Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNate - It's a joke ? [+18] - Page 3
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Nate - It's a joke ? [+18]

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It's a joke ?
Mes mains glissent sur la chute de ses reins maintenant, pour se glisser sous son pantalon ouvert, pour le faire tomber pour le mettre à nu, retirant son boxer en même temps. Je me mordille la lèvre inférieure avec envie, en voyant son membre ainsi dressé à mon effigie, sauf que je ne peux pas en profiter, je ne peux regarder ce spectacle plus longtemps alors qu'il m'attire sur lui. Mon regard se perdant dans le sien. Il n'était pas comme les autres. Avec lui, je n'avais pas l'impression de juste baiser, il y avait autre chose... Je ferme les yeux et colle mes lèvres aux siennes pour un nouveau baiser mais surtout pour fuir cette pensée. Je ne peux plus ressentir de l'amour pour lui. Je dois tourner la page, même si à cet instant ce chapitre est loin d'être clos. Il y a toujours ce nous qui existe, même si l'on est incapable de le voir, même si on refuse d'ouvrir les yeux et de s'avouer à nouveau l'un à l'autre. Je ne peux plus t'aimer, c'est la seule chose doit devenir vraie. Rien de plus, rien de moins.

Je me perds dans ce nouveau baiser, frémissant encore plus en sentant sa main se glisser sur mes fesses. Je soupire contre ses lèvres alors que ma main se glisse jusqu'à sa verge maintenant dénudée. Je saisis son membre avec douceur pour commencer des mouvements de va et vient. Mes lèvres continues de danser avec les siennes, avant de les quitter, glissant dans sa nuque pour le mordiller au niveau de la carotide, pour lui donner une sensation de plaisir nouvelle, pour le faire frisonner. Je lâche sa verge, mes mains remontant sur ses flancs, doucement. Mon visage se relevant pour venir en face du sien, mon regard se perdant dans le sien. Il y avait longtemps... Tellement longtemps que l'on n'avait plus été proche comme ça. Je souris, alors que mes mains se pose sur son visage, caressant ses joues. "Nate... Tu m'as... Tellement manqué..." Murmurais-je un peu haletante alors que je lui avouais cela, alors que j'aurais du me taire et comme pour cacher pour tenter de lui faire oublier cet aveu lancée dans un moment de perdition total, je kidnappe encore ses lèvres, pour l'empêcher de me répondre, pour l'empêcher de réagir d'une quelconque façon. On doit juste baiser. Juste ça. Rien de plus. Pas d'amour. Je ne peux pas tolérer ça. Je lâche son visage, une main se glissant sur son torse alors que l'autre va à la rencontrer d'une de ses mains, pour la guider vers mon intimité, je veux qu'il me touche plus, plus profondement. Je veux oublier ce que je viens de lui dire dans un ébat fiévreux, dénué d'amour. Merde Nate ! Prends moi comme la sale chienne que je suis devenue !
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Nu, il était complètement nu au milieu de ce couloir. Et lui qui était si pudique en temps normal n'en avait aujourd'hui rien à foutre. Strictement rien à foutre, il pouvait bien bander aux yeux de celui ou de celle qui passerait par là que ça n'avait aucune foutue importance pour lui. Il la voulait elle, rien de plus. Le cadre, le confort, il s'en fichait royalement. Elle lui avait bien trop manqué pour qu'il puisse encore faire attention à ce genre de détails alors qu'elle s'offrait à lui, et lui à elle. Un nouveau baiser, mais il garda les yeux ouverts cette fois-ci, détaillant son visage si près du sien, ce ne fut que lorsqu'elle commença à caresser son entre-jambe qu'il ferma les yeux en fronçant les sourcils.

Il se crispa, de tout son long, de ses mains jusqu'à ses pieds sous le plaisir qui commençait à l'envahir, lui tirant des souffles rapides, parfois saccadés. Depuis quand est-ce qu'elle faisait ça ? Il était tellement perturbé qu'il avait presque du mal à suivre son baiser. Et sa bouche trouva le chemin de son cou, il rouvrit les yeux en grand en sentant ses dents sur sa peau, un frisson presque électrisant le faisant se raidir une nouvelle fois. Il était envahi de sensations de part et d'autre, laissant un râle de plaisir lui échapper. En cet instant, elle aurait pu faire de lui exactement ce qu'elle voulait... même si c'était un peu ce qui était en train de se passer depuis le début. Et la fougue de ses caresses laissa à nouveau la place à de la tendresse tandis que ses mains douces se posèrent sur son visage. Il reprenait son souffle et l'observait avec ses grands yeux bleus, et les mots qu'elle prononça firent manquer un battement à son coeur.

Nate n'en croyait pas ses oreilles. Il aurait voulu répondre, lui dire que c'était réciproque, lui dire je t'aime, lui donner tout son amour en quelques mots avant de le faire physiquement. Mais... elle fut plus rapide et l'embrassa une nouvelle fois sans lu laisser le temps de réagir. Il était complètement interloqué, il ne savait plus où donner de la tête et la fixait de ses yeux ouverts en grand. Et elle chercha sa main... pour la guider vers son sexe. Le blond haussa les sourcils devant cette attitude entreprenante à laquelle il n'était franchement pas habitué. Il hésita un peu, et finit par dégager sa main pour passer son bras dans la cambrure de son dos et la coller à lui. Il se tourna lentement, sur le côté, puis la fit s'allonger sur le dos. Le jeune homme profita de quelques secondes pour la dévisager elle qui était maintenant toute à lui pour quelques instants.

Il se redressa un peu, avant de se pencher en avant pour embrasser son ventre, lécher un peu sa peau et la mordre par endroits. Nate prenait son rôle de tortionnaire très au sérieux, et l'idée de la garder entre ses bras le plus longtemps possible ne l'avait pas quitté. Sa bouche remonta lentement vers la sienne, il l'embrassa plus passionnément pendant que sa main refaisait le trajet de sa bouche sur son ventre avant de trouver son sexe. Le blond continua de l'embrasser, laissant ses doigts trouver l'entrée de son vagin pour finalement remonter vers son clitoris. Il vint à rompre le baiser et garda son visage près du sien pour la regarder jouir, pour regarder son visage se déformer sous le plaisir provoqué par ses doigts sur son intimité humide de désir.

Il la contemplait véritablement, détaillait chaque mimique, admirait ses traits, ses yeux, sa bouche... Bouche qu'il mordilla pendant que ses doigts continuèrent leur petit manège, se dirigeant lentement mais sûrement vers son vagin. Il les y enfonça alors, et commença ses caresses par des va et viens, recourbant de temps en temps légèrement ses doigts pour augmenter son plaisir. "Toi si belle, si parfaite sans tes vêtements pour te cacher... Aime-moi, même un peu, redevient mienne, laisse moi porter ton fardeau pour que plus jamais tes épaules ne se tassent sous le poids du chagrin. Laisse moi t'aimer, aimer ton corps, laisse toi aller contre moi". Ses pensées, ses mots idéals pour elle qui se donnait à lui abandonnant sa fuite pour quelques minutes d'extase.

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It's a joke ?
Un grognement franchit mes lèvres alors que ma prise sur sa main s'envolait, comme sa main. Il l'éloignait de là ou je voulais. Il me frustrait. Délibérément. Me collant à lui de la sorte sans me donner ce que je veux. J'ai envie de me débattre, pour obtenir l'objet de ma convoitise, mais quand il me repousse, me colle sur le sol, je gémis. Il me domine, comme jamais, je le regarde, me mordillant la lèvre inférieure alors que je ne peux retenir les ondulations de mon bassin sous le plaisir que j'éprouve déjà de le savoir comme ça au dessus de moi. Si seulement tu avais été aussi ferme à cette époque, si seulement tu m'avais retenue avec ton corps et pas qu'avec des mots... Si seulement tu m'avais soumise comme à cet instant alors, jamais, jamais nous n'en serions rendu là maintenant. Oh Nate... Ma main droite se glisse dans sa chevelure blonde alors qu'il me maltraite de la sorte, alors que me soumet à lui de la sorte. Je gémis, haletant doucereusement alors que je cherche juste à ce qu'il me touche encore et encore. J'ai besoin de lui, de ses mains sur moi, de sa chaleur, de sa peau, de son odeur. Il me fait perdre la tête... Tout ce qu'il me vain, c'est divin... J'ai l'impression qu'il y a bien longtemps que quelqu'un n'a pas prit soin comme ça de mon corps, de façon si douce et dangereuse en même temps... Je ferme les yeux, ressentant ses mordillements au plus profond de moi, comme ses coups de langues et ses baisers. Je retiens ma respiration, pour ne pas lui laisser entendre trop de gémissement, pour ne pas qu'il réalise à quel point il me fait du bien. Mais quand il vient m'embrasser à nouveau, je réponds à son baiser lui laissant entendre des gémissements dans celui-ci alors que mes mains glissent dans son dos avec hardeur. Et quand enfin il caresse min intimité, mes ongles s'enfoncent une nouvelle fois dans sa chair, le griffant alors qu'il rompt le baiser et me laisser gémir. Je ne veux pas, je me redresses, l'agrippe comme je peux pour reprendre ses lèvres, pour l'embrasser alors que mon bassin remue contre sa main, les jambes passant autour de lui. Je le retiens, je m'agrippe pour l'avoir contre moi et quand il glisse enfin ses doigts en moi, je romps le baiser, ne pouvait pas retenir ce gémissement mêlant soulagement de le sentir enfin en moi et plaisir hardant. Je me cambre, basculant la tête en arrière alors qu'il me fait tellement de bien. Je ne cherches même plus à être discrète ou a retenir les manifestations de mon plaisir, je gémis, prononçant son prénom à-tue-tête, je le griffe sûrement encore. Je perds définitivement la raison dans ses bras pour n'être réduite qu'à un corps emplie de plaisir et de désir pour lui, pour cet homme qui n'est autre que mon tout premier amant, mon ex, mon seul amour. Je t'aime, même si je préférerais crever plutôt que de te le dire à nouveau. Je t'aime Nate. Mais je te hais aussi !
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Elle avait grogné pour le plus grand plaisir de Nate. Tu avais voulu le provoquer ? Tu avais voulu qu'il s'offre à toi et inversement ? Il n'allait pas laisser passer sa chance que tu lui appartiennes de A à Z. Les rôles s'étaient étrangement inversés, d'elle qui faisait ce qu'elle voulait de lui, ils étaient passés à lui qui faisait ce qu'il voulait d'elle. Il s'était réveillé au moment où elle était venu chercher sa main pour l'inciter à la toucher, à caresser son intimité. Ce penchant de sa nouvelle personnalité lui avait fait l'effet d'un électrochoc et il avait décidé que ce serait à lui de reprendre le dessus, qu'il ne fallait pas qu'il laisse la surprise l'envahir, et qu'une bonne fois pour toute il assume sa personnalité bien trempée plutôt que de toujours chercher à être gentil ou adorable.

Ses cheveux furent à nouveau le refuge des mains dans la jeune femme. Nate adorait ça, ça avait le don de le faire frissonner, de lui faire éprouver des sensations indéfinissables tout le long de sa colonne vertébrale. Elle semblait se retenir, tout faire pour contenir les sensations qui l'envahissaient. Elle refusait de s'abandonner à lui alors que son corps, que les mouvements de son bassin lui criaient le contraire. Mais... finalement des gémissements sortir de sa bouche. Ses ongles viennent à nouveau zébrer son dos de façon plus intense. Elle jouit sous ses yeux, il se met à sourire un peu, frissonnant lorsqu'elle prononce son prénom et se cambre. Elle s'abandonnait enfin, totalement. Il prolongea ses caresses pendant quelques secondes avant de les rompre pour ne la laisser qu'à sa frustration. Il fit courir ses doigts sur son ventre en la regardant droit dans les yeux.

Sa détermination était presque sans bornes, comme son amour. Il passa sa main autour de son cou enfonçant un peu ses doigts dans sa peau. "Tu n'as pas le droit de fuir, tu n'as pas le droit de partir encore. Je te garde avec moi... Je vais te faire l'amour jusqu'à ce que tu finisses par en trembler de plaisir jusqu'à ce que tes cris fassent trembler le bâtiment. Jusqu'à ce que tu me crie je t'aime." Ces mots restèrent bloqués dans sa gorge sans en sortir, mais ses yeux trahissaient clairement ses pensées. Ses doigts se crispèrent un peu sur son cou et il se mit à l'embrasser intensément. Il utilisait sa colère, son manque, toute la haine qu'il avait accumulée pendant des mois pour pouvoir l'aimer aujourd'hui toute entière, l'aimer comme jamais il ne l'avait fait parce qu'il avait laissé sa pudeur l'entraver.

Il relâcha son cou lentement pour retrouver son sexe avec sa main, rapprochant son bassin du sien, frôlant sa vulve de son entre-jambe, allant toujours plus prêt de son vagin. Il prenait son temps, la faisait s'impatienter pour que lorsqu'il en viendrait à la pénétrer, il puisse savourer le plaisir d'entendre encore ses cris, la voir encore se tordre dans tous les sens sous les sensations. Il ne la quittait plus des yeux, c'était comme si c'était son regard qui la retenait sous lui, comme s'il avait un certain pouvoir, comme s'il était le maître de sa présence ou non. Il rompit le baiser pour lui mordre les lèvres, ses yeux ne quittant pas les siens, et, d'un premier coup de rein volontairement lent, il la pénétra, il mit fin à l'attente, s'appuyant sur ses coudes, enchainant les va et viens, gérant la cadence en observant chacun de ses réactions.

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Mon regard et rivé sur lui, mon corps tout entier transpirant de désir pour lui. Est-ce qu'il le voit ? Est-ce qu'il réalise qu'à cet instant précis, c'est uniquement lui que je veux ? Qu'aucun autre homme ne peut me faire réagir avant tant de violence, tant de passion... Il est l'unique pour moi, même si je ne suis plus sa copine, même si quand ça sera fini, je devrais partir comme une voleuse. Il ne peut plus être proche de moi... Je dois le briser pour lui faire comprendre, pour que plus jamais l'on se retrouve encore ainsi... Pourtant, c'est si bon ! Si délicieux d'être dans ses bras, de sentir sa chaleur, son odeur. Il m'enivre de tout son être. Je ferme les yeux, je veux encore profiter de ses caresses, de ses doigts en moi et sur moi. Un grognement franchit mes lèvres alors qu'il retire ses doigts qu'il les laisse courir sur ma peau trop chaude. Je le fixe, le suppliant de ne pas s'arrêter là, de continuer encore. Même si je ne le reconnais pas, plus. Il n'a jamais été si habile, si violent en même temps. Il ne me fait pas l'amour. Il me baise. C'est la pensée que j'ai quand ses doigts se posent sur ma gorge et qu'il exerce une légère pression dessus. Il ne m'aime plus. Il me haï. C'est une évidence. Je souris, alors qu'il vient chercher mes lèvres et qu'il m'embrasse. Je réponds à son baiser, avec passion, avec fougue. Plus rien ne m'entrave. Je joue encore avec sa chevelure, m'agrippant de l'autre main à son dos, à ses omoplates, je l'attire contre moi alors que je colle mon dos au sol à nouveau. Je veux le sentir sur moi, je veux sentir son poids. Mais il joue, il se joue de moi et cela l'amuse. Je grogne de frustration, donnant des coups de bassins pour l'inciter à venir, pour qu'il arrête son petit jeu. Il est cruel avec moi. Je ne l'aurais jamais imaginé comme ça ! "S'il te plait...."Le suppliais-je avant que finalement il vienne et là, je sombre pour de bon, mes ongles s'enfoncent encore dans son dos, plus fort, plus violemment. Il va avoir de belle marque. Je cherche ses lèvres, sans réfléchir, incapable de le faire, je l'embrasse rapidement, pour l'inciter à faire plus que de rentrer si lentement. Il me rend complètement dingue, c'est définitif ! Mais cela ne me suffit pas, j'en veux plus, je veux aussi le voir dingue, le voir réagir autrement, je veux que comme moi, il perde la raison. Je le pousse alors pour prendre le dessus, pour lui imposer mon rythme, pour le dominer à mon tour en espérant que ça va juste l'énerver plus, qu'il va chercher à reprendre encore le dessus. Mais là, je suis au dessus, à califourchon à faire des mouvements de bassins rapidement, mais alternant la cadence avec des mouvements plus lent. Je ne veux pas qu'il vienne trop vite, je veux faire durer ce moment le plus longtemps possible.
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L'avait-elle supplié ? Avait-il bien entendu ? Elle le suppliait, de la pénétrer de la satisfaire. Si seulement ils ne s'étaient jamais séparés... Si seulement il n'avait pas eu à la supplier à l'époque de ne pas le laisser seul, de ne pas l'abandonner à la solitude qui composait sa vie. Se rendait-elle seulement compte que sans elle... il n'avait pas d'amis ? Qu'il ne connaissait personne ? Ne voyait personne ? Elle qui fréquentait une foule de monde dans toutes ces stupides soirées devait l'avoir un peu oublié. Pourtant elle connaissait son passé, elle connaissait les cicatrices de brûlures qui parsemaient son corps. Nate savait aussi à quel point elle s'était sentie seule à la mort de son frère, parce que la solitude était sa meilleure amie et sa pire ennemie à la fois. Il ne savait que trop bien à quel point elle pouvait être destructrice.

Il s'était totalement laissé emporté par ses pensées, et ce ne fut que lorsqu'elle prit le dessus sur lui qu'il revint à l'instant présent. Nate l'observait avec des yeux surpris avant de sourire un peu. Il avait un magnifique panorama sur son corps de cette façon, et il plaqua ses mains sur ses fesses pour accompagner ses mouvements de ses bras. Chaque ondulation lui procurait une sensation de plaisir indescriptible. Il échappait des souffles rauques en l'admirant. "Ne t'arrête jamais... ne met pas fin à ce seul instant d'amour que tu me proposes. Surtout pas...". Ses doigts se crispèrent sur ses fesses, il ferma les yeux en bloquant un peu sa respiration. Puis, il la fit basculer une nouvelle fois pour reprendre le dessus. Il voulait choisir l'intensité, il voulait choisir jusqu'où entrer en elle.

Nate la dominait à nouveau allant toujours plus profondément, fusionnant avec son corps, laissant le plaisir l'envahir en fermant les yeux, se laissant aller à une accélération de ses coups de reins. Il rapprocha son corps du sien, et la souleva un peu en passant un bras dans son dos. Sentir... sa peau sur la sienne, sa poitrine sur son torse, pouvoir percevoir le rythme rapide de son coeur. Son visage était à nouveau tout proche du site, il la dévorait du regard, amoureusement, passionnément, et l'embrassa tendrement. Le plaisir l'envahissait de plus en plus, sa tête tournait sous ce cocktail d'hormones, d'émotions et de sensations qui parcourait tout son corps. Il ne contrôlait plus rien, ni son souffle, ni ses râles. Il se surprit même à murmurer son prénom entre deux baisers, son palpitant battait bien trop fort, bien trop vite, venant accentuer la chaleur de sa peau et qui courait dans ses veines.

Sa bouche quitta la sienne pour retrouver une nouvelle fois son cou, brûlant comme le reste du corps de la jeune femme. Il mordit sa peau un peu plus fort avant de déposer un baiser sur la marque de ses dents. Chaque souffle lui volait un son, témoins de son plaisir. Il accéléra encore, ses coups de reins devenant toujours plus vifs. Il retourna admirer son visage quelques secondes, et... il ne sut pas vraiment ce qui lui prit à ce moment là, il s'oublia totalement. Il laissa de côté ses questions, ses réflexions, tout... il s'abandonna totalement à son plaisir et à son amour, ses lèvres s'entrouvrir, il parla dans un souffle.

"Je t'aime..."

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J'aime la sensation de ses mains sur mon corps, le sentir me tirer vers lui, le voir me dominer encore alors que je me retrouves à nouveau sur le sol. Je souris, heureuse de le voir agir comme ça, de me prendre de la sorte, de me dominer. Il n'était plus réellement question de tendresse, mais uniquement de passion et de domination. Du moins c'est ce que j'espérais alors qu'il me maltraitait comme ça, me donnant bien trop de plaisir, il n'est pas raisonnable, me torturer comme ça, me faire tant de bien après l'avoir détruit comme je l'ai fait. Il a pleuré pour moi, à cause de moi et maintenant, il me pousse vers l'extase, le septième ciel. Ma respiration est courte, haletante, je gémis, trop souvent sous le plaisir, je me cambre, accordant mes mouvements de bassins au sien pour encore plus de plaisir. Je m'agrippe toujours à son dos, descendant vers ses ferres pour les saisir doucement, je couine doucereusement quand il me fait cette morsure sur la gorge. C'est grisant. C'est... Inhumain de me donner autant de plaisir alors que je suis sensé le haïr. Il me torture... Mais le pire est à venir, quand il s'écarte de moi, qu'il me dit ses mots dans un soupire, dans un murmure... Déjà, qu'il prononçait mon prénom comme jamais il ne l'avait fait avant... Comment ? Comment suis-je sensé lui résister ? Comment suis-je sensé le fuir après ça ? Je suis choquée... Par son aveu. Je t'aime... Comment peux-tu encore me dire ça... Et pourquoi ? Pourquoi j'ai envie de te dire moi aussi ? De te faire comprendre que c'est réciproque... Mais je ne peux juste pas... Je suis désolée... Pour ton bien... C'est mieux ainsi. Je ferme les yeux un instant, détournant la tête, je dois faire comme si je n'avais rien entendu, continuer à prendre du plaisir, aller jusqu'au bout et le fuir à nouveau... Parce que je ne peux pas risquer de le perdre plus que ça ne l'est déjà... Même si je vais sûrement le détruire encore plus. Et malgré le plaisir, malgré ses mouvements que l'on continue à faire, une seule et unique larme coule sur ma joue. Réponse silencieuse à sa déclaration à laquelle, je ne peux rien dire. Je l'aime encore. Mais je nous ai détruit. Et là, je ne sais plus comment je dois réagir... Si je l'embrasse, il pourrait prendre ça comme une réponse, comme un ''moi aussi'' que je ne veux pas lui montrer, ni lui dire...
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Ses mots étaient restés sans réponse. Pourquoi ? Pourquoi elle avait voulu lui faire l'amour si c'était pour ne pas lui répondre ? Il continuait ses va et viens sans vraiment y penser. Il regardait son visage et constata la larme sur sa joue. Elle semblait loin, plus présente. Et merde Nate... Il fallait que tu ouvres ta bouche. Il la regardait tristement. Il ne savait plus vraiment quoi faire, s'il devait continuer ou non. En avait-il seulement envie ?

Si elle n'avait fait ça que pour satisfaire sa libido, à quoi bon. Lui il avait eu l'espoir de lui montrer qu'il pouvait être différent ce qu'elle avait connu, qu'il pouvait la faire oublier d'une autre façon, l'aider à porter sa douleur, sa culpabilité pour qu'elle puisse enfin vivre et ne pas survivre comme aujourd'hui. Pour qu'elle arrête de se tuer à petit feu. Mais à voir sa réaction, la boule de son estomac revint. Lui coupant toute envie. Pas de sentiments, pas de sexe. Il n'y arrivait pas. C'était plus fort que lui. Il ne voulait pas être son objet sexuel, c'était hors de question. Qu'elle fasse ça avec tous les autres... Mais pas avec lui.

Alors, Nate arrêta ses va et viens. Il se retira et alla chercher son boxer d'une main tremblante. Il avait envie de pleurer, sa gorge était nouée. Encore une fois il avait été trop stupide, trop stupide de se faire avoir par elle. Il était en colère contre lui même. Il commença à se rhabiller, restant torse-nu avant de ramasser les fringues de Robin pour lui tendre sans l regarder. Sa chemise retrouva sa place sur ses épaules, il la reboutonna en silence. Sa main chercha son sac, ses docs Martens retrouvèrent ses pieds. Il se leva et s'éloigna en silence.

Il était incapable de parler sans fondre en larmes à cet instant précis. Elle pouvait le rattraper si elle le souhaitait. Il ne garantissait pas sa réaction ni son sang-froid. Il tremblait comme une feuille, et en réalité, à cet instant précis il avait envie de disparaitre, de mourir. De ne plus jamais avoir à se sentir comme ça une seule fois dans sa vie... Comme le type qu'on humilie et duquel on se fout ouvertement.

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J'aurais pu chercher à le retenir... A le garder contre moi, alors que l'on vient de prendre cette douche froide, nous coupant dans notre passion. Un seul mot avait suffit. N'aurait-il pas simplement pu dire adore au lieu d'aime ? N'aurais-il pas pu simplement se taire plutôt que de me balancer ça en plein visage, aussi agréable puisse être sa déclaration... Merde... Je ne peux pas le retenir, je ne peux pas lui dire de rester... Sinon, il comprendrait et je craquerais pour de bon. Je ne peux plus l'aimer... Mais malgré cela, je l'aime et quand je le vois se rhabiller comme ça, me tournant le dos... Je sais que je l'ai encore perdu, que je l'ai encore blessé... Je baisse la tête, ramenant mes jambes contres ma poitrine alors que je laisses des larmes couler sur mes joues. J'essaie de ne pas faire de bruit, de ne pas l'alerter. Il ne peux pas me voir ainsi, il ne peut pas comprendre mes sentiments. Pourquoi je n'arrive pas à l'oublier ? Pourquoi il me hante comme cela ? Je cache mon visage entre mes mains, les larmes coulant, je crois que j'ocquette un peu, mais j'essaie de ne pas faire de bruit. J'attends alors ses pas... Il part... Je redresse la tête, les larmes coulant sur mes joues. Je me mords la lèvre. Pour me donner du courage pour réussir à parler sans me faire trahir par un sanglot, mais je doute d'y arriver... Pourtant j'essaie... "C'est mieux comme ça." Ma voix est rauque, j'ai le souffle un peu court et sans attendre sa réaction, sa réponse, si jamais il y en a une, je me remets en boule. Pleurant pour de bon, sans plus chercher à le faire discrètement. Pars, je t'en prie... Oublie moi pour de bon, ne reviens plus jamais vers moi et sois heureux... Parce que moi, je te détruirais encore et encore jusqu'à causer ta perte. Je causerais ta mort, comme j'ai causée celle de mon frère... Je t'en supplie Nate.... Ne m'abandonne pas...Je ne sais pas ce que je veux réellement... Mais je sais ce qui est le mieux pour lui et je dois le pousser à faire ce choix, même si cela me détruit un peu plus. Il a été le premier à m'aimer réellement, celui à qui j'ai tout donnée, amour, passion, tendresse... Et maintenant, je dois juste faire en sorte qu'il me haïsse même si je suis incapable d'en faire de même au final... Je me suis crue trop forte, trop insensible, mais au final, je pleure pour un rien... Il m'ébranle si facilement...
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Il avait entendu ses sanglots et ses paroles. Bordel, pourquoi elle pleurait ? Pourquoi elle pleurait ?! Ça n'avait aucun foutu sens. Il ne se retourna pas. Non pas parce qu'il était en colère, non pas parce qu'il était insensible, mais bien parce qu'il était lui même au bord du gouffre. Ses pas le menaient dans le noir, il quittait doucement la lumière de sa présence pour se plonger dans les ténèbres. Il avait du mal à respirer, il avait les yeux tellement remplis de larmes qu'il ne voyait pas vraiment où il allait.

Il cherchait la sortie. Les gens sur son passage le regardaient avec un air interrogateur. Il n'en pouvait plus, ses yeux cherchaient désespérément une échappatoire. Il était véritablement en détresse. L'angoisse commençait à monter en lui. L'angoisse d'être seul, sans elle, de devoir à nouveau la croisée saoule. De devoir la subir saoule. À débiter des conneries pour ensuite le repousser. Il avait tenu bon pendant tous ces mois, il avait réussi à ne pas sombrer, à ne pas laisser son passé le rattraper.

Tout lui revenait dans la figure d'un coup, il pleurait silencieusement en marchant, titubant légèrement, son coeur battant à tout rompre. Il fallait... Qu'il arrive chez lui. Vite... Nate prit la direction de son studio. Il s'essuyait les joues d'un revers de la main pour retrouver un peu la vue de temps en temps. Sa tête tournait tellement... Ses oreilles sifflaient. Et... Après 15 bonnes minutes il finit par y arriver. Il était chez lui.

Il ferma la porte de son petit appartement et se laissa tomber par terre derrière la porte à pleurer. Il laissa l'angoisse le gifler, lui provoquant un peu d'hyperventilation qui s'accentua lentement jusqu'à le tétaniser. Sa crise dura 10 bonnes minutes avant de finir par se calmer. Il claquait des dents. Il avait froid, mais froid dedans. Il regardait dans le vide, les yeux gonflés par les larmes. Il se laissa basculer sur le côté en grelottant. Le silence était pesant. Il avait l'air vide. Terriblement vide. Vide comme sa vie, sans amis, sans petite amie. Ça faisait sept mois qu'il avait débarqué ici, et rien ne s'était arrangé.

Il avait finit par redevenir indéfiniment seul. C'était insupportable. Il avait vécu toute sa vie comme ça, il avait cru en sortir, connaitre autre chose pour finalement y revenir. Retourner dans son cauchemar, dans le vide de si quotidien. Nate était en train de devenir fou. Il réfléchissait à toutes les solutions possibles pour pouvoir ne plus jamais ressentir ça, pour ne plus jamais être humilié comme elle venait de le faire et comme il l'avait déjà été par le passé.

Il était épuisé par sa vie, épuisé de se battre. Il n'avait plus envie de rien, ni de se lever du sol gelé, ni d'aller se plonger dans ses cours. Ni de voir qui que ce soit... De prendre le risque de se lier à qui que ce soit d'autre. Dormir... Voilà la solution. Dormir... S'assommer. Si possible ne plus jamais se réveiller. Il se leva mollement et alla chercher dans sa pharmacie pour en sortir un tube de somnifères. Il ne lui en restait qu'un. Il ferma les yeux et serra les mâchoires. Son échappatoire... Tombait à l'eau.

Il avala le dernier cachet et alla s'allonger sur son lit nonchalamment. Dormir... Dormir... Le sommeil vint le cueillir. Il bascula dans le noir et dans ses cauchemars. Il revivait en rêve toutes les horreurs de sa vie, même la nuit ne l'aidait pas s'évader. Et il resta là, à s'agiter dans son sommeil, des larmes coulant sur ses joues... Torturé.

©Babao
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