we are the queens and kings of the new broken scene ✰ lucas

You're telling me how you love that song about living on a prayer, I'm pretty sure that we're halfway there

« Merci de penser à moi pendant tes partis de jambes ne l'air en solo, j'aime l'idée que tu m'imagines entrain de rouler dans tes draps comme un nem. » parce que niveau sensuelle, tu es loin de là, tu n'as pas les longues jambes à la mannequin, tu es d'ailleurs étrangement tasser. Comment ça se fait ? C'est genre ils ont oubliée de te donner cinq centimètre en plus pour que tu es l'air d'une personne normale, ce qui est très gênant à ce moment même puisque Lucas ici présent doit faire un bon être quatre vingt dix voir plus, soit trois tête de plus que toi. « Je trouve pas ça normale de garder des fringues pendant l'acte, même pendant les préliminaire. » même pour avoir chaud au pied, merde c'est nul comme excuse ça. Genre la fille elle va dire : je vais tout garder sauf ma culotte parce que je suis frileuse? Et la suite des événements est tout aussi farfelue : c'est ton Lucas, Lucas Watson, 15 ans, met des débardeurs Marcel et joue de la guitare à la main, une mèche à la justin bieber raté sur le front, tandis que Alaska Granger, 13 ans, fan des Jonas Brother (en particulier Nick), tombe sous son charmes et son sourire ravageur. Et nous y sommes, six ans après. Mais te faut quand même une preuve supplémentaire, qu'il accepte de faire, tu glousses en le voyant lever son haut, mais tout es là : sa tâches de naissance au beau milieu de son dos, que tu effleures avec tes doigts, en souriant bêtement. « Wow. » c'est tout ce que tu trouves à dire, parce qu'il y avait une chance sur six milles que tu tombes sur lui, ici, maintenant et que vous faîtes face à cette vision d'horreur dans les toilettes, et qu'il te parle comme si de rien était. Tu te sent toutes exciter et honteuse à la fois, parce qu'après tout tu aurais pu lui écrire, mais au lieu de ça, tu as crée un personnage facultatif dans une de tes fictions à son effigie. Tu plonges de nouveau tes yeux dans les siens, y a pas de doute, c'est bien lui. « C'est pas croyable. J'veux dire, ce monde est si petit ? A moins que tu le savait ? Tu le savait que c'était moi quand t'as fait tomber mon hamburger ? Et c'était sérieux ce que t'as dit tout à l'heure, tu rêves de me baiser à chaque fois que tu te branles, c'est répugnant. » dis-tu en riant, amusée par la situation. « Je suis super heureuse de te retrouver, c'est comme retrouver l'ancienne Alaska, ça.. ça fait un bien fou. » parce qu'elle te manque cette ancienne Laska, t'as obliger de faire l'étudiante brancher alors que tu l'es pas.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

De rien, j'adore les nems en plus, dis-je avant d'exploser de rire. Là, je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux m'empêcher d'imaginer Alaska en mode roulage comme un nem. Personnellement, j'aurais plus l'air d'un spaghetti géant, qu'un nem. Mais elles avaient quoi mes chaussettes bordel ? Elles étaient toutes mimi, avec des ballons de foot dessus. Puis bon, quand on ne me laisse même pas passer à l'acte, je fais ce que je veux. DONC, je garde mes chaussettes par vengeance. Tu n'avais qu'à me donner chaud, je lui balance en haussant les épaules, naturellement quoi. Ouais, bah elle l'a cherché hein !!. Puis bon, elle laissé bien son doudou sur le lit, de quoi en faire fuir plus d'un ouais. Non mais c'est le genre de nounours qui est mignon, mais qui fait aussi flipper. Genre tu te demande si le truc il ne va pas se tourner vers toi, et te sauter à la gorge. Alalala, c'était les années collège, les belles années. Enfin, celles où je me suis ouvert aux autres, à l'amour, à Alaska donc et là où j'ai eu mon premier coeur brisé, quand madame est partie dans un autre pays. Quand je lui montre mon dos, j'entend son "Wow" qui me fait rire, puis un petit sourire se forme sur mon visage quand je sens ses doigts toucher ma tache de naissance. C'est un wow parce que tu es folle de mon dos, ou juste pour cette horreur que j'ai en plein milieu du dos ?, je la taquine tout en me retournant vers elle. Ça y est, ça recommence, elle me repose 50 questions à la fois, et ça me fait bien rire. Non, bien sur que non je ne savais pas que c'était toi, je répond en agitant mes mains entre nous, comme pour défendre. Ew, non je ne m'imagine pas entrain de te baiser, puis ça serait horrible étant donné que jusqu'à maintenant, je te voyais entant que fille de 13 ans ! Merde, tu es horribles, j'ai cette image en tête maintenant, j'ajoute en posant mes mains devant les yeux, remuant la tête, comme pour me faire sortir cette image. Ouais, je suis content de te voir, bien que le garçon de 15 ans qui est en moi, en prenne un coup !. Bah ouais, elle était ma vraie petite copine, même si on ne couchait pas ensemble. Son départ m'a brisé le coeur, j'en ai même écrit des chansons, des bonnes en plus mais ça, personne ne le sait à par mon carnet où j'écris.

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« Toi t'es une frite du mcdo, grand, blond, salé. » dis-tu en gloussant, fin salé aucune idée, mais grand et blond, ça c'est sûre. Mais ça ne te gêne pas, même si c'est assez gênant qu'il puisse poser ses mains sur ta tête en te confondant avec le bar. Les grands garçon, ça a toujours était ton kiff, et c'est pas comme si t'avais le choix en fait, étant donner que tu es ridiculement petites, tout le monde passe pour un géant à côté de toi. Tu soupire en entendant son jeu de mot. « Tu n'avais qu'à me donner froid, blahblahlah » dis-tu en prenant une voix grave et en grimaçant pour bien accentué ton imitation parfaite de Lucas Watson ici présent, avant de rire à gorge déployer parce que c'était tout de même drôle. Vint enfin l'inspection du dos, et les doutes confirmes et ton cœur qui se remet à battre tel cette enfant de treize ans qui sait à peine ce que s'est que l'amour mais à l'impression de vivre la plus belle des histoires d'amours, et une chaleur te monte aux joues sans trop savoir si c'est la sauce piquante du hamburger ou juste les émotions refouler. Une rafale de question sors de ta bouche sans vraiment que tu te rend compte, c'était naturel et tu es d'une curiosité maladive alors tu devait remettre quelques points au clair dans ta tête avant de pouvoir continuer la discussion. Et il prend ça à la rigolade, alors ça te donne chaud au cœur, encore plus chaud que tu ne l'est déjà actuellement. Lorsque sa bière arrive, tu la réceptionne et boit un coup avant de lui redonner, histoire de t'hydrater un peu. « Effectivement, c'est écœurant et très pédophile, assortit avec ta voix sensuel. » dis-tu en référence à la soit-disant voix sensuel qu'il a prise tout à l'heure, qui se rapprocher plus du mec chelou qui attend devant l'école primaire pour 'distribuer des sucette'. Ça te fou encore un choc qu'il soit là, ici et maintenant, à croire que le déstin veut ton bien pour une fois, en mettant une bonne personne sur le chemin qu'est ta vie. « T'es sûre que tu savait pas que c'était moi ? Si ça se trouve, tu me stakle depuis des jours et tu attendais le moment parfait pour faire tomber mon hamburger, juste pour que tu tripotes ta tâches de naissance. » plan diabolique tout droit sortit de ton imagination tordu, tu ris à tes propres connerie et affiche un sourire radieux, parce que c'est ce que tu es. Bien sûr, votre histoire à pris une fin dramatique, et ta vision de l'amour aussi, mais vous avez les plumes en main, des pages blanches, alors pourquoi ne pas continuer à écrire quelques choses de beau ? Quoi qu'il est beaucoup changer depuis, ce n'est plus un gamin qui se prend pour Ed Sheeran avec sa guitare dans la rue. « On était des enfants, enfin moi, toi tu taper déjà dans les jeunettes, juste parce que j'avais des seins plus gros que ceux des mes copines. » c'était plus le cas maintenant, bien qu'ils soient rester gros, c'est plus LES plus gros.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

C'est censé être une insulte ?, je lui demande avec un faux air interrogateur. Non mais d'où je ressemble à une frite Mcdo ? Quoique ouais, blond, grand et toutes les filles aiment me croquer. Ok, je sors. Elle continue de parler, me titiller, m'embêter surtout en parlant des préliminaire, de quand je gardais mes chaussettes. Elles étaient extras, et super confortable. Tu es censée me refaire là ?, dis-je en la regardant dans les yeux, avant de me mettre à rire. Et bien je tiens à te dire que tu ne sais pas m'imiter !. Ma bière finit enfin par arriver, mais la bouteille se fait arrêter par Alaska, qui se permet de prendre une gorgée. Ouuh, madame boit de la bière maintenant ?. Je me souviens à l'époque, elle n'aimait pas quand je buvais ça. Elle me disait qu'un jour, j'aurais un énorme ventre et pourtant, je suis fin aujourd'hui. Elle essaye ensuite de savoir si je savais qui elle était, lorsqu'ELLE m'a bousculé. Je secoue la tête négativement, puis prend la parole. Petit 1 : TU es celle qui m'ai rentré dedans, petit 2 : j'aurais bien pu perdre un bon Hamburger donc non et petit 3 : je n'ai pas besoin de ça pour t'attirer à moi, dis-je avec un petit sourire coquin. J'aime bien la taquiner, c'est comme autre fois ! Sauf que bon maintenant, on ne se roule plus des patins et on ne balade pas nos mains l'un sur l'autre. C'est bien dommage tiens, parce que ouais, ses nichons sont toujours aussi bien...comment dire...bien formés... Tu avais, enfin tu as toujours, une belle poitrine ! C'était le rêve de tout les mecs, mais tu sais très bien que ce n'est pas pour ça que je suis tombé amoureux de toi, dis-je en prenant une gorgée de ma bière, regardant les autres s'amuser, manger autour de nous.

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« Arrête, mon talent est éblouissant ! J’t'imite tellement bien que t'as l'impression de te voir dans un miroir, non ? » Tu limite grave bien, il suffirait que tu soit blonde, grande et que tes jambes soit fine pour que vous soyez de jumeaux parfait. Tu ris tout de même à ta prestation avant de continuer la discussion, te rendre compte que oui c'est bien LE lucas watson, et que oui, il est rester grand, blond et mince depuis toutes ses années, alors qu'en ce temps là, tu était persuadée que toute cette beauté été éphémère. Effectivement, avec le train de vie qu'il menait, et qu'il mène toujours d'ailleurs, tu était persuadée que d'ici cinq ans, il serais gros, un énorme bidon remplis de bière et de mcdonalds et des cheveux long et grand, qui lui tombe sur les épaules. « J'avais treize ans, Luke. Je venait à peine de découvrir le coca. » surtout parce que ta mère était une vegan et que le coca c'est le mal, mais bon t'étais super jeune alors c'est pas étonnant que tout ça, te soit inconnue. Les hamburger aussi d'ailleurs, c'est pour ça que tu as éclater de colère – si on peut appeler, ça comme ça – quand il a fait tomber ton burger. 'Fin d'après lui c'est de ta faute, mais sil t'avais lui foncer dessus, pourquoi il s'est pas décaler ? Hein ? Hein ? « MA faute ? T'aurais pu bouger ton cul quand tu m'as vu arrive,r mais tu t'es dit : celle-là elle est mignonne, je vais en faire mon quatre heure. Mais sache que je ne suis plus aussi naïve qu'à l'époque. » donc remballe tes dents blanches et tes sourires au coins, parce qu'Alaska Clayton-Granger est loin d'être aussi facile à avoir qu'à la cours de récrée. Bien que tu n'est pas indifférente à son charme. Il est toujours aussi beau, il faut dire qu'il a toujours eu un charme fou, et qu'il lui a fallut quelques choses comme trois jours pour te séduire. Le temps que toi tu dise à toutes tes copines que t'avais un crush sur lui, qu'il dise à toutes ses copains que lui aussi te trouve pas mal et au final, ça a finit en bécotage sous le préau à l’abri des regards. Il semble ne pas avoir oubliée cette époque aussi, puisqu'il te fait un commentaire sur tes seins, bravo, lucas, on ne change pas les bonnes vielles habitudes. « Je voit que tu les as vu, ils sont difficile à cacher faut pas se mentir. » dis-tu en soupirant. « Et donc, tout ce que tu m'as dit c'est vrai ? T'es devenu le genre de mec qui enchaîne fille sur fille, sur fille ,et finit par en oubliée les prénoms ? » le genre que t'aimes pas vraiment. Un mec vous propose de la bière au passage, que tu acceptes volontiers, parce qu'il te fallait un petit remontant pour encaisser tout ça.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

C'est beau de rêver, dis-je en soupirant. Si son rêve est de devenir un Lucas Watson, je veux bien l'aider, le seul truc qui serait problématique, c'est qu'il lui manque un truc entre les jambes et qu'elle a deux choses de trop gros sur le corps. Enfin, en même temps, elle n'a jamais vraiment été si différente de moi. Tout comme moi, elle était timide, n'aimait pas forcément qu'on la remarque ou quoi. Bien au contraire, si on le pouvait, on se serait caché sous nos tables de classe. Aujourd'hui par contre, j'ai bien l'impression que nous sommes différents, enfin, sur certains points. Je ne pensais pas la revoir un jour, ô ça non. Je pensais qu'elle n'était plus qu'un souvenir et pourtant, aujourd'hui elle est en face de moi. Elle a changé, étant une femme maintenant, mais elle est toujours aussi belle et marrante. Petite joueuse, de nos jours les filles de 13 ans ont tout vu, tout vécu....c'est affolant en fait, dis-je en faisant semblant de méditer sur la chose. C'est vrai, l'autre jour, une gamine de 12 ans est venue me demander de la drogue ! Non, mais oh, elle rêve ou quoi ? Qu'elle retourne jouer aux Barbie. Quoi ? Je ne regardais même pas devant moi à ce moment là, je répond, en étant bouche bée de sa réponse. Non, mais dit, d'où s'est ma faute ? Je suis un pauvre jeune, qui voulait juste dévorer son Hamburger en essayant de ne pas le faire tomber. En même temps, je ne comptais pas te faire du rentre dedans, j'ajoute à sa réplique, alors qu'elle m'affirme ne plus être naïve comme à l'époque. Hmm j'aime ça, les filles faciles c'est marrant mais c'est encore mieux quand elle résiste à mon charme. Bref, en fait, ça ne met jamais arrivé, c'est peut-être pour ça que j'aime bien. Je finis par éclater de rire lorsqu'elle se met à commenter sa poitrine, enfin le fait que je les ai remarqué. Pour ma taquiner, je lui répond comment pourrais-je les oublier ?i. Aaah ça, je sais que ça va l'énerver. Merde, comment répondre à la suite sans me faire passer pour un goujat ? Je crois qu'il n'y a pas de solution en fait, je suis un pauvre goujat. Je...euh...on va dire que je ne me prend pas la tête !, je répond en haussant les épaules, avant de reprendre la parole je n'ai juste pas trouvé la bonne. C'est vrai en même temps, je n'en ai pas connu une avec qui je me suis dit, merde c'est la bonne, je veux lui être fidèle. Non, pour le moment rien, nada. Et toi alors ? Tu en es où ?.

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On ne saura jamais de la faute de qui se hamburger est tomber au sol. Peut être de la tienne, peut être de la sienne ou peut être du destin qui voulait absolument que vos chemins se croise à nouveau, alors il a mis en place un plan diabolique pour que ce soit, ici, au do ré mi bar, un gros d'étudiante trop bourrée capte ton attention, pour que monsieur watson ne remarque pas que tu lui fonce dessus. Mais qu'au final, il t'en a payer un nouveau, c'est le plus important non ? « Je sais, je sais, à chaque fois que je vais en ville, je voit des gamines de treize ans en mini-jupe et crop top. C'est choquant. » t'es de la vielle époque toi, bien que t'avais un copain dans cette période de ta jeunesse, tu avais tout de même une chambre rose bonbon, des draps lila et un poster des jonas brothers qui trôner au dessus de ton lit. Et un journal intime, comme toutes jeunes adolescente qui se respecte, tu écrivait déjà des pages entière sur la douceur des mains baladeuse de ton tendre petit ami. « J'avais un journal intime moi, et je décrivait tout ce qu'on faisait, à la moindre virgule près. Je pense que si je le ressors et que je rajoute quelques détail hard, ça peut devenir le prochain 50 nuances de Grey, t'es dit quoi ? 50 nuances de Watson. » dis-tu en gloussant, toi t'aimes écrire, c'est ce qui te porte et c'est que tu aimes faire et pendant un loooooooooong moment, Lucas ici présent était ta muse. Jusqu'à ce que ton amour inconditionnelle pour lui, ne s'estompe et devienne de l'amertume. « C'est bon, je pense que tu peut me regarder dans les yeux maintenant. » dis-tu en levant son menton pour attraper son regard, dans le tiens. Tu lui demande ou il en est, si tout ça était vrai. Ce goudjat qui rêve de se faire toutes les filles, c'était ce qu'il était devenu ? Tu mord ta lèvre lorsqu'il te dit que c'est vrai, dans un sens tu te sent responsable c'est peut être votre rupture qui lui a fait croire que l'amour c'est pour les nul ? « Et tu aimes ça ? J'veux dire. Le garçon dont j'étais amoureuse voulais tout savoir sur moi, pour écrire des chansons, pour s'inspirer. Ou alors c'est ça la nouvelle vie de rock star en 2015 ? baiser tout le monde ,et écrire des textes sur ô combien toutes les filles ont al chatte rasé de nos jours. » dis-tu dans un rire. Sa musique ,c'était ce qui te plaisait le plus. Bien sûr y avait les yeux, les cheveux, et ce sourire, mais la musique y est beaucoup. « Moi ? Je passe ma vie à éloigner mon vagin des gars comme toi. Et comme toi, je n'ai jamais voulut en savoir plus sur l'amour. »

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

La vie est plutôt marrante quand on y pense. Enfin, je veux dire par là qu'elle nous manipule comme elle le souhaite. La preuve : je n'étais qu'un enfant solitaire, ayant peur du regard des autres, de ce qu'on pouvait penser de moi. Aujourd'hui, je suis un mec sûre de lui qui a pleins d'amis et qui en a strictement rien à faire des autres. Aussi, j'ai été amoureux, de la jeune femme ici présente. Elle a été mon unique histoire d'amour, et je ne regrette pas de n'avoir eu qu'elle. Aujourd'hui, je suis un goujat qui saute sur tout ce qui bouge. Est-ce que je suis en manque d'amour ? Certainement, on peut pas dire que j'en ai venant de ma famille. Les filles ? Ce qu'elles aiment c'est les grands mots, le fait que je sois musicien aussi. Du coup, je ne m'embête pas et prend ce qu'on me donne. Certaines m'ont fait des propositions étranges...j'ai eu peur, je répond en prenant un air apeuré. Non mais vous imaginez, des gamines de 13 ans qui me demandent du plaisir ? Wesh, non, je ne crois pas, c'est flippant. Alaska se confie alors ses petits secrets d'adolescente de 13 ans, évoquant notre histoire et un journal intime. Tu l'as toujours ? Je peux le lire ?, je demande en buvant ma bière, avant d'exploser de rire avec ce qu'elle ajoute. Oh merde, ça serait tellement génial !. Ouais bon, je n'ai pas vu le film, mais toutes les filles en parlent alors comme ne pas connaître le sujet de 50 nuances de Gray. Puis bon, si je peux être sa muse comme elle a été la mienne, ça peut être sympa. Comment ça je ne regardais pas ses yeux ? Bien sur que si, c'est juste que j'ai la tête un peu lourde...Bon ok ça va, en même temps je suis un mec ok ? Un mec normalement fait, aurait aussi admirer sa poitrine. Bref, je souris tout de même gêné qu'elle m'ait capté. J'ai grandi tu sais...Enfin, pour être honnête je n'ai eu que toi, je commence à répondre en jouant avec ma bière. Tu es la seule qui a su attirer mon intérêt. Et je ne dis pas ça pour te flatter ou quoi, c'est la vérité. Je ne suis jamais tombé sur une fille qui me laisse sur le cul, qui me fasse frissonner quand je suis avec elle. Je finis ma phrase par un petit rire, avant de plonger mon regard dans le sien. C'est vrai, je dois au moins avoir trois carnets avec des chansons que m'a inspiré Alaska. Les autres chansons, soit elles viennent d'histoires de mes potes, soit je les ai inventé de toute pièce, donc pas génial. Pourquoi ça ? Tu as peur ?, je lui demande, intrigué de connaître sa raison.

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Ah, mais c'est ça la jeunesse, jean slim et nichon à l'air pour dire qu'on aime être libre. Personnellement, je n'accroche pas à cette jeunesse déluré et sauvage, quant à toi, tu aimes juste baigner dans cette mare pour avoir de quoi écrire. C'est vrai, il faut avoir des expériences pour pouvoir les raconter sur du papier. Ou pas. D'ailleurs, en parlant d'écrit, tu lui parles des pages érotiques de ton journal intimes que tu avait écrit en pensant à lui, chaque caresse, chaque baiser, chaque main dans le pantalons, finissait dans ce journal. « Nooon, un journal c'est secret. Jusqu'à ce que je décide de le rendre publique. Je n'ai pas lu 50 nuances de Grey, ni même vu, mais, dans mon histoire, j'étais la pauvre petite sixième amoureuse et toi, le vilain quatrième qui a les mains baladeuse. Si ça sors en film, tu voudrais en être l'acteur principal ? » dis-tu dans un rire. C'était des caresse enfantine, mais c'était tout de même tes premières fois. Premier baiser, premier baiser AVEC LA LANGUE, c'est pas rien hého, première fois que quelqu'un voit tes nichons d'ailleurs, première fois que quelqu'un les a pétri comme de la pâtes à pizza. Tes premières fois, c'était lui. C'était cette petite tête blonde, ses longues jambes, se sourire pervers, ses lèvres maladroites, tout ça. Tu ne peut t'empêcher de sourire à cette penser, avant que le sujet ne vire à ce que vous êtes maintenant. Parce que ce temps est loin, malgré que les souvenirs sont frais, tu le cerne rapidement, faute au cours de psychologie et études de l’individu que tu avais pris en première année, et ce qu'il est devenu te désole. « Je suis flattée tout de même. Je suis l'élue. » dis-tu en jetant tes cheveux en arrière, tel une star de cinéma en plein shooting. « Mais j'te comprend. C'est dur de trouver quelqu'un qui soit capable de nous connaître par cœur, et aussi de nous étonné à la fois. » dis-tu en plongeant tes yeux dans les yeux, un frisson te parcourt, c'était si étrange et agréable à la fois. « Oui. J'ai peur, j'ai toujours peur, j'ai peur de tout. Peur de souffrir, d'en donner trop, de ne pas être à la hauteur, j'ai toujours peur. Parce que les filles comme moi, tombe toujours pour les garçons comme toi. » dis-tu en tapant sur son bras. « J'aimerais écouter une de tes chansons. J'suis sûre que tu joue encore, une ancienne ou une nouvelle, peut importe. » pour le plaisir des oreilles, et surtout des yeux, quand il joue, il devient super méga sexy.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

Alala j'aime voir ces petites fesses bien moulées dans un jean, une poitrine mise en valeur comme il faut...Merde, je vais me calmer avant de devoir partir en courant au toilette. Je souris en écoutant Alaska me révéler ses petits secrets de son journal intime, je veux en savoir plus, beaucoup plus mais elle ne semble pas vraiment du même avis. Pourquoi ? ça remonte à longtemps maintenant, j'ai le droit de savoir !! Seulement si tu me trouves une fille canon ! Enfin, non rectification, sauf si tu joue ton propre rôle Bah ouais, sinon ce n'est pas marrant ! Quoique, ça serait marrant de voir la tête de la jeune brune pendant que je fais une soupe de langue à une autre. Non mais si, j'imagine bien sa tête, son exprès en me voyant dans un lit à moitié nu, ou tout simplement nu avec une autre, faisant semblant qu'on est entrain de s'envoyé en l'air. Alaska était unique en son genre, elle était douce, sensible et très attachante. Quand on la connaissait bien, on pouvait aussi découvrir une jeune fille très marrante. C'est tout cela qui m'a fait tombé amoureux d'elle, et pas d'une autre. Elle me dit être contente d'elle l'élue. Ah ça y est, elle commence à avoir les chevilles qui gonflent. Ça va calme toi un petit peu, sinon tu vas gonfler comme un ballon, je lui répond en riant légèrement. Bon en même temps, c'est vrai que 99,9% de mes chansons parlent d'elle mais bon quand même, calmons nous. Elle m'explique sa peur de se laisser aller, de faire confiance aux hommes en amour. Ah, mais qu'est-ce qu'il c'est passé au juste ? Tu as déjà été blessé ?, je lui demande, curieux de connaître sa réponse. Non parce que si ça continue, elle va devenir une handicapé de l'amour. Je passe mon temps à jouer et chanter, et non, je ne peux rien te faire là, je n'ai pas ma guitare, dis-je en faisant un immense sourire, buvant une gorgée de ma bière au passage.

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