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(romyr) i'll admit that i'm a fool for you.

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— with princesse roycie.

Constat : dormir seule, c’est moche. Elle est où l’autre moitié qui réchauffe la place et qui ne me donne pas l’impression d’être seule au monde ? Parce que pour être seule, je le suis bien. Enfin, techniquement non, je ne le suis pas étant donné qu’il y a Anastasia et Reese sauf que l’autre moitié du lit se sent abandonnée. Okay, d’accord, cette fois c’est probablement de ma faute parce qu’il n’y a pas si longtemps, Royce occupait l’autre moitié de mon lit. Il y serait peut-être si je n’avais pas déconné, qui sait ? Enfin, j’en ai marre. Je dois lui dire la vérité parce que je ne peux pas me faire à l’idée qu’il puisse me détester. Alors, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai pris la direction de son appartement… J’y vais au hasard parce que je ne sais plus où il vit. Au pire, je toquerai à toutes les portes de son immeuble en mode yolo, mauvaise porte, désolée du dérangement, mignon le chaton et partir après avoir complimenté un truc. Ça fait moins sauvage. Non, sérieux, je toque deux coups à sa porte et j’attends qu’il vienne ouvrir. En vrai, je ne sais même pas s’il est là. Ah non, il est là, je peux entendre des pas se diriger vers la porte qui s’ouvre. Okay, maybe que ce n’était pas une bonne idée. « Salut… » Je m’arrête parce qu’il y a un autre humain dans ses bras. Dat fuck ? Je fronçai les sourcils sur la surprise tandis que mes yeux font des allers-retours de Royce au petit être humain. « C’est un mauvais moment ? » Je peux toujours repasser même si mon courage va être dégonfler au maximum.
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— with palmier.

Ce week-end, c'était moi qui gardait Oscar et même si j'adorais mon fils, j'avais envie de sortir, de voir mes potes, mais je suis obligé de rester à la maison. J'avais enfin rangé l'appartement et le berceau était enfin monté. Ouais je suis un père très responsable, j'ai monté le berceau un mois après sa naissance, en attendant bébé avait dormi avec moi dans mon grand lit. D'ailleurs ça a posé quelques problèmes quand il dormait chez Leevy, il avait pris l'habitude de dormir avec papa. Oups. S'il y a bien un avantage d'être parent et de vivre séparément, c'est qu'on pouvait faire ce qu'on voulait, tant que bébé n'utilisait pas encore le langage, j'ai pas envie qu'Oscar aille raconter à sa mère que je lui donnais des bonbons avant d'aller dormir. Simple exemple. J'étais en train de regarder le base-ball à la télévision et j'étais à deux doigts de m'endormir, avec mon fils qui ronronnait sur mon torse. Cela lui arrivait souvent de se taper une sieste, accroché à mon épaule. Et moi, le fait d'entendre ses ronflements, ça me donne juste envie de piquer un petit somme. Hélas, non, la sonnette retentit et je frottais mes yeux pour me réveiller. On était quel jour? Quelle heure? J'avais perdu un peu la notion du temps. Je me levais en baillant et j'ouvris la porte sans m'attendre à voir Palmyr. Je ne sais pas ce qui était le plus gênant, le fait qu'elle tombe sur mon fils ou le fait qu'elle vienne me reparler après m'avoir rejeté. « Non entre, il fait froid. » les bébés sont fragiles et un simple courant d'air pouvait les rendre malades. Contrairement à elle, moi je ne la fais pas attendre dans le froid. « Je... pardon mais je ne m'attendais pas à te voir, si j'avais su j'aurais... peu importe. » je n'aurais tout de même pas caché mon fils, il est là dans mes bras et il se réveillait tout doucement.
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— with princesse roycie (romyr) i'll admit that i'm a fool for you. 152426858.

Dites-moi que je ne suis pas folle. Que c’est bien un bébé humain qui respire que Royce tient dans ses bras. Un bébé qui émerge lentement de son sommeil. Merde, est-ce que c’est le sien ? Non, Palm, ce n’est pas le sien, il fait du babysitting gratuit, cruche. Bah oui, je me pose les questions débiles, que voulez-vous que j’y fasse ? Je suis sur le cul, je ne m’attendais pas à le voir avec un gosse endormi contre son torse. Puis, il a quel âge ce gosse ? Il est tout nouveau, tout frais. Je secouai la tête avant d’entrer chez lui parce qu’il est sympa, lui, il ne laisse pas les gens poireauter au froid. Pas comme certaine. « Non, enfin, si j’avais su j’aurais appeler avant. » Ou pas. L’appeler aurait été trop bizarre, dans un sens où il est supposé me faire la gueule et que je suis supposée de vivre avec ce fait. Sérieusement, je suis incapable de détacher mon regard de son gosse, c’est étrange. Et comment est-ce que je pouvais savoir qu’il avait un gosse ? Royce ne me parle pas de sa vie. On ne parle pas de nos vies. C’est comme ça. « Il s’appelle comment ? » Je l’avoue, je tourne autour du pot parce que les excuses ce n’est aucunement mon point fort. Je sais reconnaître une erreur, mais annoncer un mensonge et présenter des excuses c’est différent par chez moi. « Il a tes yeux. » Bravo, Palm, tu as le sens de l’observation.
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— with palmier.

Palmyr chez moi, okay. J'ai envie de m'énerver mais je suis obligé de rester calme avec Oscar qui émergeait dans mes bras. Je ne m'attendais pas du tout à la voir, je ne savais pas ce qu'elle voulait et j'étais curieux de savoir. J'osais à peine la regarder dans les yeux, tellement elle me perturbait. J'ai retenu ce qu'elle m'avait dit avant que je l'embrasse. Je dois la détester, mais je n'y arrive pas, c'était au dessus de mes forces. Je levais les sourcils, étonné d'apprendre qu'elle aurait du m'appeler avant. Parce que tu crois que j'aurais répondu à ton appel? Qu'elle est naïve, elle m'énerve. Mon fils tourna la tête vers la quincy et la fixait de ses gros yeux bleus. « Oscar. » répondis-je, surpris qu'elle s'intéresse à lui. En même temps, je ne lui ai pas parlé de lui avant. C'était une partie de ma vie privée que j'évitais de raconter aux filles que je fréquentais, cela pouvait faire peur, être un désavantage ou un tue l'amour. Nos regards se croisèrent lorsqu'elle disait qu'il avait mes yeux. Forcément. Donc elle a compris que c'était moi le père, j'imagine. « Je vais le mettre au lit. »  je déglutis puis je m'absentais quelques minutes pour mettre bébé dans son berceau et une fois qu'il commençait à retomber dans les bras de Morphée, je retournais voir Palmyr dans le salon. « Ouais, j'ai un bébé. Leevy a accouché il y a quelques semaines. » dis-je directement comme si je savais qu'elle allait me poser la question. Qu'elle prenne peur de cette révélation, je m'en fous, j'ai plus rien à perdre de toute façon. « Qu'est-ce que tu viens faire ici? » en gros, qu'est-ce que tu veux? Je pensais que le message était bien clair.
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Pour être honnête, ça me choque de le savoir père. Sérieusement, je crois que c’est bien la dernière chose à laquelle je m’attendais en venant jusqu’à chez lui. D’ailleurs, je ne peux pas m’empêcher de me demander pourquoi il a gardé ça secret. Okay, je peux comprendre que Royce n’aime probablement pas partager ce détail, mais quand même ce n’est pas un truc que tu dis à une fille ? Enfin, je ne sais pas, si j’avais un enfant je lui aurais dit. Sauf que ce n’est que mon avis et Royce est libre de faire ce qu’il veut. Maintenant, je sais que c’est son gosse parce qu’il lui ressemble et que malgré le fait d’être blonde, je ne suis pas conne. Oscar, c’est mignon comme tout. Il est mignon. Comme tous les enfants, vous allez me dire, mais non. Ce n’est pas tous les enfants qui sont mignons. En tout cas, je laisse Royce aller mettre son fils au lit. Je crois que c’est la première fois que je suis aussi près d’un enfant puisqu’habituellement, ils me terrifient. Bref, je regardai autour de moi durant l’absence de Royce sans pour autant retirer mon veston de cuir. Je n’en ai pas envie et je n’en vois pas l’utilité. Dans quelques minutes, Royce allait probablement me jeter à l’extérieur de son appartement comme j’ai fais la dernière fois. « Ooooook. » Répondis-je en le regardant me sentant légèrement attaquée. Il n’arrivait pas à voir le drapeau blanc dans cette situation ? « Présenter des excuses ? » C’est une affirmation ou une question, Palmyr ? Moi-même je ne savais pas. « Non, pas des excuses... Enfin, peut-être dans quelques minutes, mais pas là. Là, j’veux que tu saches que… » Que ? Hahaha, je suis mal à l’aise et je crois que ça se voit. Je veux dire que je n’arrête pas me mordre la joue, de passer une main dans mes cheveux. J’ai tous les tics d’une personne nerveuse. « Je t’ai menti. Je n’ai pas couché avec Adriel, c’est un mensonge parce que je suis rancunière et je voulais que t’ai mal comme j’ai eu mal. » Parce que je suis naïve, Royce et que j’y ai cru, mais ça je ne le dis pas.
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Bon, l'épisode Oscar, les présentations tout ça, on le fera une autre fois. J'ai mis Oscar au lit pour que nous puissions être rien que tous les deux. Je veux entendre ce qu'elle a à me dire, ce qui lui a donné l'envie de faire le déplacement jusqu'à Boston pour me parler. Je m'installais confortablement dans le canapé et je levais le regard vers Palmyr pour l'inviter à venir me rejoindre. Il faisait plus chaud ici et la cuisine n'était pas le meilleur endroit pour avoir une discussion sérieuse. Présenter des excuses? C'était le monde à l'envers? Je me retenais de répliquer et de l'envoyer chier mais je faisais l'effort de me contenir et de l'écouter jusqu'au bout. Mes yeux doublèrent de volume lorsqu'elle me lâcha la bombe. « Pardon? » lançai-je surpris du tac au tac. Elle avait menti sur sa coucherie avec Adriel. C'était... nul, tellement nul et je me trouvais trop con de l'avoir crue, j'ai été bien naïf sur le coup. Je riais nerveusement et je secouais ma tête en détachant mon regard de ses beaux yeux. « Ça c'est la meilleure. » la meilleure de l'année même. Je passais une main dans mes cheveux et je soupirais bruyamment. « Qu'est-ce que tu attends de moi au juste? Que je te déteste encore plus? » si c'était son moyen de présenter ses excuses c'était pourri, elle me donnait juste encore plus envie de m'éloigner d'elle. J'étais paumé, mais heureux d'apprendre qu'elle n'avait pas couché avec lui.
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C’est comme ça que les gens se sentent après avoir admis avec raconter un mensonge ? Comme s’ils avaient de se retrouver six pieds sous Terre ? En fait, je crois que j’irai pour douze pieds afin d’être certaine que je suis véritablement enterrée, voyez ? Plus sérieusement, je crois que c’est une bonne chose que Royce se soit assis avant que je déballe tout parce qu’y avait des chances qu’il tombe d’haut. En tout cas, moi, je restai rester debout, c’était mieux si jamais je voulais prendre mes jambes à mon cou et m’enfuir. Loin, très loin. Genre au Canada. Ou en Australie. Oui, l’Australie, je n’aime pas le froid et il fait froid au Canada. « À ce stade-là, Royce, tu fais comme tu le sens. Si tu décides de me détester, je ne vais pas te tordre le bras pour que ce ne soit pas le cas. » Répliquai-je après avoir haussé les épaules parce que moi-même je ne sais pas ce que j’attends de lui. Ce qu’il ne sait pas c’est que ce n’est que la pointe de l’icerberg, que j’en ai encore à déballer pour me sentir bien. Me sentir Palmyr, celle qui dit ce qu’elle a à dire et qui ne ment pas. Celle qui déteste les mensonges. L’ancienne. La Sainte. Parce que je préférai passer pour une Sainte que pour une menteuse. « Écoute, peut-être que pour toi ton cap n’était que des paroles en l’air, mais moi je l’ai pris au sérieux. Probablement un peu trop parce que pour la première fois depuis des années, j’ai ressentie de la jalousie. J’ai juste mal jouée mes cartes sur ce coup-là et pour ça, j’ai raconté des conneries. Je connais Adriel parce que c’est le meilleur ami de Walter, mais y a jamais rien eu avec lui. J’ai simplement été moi-même : Palmyr, la naïve. » Ce qui n’est pas complètement faux, by the way. À la fin, j’haussai simplement les épaules avec désinvolte. Y a rien à ajouter, right ?
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Je ne m'attendais clairement pas à ce que Palmyr joue la carte de l'honnêteté. J'étais encore tout secoué par ses aveux et je ne savais pas quoi dire. Je la regardais de temps en temps puis je chassais mon regard autre part le temps que ses parles puissent trotter une deuxième fois dans ma tête. Elle n'a pas couché avec Adriel. J'avais envie de crier, de frapper quelque chose tellement ça m'énervait. J'étais soulagé, je sentais la pression retomber, mais j'avais du mal à réaliser que j'avais été pigeonné alors que d'habitude, c'est moi qui emmenait les gens en bateau. On va dire qu'elle avait fait ça car je l'avais mérité? Car j'avais trahi le pacte qu'on avait fait? Je ne cherchais même pas la raison de son mensonge puisqu'elle ne tarda pas à me l'expliquer. Elle avait pris trop les choses à coeur et j'aurais du m'en douter. C'était Palmyr, la gentille quincy qui ne ferait pas de mal à une mouche. J'aurais du savoir que ce n'était pas son genre de jouer la garce. Je déglutissais lorsqu'elle m'avoua qu'elle avait été jalouse. Jalouse d'Ariel, comme Ariel est jalouse de Palmyr. Les filles, beaucoup trop compliquées pour moi. « Viens t'asseoir près de moi. » je lui faisais signe de se poser à côté de moi et lorsqu'elle s'exécuta, je posais finalement mon regard bleu dans ses yeux, en retirant ce regard noir plein de haine. « Je ne t'en veux pas. Je sais ce que c'est de ressentir de la jalousie et je sais qu'on est prêt à faire des trucs vraiment idiots pour calmer ce sentiment. » comme m'envoyer chier dès que je luis courrais après. Je soupirais puis je lui faisais un petit sourire en remettant une mèche dorée de ses cheveux qui avait glissée sur sa joue. « Alors comme ça, tu es jalouse... » je voulais en savoir plus. Est-ce que je lui plaisais? Est-ce que je voulais l'entendre? En tout cas, sa révélation m'avait rendu le smile. Je souriais comme si rien de froid ne s'était passé.
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Wow, ça fait un bien fou de dire la vérité. J’ai vachement l’impression qu’il y a un poids de moins sur mes épaules. C’est génial. Quand même, je ne peux pas m’empêcher de me demander combien de temps Royce aurait été capable de me faire la gueule… Non, sur ce coup, je suis fière de moi. Bon, moins contente d’avoir encore à m’entendre dire que je suis naïve, mais voilà quoi. Ce petit côté faisait parti de moi et je n’y peux rien. Je vis avec ce défaut. Bref. Je regardai longuement la place près de lui et finalement, je m’exécutai en m’asseyant et je croisai les mains sur mon genou. « C’est vrai ? Génial, ça me rassure de ne plus te savoir frustré contre ma petite personne. » Répondis-je en souriant parce que je suis sincère. Je n’aime pas être en conflit avec une personne que j’apprécie fortement. Haha, rire nerveux qui ne dure pas très longtemps. Quelques secondes, maximum. Bien sûr, lui, ça le fait sourire. Je ne me plains pas, je préférai voir Royce souriant que furieux contre moi. C’est une bonne chose, sérieux. « Était ; au passé, Royce. Une fois, ça me suffit amplement. » Non, mais c’est vrai quoi, la jalousie est un vilain défaut. Tellement inutile qui fait qu’on a des réactions de merde. Je n’ai plus envie que ça m’arrive que ce soit avec Royce ou avec n’importe qui. Je préférai ne pas y réfléchir ou même m’emporter pour un truc aussi ridicule qu’un suçon. L’espère féminine est libre de laisser autant de marque qu’elles veulent sur l’épiderme de Royce. Bref, tout ça pour ne pas lui avouer qu’il me plaît bien, au fond. « Maintenant, je vais te féliciter quand tu auras des marques sur toi, okay ? Okay. » Second rire nerveux. Je blague, je préfère ne pas savoir.
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Franchement, je ne pensais pas un jour en vouloir à Palmyr. C'est pour ça que j'ai vraiment été choqué quand elle m'avait blessée, car pour moi, c'était impossible qu'elle joue le rôle de la méchante, de la biatch de l'histoire. Elle était tout sauf ça. Elle était comme je la connaissais. C'était juste une petite passade de jalousie, rien de bien sorcier. Ça se guérissait ce truc? Je ne pense pas. Il fallait que la quincy trouve un remède à tout ça sinon dans quelques semaines elle allait vraiment devenir accro à moi, sans vouloir me vanter. La jalousie ne disparaissait pas du jour au lendemain, même si elle semblait sure d'elle de ne plus l'être. Je levais un sourcil amusé et je riais car je la trouvais trop mignonne à essayer de se justifier. « Pourtant tu le seras encore. » je ne la rassurais pas du tout haha. Mais d'après mon expérience, lorsqu'on était jaloux par rapport à quelqu'un on le restera toujours quoi qu'il arrive. Je suis jaloux des mecs que fréquentent mes exs, Apple, Leevy et même Claarys. C'était comme ça. Et maintenant, je sais que je peux devenir jaloux si Palmyr se met à fréquenter quelqu'un. Palmyr essayait une blague et je la regardais avec un petit sourire. J'ai pas compris sa blague mais ce n'est pas grave, le principal c'est qu'elle garde le sourire. « Tu n'as pas de raison d'être jalouse. Personne me plait ici... à part toi. » avouai-je en la regardant de mon plus tendre regard. Je disais ce que je pensais, Palmyr me plaisait et elle m'a toujours plu. Les autres ne lui arrivaient pas à la cheville et je vais éviter de mentionner Leevy car ça pourrait bien foutre le bordel. Oui je suis un gros baiseur, je couche à droite à gauche mais aucune d'entre elle n'avait réussi à faire la différence depuis que je suis célibataire. « Et moi, est-ce que je dois m'inquiéter? Tu as d'autres hommes dans ta vie? » lui lançai-je amusé. Oh god pourquoi j'ai posé cette question. C'était soit je m'énerve dans les secondes qui arrivent, soit je l'embrasse.
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