienna nous ferait sa? En tout cas, sa reste que c'est ma fête auquel que j'ai assisté mon vieux.''. J'avais enfilé mes lunettes aviator , j'avais encore un peu de la misère à supporter la lumière du soleil et j,avais une migraine depuis qu'on s'était réveillés grâce au cadran de Priape. Je riais à sa remarque et lui dit: ''Mais non au contraire, je donne de l'attitude à ma tête de lendemain de veille, jaloux.''. Il y avait toujours le moyen de rigoler avec Priape, c'était parfait de pouvoir rire de soi-même. Je lui tapais l'épaule à la mention que peut-être un des sacs que la dame apportait un truc, ce n'était pas un truc avec quoi il fallait rire quand même. La dame nous demanda de vérifier le lavage et intrigué, j'ouvrais mon sac avec hésitation. Je prenais le courage à deux mains et regardait pour en sortir le même truc que Priape. Immédiatement, je me mis à rire aussi tôt et merde. On avait donc fait les cons, jouer les cerfs dans la boue et revenu? D'accord ce n'était pas aussi clair que plutôt...La vieille dame nous remettait ensuite une clé: ''N'oubliez pas ceci non plus, nous pas laver clés. bonne journée garçons!''. Une clé se rajoutait au puzzle mais encore là, elle sortait d'où? Je regardais Priape en sortant du pressing: ''Encore un indice, il me semble. Une clé...on a été à la banque? club de sport? vestiaires quelconque?''. Décidément, le mauvais coup de Sienna à notre endroit avait été bien exécuter...Est-ce que sa valait la peine de continuer? Mon téléphone vibra dans ma poche alors je répondais au téléphone. WTH? Je dis qu'on serait là dans 10 minutes et je regardais Priape: ''Il semble qu'on est commandés 300 ailes de poulet hier soir au resto et qu'elle nous attends toujours. Pri bordel c'est flippant notre truc mais je suis heureux d'avoir vécu quelque chose d'aussi cingler avec toi.''.

Carter & Priape
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« Talya je ne pense pas… Mais Sienna, elle, elle est capable de tout. Regarde ce qu’elle nous a fait avec ses bières. » Sienna la psychopathe. Ha ha… Carter savait maintenant qu’en signant une coloc avec moi, il signait aussi pour une guerre ouverte contre la VP. Je me marrais en le voyant me traiter de jaloux, ses lunettes trop classe d’aviator sur la tête et on se dirigea vers le pressing. On récupéra là bas nos –costumes de cerfs- avec un air intrigué. « Ca c’est encore un coup de Sienna je te parie… » Ca se trouve elle nous avait demander de racoler pour la DH déguisé en cerf, parce que cette bestiole c’était la mascotte de notre confrérie quoi… Puis vu l’état dans lequel on devait être hier soir, on avait surement accepté… Après pourquoi on avait fini couvert de boue ? Mystère. Et voilà que la dame en rajouta une couche en nous filant une clé. J’observais la clé sous tous les angles alors que mon coloc s’interrogeait à voix haute sur ce qu’elle pouvait bien ouvrir. Je pris un ton super sérieux. « Carter, je crois que… » Je relevai la tête vers mon pote pour croiser son regard, avec un air grave je poursuivis : « …c’est la clé de mon cœur ! » Et là pas possible de garder mon sérieux, j’explosai de rire. Sauf qu’on fut coupés par le téléphone : Carter répondit et m’informa ensuite qu’on avait une commande en attente. « Mais c’est un truc de malade ! » m’exclamai-je. « Moi aussi je suis content d’avoir vécu ça avec toi mon grand ! » Je lui donnai une tape sur l’épaule avant d’avouer : « Maintenant que je suis bien dessaoulé, je mangerai bien un morceau. On va manger notre poulet ? » Puis peut être qu’on en apprendrait plus là bas. En tout cas, le ventre plein, on réfléchirait surement mieux.