we are the queens and kings of the new broken scene ✰ lucas

You're telling me how you love that song about living on a prayer, I'm pretty sure that we're halfway there

Tout le gras que tu ingurgites va finir par se tourner vers toi, un beau jour. Non pas sous forme de monstre de graisse qui te court après, mais plus sous forme de diabète, cholestérol ou multiple AVC, parce que tes artères seront boucher par la graisse de ce hamburger que tu es entrain de bouffer. C'est bizarre, parce que tu détestes la viande, la plus part du temps, du bouffe que des trucs 100% et des cochonneries labelliser par je ne sais quel compagnie de bio, mais quand il s'agit de burger, tu ne peut pas passer à côté du bon vieux steak, fromage et deux morceaux de cornichon. D'ailleurs, c'est la seule raison de ta présence ici, ils ont promis un putain de burger à chaque étudiant qui ramènerais sa poire, et chose promise, chose dû. Alors t'es là, dans la foule de personne à manger ton burger, tandis que d'autre sont entrée de se défoncer la gueule, te sentant un peu stupide pour le coup, te redresse et te promène entre les tas de personne, ton burger à la main. Ton regard s'attarde sur ce groupe d'étudiant qui joue à la bouteille, c'est donc ça l'adolescence ? Jouée à des jeux stupides, juste pour jouer, ton esprit se perd dans les hypothèses de ce que serai ta vie si tu oser, toi aussi jouer à ses jeux stupides à un point ou tu ne regarde même plus ou tu vas. Sans surprise, et parce que tu es sûrement la fille la plus maladroite qui existe dans ce monde, tu heurte quelqu’un qui fait tomber ton burger au sol. « OH MON DIEU. » hurle-tu presque en voyant cette splendide chose ouvert au sol, c'était presque aussi traumatisant que les bestioles écraser sur les autoroutes. Est-ce que tu vas en pleurer ? Ressaisie toi, bordel. T'es prête à exploser de rage, si tu n'avais pas poser tes yeux sur cette splendide chose qui t'observer depuis un quart de seconde, ce beau blond dont le regard ne t'étais pas indifférente. « T'as fait tomber mon manger... j'veux dire : on se connaît ? On s'est déjà vu quelque part, pas vrai ? Ou c'est juste moi qui me fait des films. Parfois, j'm'en fait et parfois j'me trompe, mais je suis presque sûre qu'on se connaît. »

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

J'ai faim, je n'en peux plus mon ventre n'arrête pas de faire des ravages, mais pas dans le bon sens. Je suis dans un cours de musique, mais aujourd'hui, c'est musique classique...GÉNIALE....Allez Lucas, réiste, tu y es presque, plus que quelques minutes à attendre. Dès minutes qui se veulent longues, ces petites garces. Ça y est, je l'entend, le son de la liberté. Hop, je range tout et sors vite de cette salle avant qu'on ne m'arrête dans mon élan. Je délaisse mes cours dans mon casier, puis me précipite au Do ré mi. Je suis censé attendre mes potes, mais là, j'ai beaucoup trop faim. Arrivé à lieu tant convoité, je remarque que mes amis sont déjà là. Ah ben merci les gars ! En plus de ça, ils jouent à un truc de gamin, le jeu de la bouteille. A croire qu'ils ne savent pas embrasser, sans avoir de l'aide. Je remarque qu'il y a énormément d'étudiants dans la salle, merde j'avais oublié que c'était une journée spéciale. Bon pas grave, je me lance et pars commander mon burger et un soda. Le tout en main, je garde en vue mes amis, me dirigeant vers eux, mais c'est là qu'une personne me rendre dedans, littéralement. Mon Hambuger est toujours dans ma main, ouf, merci mon dieu. Sauf que mon soda lui, à atterrit au niveau de l'entre jambe de la demoiselle. Je suis prêt à m'excuser, pour une fois, mais la belle brune ce lance dans une foule de paroles qui me montent vite à la tête. Tu as fait tomber mon soda, je rétorque en haussant les paroles, regardant l’auréole qui s'est formée à son entre jambes. Tu devrais peut-être aller aux toilettes, je répond en lui faisant signe de regarder plus bas. Toute fois, je réfléchis à ses paroles, qui m'ont donné mal à la tête et lui répond tout simplement par un aucune idée, j'ai dû mal à me souvenir des gens. Je finis par la regarder partir vers les toilettes, essayant de ne pas rire.

(Invité)

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Qui est-ce mec ? Non, qui est ce sombre crétin. Il te fait remarquer que toi aussi tu as renverser son soda, mais son burger à lui est toujours intacte, le fromage toujours aussi fondant et le steak toujours aussi saignant. Qui plus est, son soda c'est renverse le long de tes cuisses et ton entre jambes. « Merci e ton précieux conseille, je comptais passer la soirée avec du soda entre les jambes, pour que tout le monde m’appelle Alaska la pisseuse comme en primaire. » dis-tu en haussant les épaules, tout en laissant tomber l'idée de ramasser miette par miette ton précieux burger. C'est pas la peine, tout ce que tu auras en le ramassant c'est de la poussière et des merdes que les gens ont écraser sur leurs passages avant d'entrée. Tu roules des yeux et te dirige vers les toilettes mixtes, dans la foule monsieur-beaux-yeux répond à ta question, il a dû mal à se souvenir des gens ? « Des gens ou plus particulièrement de la gente féminine ? » demande-tu en poussant la porte des wc, pour y trouver un couple, enfin par couple j’entends un homme et une femme, ils sont pas obliger d'être en couple pour faire ce genre de chose, faut pas avoir un droit spéciale pour palper mes mamelons en publique. « OH MY GODMICHET ! » hurle-tu en lâchant la porte. Okay, cette vision est horrible, le mec avait son zizi à l'air et ses seins pendouiller dans tout les sens, tu secoue la tête comme pour chasser l'images et relève les yeux vers le jeune inconnu. C'est commun pourtant, c'est une fête étudiante pourtant, tu devrais déjà avoir l'habitude de voir des gens se fricoter un peu partout, pourtant ton âme de petite fille n'est pas encore prête à affronter tout ça. Tu t'éloignes des wc et te contente de lever la main pour prendre une serviette au bar. « Tu m'as dit que tu t'appeler comment déjà ? »

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

Merci petit Jésus d'avoir sauver mon soda, mais surtout mon burger. J'aurais hurlé si je l'avais bu à Terre, au milieu de tout ce merdier. Je regarde l'hystérique que j'ai en face de moi, j'ai l'impression d'avoir écrasé son chat. Et encore, elle aurait été moins triste pour son chat, j'en suis certains. Hein ?, Alaska la pisseuse ? Merde, ça me parle ça ! Je le connais ? Attendez un peu Alaska...Alaska...ma Alaska ? Enfin quand je dis ma, c'est parce que je suis sorti avec une Alaska quand j'avais 15 ans, et qu'elle en avait 13. Bah ouais, j'ai les jeunettes que voulez vous. Je hausse les épaules, suivant la jeune femme. Je sais pas pourquoi je la suis, mais vaut mieux ça, que de rejoindre les débiles et leur bouteille. Des gens en générale, enfin plutôt de ceux dont j'en ai rien à faire, ou si ça fait longtemps, mais pourquoi je me justifie ? Depuis quand je le fais d'abord ? Puis comment pourrais-je oublier les femmes ? Enfin si, je le peux, quand je suis beaucoup trop bourré. Là, c'est le drame pour la jeune femme qui découvre un "couple" s'envoyer en l'air. Putain, comme j'aimerais être à la place du mec...Je rigole en voyant la réaction de cette Alaska, lui soufflant à l'oreille, tu n'as jamais vu le loup ou quoi ?, avant qu'elle nous fasse sortir des toilettes. Oh ben non, merde, j'aurais pu choper le numéro de la jeune femme ! Bref, je continue de la suivre comme un con, tout en mordant dans mon burger. Je ne te l'ai pas dit, je répond en haussant les sourcils, regardant cette tâche entre ses jambes. Bon allez, je vais pas la laisser comme ça. Tenant mon burger entre les dents, et le soda dans cette de la jeune femme, je commence à défaire les boutons de ma chemise. Je retire cette dernière, non je ne suis pas torse nue coquinou, je porte un t-shirt en dessous. Je lui donne, reprenant on Soda et burger en main. Attache ça autour de ta taille, ça cachera ton accident !. Je la regarde faire, puis me décide enfin à répondre, Oh au fait, je m'appelle Lucas et je te dois un Burger. De l), je fais signe au serveur, pour qu'il puisse ramener un burger au plus vite, lui glissant quelques billets dans la poche de sa chemise.

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Oubliée ce qui vient de se passer est sûrement la meilleure solution. A vrais dire, tu as déjà oubliée ! Hein quoi ? Des gens qui baise dans des toilettes publiques : non, j'voit pas. Tu voit, c'est facile. 'fin, ça l'aurait été si pendant l'acte, le blondinet n'étais pas venue te murmurais à l'oreille, gestes qui t'as fait sursauté plus qu'autre chose. « J'aime pas les loups, enfin si, mais j'aime pas voir des loups dans des endroits publique. Et arrête de te rincer l’œil, c'est dégueulasse. » dis-tu en le posant tes mains sur ses yeux et le poussant à l’extérieur. Tu secoue la tête, il ne s'est rien passer, il ne s'est rien passer. Pourtant ta tache est toujours là, et tu paniques à l'idée qu'un étudiant bourrée sorte de nul part et hurle : ALASKA LA PISSEUSE. Ce bordel là, t'as assez suivit dans la première partit de ta vie pour que tu es encore à la subir dans la deuxième partit. Sans ressource et sans envie de retournée dans les toilettes, tu t'accoudes au bar pour prendre des serviettes. « Oh, t'as juste une mémoire merdique, comme moi. Je pensait que t'étais le genre de mec à enchaîner les filles, à un point de ne plus mettre de prénom sur une tête. » dis-tu en continuant la discussion que vous aviez AVANT l'incident des toilettes. Comme si de rien était, c'est bien Alaska. Le bel inconnu te suit dans ta traverse et dans la foulée, tu lui demande son prénom, enfin peut être qu'il te la déjà dit mais dans la suites des événements tu as un peu de mal à suivre. « Lucas ? Au collège, j'avais le béguin pour un gars qui s'appelle Lucas, Lucas Watson et je m’appelle Granger et c'était la fury Harry Potter alors nos potes arrêter pas de nous dire : vous allez faire des bébés sorcier. C'était grave lourd. » pourquoi tu te sent obliger de parler d'HP à chaque fois que tu as l'occasion. Il te tend sa veste et tu commande un burger dans la fouler, tu es un peu choquer par son geste et fait des gros yeux avant de soupire un merci à peine audible, à cause de la musique et des gens qui gueule aux karaoké. Tes joues vires d'ailleurs au rouge et tu essaie de reste concentrer. Ses yeux, ses yeux te disent quelques choses, cette intensité et cette douceur, mais tu n'es pas capable de te rappel où, quand, qui. « T'as toujours eu se piercing à la lèvre ? Je suis persuadée de te connaître, c'est comme une vielle chanson dont tu connais les paroles, mais tu butes sur le refrain parce que ça fait un bail que tu l'as pas chanter. » dis-tu en t'accoudant au bar, laissant peut de place aux personnes vous environnant.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

Alaska, Alaska...j'ai connu une Alaska au collège, je pourrais me dire que c'est peut-être elle, mais dans notre pays, ce prénom est très courant. A croire que les parents adorent appeler leur enfant Alaska ! Enfin bref, cette Alaska là est surprenante, elle peut-être chiante, comme avec ses 50 questions, mais aussi marrante, vu sa réaction dans les toilettes. Me rincer l’œil ? J'avoue qu'elle a l'air d'être un bon coup, je répond alors qu'Alaska essaye de me cacher les yeux, tout en nous sortant de la pièce. Bon, c'est pas grave, je m'enverrai en l'air ce soir, ça me fera du bien. Puis bon, pourquoi cacher ce que je suis ? Sur le Campus, je fais parti de ceux qui change de partenaire chaque soir, ou presque, car il faut l'avouer, je ne suis pas une machine non plus. C'est ça, je m'en moque du prénom tant que je baise, je répond tout en haussant les sourcils, version vicieux pour la faire chier. Bah ouais, j'ai bien vu qu'elle a l'air coincé du cul. Je finis par me présenter, lui donnant que mon prénom. C'est alors que la jeune femme enchaîne à nouveau les paroles, me faisant des petites confidences. Merde, c'est bien ma Alaska, quel boulet je fais ! Bah tiens, j'ai envie de m'amuser, je vais donc attendre avant de lui confirmer mon identité. Oui, ça serait moins drôle sinon. Oh Harry Potter ? Ouais, tout le monde était fan au collège, mais je ne connais pas de Granger en vrai, désolé, quel goujat je peux être, je suis drôle quand je m'y met. Je lui souris légèrement, finissant mon burger, alors qu'elle reprend encore la parole. Elle parlait autant au collège ? Nan, elle était toute timide, ça je m'en souviens bien. Oui, en fait j'avais plus de piercings que ça à la base, mais je les ai enlevé récemment !, je l'informe, afin de la perdre un peu plus. Je laisse le doute planer au dessus de nos tête, buvant mon soda tout en faisant exprès de faire un bruit immonde, ce bruit bien chiant que personne ne supporte. Alors que je la vois réfléchir, perdue dans ses pensées, je fais exprès de glisser une petite phrase qui peut lui faire tilte. Bah oui la pauvre, je vais arrêté de la torturer. Tu as toujours ce doudou immonde sur ton lit ?, je balance tout en sirotant mon Soda, enfin les glaçons plutôt.

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C'est rare que tu te trope, encore maintenant tu ne te trompe pas. Il fait bien partit de ceux qui enchaîner les meufs comme si c'était du bétail. De ceux qui savaient te faire sentir spéciale, alors que le lendemain il en appel une autre bébé. « Super mentalité, peut être que tu veux qu'on y retourne ? Et comme j'suis gentille je demande à la meuf si elle veux pas venir te taille une piper après ton soda? » dis-tu en secouant la tête. Tu roules des yeux et réceptionne ton burger envoyer par le serveur. Non mais sérieux, lui c'était soit un winthrop qui se croit pour un dieu vivant, soit un mather qui pense que le monde entier et une grosse orgi et qu'il suffit de sortir son zigouigoui pour pécho. Tu lui confit une vielle anecdote sur tes années collège, quel idée de dire ce genre de chose à un inconnu. Mais il te rappel Lucas, en moins prétentieux. Super confiant, super aimable, mais con sur les rebords. Le monde serais ridiculement petit si il s'avère que c'est lui, mais le doute plane au dessus de ta tête, après tout il a les mêmes yeux et ce même petit air hautain et au dessous de tout. « Bah maintenant tu en connais une. Ici présente, mais je préfère qu'on m’appelle par mon prénom, les 'miss Granger' avec une voix de rat, on tendance à me soûler. » dis-tu honnêtement, est-ce que c'est cette scène choquante dans les wc qui t'as décoincée ? Parce que la Alaska que je connais est moins bavarde, elle se contente de sourire et rire, et intervenir en hochant la tête, c'est rare que tu te sent aussi à l'aise avec un inconnu. Inconnu que tu regardes en détail d'ailleurs, tu essaie d’imaginé Lucas sans sa barbe, sans son piercing, sans ses cheveux débroussailleur et rebelle, et il se pourrais que ce soit celui que tu as jadis aimer. « Tu m'as dit que tu venais d'où ? Dis moi, je peut regarder ton dos ? » c'est pas le genre de question qu'on pose à la première rencontre, mais Lucas avait une tache de naissance en forme de lune, si il là, c'est que c'est lui. Tu manques d'ailleurs de t'étouffer quand il te parle de ton doudou, hein ? Comment il connais Roudoudou Fitness ? « Pardon ? Mon doudou ? Non, ça fait longtemps que je dors plus avec.. Et toi, tu gardes toujours tes chaussettes quand tu fais les préliminaire? » à treize ans, on l'avait jamais fait, mais on était déjà aller jusqu'au préliminaire, c'est pas choquant il avait quinze ans et t'en avait treize et tout les garçons de la classe fantasmer sur tes nichons.

LUCSKA

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

Y retourner pour que la nana me taille une pipe ? Pourquoi pas, après tout, vu où elle en est, ça la dérangerait pas. Non, je te préfère toi, dis-je en la regardant, faisant mon regard de tombeur. Ouais, bah ce regard là il marche tout le temps ! Sauf qu'en ce moment, je suis complètement calqué donc je dois certainement avoir la tête dans le cul. J'ai du mal à savoir dans quel confrérie elle pourrait être, à moins qu'elle fasse partie de ses gens qui se croient trop bien pour en faire partie. Moi, je suis un Mather, un Mather mais Lowell refoulé au fond ! Bah ouais, j'ai le caractère, le comportement, les paroles d'un Mather, mais au fond mon rêve de la musique est digne d'un Lowell. Pourquoi ? Imagine ma voix sensuelle te murmurer à l'oreil "Miss Granger", ça t'exciterait !, dis-je accompagné d'un petit rire. Ouais, on ne dit pas ce genre de chose à une inconnue, mais je ne suis pas comme tout le monde et je ne sais pas pourquoi, mais je me sens connecté à cette jeune femme. D'ailleurs, ça doit être la première fois que je parle autant avec une fille, avant de la sauter. Bon règle oblige, je ne fais rien avec mes amies, mais vraies amies hein ! Elle me demande alors d'où je viens mais surtout, et ce qui me fait éclater de rire, si elle peut voir mon dos. Du veux voir à quel point je suis musclé ou bien ?, je vois pas quelle autre raison elle a pour le voir. Ah si, autant pour moi Alaska Granger connaît ma tache de naissance. Néanmoins, je refuse de montrer mon dos, ne répondant pas non plus à sa question de "où je viens ?". La pauvre, allez va, donnons lui une petite piste en lui parlant de son doudou. Quand on sortait ensemble -ben oui, cette jeune femme a été mon ex- elle avait ce petit doudou sur son lit, un tue l'amour mais bon, vu qu'elle n'avait que 13 ans, et moi 15 ans, on ne faisait pas grand chose. Peut-être mais au moins, j'avais chaud aux pieds, je finis par répondre en lui faisant un clin d’œil. Posant mon soda vide et le papier de mon burger sur le comptoir, je finis par regarder Alaska dans les yeux et lui dire avec un sourire plein de malice, Oh, au faut, mon nom c'est Watson...Lucas Watson !.

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Tu arques un sourcil et frappe son bras lorsqu'il dis qu'il préférerais que ce soit toi. Tu le frappes, surtout parce qu'il t'as fait un de ses regards viseux et pervers qui ont le dont de te mettre mal à l'aise, alors que c'est la première fois que tu es si à l'aise avec quelqu'un. « cette réflexion aurait été plaisante si tu n'avais pas des cernes sous les yeux. Et connaissant ta manière de penser, je ne pense pas que tu es passer la nuit à faire un scrabble avec une jeune demoiselle dont le nom t'as échapper ? » tu adresse un sourire amuser, parce que c'est le cas. Qui peut le croire? Alaska Clayton-Granger, parle à un garçon qui n'est ni de sa famille, ni de sa classe de maths appliquer qui aurais besoin de réponse, sans oubliée que Alaska Clayton-Granger s'amuse avec ce jeune homme. Et pour finit, Alaska Clayton-Granger mange un hamburger avec de la viande et des protéines, si c'est pas une soirée parfaite tout ça. « Attend, c'est ça ta voix sensuelle ? On dirait un pédophile, t'approche pas de moi. » dis-tu dans le même rire. C'est Lucas. Oui, il l'as dit je sais, mais c'est le tiens. Celui avec qui tu es sortit au collège, le même crétin qui faisait des foots de cocotte en papier dans les couloirs, le même Lucas qui t'as donner ton premier baiser sous le préau, ton première amour. Tu lui poses une question piège, dans sa question piège, parce qu'il te parle de Roudoudou Fitnesse OR Roudoudou Fitness a été aperçue par très peu de gens seul ceux qui sont entrée dans ton intimité intime l'ont vue. « AHA ! JE LE SAVAIT ! » petit chenapan. Tu laches ton burger et passe tes mains sur sa bouches, plaque ses cheveux en une espèce de mèche étrange sur son front et fix ses yeux. Voilà, il était comme ça, les cheveux à plat et pas se piercing étrange à la lèvres. Un sourire à la fois ravi et amusé se dessiner sur tes lèvres, tandis que ton cœur bat à une vitesse ahurissante. « J'oublie pas un regard comme le tiens. » lâche tu en reculant. Vous n'avez jamais finit votre histoire, ça a été couper court par ton père ,le divorce, Athènes, des choses qu'en haut de tes treize ans tu ne pouvait pas contrôler. « Je peux quand même voir ton dos pour bien vérifier ? » on sait jamais.

LUCSKA

( MADE BY MOI MEME)

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Do ré mi

Alaska ✧ Luke

Bon, en gros, j'ai une tête à faire peur en ce moment-même. Ouais, je vais passé la nuit seul, c'est officiel. Pas grave, le petit Jésus m'a construit deux mains pour ma solitude. Non, j'ai cette tête car je pense à toi nuit et jours ! Oui, oui, je te vois dans mes rêves et te vois enfin en vrai, dis-je en levant mes bras au ciel. Alala, mais au fait, qu'est-ce que je fou encore là moi ? Non mais c'est vrai ! Généralement, je serais déjà entrain de boire de la bière, jouer les lover auprès de la gente féminine. Au lieu de ça, je bavarde, taquine une inconnue. Enfin, inconnue qui n'en est pas vraiment une. C'est con, mais elle me fait rire. Tout en écoutant se plaindre de ma voix sensuelle, je lui fais des bisous dans le vend. Mais oui, quand on met sa bouche en cul de poule et qu'on fait genre on fait des bisous. Oui ? Non ? Pas grave. Il y en a pleins qui rêvent de ma voix tu sais, je finis par répondre, en lui refaisant mon regard de vicieux. C'est étrange de la retrouver devant moi. De retrouver ma Alaska, une de mes premières copines, celle qui était aussi timide que moi, enfin bien plus que moi. Elle rigolait à mes conneries, et pleurait sur les chansons que j'écrivais. Chansons qui, à l'époque, était loin d'être bien romantique. Ah ben voilà, elle a enfin deviné que c'est bien moi !!! Je rigole en la regardant poser ses mains sur mon visage.Tu as pourtant hésité, je lui répond, tout en repositionnant mes cheveux comme il se doit. What ? Elle veut quand même voir mon dos ? Ok, c'est officiel elle est complètement folle. Bien, allez, soyons fou. Tout en levant les yeux au ciel, je lui tourne le dos, relevant mon t-shirt. Contente ?, je lui demande avec un petit rire, relaissant tomber son haut et lui faisant face. C'est bizarre de te voir ! Enfin, de te retrouver, dis-je en faisant signe au barman de m'apporter une bière.

(Invité)

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