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Nevalek - You always seem to bring the light

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“Sometimes I believe that this less material life is our truer life, and that our vain presence on the terraqueous globe is itself the secondary or merely virtual phenomenon.”
C’est ça, la vie que j’ai choisi. C’est celle où je me sens le mieux, celle où j’ai cette impression d’être comblé. Cette vie où j’ai plus vraiment de problème, ou tout avant normalement, et, pour une fois, j’trouve ça assez étrange d’ailleurs. Pas de bombe, pas de prise d’otage, pas de tempête de neige, pas de gars qui vient chercher la merde, pas d’imprévu qui vont me rendre fou, pas de petit con qui vont me rentre dedans en voiture. Rien, vraiment rien, tout roule, comme sur un train sur de bon rails. Du coup, j’ai envie que ça continue, j’ai envie que ce rythme de vie que j’ai pris continue d’aller dans ce sens, continue d’aller à cette vitesse, sans aller plus vite. Dans quelques semaines, Quincy aura deux ans, dans quelques semaines, j’vais me retrouver plongé deux ans en arrière, là où je l’ai vu pour la première fois, deux ans… C’est fou comme le temps passe vite. J’me souviens de la première fois qu’il a ouvert les yeux, et maintenant, il parle, il marche, et ça lui arrive de nous faire galérer… Alors non, j’ai pas envie de me réveiller en me disant que ce petit garçon a déjà vingt ans, qu’il est à l’université, et que lui aussi, il veut aller chez les Quincy. J’ai envie de profiter, de profiter encore de cette vie que l’on a, de cette vie qui nous tends les bras, j’ai pas envie que tout ça passe trop vite, que le temps nous bouffe sans nous demander notre avis, sans laisser aucune miette. Alors, chose que je fais rarement, jurer sur la tête de ce dernier, c’est pour montrer que ce que je dis est vrai, que sa réserve est désormais vraiment habité. Que le temps aura beau passé, des êtres continueront d’existé là-bas, qu’après sa mort, chose qui n’arrivera jamais j’espère, elle puisse laisser quelque chose derrière elle, une trace de son passage sur terre, une trace de sa bonté. « Donc tu comprends bien que si je le fais, c’est parceque c’est la vérité ! » Et là, j’demande juste un petit bisou, rien de rien, mais non, madame décide que non, qu’il n’y aura pas de remerciement tant qu’elle ne les aura pas vu de ces propres yeux. Assis sur le lit, j’écarte les bras en l’air et j’me laisse, une nouvelle fois, tomber en arrière. « On peut pas y aller maintenant t’abuses ! Va y’avoir l’anniversaire de Quincy, et après c’est les fêtes de Noël, faudra attendre encore un peu avant d’y aller… » Et avant d’avoir ton remerciement, pour le coup. Du moins, j’sais même pas si une fois là-bas, j’aurais ce bisou, j’veux dire, elle sera tellement absorbée dans ces deux petits lions qu’elle ne va penser qu’à eux, chose normal. •
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La vie est un jeu, alors jouons à n'en plus finir tout en restant raisonnable. Tu as certaine responsabilités qui font que tu ne peux plus te mettre en danger à l'heure d'aujourd'hui. Cela dit tu n'as pas pour autant perdu ton âme de battante et si tu joues, c'est surtout pour gagner. Tu avoues aisément être mauvaise perdante. Guère étonnant quand on sait que tu es une vraie têtue qui aime avoir raison pour la simple et bonne raison que tu as horreur de dévoiler tes points faibles. T'es une acharnée c'est comme ça, et perdre un combat s'avérerait être une grande déception même s'il n'y a rien en jeu - excepté peut être ta réputation et encore - Alors oui t'as beau avoir l'apparence d'un ange, tu peux te transformes en vraie tigresse pour parvenir à tes fins, prête à tout dévaster sur ton passage telle une furie. Personne n'est épargné par ton côté obstiné. Heureusement que ça n'empêche pas tes proches de t'apprécier. Tu arrives même à obtenir des cadeaux dépassant tout ce que tu pourrais imaginer, par ton mari. Quel mari est assez fou pour offrir des lions à sa femme ? Ton homme, bien sûr. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle tu l'as épousé. Sa folie bien sûr, pas les lionceaux, tes futures chats de garde;  dommage d'ailleurs que vous puissiez pas les avoir chez vous, ça aurait été pratique pour prévenir les cambrioleurs de pas s'aventurer au sein de votre villa. Mais non ils t'attendent sagement en Afrique. T'es certaine que ce n'est pas une blague au vu de son argument quelque peu limite tout de même. Il mériterait une baffe pour jurer sur son enfant de manière si naturelle. Parce que t'as envie d'être chiante comme il t'as pas fait chier en étant lent pour t'annoncer sa surprise, tu te permets de demander un voyage en Afrique. Un petit, bien sûr, histoire d'admirer tes nouveaux bébés de tes propres yeux. Sauf qu'à la façon qu'il a de s'écraser sur le lit, t'as compris qu'il était loin d'être d'accord. Tu lèves les yeux au ciel en entendant ses arguments loin d'être convaincant pour t'enlever ton idée de la tête. Tu montes sur le lit, à quatre pattes pour te placer juste au dessus de lui. Tu le fixes de ton regard empli de conviction." T'as toujours pas compris qu'une femme obtient toujours ce qu'elle veut ! " C'est tellement facile quand on possède les armes les plus redoutables en ce monde. Tu déposes des baisers au creux de son cou, remontant jusqu'à sa nuque avant de murmurer à son oreille." Crois moi, tu ferais mieux de corriger ta réponse, sinon tu vas le regretter. " T'as gagné d'avance, c'est obligé.
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“Sometimes I believe that this less material life is our truer life, and that our vain presence on the terraqueous globe is itself the secondary or merely virtual phenomenon.”
Est-ce que je suis fou ? Est-ce que je suis complètement taré, inconscient ou juste simple d’esprit ? J’en ai aucune idée. J’dois pas être le gars le plus saint d’esprit de la terre, j’suis entièrement d’accord avec ça, j’me suis fait à cette idée il y a déjà bien longtemps. Il y a bien longtemps que j’ai compris que je n’étais pas fait pour être quelqu’un de trop simple, de trop passif. Non, j’avais compris que je n’étais pas comme tout le monde, pas dans le sens je suis meilleur que les autres, pas du tout, mais plutôt dans le sens que j’avais ma propre vision du monde, ma propre façon de faire, de penser et d’agir. Jamais je n’avais voulu être un mouton, un de ces gars qui ressemble à un gars qui ressemble lui aussi à un autre gars qui en ressemble à un autre, c’est le malaise pour le coup. J’avais toujours voulu que les gens autour de moi soit heureux, qu’ils ne manquent de rien, qu’ils puissent vivre sans se poser de questions, qu’ils n’aient aucun problème. Malheureusement, c’est pas la chose la plus facile au monde, c’est pas la chose la plus simple, les problèmes, ça arrivent et ça, même si on fait tout pour les refouler. En ce moment, j’avais pas de problème, j’étais bien, comme apaisé, comme heureux, comblé, tout simplement. Et, ce cadeau qui était en préparation depuis tant de semaines pouvaient enfin être livré, il pouvait enfin arriver à destination. Du coup, j’me laissa tomber sur le lit, une fois de plus, quand elle me répondit qu’elle voulait un voyage en Afrique. Je lui passe les lions, maintenant, elle veut l’Afrique, genre normal. Alors, je lui réponds que pour le moment, ce n’est pas possible, mais, madame n’a pas l’air d’être de mon avis, non, elle est pas d’accord, elle n’aime pas qu’on lui dise non, elle n’aime pas quand on lui refuse quelque chose. Alors, pour montrer son mécontentement, elle monte sur le lit, à quatre pattes, se plaçant à califourchon sur moi, laissant ces douces lèvres jouer avec la peau de mon cou, pour remonter jusqu’à mon oreille. « Bah, pour le coup j’ai pas dit non madame ! » J’avais dit plus tard, genre pas tout de suite, mais après les fêtes quoi. Mais, j’vous avoue que la voir dans cette position, me donnait envie de lui dire oui, sauf que la connaissant, si je lui dis oui, elle va se relever, continuer de se maquiller, contente d’elle et de sa réussite. Alors, je plonge mon regard dans le siens, attrapant son visage entre mes mains, et je reprends. « J'aime bien quand tu donnes des ordres, ça fait strict et tout » Faut que je regarde seulement ces yeux en fait, faut pas que je regarde la position dans laquelle elle se tient, faut pas que je pense à tout ce qu’elle pourrait faire comme ça. J’suis joueur, j’ai envie de jouer, mais la connaissant, j’sens qu’elle peut me sortir le panneau privé de sexe tant qu’elle a pas vu les lions. •
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Tu ne sais absolument pas où il est allé chercher son ambition, sa hargne et l'envie de tout tenter pour t'offrir cette joie immense que de voir un de tes rêves se réaliser. Bien sûr que deux lions c'est rien en comparaison d'un immense zoo avec une centaine d'espèces animales mais pour toi ça équivaut à tout l'or du monde. Cette réserve c'est plus qu'un rêve, c'est un accomplissement de tes valeurs, c'est un peu de toi qui va rester dans ce monde quand tu ne seras plus là pour clamer haut et forts tes revendications. Quoique tu feras sans doute de ton fils ton porte parole. Cela parait évident que tu vas lui offrir une éducation calquée sur ton mode de vie. On ne pourra pas dire que tu lui inculques de mauvaises valeurs, puis il faut bien compenser avec ce que lui apprendra Alek. L'avenir ne s'annonce pas de tout repos. Bon Quincy pourra quand même se vanter d'hériter d'une réserve au beau milieu de l'Afrique avec de magnifiques lions. Oui ces félins sont un vrai investissement sur l'avenir. Et bien évidemment ils seront entourés de nouveaux amis mais chaque chose en son temps. Néanmoins tu es quelque peu pressé d'aller faire un aller retour jusqu'en Afrique juste pour admirer ses boules de poils que tu as envie de serrer dans tes bras. T'as peur des riens puis à cet âge, ça ressemble plus à des gros chats plutôt qu'à un animal féroce qui veut te manger tout cru. Pour une fille curieuse comme toi, c'est impossible d'attendre après les fêtes de fin d'année. Il a pas le droit de t'interdire cela. Au pire des cas t'es prête à y aller toute seule, mais bon cela signifierait qu'Alek n'aura pas le droit à son remerciement et c'est bien lui qui se fait du mal tout seul à se refuser un petit privilège. Tu n'as pas dit ton dernier mot. A califourchon, tu ne te gênes pas pour abuser de tes atouts. Mais pourtant tu n'arrives toujours pas à obtenir de lui un vol direct pour l'afrique." T'es incapable de me dire non de toute manière. " C'est d'ailleurs bien pour cela que tu ne vas pas t'arrêter en si bon chemin. Bien concentré sur toi, il ne défaillit toujours pas." Je sais que t'as une préférence pour être dominé plutôt que d'être dominateur. " Encore et toujours plus de provocation alors que tes lèvres s'approchent des siennes sans rien faire de plus. La suite ne dépend que de lui.
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Jamais je ne pourrais revenir en arrière, jamais je ne voudrais revenir en arrière et continuer la vie que j’ai mené pendant un temps. J’avais envie d’avancer, réussir mes études, avoir un travail qui me plait, et pas passer mes journées à me dire que peut-être, j’aurais dû rester bloqué dans le passé, que peut-être, ma vie aurait été mieux. J’veux pas me dire ça, j’veux profiter de cette vie qui s’offre à moi, de cette chance de réussir et d’être la personne que j’ai toujours voulu être. Alors, je ne gâcherais pas cette chance que j’ai su saisir, je ne gâcherais pas cet avenir qui s’offre à moi, j’suis peut-être con, un peu trop impulsif, un peu tête en l’air, mais j’vais pas gâcher ça, j’y tiens trop, tout ce que j’ai construit, tout ce qu’on a construit, je ne veux pas le perdre, j’ferais tout pour le garder, pour garder Neva, pour garder notre fils, et cette famille qu’on va se construire au fur et à mesure des années, je n’abandonnerais pas. La seule chose que je risque d’abandonner, c’est le contrôle de mon esprit, le contrôle de mes pensées quand elle monte à quatre pattes au-dessus de moi, qu’elle se rapproche, doucement, qu’elle me regarde, qu’elle me dit, sûre d’elle, d’une voix très calme, que je suis incapable de lui dire non. Elle aurait pu avoir tort, j’aurais pu lui dire non, mais madame avait décidé de jouer de ces charmes, madame avait décidé de m’avoir par les sentiments, juste pour mettre toute les chances de son côté. « T’essaies de m’avoir avec ton corps, c’est de la triche quand même ! » Elle en profite, elle se joue de moi, elle met ces atouts en avant, comme si c’était déjà gagné, comme si elle avait déjà pris le dessus, comme si elle allait pouvoir m’avoir, comme si j’allais dire oui à tout, tout de suite. Bon, c’est fort probable, on ne va pas se mentir hein, y’a de grande chance qu’on décolle pour l’Afrique dans les semaines qui viennent hein, mais, lui dire maintenant serait bête, elle a l’air décidé à obtenir ce qu’elle veut, alors, quand elle approche ces lèvres des miennes, ne les touchant pas pour autant, doucement, je passe mes mains dans son dos. Bien sûr, que j’aime être dominé, voir le corps de la femme dans son état naturel, avoir une vision d’ensemble, oui, j’aime, pas, le contraire aussi, alors, d’un coup, je l’agrippe et j’me fais rouler sur le lit histoire de passer sur elle, cette fois ci, c’est elle, qui est dominée. « Te dire oui maintenant ça ne serait pas du jeu, madame j’aime dominer… » Ce qui est bien avec elle, c’est que j’aime chaque moment passé à ces côtés, qu’elle sait me faire rire, qu’elle sait me donner envie, qu’elle sait me combler, à croire elle a appris un manuel d’Alek par cœur. •
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S'il y a bien une chose qui te paraît impossible, c'est un monde sans ton mari, sans ton fils, sans ta famille et sans tes amis. Même dans une autre dimension tu ne t'imagines pas seule ou bien mariée à un autre. Ton imagination ne peux pas peindre un autre portrait de famille, effacer les souvenirs qu'ils soient heureux ou douloureux. Tu as toujours pensé que ton objectif dans la vie était de rendre les autres heureux, d'améliorer ce monde qui semble s'effriter de secondes en secondes mais ce que tu as oubliée c'est de te voir toi comblée et fière grâce à ceux qui font pétiller tes yeux. Tu n'as pas besoin de centaines de mots pour exprimer ton amour. Il suffit juste de voir ton sourire qui semble abriter tout le bonheur du monde. C'en est presque gênant pour la fille généreuse que tu es, mais là tu n'es pas prête à partager ce qui s'avère être ton jardin secret, ce lieu où tu te réfugies et impénétrable. Personne ne peut interférer et encore moins à cet instant. Le premier con qui vient vous déranger alors que t'essayes d'obtenir une énième faveur de la part de ton mari, tu le fusilles sur place." Tu dis que c'est de la triche juste parce que tu sais d'avance que tu as perdu. " Il ne te fera pas croire qu'il ne succombera pas. Pas besoin de lire dans ses yeux, tu sais déjà que tu vas l'attraper dans tes filets comme au premier jour. Merci Dieu de t'avoir fourni un corps de rêve et des fesses qui font fantasmer, c'est bien utile. Ton souffle sur ses lèvres, tu ne bouges pas d'un pouce. Tu as conscience qu'il va essayer de résister, c'est un jeu entre vous qui avez horreur de montrer vos faiblesses à l'autre. A ton insu tu bascules. S'il croit que dans cette position tu te trouves dominée, il se trompe sur toute la ligne." Je parie qu'il me faut moins de deux minutes pour que ton non se transforme en oui. " Tes mains se faufilent sous son t-shirt, jouant au niveau de sa ceinture." Je croyais pourtant que tu savais à quel point je pouvais être têtue. " Et ambitieuse tu obtiens toujours ce que tu souhaites, et ce dans n'importe quel domaine. Il va l'apprendre à ses dépends.
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Toutes les personnes qui me connaissent le savent. J'vais pas pouvoir résister longtemps à Nevada. Elle a ce pouvoir, ce contrôle sur moi qui fait que je cède rapidement. Était-ce l'amour ? Surement. Était-ce ce corps de rêve qu'elle possédait et qu'elle mettait en avant pour me faire succomber ? Fort probable. Elle avait ce truc qui faisait que toutes les autres filles n'arriveraient jamais à l’égaler. Elle était parfaite, elle était belle, elle était drôle, elle était intelligente, elle était ma femme, tout simplement, celle avec qui j'avais envie de passer le restant de mes jours. Alors, ouais, ce voyage, elle allait finir par l'obtenir, depuis le début, même avant qu'elle me le demande, c'était déjà perdu d'avance, j'me doutais bien qu'elle allait vouloir aller les voir. Bon, tout de suite maintenant, peut-être pas, j'aurais pensé qu'elle allait vouloir attendre la fin des fêtes, j'sais pas trop, mais non, madame est bornée par moment vous savez. Elle me dit que je sais que c'est perdu d'avance. Oui, je le sais, mais l'avouer serait rendre les armes bien trop tôt. Pourquoi ne pas profiter encore un peu de ce petit jeu qui c'est installé ? Pourquoi ne pas voir jusqu'à où elle est capable d'aller ? Juste pour mon plaisir ? Juste pour voir ce qu'elle est prête à faire pour obtenir un oui de ma part. Elle est forte, je le sais, je sais que sur ce jeu là, elle peu être très, très forte, mais, j'suis pas un novice non plus, j'suis pas un petit branleur qui va mouillé dans son boxer juste parcequ'elle c'est mise sur moi et qu'elle me regarde avec son regard là. Alors, je la retourne, comme pour prendre le contrôle de la situation, comme pour lui montrer que moi aussi je peux jouer, mais, ça ne l'arrête pas. Toujours de la même façon, elle me regarde, elle laisse ces mains passer sous mon t-shirt pour aller jusqu'à ma ceinture, elle s'amuse, elle se joue de moi, mais j'aime ça. "Je sais, que t'es têtu... Mais montre moi que tu le veux vraiment ce oui." J'avais été plutôt clair non ? Elle était têtu, mais j'étais joueur, peut-être un peu trop même. Mes mains elles, restaient dans le dos de la jeune femme, elles ne bougeaient pas, pour lui montrer que moi aussi, j'pouvais maitriser la situation, que moi aussi, j'pouvais avoir ce que je désirais. •
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Comment tu agissais à cet instant n'était pas qu'un jeu. Ce côté femme fatale que tu ne dévoilais qu'à lui évidemment n'était pas uniquement qu'un moyen pour obtenir ce que tu voulais. Au bout de 3 ans de relation, il est possible de se lasser, de vouloir voir autre chose mais toi tu n'avais pas envie alors tu entretenais cette petite flamme de façon machiavélique il faut bien l'avouer. Mais tout vient à point à qui sait attendre, comme on pourrait dire alors que tu n'es pourtant pas la femme des plus patientes qui soit. Si la situation était inversé, tu bouillonnerais, si c'est lui qui osait te faire languir, tu deviendrais folle, dépassant presque le niveau de folie déjà assez extrême de ton mari. Enfin il apprécierait certainement que tu deviennes pire que lui mais tu n'étais pas encore prête à lui faire ce privilège. Tu tiens à ta réputation de fille bien rangée qui en prend un coup si les gens savaient ce qu'ils se passent entre vous. Mais ils sont pas prêts d'avoir accès à cette chambre pour assister à ce que tu pouvais aisément comparé à une partie d'échecs. Vous sortiez tous les deux vos meilleurs coups, preuve d'une tension sexuelle plus que palpable. Un sourire cynique sur le bord des lèvres, t'étais prête à tout pour qu'il atteigne ses limites. Hélas ce soir il semblait plus résistant que les autres jours. Tu détestais qu'il te donne du fil à retordre parce que t'avais beau faire mine que tu maitrisais la situation, tu ne pouvais nier que ta seule envie à cet instant c'est que vous arrêtiez de montrer qui était le plus fort. Pour toi aussi l'attente était insoutenable mais la récompense en valait la peine. En entendant ses mots, tu te retenais pour l'embrasser histoire qu'il arrête de dire des conneries mais ce serait lui donner un avant goût beaucoup trop rapidement. Tu te contentais de te mordre la lèvre inférieure avant de retirer ton t-shirt, dévoilant ainsi le haut de ton corps. Bon ta poitrine n'était pas ton meilleur atout mais quand même. Il n'allait pas te faire croire que voir une fille se déshabillait et sa femme surtout ne l'excitait pas un minimum." Fais gaffe, je peux voir que t'es en train de craquer. " disais-tu en désignant ses bijoux de famille d'un bref coup d'oeil. Lui n'avait pas cet avantage. Dans la même optique de ce "strip tease" improvisé, tu faisais glisser les bretelles de ton soutien gorge le long de tes épaules, ton regard sensuel soutenant le sien. Il pouvait toujours courir pour que tu le touches, ce serait lui faire un cadeau bien trop beau, le laissant ainsi gagner. Il était primordiale qu'il pense que tu ne succombes pas.
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Depuis maintenant deux années de mariage, je n’avais pas ressenti cet ennuie, je ne m’étais pas lassé, j’avais pas eu envie d’aller voir ailleurs. J’avais pas eu envie de revenir en arrière et changer le cours du présent, j’avais pas eu envie de faire autre chose, de changer rien qu’un petit truc dans ma vie. Elle n’était pas parfaite, j’avais eu quelques problèmes, mais, jamais les problèmes ne pourront prendre le dessus sur tout ce bonheur dans lequel je nage depuis que j’ai rencontré la jeune femme. Ces moment-là sont bien plus important, ces moment-là, c’est ceux qui permettent à ma vie de la rendre si belle. J’me demande bien ou est-ce que je serais à ce moment précis si je n’avais pas eu la chance de rencontrer la jeune femme, si cette après-midi dans le sauna n’avait pas eu lieu, est-ce qu’un jour, on aurait fini par se mettre ensemble ? Tant de questions qui m’importent peu. Tout ce que je vois, c’est que je suis désormais un père de famille, un homme comblé, un garçon qui aime sa vie. Limite ça fait un peu junky de dire que j’aime ma vie et tout ça, mais, c’est la vérité, j’aime ma vie, et ça ne changera pas. J’aimais plus que tout au monde cette femme qui était allongé sous mon corps, à me regarder d’une façon assez explicite, à agir d’une façon assez explicite, à se la jouer femme fatale, tout ça pour obtenir ce qu’elle désire. Elle a toujours été comme ça, mais, honnêtement, jamais ça ne m’a dérangé, au contraire même, ce côté femme fatale pour me faire craquer, et bien, ça me fait craquer. Sauf que cette fois ci, j’voulais faire durer la chose, j’voulais pas balancer un oui tout de suite, ça serait beaucoup trop simple, beaucoup trop facile pour elle. Il fallait lui montrer que moi aussi, j’étais joueur, et que moi aussi, je pouvais rentrer dans ce jeu qu’elle avait lancé. Qui de nous deux tiendra le plus longtemps ? Qui de nous deux aura envie d’arrêter tout ça ? J’ai bien envie de dire que ça sera moi, que j’vais lui sauter dessus avec un grand oui, ton voyage tu l’as, mais, non, même si au final, elle doit le savoir que son voyage, elle l’a, elle veut l’entendre de ma bouche, comme pour dire qu’elle m’a fait capituler. Alors elle joue avec moi, elle me regarde, retirant doucement son t-shirt, laissant apparaitre sa poitrine cachée par son soutien-gorge. Cette belle poitrine qui pourrait me donner envie de tout arrêter, de lui sauter dessus dès maintenant, mais, j’me retiens, comment, j’en ai aucune idée, j’dois limite avoir une veine qui pousse sur le front. Elle me fait savoir que j’suis en train de craquer, désignant d’un rapide coup d’œil mon entre jambe. J’hausse un coup les sourcils, secouant la tête de gauche à droite, mais, elle n’a pas décidé de s’arrêter en si bon chemin. Sensuellement, elle laisse les bretelles de son soutien-gorge descendre le long de ces épaules. Retirant à mon tour mon t-shirt que je laissa tomber plus loin dans la chambre, je laissa mes doigts tracer un chemin allant de sa joue, jusqu’à son épaule, jouant doucement avec l’une des bretelles, le bout de mes doigts se mis à dessiner des ronds sur le haut de sa poitrine, sans pour autant la dévoiler. « C’est à toi de continuer alors, et de me montrer que tu vas pouvoir me faire entièrement craqué, t’es peut-être le bon chemin là. » Lui en avouer une moitié pour avoir droit à plus. Car oui, je voulais plus, et, elle avait raison, elle pouvait nettement voir que je commençais à craquer, sauf que j’devais tenir. •
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Ton ambition est ton plus grand atout. Tu ne lâches en rien et sous aucunes raisons les objectifs que tu t'aies fixés et ce dans n'importe quel domaine, tes études, ta vie privée, ton ascension professionnel, tes passe-temps. Absolument rien ne peut te déconcentrer de ton but. C'est comme si tu avais des œillères et que plus rien autour n'avait d'existence à tes yeux. Bornée, têtue, presque sans pitié - dans le bon sens du terme - pour arriver à tes fins. Hélas il y a forcément des gens qui en pâtissent de ton caractère de tête de mule. Tu l'avoues toi même que c'est difficile de te supporter quand tu as quelque chose en tête et que rien ni personne ne peut t'enlever tes idées de la tête. Forcément Alek est en première ligne et doit faire avec toi mais bon il pourra pas dire qu'il a pas signé pour ça. Ce n'était peut être pas noter sur le contrat de mariage mais il savait dès le début qu'il aurait beaucoup à faire avec toi. Il a pas trop eu le choix que d'accepter étant donné qu'il est dans le même style. Quand vous êtes toutes les deux bien campés sur vos positions cela peut donner lieu à des situations très compliqués voir électriques ou bien plus légères, ça dépend du contexte. Tu ne peux nier que votre volonté de toujours vouloir dominer l'autre est peut être ce qui te plait le plus dans votre relation car cela peut créer des situations assez cocasses comme celle-ci. Vous savez pertinemment l'un comme l'autre que vous avez envie de vous sauter dessus et pourtant votre fierté de vainqueur vous en empêche. Et même si cette patience est synonyme de torture, elle n'enlève en rien votre plaisir. Tu te dénudes lentement lui laissant le temps d'apprécier la vue sur ton corps qui bouillonne mais tu te refuses à lui montrer et tu ne peux t'empêcher de le charrier sur les signes qui en révèlent beaucoup sur ses intentions. Ta peau frissonne, s'électrise au contact de ses mains, et ne fait que ranimer la tentation mais tu n'es pas prête en rester là encore moins quand il avoue que sa fin est proche. Tu ne cries pas victoire trop vite mais un sourire cynique accroche tes lèvres. Tu admires toi aussi la vue sur son torse, te mordillant la lèvre mais non tu as bel et bien décidé que tu ne feras pas le premier pas. Déboutonnant ton jean que tu fais légèrement glisser - parce que bon t'es pas encore assez bon contorsionniste - il te faut très peu de temps pour amener l'une de ses mains jusqu'à tes fesses. Pour une fois que c'est toi qui lui donne l'autorisation de le faire, mais c'est pour la bonne cause." Je crois que tu peux déclarer forfait. " Impossible qu'il te résiste ou alors c'est qu'il est malade.
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