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Time Square can't shine as bright as you. | Noah évoqua Persée et Andromède comme quoi il était lui et moi elle. C’était adorable parce que cela voulait dire qu’il voulait me protéger et faire en sorte que personne ne puisse m’atteindre. Ça me faisait chaud au cœur de voir qu’il voulait s’investir autant avec moi alors qu’il ne savait pas vraiment qui j’étais au fond. C’était vrai, il ne connaissait pas mon passé, ni même ce que je vivais en ce moment et pourtant, c’était un peu comme si nous étions un vieux couple qui s’aimait très fort. Noah mit un peu de temps avant de me rejoindre sur la passerelle, je ne savais pas ce qu’il faisait mais peu importait, je l’attendais patiemment dehors. Lorsqu’il arriva, il se mit derrière moi et mit les mains sur la rambarde également. J’avais déjà fait mon vœu, à vrai dire il me vint instinctivement et évidemment, il concernait le jeune homme. Je n’avais pas d’autre vœu que celui que j’avais fait, dans tous les cas, j’espérais qu’il se réalise… Un silence s’installa quelques secondes, j’étais toujours ébahit par l’immensité qui se trouvait devant nous. Toute ces étoiles, ce paysage qui ne pouvait être qu’observé et admiré. Noah se mit à mon oreille et commença à chuchoter quelques paroles que l’on retrouvait dans le Titanic. Il me faisait fondre à chaque fois qu’il faisait référence à ce film car c’était l’un des plus beaux que je n’avais jamais vu et qu’à ce moment présent, nous nous retrouvâmes comme Rose et Jack. Il ne restait plus qu’à espérer qu’aucun d’entre nous ne perdrait la vie sur la barque qui ne ramènerait sur la terre ferme… Je souriais toujours autant alors que Noah m’enlaça et me serra fermement contre lui. Je portai ma main droite sur son bras alors que mes yeux se refermaient doucement lorsque ses lèvres touchaient ma peau. « J’espère qu’aucun iceberg ne viendra gâcher tout ça… » Je rouvris les yeux et levai la tête vers lui tout en lui souriant. Il était encore plus beau avec cette lueur qui l’éclairait avec douceur. Il enchaina par me dire que l’Amanda qu’il connaissait était gentille et que c’était tout ce qu’il lui importait. Mais je supposai à ce moment-là, qu’il ne pouvait pas s’imaginer comment je pourrais lui faire du mal et comment je pourrais être désobligeante avec lui… J’avais peur de tout ça parce que j’étais une fille qui réfléchissait trop, qui n’écoutait pas son cœur mais plutôt sa raison et ça m’avait valu quelques tours auparavant. C’était bien trop difficile pour moi de m’engager à cause de cette hésitation que j’avais toujours. Pourtant, je savais ce qui était bon pour moi, j’écoutais les conseils de mes amies et il fallait toujours que je n’en fasse qu’à ma tête… Il m’embrassait le cou… Près de la nuque et à chaque fois que se posaient ses lèvres sur ma peau, je frissonnais, ça me parcourait le long de la colonne vertébrale et remontait jusque sur mon crâne un peu comme si mes cheveux se dressaient sur ma tête. Il me dit qu’il voulait rester avec moi toute l’éternité… A cette phrase, que je trouvais absolument adorable, je me retournai vers lui pour passer mes bras autour de son cou. Je me mis sur la pointe des pieds et l’embrassai tendrement sur les lèvres. J’avais envie de le manger tout cru tellement tout ce qu’il me disait était mignon… « Tu es adorable, j’ai envie de te manger tout cru… » Je ris quelque peu et me mordis la lèvre tout doucement pendant que je me resserrai contre lui. La couverture tomba de mes épaules et dévoilait mes épaules. Il me fit remarquer qu’il espérait que mon vœu le concernait sinon il en serait très vexé… Je le regardai de nouveau avec le sourire aux lèvres et lui avouai : « Evidemment qu’il te concerne, mais je ne peux rien te dire sinon, ça portera malheur. » Je lui fis un petit clin d’œil avant de le serrer dans mes bras, très fort, comme si je n’avais plus envie qu’il s’en aille. « Et moi non plus je n’ai plus envie de te quitter, je ne sais pas quelle heure il est mais je n’ai pas envie que le soleil se lève… » J’avais ma tête posée contre son torse, j’entendais son cœur battre ce qui faisait emballer le mien. J’avais envie de rester comme ça, pour toujours, on était si bien ensemble… Nous avions oublié tout ce qu’il nous entourait, c’était un peu comme si nous étions les deux seuls survivants après une apocalypse… J’allais peut-être un peu loin, mais c’était vrai, nous vivions dans notre bulle, sans plus penser que d’autres personnes existaient et qu’il pouvait régner dans ce monde de la misère. Notre bonheur avait effacé absolument tout et j’espérais, au plus profond de mon cœur, que cela continue le plus longtemps possible… Malgré mes épaules nues, je n’avais pas froid, pas dans ses bras, en tout cas que je ne me souciais pas de ça et j’adorais sentir sa peau contre la mienne… |
Time Square can't shine as bright as you. | Il me trouvait belle et à son goût, évidemment je l’avais compris puisqu’il me le répétait environs toutes les demi-heures… C’était absolument trop adorable même si je ne me trouvais pas plus jolie que beaucoup d’autres filles. Il me l’avait répété encore et encore et ça me flattait toujours autant depuis le début. Il me faisait craquer à chaque fois qu’il me l’avouait. Et je souris toujours autant, d’un sourire sincère et évocateur de mon bonheur. Je le fixais dans les yeux, le menton un peu en retrait, le regard grand ouvert. C’était impressionnant comment mon avis sur lui avait changé en l’espace d’une soirée. Au début, j’étais très méfiante et surtout, je ne le trouvais pas à mon goût. Et là maintenant, c’était tout le contraire, j’aurais donné tout ce que j’avais pour qu’il puisse se rendre compte à quel point j’avais une confiance aveugle en lui. Mon style de garçon était en général ceux qui sont parfois un peu trop sûr d’eux, ceux qui savent qu’ils sont beaux et appréciés par le plus grand nombre de filles. Mais là ce n’était pas le cas, Noah ne jouait pas de son apparence, il avait son propre genre et il n’en faisait pas trop. C’était cela qui était attirant chez lui finalement. Malgré tout, je me demandais si nous étions ensemble ou pas ? Est-ce que tout cela voulait dire que nous sortions ensemble ? D’après moi, oui mais est-ce que c’était aussi clair dans sa tête ? J’avais envie que l’on soit ensemble comme nous l’étions ce soir-là, tous les autres soirs de notre vie. Peut-être que je me projetais un peu trop pour le moment, mais cela m’arrivait toujours, j’avais toujours envie de savoir ce que l’avenir nous réservait. C’était un défaut chez moi et ça pouvait effrayer les garçons avec qui je sortais. « Je ne vais pas te tuer, au contraire, je vais te dévorer si tu continues, et pour de vrai cette fois-ci. » Je ris un petit peu en resserrant mes mains doucement sur sa chemise, il me dit qu’il me laisserait faire alors, je ris de nouveau et me mordit encore plus la lèvre. C’est vrai, ça avait une connotation un peu perverse lorsqu’on se disait ce genre de chose et ça me faisait toujours rougir un minimum. Il me prit, d’un seul coup et m’embrassa très passionnément. Il avait posé sa main sur ma joue et la caressa délicatement. Lorsque l’on se décolla, je lui souris et nous reprîmes notre étreinte si délectable. Finalement, nous nous desserrions et il me regarda avec ses yeux d’enfants qui me faisaient craquer. « Je vais finir de préparer notre suite. » Je le regardai alors d’un air interrogateur ? Que voulait-il dire par là ? Cela signifiait-il que nous allions dormir dans cet endroit froid et lugubre ? Sur le moment, j’aurais largement préféré qu’il me ramène chez lui, même si conventionnellement ce n’était pas dans mes règles, que de dormir ici… « Hein… Quelle suite ? » J’avais un peu peur de ce qu’il allait me présenter mais après tout, je lui faisais confiance alors je n’avais pas le droit de douter normalement… Par la suite, nous rentrions tous les deux dans l’unique pièce du phare. Je remarquai qu’il avait installé quelques bougies et une lampe à pétrole pour que l’on puisse y voir un peu plus clair et certainement créer une ambiance un peu moins glauque qu’auparavant. Ça marchait, ça l’était moins, beaucoup moins même. Je fis un petit sourire en voyant son installation, c’était absolument trop adorable… « Ah, d’accord, je comprends beaucoup mieux maintenant… » Je ris délicatement en regardant Noah qui avait décidé d’amener le lit en face de la fenêtre. De là, nous pourrions observer le ciel, la lune et les étoiles ainsi que la ville. Je compris rapidement et rejoins très vite le jeune homme. C’est à ce moment qu’il me dit qu’il avait choisi notre premier film. Toujours les lèvres étirées, je plongeai mes yeux dans les siens et lui dis : « Ah ? Et c’est quoi le titre de ton film ? » Mon regard était malicieux et je lui donnais toujours autant l’occasion de découvrir mon sourire. Noah m’attrapa par le bras et me mit sur ses jambes, de côté. Je pouvais facilement poser ma tête sur son épaule et c’est ce que je fis avant qu’il ne se mit à me serrer très fort contre lui. J’adorais ses câlins et je ne pouvais presque plus m’en passer désormais. Ensuite, il me dit qu’il avait trouvé et je le regardai faire. Il prit son téléphone et commençai à mettre une musique. Je la connaissais, et l’adorais car c’était totalement mon style. Néanmoins, les paroles étaient dures, dures pour lui, douces pour moi. Ça me rendait un peu triste qu’il se dévalorise tant car au final, s’il avait choisi cette chanson c’est qu’elle lui correspondait et que cela voulait tout signifier. Je me resserrais contre lui comme pour lui dire qu’il ne devait pas s’en faire et qu’il n’avait rien de « Creepy ». Lorsque la musique finit, je posai ma main sur la sienne, qui s’était glissée sur ma cuisse dénudée qui frissonnait et la resserrai contre ma paume. « T’es pas quelqu’un de bizarre… » Je passai mes deux bras autour de lui et le resserrai très fort contre moi. Je voulais lui dire qu’il était formidable et qu’il se sous estimait bien trop, mais je me tus et le poussai pour le faire basculer et qu’il se retrouve allonger. Je me retrouvai sur lui et continuai de le serrer fermement contre moi. Les yeux fermés, j’essayais de lui donner tout l’amour que je ressentais dans cette étreinte… Au bout d’un moment, je me redressai et me retrouvai à califourchon sur lui, les deux mains posées sur son ventre. « Je trouve que tu te sous-estime trop Noah… » Je le regardai dans les yeux, sans sourire, très sérieuse. « Tu es quelqu’un d’exceptionnel, je t’assure. En tout cas… A mes yeux, tu es génial et tu vaux bien plus que tous les garçons que j’ai rencontré avant… » |
Time Square can't shine as bright as you. | J’avais les yeux plongés dans les siens, j’avais l’impression de me perdre totalement quand je le regardais, tellement l’attraction qu’il exerçait sur moi était forte. Son attraction était puissante et là, dans cette ambiance, mon cœur s’emballait de plus belle. J’avais une sensation étrange, presque douloureuse qui démarrait de ma mâchoire et qui se terminait dans mon bras gauche. C’était mon cœur qui battait trop vite, à cela s’ajoutait ma respiration, rapide et entrecoupée de mes déglutitions. Ma gorge était définitivement sèche, en plus de ne pas avoir bu depuis un moment, le fait de respirer si fort me déshydratait particulièrement. J’étais complètement perdue dans son regard, nous ne disions rien et il n’y avait aucun bruit. Les flammes des bougies dansaient et nos ombres sur les murs en faisaient tout autant. Tout était en mouvements autour de nous, tandis que lui et moi ne bougions pas. Il y’avait tellement de choses qui passaient dans ces regards, je ressentais tout l’amour qu’il me vouait et il devait certainement ressentir la même chose émanant de moi. En tout cas, c’est ce que j’essayais de transmettre dans les yeux que je lui faisais. Mes mains toujours posées sur son ventre serraient le tissu qui le recouvrait et qui composait sa chemise qui lui allait parfaitement. Finalement, je le vis retirer ses bras de l’arrière de sa tête et pour la première fois depuis un certain moment, je lâchai son regard pour observer ses gestes que j’appréhendais. J’étais sûre et certaine de ce qu’il allait se produire par la suite. Deux jeunes gens, de sexe opposé, dans une pièce totalement isolée du monde et par-dessus tout, sur un lit. Je n’avais pas forcément peur parce que je lui faisais confiance et que j’étais persuadé qu’il serait le plus doux du monde avec moi mais j’étais simplement anxieuse à l’idée de dévoiler mon corps qui me gênait légèrement. Il déboutonna mon short d’emblée, je rougis, il pouvait apercevoir les bords de mon sous-vêtement, une culotte blanche, où était brodée de la dentelle et un petit nœud rose. Mon cœur frappait tellement fort dans ma cage thoracique, c’en devenait violent et douloureux. Ma respiration s’accélérait et l’idée de nous unir ainsi me traversait l’esprit plusieurs fois. Des frissons parcouraient l’intégrité de mon corps qui commençait à se réchauffer naturellement. Je devais certainement avoir une pression artérielle vraiment augmentée, Noah me faisait un effet fou et je sentais qu’il me désirait plus que tout. Je ne vis rien venir, je fermai légèrement les yeux lorsqu’il me fit basculer à mon tour afin que je me retrouve sous son corps. Appuyé sur ses avants bras, il me regardait quelque peu avant de venir m’embrasser avec fougue d’abord, puis langoureusement par la suite. J’avais fermé mes yeux et je participais à ce baiser avec toute ma tendresse et toute mon envie également. Ses caresses me faisaient littéralement vibrer, tantôt je frissonnais, tantôt je frémissais. Ma respiration s’accélérait encore plus, néanmoins, j’essayais de me calmer mais rien n’y faisait. Je le laissais faire, non pas parce que je n’osais pas l’arrêter mais parce que mon corps en avait envie, autant que lui à mon avis. Il arrêta son baise, les yeux mi-clos, je le regardais faire. Il continuait dans mon cou et j’apportai ma main dans ses cheveux pour l’encourager à continuer ses baisers qui me faisaient trembler. Son bassin se rapprocha du bien, faisait augmenter mon désir encore plus qu’auparavant. Je regardais un petit peu le plafond, ne pensant à rien et profitant de l’instant que je trouvais excellent. Mon autre main vint se faufiler sur son dos et lorsqu’il soupira à mon oreille, ma main se resserra contre lui, enfonçant légèrement mes ongles dans sa peau. Il avait voulu me dire quelque chose mais ne l’avait pas fait, peut-être qu’il avait peur de le faire… Ou bien il n’avait pas osé… Il se redressa un petit peu, nos deux visages étaient très proches, je le regardai de nouveau dans les yeux à ce moment-là et il pouvait largement remarquer que j’étais un petit peu stressée mais j’essayais de ne pas me laisser submergé par tout cela. Il passa sa main sous mon haut, je le laissais toujours faire malgré cette légère crainte. Les yeux plongés dans les siens, ils clignèrent comme pour dire qu’il pouvait continuer… Je pris une grand inspiration et passait moi-même la main sous sa chemise pour venir caresser délicatement la peau de son dos. Mes deux jambes se resserraient contre son bassin, légèrement tremblantes et l’une des deux était pliée. Je bouillait désormais et il pouvait très nettement le remarquer. |
Time Square can't shine as bright as you. | En fait j’avais toujours eu un problème avec mon corps, d’où la difficulté à le montrer. Je savais qu’il n’y avait rien de grave, que j’étais parfaitement normale mais des détails aux yeux des autres devenaient pour moi une tare. Noah se voulait tout à fait rassurant, j’avais eu peur de cela mais il m’apaisait, par ses gestes, ses regards et son attitude. Tout en lui était absolument doux, je n’avais jamais connu cela, à part pour ma première fois que j’avais tardé à découvrir. Ses baisers, ses attentions, tout me plaisait et je lui prouvais en l’encourageant à chaque fois… Notre complicité d’auparavant se traduisait maintenant par un moment en parfaite symbiose, on se comprenait, on se faisait confiance et cela se ressentait. En tout cas, moi j’avais confiance en lui. C’était la première fois que je coucherai le premier soir, en général, je me respectais assez pour refuser mais cette fois-ci, c’était bien différent. Nous avions eu un vrai coup de foudre l’un envers l’autre et notre relation avait tellement grandit en un soir, en quelques heures, que rien ne faisait que tout était précipité. Tout était murement réfléchi et je ne fonçais pas tête baissée car je savais que l’on se reverrait très vite. Il m’embrassait le cou, n’arrêtait jamais et cela me chatouillait, mais je ne dis rien, je me contentais de respirer fortement et de me cambrer toujours un peu plus. Son bassin était collé au mien et je sentais petit à petit son excitation s’affirmer au fur et à mesure des coups délicats qu’il me donnait. Des frissons parcouraient de plus en plus mon corps, je sentais l’excitation en moi et dans le tissu qui me servait de culotte… Je devais être rouge comme une pivoine et j’avais chaud, très très chaud. Il se redressa et m’emporta avec lui, me retrouvant assise face à lui. Mon haut se retrouva bien vite par terre, laissant apparaître ma peau blême et parsemée de quelques grains de beauté par-ci, par-là. Noah pouvait voir également mon soutien-gorge blanc, en dentelle qui retenait ma petite poitrine qui me complexait tant. Il n’eut aucun regard déplacé envers moi, il soutenait ses yeux dans les miens et je compris qu’il ne voulait pas me rendre plus mal à l’aise que je ne l’étais déjà. Il m’embrassa par la même occasion, les deux mains sur mes joues et plein de fougue. Je tentais toujours de passer ma langue afin de retrouver la sienne et pour qu’elles puissent danser ensemble. Ce genre de baiser m’excitaient toujours… Il brisa l’accouplement de nos langues pour qu’il puisse me regarder. Il était beau lorsqu’il était si sérieux. Les yeux grands ouverts pour ma part également, je dessinai sur mes lèvres un léger sourire qui traduisait tout le bonheur qu’il pouvait me procurer à ce moment. Malgré tout, lui aussi semblait stressé, peut-être avait-il peur de mal faire, de mal s’y prendre avec moi ? Mais j’étais certaine qu’il serait parfait. D’ailleurs, tout dans cette soirée était parfait, alors j’étais persuadée que cela durerai jusqu’à la fin. Mon short finit lui aussi par terre et j’étais désormais en sous-vêtements devant lui, je n’étais pas encore tellement mal à l’aise car j’avais toujours quelques bouts de tissus qui me cachaient. Finalement, je me retrouvai une nouvelle fois sur le lit, en dessous de lui, et il poursuivit ses quelques coups de bassin qui m’excitaient tellement. Mes mains vinrent, sans que je ne les commande, sur le haut de sa chemise pour que je puisse défaire les boutons qui l’ornait un à un. Une fois terminé, mes doigts coururent le long de ses épaules pour lui enlever cette chemise qui était de trop désormais. Ils continuèrent le long de son torse pour finir sur le haut de son pantalon, ils retirèrent ce bouton et cette fermeture qui gênaient tant à la situation. Je descendais de mes mains le pantalon du plus possible que je pus et recollai mon dos contre le lit. Je regardai Noah quelques instants dans les yeux avant de repasser mes mains sur son dos que je recommençais à caresser avec délicatesse. Ses mouvements me semblaient bien plus agréables maintenant et je n’avais qu’une envie, que ce qui nous séparait encore soit définitivement enlevé. J’avais toujours la respiration aussi haletante qu’au début et le cœur qui s’emballait toujours autant mais je m’y étais accoutumée. Mes cambrures traduisaient mon désir et je ressentais de plus en plus l’envie de passer à la suite. Ma culotte se détrempait et mes doigts, longeant le dos de Noah, se retrouvèrent bien vite au niveau de ses fesses que je me mis à cajoler également. J’avalais ma salive une fois, puis décidai de ramener ma main vers le devant de son boxer, stoppant par la même occasion les mouvements qu’il avait. Je relevai les yeux vers Noah et de mon autre main, je vins pousser sur sa nuque pour que nos bouches se rejoignent une fois de plus. Et une fois de plus encore je lui offris un baiser fougueux, langoureux et malgré tout, tendre. Mon autre main se mit à toujours plus caresser et plus fermement que tout à l’heure. |
Time Square can't shine as bright as you. | En fait, je n’avais même pas remarqué tous ces tatouages lorsque je lui avais retiré sa chemise, ce n’est que lorsqu’il se redressa pour retirer complètement son pantalon, que je pus les voir complètement. En fait, ça lui donnait tout un charme, ça allait vraiment bien avec sa personnalité, son style et je m’étonnai d’adorer finalement. Il n’était pas forcément très musclé mais je n’en voulais pas plus, ça lui allait comme ça et je l’aimais tel qu’il était, pas autrement. Je ne pris pas plus d’importance à tout cela et regardai de nouveau le jeune homme dans les yeux. Il se remit sur moi, sans m’écraser et me prit près de lui afin de pouvoir enlever mon soutien-gorge. J’avais peur à ce moment-là car je n’aimais pas du tout cette partie de mon corps et lorsque je me retrouvai nue face à lui, je plaçai machinalement un bras sur ma poitrine comme pour l’occulter. Finalement, je le retirai lorsque je vis qu’il voulait en profiter quelque peu. Il me caressait, doucement, lentement, sensuellement, délicieusement… Je frissonnais, une nouvelle fois, encore. Des milliers de petites boules surélevaient ma peau pour en former une chair de poule sur l’ensemble de mon anatomie. Mes deux petits seins se mirent à pointer, comme quand il faisait froid. Il alla jusqu’à mon bas ventre. Je bouillais littéralement d’envie, je n’en pouvais plus, j’avais envie de passer à l’acte plus qu’à n’importe quel moment maintenant. On s’embrassait comme des fous, c’était terriblement excitant. De plus, je sentais sa main descendre dangereusement vers ma culotte jusqu’à ce qu’il y parvint. Il commençait ses caresses et d’ailleurs, je supposais qu’il pouvait sentir mon excitation à travers le tissu tellement j’étais mouillée. Il accentuait ses gestes, jusqu’à ce que cela me fisse réellement frémir, j’émis un léger gémissement, prouvant à quel point ce qu’il faisait était absolument électrisant. Nos bouches se séparèrent, à ma plus grande frustration. Il se redressa, se mit à genoux devant moi et me regardait toujours dans les yeux. Je me mordis vigoureusement la lèvre inférieure, et pris une grande inspiration, je savais ce qu’il allait faire et j’appréhendais légèrement. Finalement, il retira ma culotte et je me retrouvai parfaitement nue devant lui. Il se remit contre moi, relevant une de mes jambes contre lui, et recommença ses baisers qui me faisaient languir toujours plus. Noah savait parfaitement s’y prendre, il avait de l’expérience et cela se ressentait. J’étais parfaitement amoureuse de la manière dont il s’y prenait, toute cette douceur me faisait battre le cœur et j’appréciais sa manière d’agir avec moi. Il avait ce respect que je n’avais retrouvé que chez peu de personne et il était rare de pouvoir en rencontrer. Ses baisers se retrouvaient sur mes seins, mon ventre, mon bas-ventre… Mes cuisses. Mes jambes s’écartaient machinalement lorsque son visage se retrouva à la hauteur de mon entre-jambe. Je pris une grand inspiration, je n’étais pas à l’aise avec ce genre de pratique mais n’étais pas du tout contre. J’avais une main posée sur mon sternum que je resserrai dès que je sentais ses lèvres posées contre ma peau. Les yeux fermés, je ne pensais à rien, je priais simplement pour qu’il continue. Je descendais l’une de mes mains que je vins poser sur la tête du jeune homme. Je me cambrai toujours plus, et je commençais à émettre quelques gémissements à tel point que j’essayai de serrer les dents pour me retenir… Lorsqu’il s’arrêta, je tendis mes bras vers lui pour le reprendre près de moi, en réalité, je préférais qu’il reste près de moi, que je puisse le sentir proche et que nous puissions nous regarder et nous parler… avec les yeux. Lorsque le jeune homme se retrouva au-dessus de moi, encore une fois, je l’obligeai à basculer pour que je puisse, à mon tour, lui offrir le même plaisir. A califourchon sur lui, je commençai par caresser son torse, son ventre. Puis m’abaissant vers le jeune homme, je lui offris un baiser léger et furtif. Ensuite, j’allai chercher son cou pour y déposer des dizaines de baisers afin de débuter, puis je descendais, toujours un peu plus, tout en l’embrassant avec douceur et tendresse. J’avais envie de lui donner autant qu’il l’avait fait avec moi. Arrivée au niveau de son boxer, je me redressai pour y déposer mes mains, et l’ôter délicatement en agrippant l’élastique. Je lui retirai complètement et redescendis au niveau de son nombril pour y recommencer mes baisers tandis que ma main jouait avec l’objet que je désirais tant. Je dévalai toujours un peu plus sur son corps, les lèvres posées sur sa peau blême, et je parvins enfin à son entre jambe. Les yeux fermés, j’y déposais quelques baisers, parfois ma langue s’ajoutait au jeu, pour le plus grand plaisir du jeune homme. Je n’allai pas plus loin et me redressai pour continuer les préliminaires avec ma main. De longs vas et viens vinrent poursuivre la danse. J’avais les yeux posé sur Noah cette fois-ci, vérifiant de temps à autres si cela lui plaisait… Après tout, j’avais l’appréhension de mal faire. De mon autre main, je replaçai mes cheveux qui étaient déjà en pétard… |