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Lottie - The future depends on what you do today

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The future depends on what you do today
La Gatsby... ça avait été dans l'ensemble, une soirée plutôt bonne si on retirait le fait que je m'étais prit la tête avec le futur copain de Mia, si je peux l'appeler ainsi, car, c'est pas encore certain, surtout qu'il est partit, tout comme Lottie, persuadé que j'étais fiancé avec la Lowell. Un beau bordel au final... Mais ça, c'était vite passé à la trappe car Six, ma Six, était là... Elle était arrivée de nulle part... Enfin... La suite en sa compagnie avait été génial... C'était toujours le cas dans un sens quand elle était là... Mais maintenant, quelque jour plus tard, j'avais l'impression qu'un truc comme ça entre elle et moi ne se reproduira plus jamais... Je peinais à avoir de ses nouvelles alors j'étais assez mal... N'avait-elle pas apprécié que j'aide Mia ? Me reprochait-elle quelque chose suite à notre après-soirée ? On avait dérapé, certes, mais on le voulait tout les deux alors pourquoi ce silence radio maintenant ? Je soupire. Allongé sur mon lit, je regarde mon cellulaire, espérant avoir de ses nouvelles en vain. J'avais l'impression d'être inexistant à ses yeux maintenant et c'était juste un sentiment horrible. Fallait que je pense à autre chose ! Alors, je regarde dans mon répertoire voir mes contacts. Je me vois mal en parler avec Simba, il risque de me dire que je me prends trop la tête et que je me fais des films tout seul... Alors, je tombe sur le prénom de ma petite blonde et je me souviens qu'on est plus trop en bon terme maintenant, c'est un moyen de m'occuper, de ne plus penser à Six' que d'essayer d'arranger les histoires avec elle. Je lui envois alors un message auquel elle répond assez rapidement et on fini par s'échanger pas mal de sms avant de finalement se donner rendez-vous ici-même.

Je me redresse alors, regardant l'état de ma chambre. Je lui ai proposer de venir ici pour être tranquille, mais j'ai plus pensé à l'état de ma chambre. Je la regarde et soupire... Non, en fait, j'avais vraiment pas besoin de me soucier de ça... Cette chambre devait probablement être la chambre de mec la mieux rangée... J'étais trop ordonné pour laisser du bordel s'installer dans cette chambre et dans un sens, heureusement que je n'avais pas de co-chambreur, sinon, j'aurais eu des soucis d'entente avec lui, enfin, s'il était du genre à pas être ordonné également. Je déteste voir traîner des affaires, faute à l'éducation que j'ai reçue. Soit, je refais quand même mont lit vu que je me suis quand même allongé dessus pour faire passer le temps, et je sors finalement de ma chambre pour aller m'installer sur les marches devant la porte d'entrée, mon téléphone en main pour continuer de lui répondre en attendant qu'elle arrive. J'espérais réellement réussir à penser à autre chose grâce à elle et pour le moment, ça marchait plutôt bien.
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Allongée dans mon lit au milieu de tous les livres de droits que j’avais ouvert pour faire mon devoir, je rêvassais un peu. Nous étions vendredi et il était déjà 18h30, le temps semblait vouloir s’arrêter parfois, puis aller trop vite d’autres fois. Mais là, le devoir commençait un peu à me prendre la tête, il fallait que je me change l’esprit. J’aurais bien téléphoné à Hunter pour qu’il me joue un air de guitare au portable, mais cela n’aurait pas du tout été la même chose que l’autre soir. La soirée que nous avions passée tous les deux après le fiasco de la soirée Gatsby et la gifle que j’avais donné au Winthrop sexy. Je m’en voulais un peu, mes réactions sont parfois exagérées, mais cette fois, il l’avait bien mérité. Pourquoi je pense à lui ? Il devrait m’exaspérer et non pas me donner envie de faire des choses pas très catholiques. « Ah, mais pourquoi je pense à ça moi ? » m’exclamais-je en remuant mes pieds énergiquement sur mon lit.

J’arrête tous mouvement en entendant mon téléphone vibrer, sans doute mon frère qui m’informe qu’il a oublié ses clefs et qu’il est coincé en bas devant la porte de l’immeuble, ce qu’il pouvait être tête en l’air parfois. En regardant le nom de l’expéditeur, je fus surprise, je ne m’y attendais pas. En lisant le message, la soirée me revient encore à l’esprit. Je m’empresse alors de lui répondre, puis un échange de sms commence entre nous avant qu’il ne me propose de passer dans sa chambre dans la maison des Winthrop. Sa chambre ? Devais-je m’attendre à voir une chambre dans le total désordre ou au contraire tellement bien rangé ? En deux, trois mouvements, je suis prête à partir, je regarde la tenue que je porte, oui, non, je ne pouvais décidément pas me rendre là-bas en tenue pour dormir. Je prends le premier vêtement qui me passe par là dans l’armoire et il s’agit d’une robe simple qui m’arrive aux genoux, j’enfile un gilet par-dessus. Maintenant, je suis prête, bien que je ne porte pas tellement de robes, je ne vais pas chipoter pour ce soir, j’ai déjà dit que je ferais mon maximum pour arriver le plus vite possible et ce n’est pas en restant des heures devant ma penderie qui m’y aidera. Je m’empare de ma veste, de ma carte de bus, de mon sac et du pack de bière en passant par la cuisine et je file direction l’arrêt de bus en espérant qu’il n’est pas dans trop longtemps.

C’est seulement après une bonne demi-heure que j’arrive enfin au campus d’Harvard, maintenant direction la maison de la confrérie des gentlemen. Durant le trajet, j’avais continué de lui envoyer des messages pour trouver le temps moins long. Arrivé au niveau des marches juste avant l'entré, je l’aperçois et un sourire se forme sur mon visage. « Salut ! »
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Relevant la tête de mon cellulaire, alors que je n'ai plus de réponse de la part de Lottie, je regarde pour voir si elle n'arriverait pas et je la vois. Je me lève alors, glissant mon portable dans la poche de mon jeans et de m'approcher d'elle, un sourire aux lèvres alors qu'elle me salue déjà. "Salut!" C'est ce que je lui réponds alors que j'attrape le pack de bière pour l'en soulager. Non, pas parce que j'estime qu'elle est trop faible pour cela ou bien même parce que je suis macho, mais plutôt parce que j'ai été éduquer de cette façon, à aider les femmes et à ne pas les laisser porter tout. Bon, je sais aussi que certaines femmes, il vaut mieux les laisser dans leurs merdes... Comme mes soeurs par exemples, parce que elles, elles l'ont cherché. Bref, Lottie, elle je la laisserais pas tout porter, surtout que j'ai les mains libres et tout... Du coup, ouais, je prends le pack de bières avant de faire une petite réflexion sur sa tenue, qui n'est pas pour me déplaire, je dois l'admettre. "J'ai droit à une robe et tout ? C'est pour me remercier de t'avoir dit que tu me faisais bonne impression ou pour essayer de monter le niveau ? Parce que je trouve qu'elle te va vraiment bien." Je la taquine un peu, je sais pas du tout si elle est du genre à souvent mettre des robes ou pas, il faut dire que je la croise rarement en dehors de soirée... En fait, c'est seulement la deuxième fois qu'on se voit sans avoir eu d’invitation à une soirée dans la maison de l'un ou de l'autre. On verra bien ce que cela va donner, du moment que ça ne fini pas comme samedi dernier...

Je l'invite alors à me suivre, parce qu'on va quand même pas rester dehors, alors je lui ouvre la porte en lui faisant une petite courbette comme le ferait un majordome, parce que j'ai envie de rire, de détendre un peu l'atmosphère avant que l'on parle de l'attitude que j'ai eu la semaine passée... Je sens déjà les reproches arriver et dans un sens, j'aimerais éviter ça, même si c'est moi qui ai demandé ce rendez-vous. "Bienvenue chez les Winthrops, Mademoiselle." Je lui souris en me redressant avant de fermer la porte derrière elle. "Si mademoiselle veut bien me suivre." Oui, je continue mon petit jeu de majordome, parce que j'ai envie de la faire un peu sourire, même si je ne sais pas si elle trouve ça drôle ou juste bizarre. Je la conduis ainsi jusqu'à la chambre numéro une, ma chambre. J'entre à sa suite et dépose le pack de bière sur mon bureau en faisant gaffe de pas le poser sur mon cours de socio'. Je me tourne ensuite vers elle. "Je te prie de faire comme chez toi et de déposer tes affaires et retirer ta veste, sauf si tu trouves qu'il fait trop froid ici."  Ce qui normalement ne devait pas être le cas, même si moi, j'avais encore un peu froid du fait d'être sortit avec un pull trop fin pour l'attendre.
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En arrivant, je l’avais salué et il en avait fait de même à mon égard. Réaction totalement normale, j’aurais trouvé étrange qu’il ne me réponde pas alors que c’était lui qui m’avait convié dans la maison de ses frères et lui. Sans que je ne m’y attende, il me prit le pack de bière des mains. Je ne dis rien devant sa galanterie, parce que les hommes galants cela commençaient à se faire rare. Pourtant, je n’étais pas de ses filles fragiles ou de ses filles exigeantes qui emmenait son frère ou son petit-ami faire les boutiques pour porter les sacs. Puis de toute façon, je n’étais pas vraiment le genre de fille à faire les boutiques, je m’y rendais lorsque j’avais vraiment besoin d’acheter quelques choses. Bon, c’est vrai que j’aurais pu l’arrêter dans son geste et affirmer ma force et continuer à porter le pack de bière, mais il avait l’air de tellement vouloir le prendre, alors j’avais simplement souris en le voyant faire. Je m’attendais à ce que l’on rentre directement alors je m’apprêtais déjà à gravir les marches, seulement Jaysaël venait me complimenter sur ma tenue, c’était bien un compliment non ? Il trouvait qu’elle m’allait bien, devais-je donc comprendre que j’étais jolie dedans. Je baisse mon regard vers ma robe pour ensuite regarder le jeune homme de nouveau. « Ah bon ? J’ai juste mis le premier truc qui me passait dans la main, sinon c’était en vieux t-shirt et shorty que je serais venue. Pas très discret comme tenue et encore moins pour passer inaperçu devant les gros pervers qu’il y a avait dans le bus. Mais je te remercie pour le compliment. » C’est vrai que je n’avais pas l’habitude de mettre des robes, mais quand j’en mettais généralement elle m’allait bien, en même temps, je n’achetais pas quelques choses qui était moche ou qui ne me mettait pas réellement en valeur. Genre, jamais vous ne me verrez porter une robe à froufrou, je détestais, il faudrait me lancer un défis pour que cela se fasse. « Toi aussi tu es très bien comme ça ! » lançais-je après un petit moment, oui, il fallait le reconnaitre, il était mignon peu importe ce qu’il mettait. Peut-être verrais-je le fameux caleçon aujourd’hui ? Puisque je vais dans sa chambre, quoi que je doute qu’il est l’intention de me montrer sa collection de sous-vêtements.

Finalement, il finit par m’inviter à le suivre à l’intérieur et heureusement parce que je commençais un peu à avoir froid. Oh, pas au niveau du buste, j’étais bien couverte à ce niveau, mais plus au niveau des jambes, j’avais comment dire oublier de mettre des collants pour ne pas que le vent me fasse frissonner un peu trop. Seulement, dans la rapidité, je n’y avais pas pensé. Après le principal était que je n’oubliais jamais l’épilation, sinon bonjour l’horreur. Il ouvrit la porte en faisant une petite courbette tel un major d’homme, je retins mon rire comme je le pouvais. Je ne l’imaginais pas du tout ainsi, mais c’était assez plaisant, puis il s’avait me faire rire et rien que pour cela, je l’appréciais encore plus. « Merci bien, Monsieur ! » m’exclamais-je alors sur un ton posé et hautain, même si je n’aimais pas du tout prendre un air hautain, cela ne me ressemblait pas du tout. À sa deuxième réplique, je hausse la tête pour affirmer que oui, je le suivais. Je prenais soin de regarder un peu l’intérieur de la maison Winthrop. Mais je ne m’attardais pas trop, puisque je devais le suivre jusqu’à sa chambre, d’ailleurs, on arrivait devant la porte de celle-ci, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Je rentre dans sa chambre et fus surprise de la propreté. « Oh, on dirait la chambre d’une fille, je veux dire, c’est tellement rangé que… Excuse-moi. » Comme il venait de me le dire, je posais mes affaires sur le bout de son lit, ne sachant pas trop ou les mettre, je gardais quand même mon gilet pour éviter d’avoir froid de partout. Puis je regardais sa décoration et aussi les livres disposés dans sa chambre. « Oh non, je ne devrais pas trop avoir froid, mais en ce qui concerne mes petits pieds, je n’en sais trop rien. » J’avais seulement ma paire de ballerines et me connaissant, je finirais par les enlever rapidement puisqu’elles avaient tendance à m’énerver au bout d’un moment. « Sociologie et Armée ? Tu fais des études de sociologie ? Ou tu as l’intention de rejoindre l’armée ? » Ma curiosité avait repris le dessus, puis je ne le connaissais pas réellement, à chaque fois que je le voyais, une sorte de jeu séduction commençait, mais jamais des questions sur l’autre.
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Quand elle m'a retourné le compliment que je lui avais fait sur le fait que sa tenue lui allait bien, je n'avais rien trouvé à redire, pas même un merci, j'avais souris tout bêtement, parce que j'étais habillé normalement, un simple t-shirt et un jeans, il n'y avait là aucun effort vestimentaire ni rien, alors je ne voyais pas pourquoi elle me complimentait de la sorte et j'étais un peu mal à l'aise à cause de cela. Bien que rapidement avec me la jouer à la majordome, j'avais détendu l'atmosphère à nouveau, du moins de mon côté. De son côté, je ne savais pas si elle appréhendait la discussion que l'on pourrait avoir une fois à l'intérieur de ma chambre. D'accord, on avait parlé par sms, mais il y avait plus à dire non ? Ce n'était pas que cela et je devrais sûrement lui présenter mes excuses non ? Enfin, si je pouvais éviter cela, je serais content, parce que je déteste demander pardon...

Alors une fois dans ma chambre, je la regarde retirer sa veste et détailler un peu ma chambre, je rigole à son commentaire. On dirait la chambre d'une fille. J'aurais pu très mal le prendre, mais ce n'était pas la première fois qu'on me faisait cette remarque alors non, je n'allais pas lui faire la gueule pour ça. Je savais parfaitement que pour un mec, j'étais trop ordonnée, trop soigneux et tout... Enfin... Soigneux... Je parle pour mes cours et tout, parce que non, je ne passe pas trois heures devant mon miroir pour être sûr que mes cheveux soit bien coiffé ou que je suis bien rasé.

"Te tracasse pas, on me charrie souvent sur ça... Disons que j'ai été habitué à avoir une chambre en ordre depuis tout petit et que même maintenant, je ne supporte pas voir traîner quelque chose."

Voilà, je lui ai quand même précisé pour pas qu'elle s'inquiète de me voir devenir une sale teigne comme je peux l'être par rancune. Après tout, elle avait bien vu que je pouvais être un sale con lors de l'anniversaire d'un de mes frères... J'avoue que là, j'ai pousser le vice un peu loin, mais bon, j'en avais payer les conséquences. J'hausse alors les épaules en m'appuyant contre mon bureau.

"Dans le pire des cas, j'peux te prêter des bas ou il y a ma couverture."

Et non, même si je l'invite de façon détournée dans mon lit, je ne pense pas mal, je suis dans un sens un peu trop inquiet d'aborder le sujet qui nous fâchera surement tout les deux car pour le moment, on ne fait que le repousser, comme elle le fait encore maintenant en me parlant de ma déco. Je souris un peu, légèrement crispé.

"Je suis en sociologie en effet, mais aussi en relations internationales. Quand à l'armée, je suis fils de militaire, c'est pour ça que j'ai un certain intérêt pour ça. Ce qui explique aussi ma chambre si bien rangée... Avoir un père instructeur, c'est pas tout les jours faciles."

Je lui fais une légère grimace alors que je repense à une engueulade entre mon père et moi parce que ma chambre était pas assez bien rangée à son goût... Bref, j'étais encore gamin.

"Et toi, tu fais quoi comme études ?"

Parce que c'est un bon moyen pour repousser le sujet de la Gatsby encore un peu, alors j'en profite clairement, même si après avoir eu sa réponse, je passe ma main dans ma nuque, signe d'une certaine nervosité de ma part et je commence une phrase que je laisse en suspension, espérant dans un sens qu'elle va me dire de laisser tomber, que c'est passé ou une connerie dans le genre...

"A propos de la Gatsby..."
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C’est vrai que je n’aurais peut-être pas dû le complimenter après tout, il portait des vêtements simples, des vêtements de tous les jours. Je ne sais pas, peut-être que sur le coup, j’ai pensé qu’il avait fait un effort vestimentaire, où alors c’est simplement parce que je le trouve mignon peu importe ce qu’il porte sur lui. Oh puis mince, on ne va pas non plus se plaindre lorsqu’on reçoit un compliment. En arrivant dans sa chambre, la première réflexion que j’avais eue et dite à voix haute, n’était pas des plus appropriés. Je parlais à un garçon et je savais bien qu’en général, ils n’appréciaient pas qu’on les compare à des personnes de la jante féminine. Alors, je fus soulagée lorsqu’il affirma que ce n’était pas grave. J’avais alors fait un petit sourire tout en continuant de regarder ses posters, mais surtout ses livres.

D’un coup, je me suis retournée vers lui, la surprise pouvait se lire sur mon visage. Des bas ? Il en avait vraiment ? Dans sa chambre ? Il se travestit ou quoi ? Non, parce que j’ai encore jamais rencontré d’homme avec des bas dans son armoire. Ah moins qu’il parlait de paires de chaussettes ? « Je me contenterais de la couverture si vraiment, j’ai froid. Je n’ai pas réellement envie de mettre les vêtements d’une autre fille. » Lui répondis-je. Des vêtements qui devaient certainement appartenir à sa fiancée. Fiancée oui, il était fiancé, j’avais légèrement oublié ce détail. Puis même si les fringues appartenaient à sa sœur, je n’aurais pas accepté, je n’accepte jamais de porter les vêtements d’une autre, et même de prêter les miens. La seule personne avec qui je suis susceptible de faire un échange de vêtement est Grenade ma meilleure amie. Il affirmait alors qu’il était en sociologie, d’un côté, j’aurais trouvé étrange qu’il n’est aucun livre en rapport avec ses études. Relation internationale également. Partait-il en voyage régulièrement ? Mais il me parlait aussi de son père militaire, ah oui, en effet, je comprends mieux. « Hum, niveau père, le mien est pas mal, il a décidé de me fiancer sans mon consentement, alors j’ai réussi à tout faire annuler sinon, c’est en tant que femme d’Atlas que j’aurais fait mes études. » Déclarais-je pratiquement en murmurant, mais parlant assez fort pour qu’il entende. C’est vrai que si ce mariage avait eu lieu, je suis sûre que j’aurais été malheureuse et que je n’aurais pas connu l’amour.

Je n’avais pas réellement envie de parler de mon géniteur, alors il me fallait un autre sujet de conversation, oui non, peut-être pas celui-ci non plus. Je n’avais pas envie non plus de me rappeler de la soirée de samedi soir. Alors quand il avait lancé sa phrase, je lui ai répondu un peu trop sèchement, mais ce n’était pas de ma faute. Je n’avais pas envie de penser à cela, et dire que je pensais passer une soirée tranquille. « Elle était méritée, mais dit-moi, elle le sait ta fiancée que tu invites des filles dans ta chambre ? » Je parlais bien sûr de la gifle au début, puis ensuite de cette Mia en accentuant bien sur le mot fiancé. Puis franchement pourquoi il est venu l’exhiber devant moi comme un trophée à la soirée ? Devant moi ? Ou devant Hunter, je ne savais pas encore. Je lui jette un regard peu commode avant d’aller m’installer dans son lit en prenant soin d’enlever mes chaussures. Je n’avais pas envie de le regarder à ce moment précis alors je fixe seulement sa couette.
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Les vêtements d'une autre fille ? Je fronce les sourcils en l'entend dire ça alors que je lui parlais simplement d'une paire de chaussette à moi... Je suis pas du genre à avoir les vêtements d'une fille dans une armoire, sauf si elle pense que je suis du genre à ramasser les affaires de mes coups d'un soir et de tout garder ensuite... Ou alors, elle continue sur sa lancée en me traitant de fille... Elle croit quoi là ? Que je suis un travestit ? Parce que si c'est le cas, ça ferait la deuxième fois depuis qu'elle est là qu'elle m'insulte de fille, même si la première fois j'ai laissé coulé. Je croise donc mes bras sur mes pectoraux.

"Vêtement d'une autre fille ? Je te parlais d'une paire de chaussette à moi, je suis pas du genre à avoir des vêtements de filles dans mes affaires. Sauf si tu me considère comme une fille et là, je risque de pas trop apprécier cela."

Je la regarde, alors qu'elle prend place maintenant sur mon lit. Après tout, je lui avais invité. Je l'écoute me parler de son mariage arrangé qu'elle avait réussi à annulé. Pour ça, j'avais de la chance avec mes parents, ils n'avaient jamais fait ce choix-là pour moi, bien que dans un sens, ça m'aurait obligé à être sérieux avec une fille et ça m'aurait empêché de rencontrer Six' et de voir les choses partir en vrille comme ça dans ma vie sentimental... C'était une véritable horreur... J'avais l'impression de m'être attaché à la mauvaise personne en vue de ce qu'il se passait depuis une semaine... Je baisse un peu la tête et laisse retomber mes bras le long de mon corps, posant mes mains sur mon bureau avant de me pousser un peu pour me lever, enfin, pour ne plus être appuyer contre on bureau. Je m'approche alors du lit pour attraper tes affaires que tu as déposé dessus et je les replies pour aller les poser sur mon bureau. Comme ça, ça ne sera pas trop chiffonné. J'écoute alors ta question sur ma pseudo-fiancée et j'esquisse un petit sourire avant de me retourner vers toi.

"Tu es jalouse ?"

Question conne, surtout que je ne suis pas réellement fiancé, mais la voir réagir comme ça, ça me plait dans un sens... Puis, j'ai vraiment envie de connaitre sa réponse, alors je la laisse dire, agir même avant de me bouger. Même si j'aimerais que ça soit Sixteen qui réagisse ainsi, mais je dois me faire à l'idée qu'il ne se passera jamais rien avec elle. Je soupire et m'approche de Lottie, la poussant doucement en arrière pour venir l'embrasser une nouvelle fois, je ne savais pas du tout comment elle allait réagir, surtout que je n'avais toujours pas démentit cette histoire de fiançailles. Mais dans un sens, c'était ça qui était marrant, même si elle risquait de me gifler encore... Là, j'avoue que je m'en fiche un peu, je préfère jouer avec ses lèvres, l'embrasser comme je le fais maintenant plutôt que de perdre mon temps à lui dire que non, je ne suis pas fiancé et que je suis bel et bien célibataire.
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Une paire de chaussettes ? Quand a-t-il mentionné le mot chaussette ? Tout ce que j’ai entendu venant de sa bouche était bien le mot bas, alors évidemment cela avait une connotation différente dans mon esprit. Pour moi, des bas, étaient bien des collants que les femmes portent, vous savez les collants de couleur chair ou noir qui monte jusqu’aux cuisses parfois, voir les genoux. Non, vraiment, je n’aurais pas pensé aux chaussettes. À croire qu’on n’avait pas le même vocabulaire sur certaine chose. Pff, c’est malin, maintenant, il pense vraiment que je le prends pour une fille alors que ce n’est absolument pas le cas. Autant évincer le malentendu directement, je n’ai pas envie de me prendre de nouveau la tête avec lui. Déjà que ce n’est pas la même atmosphère qu’avant depuis la soirée Gatsby. « Je n’ai jamais dit que tu étais une fille ok ? Puis si vraiment, j’avais l’intention de te prendre pour une fille, je ne m’amuserais pas à te faire du rentre-dedans. Ce sont les mecs qui m’intéressent, pas les paires de seins. » Si avec ce commentaire, il ne comprend que je ne le vois pas comme une fille, je ne vois pas ce que je peux faire d’autres.

Avant qu’il ne me réponde encore, j’avais rejoint son lit pour m’y réchauffer les pieds un peu. Puis j’avais enchainé en parlant de mon père, enfin de ce qui me sert de père, pour moi ce n’était qu’un tyran et non un père. On ne vivait plus au moyen-âge alors pourquoi fiancé sa fille de force. Mieux vaut que j’évite de penser à cela, je vais encore partir dans des idées noires et je n’ai pas envie de penser à des choses négatives. J’avais préféré aborder un autre sujet qui était sa fiancée. Était-il vraiment fiancé ?? J’avais un doute à la soirée Gatsby, mais je n’ai jamais eu de démentis alors je ne sais pas. Jalouse ? Non, pourquoi serais-je jalouse ? Vraiment aucune raison que je sois jalouse, ou alors peut-être un peu. Oh, je n’en sais rien, il m’embrouille, lui. « Jalouse ? On pourrait se demander la même chose de toi non ? C’est bien toi qui venu faire de l’exhibition de fiancé alors que je dansais avec Hunter. » Si on devait se demander qui est jaloux de qui, c’est sûr que je dirais Jaysaël d’Hunter. On n'avait rien demandé avec mon petit coréen, on s’amusait bien tous les deux. Oui, je l’ai embrassé, mais c’est Jay qui est venu exhiber sa fiancée ensuite, alors qu’on n'avait rien demandé.

Alors que je continue de penser que c’est lui qui est jaloux, je le vois qui se rapproche, instinctivement, je recule mon dos, mais je me retrouve vite contre le dossier du lit. Pourquoi je recule au fait ? Ce n’est pas comme s’il avait des envies de meurtres. Autant le laisser faire pour voir ce qu’il veut réellement. Il avance, encore et encore, jusqu’à ce que son visage ne soit qu’à quelques centimètres du mien. Je regarde ses lèvres, toujours aussi appétissantes qu’à la soirée mousse. La soirée mousse, j’avais apprécié notre échange dans la piscine. Soudainement, il m’embrasse, je me laisse faire, j’apprécie. Pourquoi j’apprécie autant ? Je devrais le repousser, il est fiancé, oui fiancé. Seulement pourquoi il m’embrasse s’il est fiancé ? Je réponds à son baiser, je n’ai pas envie d’y mettre fin, mais je dois savoir, je dois comprendre. On dit toujours que les filles sont compliquées, je vous assure que l’esprit d’un mec est encore plus tordu et compliqué que l’esprit d’une fille. Je finis par mettre fin à l’échange à bout de souffle, mais je ne le fais pas reculer pour autant. Je passe deux doigts sur ses lèvres alors que je m’adresse à lui. « Pourquoi ? » Un simple mot, mais qui mentionne tellement de questions. Pourquoi m’embrasses-tu ? Et ta fiancée ? Tu joues à quoi bordel…
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Mes lèvres contre les siennes... Je dois avouer que c'est quelque chose de grisant, quelque chose que j'aime. C'était la troisième fois que je l'embrassais, et à chaque fois, je trouvais cela délicieux, j'avais envie de plus, de recommencer pour aller plus loin, pour le prolonger à outrance, pour l'entendre reprendre son souffle, parce que j'ai envie, non, j'aimerais qu'elle aime cela ainsi, qu'elle en redemande comme je n'ose pas le faire pour elle. Je m'impose, sans demander, comme toujours et j'ignore ce qu'elle pense, j'ignore même si elle aime cela ou pas. mais comme elle y répond, qu'elle ne me laisse pas dans le vent en gardant ses lèvres closes et immobile, cela veut dire qu'elle aime aussi ? Ou bien accepte-t-elle pour autre chose ? Je ne devrais pas me prendre la tête comme ça, juste profiter de ses lèvres qu'elle m'offre encore pour l'instant. Et c'est ce que je fais, ma main se glissant sur sa gorge, y déposant une caresse avant de se loger dans sa nuque pour soutenir sa tête, pour continuer le baiser et finalement, elle se recule, parce qu'il faut bien reprendre de l'air à un moment où un autre et je souris. Oui, je souris, heureux de constater qu'elle a le souffle court, je l'ai également, mais j'étais satisfait d'avoir réussi à échanger un tel baiser avec elle. Elle n'était pas Sixteen, c'est certain, mais entre elle et moi, il y avait autre chose, quelque chose d'indéfinissable qui m'empêchait de lui en vouloir peut importe ce qu'elle pouvait bien me faire... Parce qu'au final, j'en avais déjà vu des vertes et des pas mûres avec elle... Une autre fille aurait fait le quart de ce qu'elle a fait, je l'aurais déjà jarretée de ma vie et je ne lui adresserais plus la parole. Alors pourquoi est-ce qu'avec elle c'est différent ? C'est assez étrange.

Je baisse le regard sur ses doigts qui caresse maintenant mes lèvres alors qu'elle me pose une question. Un pourquoi. Mais pourquoi quoi ? Je relève le regard sur son visage, laissant celui-ci plonger dans le sien. "Pourquoi est-ce que tu me poses une question à laquelle tu connais déjà la réponse ? Ou est-ce un pourquoi pour autre chose ?" Je continue de me perdre dans son regard, ma main dans sa nuque remontant doucement vers son visage pour lui caresser la joue délicatement. Je n'ai pas envie de lui faire du mal, je n'ai pas envie de la détester malgré tout ce qu'elle à pu me faire. Pourquoi elle est ainsi ? Pourquoi est-ce qu'elle me charme autant sans rien faire ? Il y avait tellement de pourquoi qui tournait dans ma tête. Était-ce la même chose pour elle ? Etait-ce pour cela que ce simple mot avait franchit ses lèvres ? "Mais si tu veux l'entendre de ma bouche, non, je ne suis pas fiancé. Mia voulait juste rendre Hunter jaloux et j'ai jouer le jeu... Le poussant un peu trop loin même." Pourquoi est-ce que je l'avais poussé si loin ? Etait-ce parce que j'étais également désireux de te rendre jalouse ? L'avais-tu seulement été ? Non, la seule fille que je veux rendre jalouse, c'est Sixteen... Sauf qu'elle ne me regardera plus maintenant... J'ai tellement merdé avec elle... Pourquoi est-ce que tout se passe si mal ? J'esquisse un petit sourire. Mais dans tout les cas, jamais je n'avouerais être jaloux. Elle devrait le comprendre par elle-même. "Je me demande quand même si la gifle était juste à cause du verre ou de cette histoire de fiancée."

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Est-ce que je connais réellement la réponse, je ne sais pas, je n’en sais rien. Comment pourrais-je la connaitre ? Je ne suis pas dans ta tête, je ne sais pas à quoi tu penses, je ne suis pas toi, je suis moi, simplement moi et tous ce que je sais pour l’instant c’est que tu m’embrasses encore et encore. Comme un désir brulant, comme si c’était devenu un geste anodin, un besoin constant. Je me laisse faire, je me laisse toujours faire, j’en ai envie, c’est une évidence, on ne peut le nier, tu en as envie également, sinon tu ne m’embrasserais pas. Alors, oui, je sais que tu veux m’embrasser, que tu aimes cela, que j’aime le contact de tes lèvres contre les miennes. Pourquoi es-tu ainsi avec moi ? Pourquoi est-ce que je ressens des picotements quand je te vois ? Pourquoi est-ce que je suis jalouse quand tu… Oui jalouse, c’est le mot. Ce n’était qu’un jeu, à vouloir trop jouer on finit par se bruler les ailes ? Je crois que c’est confirmé, je n’ai plus d’ailes, je suis redescendu sur terres et je crois bien que je ressens plus que de l’attirance à ton égard. Et toi ? Est-ce la même chose ? Quelle belle déclaration que je viens de faire, seulement, je n’aurais jamais le courage de te le dire convenablement. Tu rirais de moi, forcément. Est-ce de l’amour ? Oui peut-être, je n’en sais rien. La dernière fois que j’ai ressentis cela c’était avec mon premier amour, tu es tellement différent de lui, mais tellement attirant, attachant, charmant… Je crois bien que même tes défauts ne me posent pas de problèmes. C’est tellement compliqué si tu savais. Je garde mon ressentis pour moi, je crois que je n’ai pas réellement envie de te poser la véritable question. Puis si je commence, je pense que nous en serons encore aux pourquoi demain matin, alors je le garde pour moi. Je finirais bien par avoir ma réponse sans te demander ce qu’il en est. Puis c’est tellement évident non ? Bien sûr qu’il est question de ta fiancée et des baisers que tu continues de m’offrir. Tu ne devrais pas, tu es fiancée bordel. Tu devrais être fidèle et je n’ai pas l’intention de devenir une briseuse de ménage.

Le son franchit encore tes lèvres, des lèvres que je continue de fixer de temps à autres comme si elles étaient aimantées. La confirmation que j’attendais, oh ce n’est pas une grande révélation, je m’en doutais un peu finalement. Seulement, je désirais tellement l’entendre de ta bouche, t’entendre dire que tu étais réellement célibataire. Franchement qu’est-ce que cela devrait me faire que tu sois célibataire ? Rien, pourtant je suis heureuse, un sourire apparait même sur mon visage quand tu mentionnes que non Mia n’est pas ta fiancée. Oui, je suis contente, j’ai l’impression d’avoir le champ libre pour essayer quelques choses. Ne pas avoir de regrets. « Beaucoup trop loin en effet » Tu n’aurais jamais dû le pousser aussi loin, je t’ai giflé au cours de cette soirée. Mérité ? Si on veut, c’était sans doute exagéré pour un verre ? Cependant, tu sais bien comment je peux réagir parfois, regarde avec le pot de glace. Voilà un autre pourquoi, pourquoi avoir poussé le jeu si loin ? Que cherchais-tu à faire ? Voulais-tu rendre jalouse une fille ? Si c’est moi, cela a marché, mais je ne l’affirmerais pas à voix haute. Ou était-ce pour cette fille bizarre sortie de je ne sais ou pour m’enguirlander au moment de la gifle.

Je plonge mon regard dans le tien, je n’ai pas vraiment envie de te répondre, ni l’intention de te le dire finalement. Il faudra te contenter de la réponse que je vais te fournir. Puis elle n’est pas vraiment incorrect, ce que je vais te dire est la strict vérité, j’ai juste omis de préciser qu’il y avait ce petit quelque chose que tu voudrais entendre, j’en suis pratiquement persuadée. « Ce n’était pas exagéré, tu sais combien de temps j’ai passé pour être présentable et jolie ? » La robe, j’ai dû l’envoyer chez le pressing, mais cela je me garde bien de lui dire, ce n’est pas nécessaire. Je te regarde encore dans les yeux, je ne peux m’en empêcher, doucement, je monte une de mes mains dans tes cheveux pour les caresser doucement, je ne sais pas si tu aimes, mais je le fais, c’est comme une action naturelle, je le faisais aussi avec Dwight. « Je te déteste tu sais ? Parce que tu ne me laisse pas indifférente. » C’était dit, d’une façon ou d’une autre, j’aurais finis par le sortir alors maintenant il ne restait plus qu’à prier pour ne pas se prendre un vent.
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