when i met you i felt like i wanted to save you somehow ✰ will

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La petite fille élever par les chanson Disney et les costumes de princesses c'est réveiller. Elle pointe le bout de son nez à travers, la grande Laska qui essaie d'être crédible malgré sa chambre vomit par quelqu'un qui aurait ingurgité trop de produit dériver Harry Potter, et est obnubilé par ce jeune blond à la carrure de top model. D'ailleurs, il est dans le faux, parce que hormis l'odeur de bière qu'il a fallut que tu te débarrasse en ouvrant la fenêtre, il avait tout du prince charmant. « Tu dois ? Tu dit ça comme si c'était une corvée! T'imagine pas ce que les gens seraient près à faire pour aller à l'avant première du prochain pirate des caraïbes. » dis tu dans un gloussement. Si ça se trouve il aurait adorer vivre au ranch de tes parents, entre Margarette la vache et Sevrus l'étalon, et donner à manger au poule tel Cendrillons dans une magnifique tenue remplis de foin et de plume. La suite des événements te troubles un peu, bien que tu soit déjà troubler, en six mois, depuis ton arriver à New York aucun garçon n'avait jamais traverser le seuil de ta porte. Même pas Benjamin, ton partenaire de piano à qui te demande gentiment de patienter le temps que tu prennes tes partitions. (Bon, soyons honnête, il pue grave la transpiration h24, comme si tout les matins il courrait un marathon et qu'il avait besoin que ça se sente). C'était donc un vrai miracle qu'il soit là, maintenant dans ton lit, et ton cœur ne cesser de battre si fort qu'il allait peut être sortir de ta poitrine et danser la polka sur ta table. Mais tout cela n'était qu'un coup de chance, tomber sur un garçon normal c'est pas dans tes cordes, quelques choses cloches chez celui-ci et tu n'arrivais pas du tout à le cerner. Il parlait tel la tortue fatigué dans Kung Fu Panda, en énigme et en sentiments profond, que ça te fait t’interroger sur son niveau de sobriété. « Moi aussi je pense, et pas qu'un peu. Ça ne change pas que tu n'a pas répondu à ma question : qu'est-ce qui t'as pousser à prendre une grosse cuite hier soir ? Et la finir seul. J'veux dire, quand t'es potes commence à se casser, normalement tu te stoppe aussi, alors que toi, t'étais tout seul. J'te jugerais pas, promis. » Alaska la curieuse remet le couvert.

WILSKA

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wilska
mise en page par mad loveMa vie pouvait être vue comme un conte de fée à la Disney mais par moment, cela pouvait vraiment être une corvée. Je n’avais pas le droit de sortir avec qui je voulais, j’étais même préparé à un mariage arrangé mais ils ont vite compris que c’était impossible pour moi. Disons que ce n’est pas ce que je préfère faire, les Disneys, je les mange depuis toujours… On ne peut pas se mette au même niveau toi et moi. J’ai toujours dormi disney, manger disney, pleurer disney, habiller disney. dis-je en haussant les épaules. Autant dire que j’en avais une overdose malgré mon envie de devenir dessinateur internet pour les Disney… Je n’ai pas le choix après-tout. Alaska était mignonne à réfléchir ainsi, à vivre dans le rêve d’Harry Potter. C’était un moyen pour elle de vivre une vie heureuse. Je finis par rester silencieux aux paroles d’Alaska, elle était curieuse mais j’imagine qu’il est préférable pour moi que je m’ouvre un peu. Disons que j’ai perdu un être cher il y a peu de temps, j’ai énormément de mal à m’en remettre au point de faire ce genre de connerie. Elle était clairement tout pour moi et maintenant, elle n’est plus là. dis-je en soupirant doucement. Je passe une main dans mes cheveux doucement en mangeant les m&m’s doucement.

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« Et bien si tu fais une overdose passe ton tour ? J'me ferais un plaisir d'avaler du polynectar et y aller à ta place. » dis-tu dans un gloussement, en bombant le torse comme si tu étais sérieuse. Comme si le polynectar exister vraiment, parfois tu avais du mal à faire la différence entre le monde d'Harry Potter et le tiens. Celui ou tu vit. Après tout Dumbelrosie elle, vit uniquement à poudlard, elle écrit des fanfiction et des romances, si elle était maîtresse de cette scène, il y a longtemps que le personnage principale féminin ce serai glisser près du personnage principale masculin. Et elle l'aurais observer, de haut, chaque détail et cette partielle de peau du personnage masculin, humant l'odeur de tabacs dans ses cheveux et de bière qui ne l'a déranger pas plus que ça, avant de passer sa main maladroite dans ses cheveux ondulé. Mais on est pas dans une des fan-fiction de Dumbelrosie ,dans cette vie là, Alaska est beaucoup trop timide et ce jeune homme a clairement le cœur briser. Pas le temps de géré une gamine, en amour sur son visage d'ange. « Je comprend. Tu voit je ne te juge pas. J'ai perdue beaucoup de gens moi aussi, ma peine n'est peut être pas aussi grande que moi, mais la grande faucheuses est pas super gentille avec les gens. » Tu avales un morceau de cookie en secouant positivement la tête, sa peine de cœur est immense et rien ne peut remplacer cela, puisque sa bien aimé à du périr dans un accident, ou quelques choses qui s'en rapproche. Tu évites de faire la Alaska curieuse et arrête là pour le sujet. « Et dis moi, Willow prince de Disney, qu'est-ce que tu aimes faire dans la vie à part empreinte le lit des jeunes filles en fleure après une nuit courte ? » dis-tu dans un gloussement. Tu te redresses pour chercher des jus d'orange dans le mini-frigot et lui poser près de lui. A ce moment là, tu laisse tomber la chaise de bureau et t'assoie sur la pouffe à quelques centimètres de sa personne.

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wilska
mise en page par mad loveHeureusement, mes parents se montraient un peu moins collants à ce sujet. Simplement, parce que je venais de perdre la femme de ma vie et parce que j’avais une responsabilité maintenant. Le fait que j’étais à Paris pendant deux ans à aussi fait du bien à ma liberté. Je t’appellerai la prochaine fois qu’on me forcera à y aller. dis-je en approuvant de la tête. Elle pouvait prendre du polynectare, j’imagine que cela marche bien dans le monde de Poudlard, mais est-ce qu’on peut en trouver à New-York ? Elle finit par se questionner sur le pourquoi je me suis mis dans cet état, il fallait croire qu’elle était curieuse mais je la comprends. J’aurais sûrement fait la même chose. Je finis par lui répondre vaguement sans lui dire clairement qui j’avais perdu même si j’imagine qu’elle s’en doute déjà. La vie est ainsi, on y peut rien. On a juste à vivre avec. dis-je en continuant de manger les m&m’s tranquillement. Je soupire doucement levant la tête vers le plafond, réfléchissant à ce que j’aimais faire avant que Lily nous quitte. Tout ce que j’aimais faire était en rapport avec elle. J’aime le dessin, spécialement le dessin sur l’ordinateur comme photoshop, la mise en forme des dessins animés… Ce genre de chose. J’aime voyager, j’aime la musique, j’aime la nature en fait, il n’y a pas grand-chose que je n’aime pas. dis-je en baissant la tête pour lui répondre en la regardant, c’est la moindre des politesses après tout. Et toi ? Tu aimes quoi à part Harry Potter ? lui demandais-je en reprenant une poignet de M&M’s.

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Il n'y avait pas à débattre. Avec du recule, tu t'es rendu compte que tu pouvais sentir son mal être à travers ses paupières fatigué et sa cuite comme dernier recourt. Ta curiosité n'allait pas te mener à plus loin, cette explication était suffisante, et malgré que monsieur curiosité soit entrain de te tirer dans tout les sens pour en savoir plus, tu refuse et change de sujet. Avant tout ça, avant d'être le fils de, avant d'être blesser par je ne sais qui, il devait avoir une passion non ? Des activités ? Des choses qui pourrais le faire sortir de sa bulle. « La nature ? J'ai vécue dans une ferme, il n'y a rien de plus naturel, je pense que tu aurais adorer traire Marguerite la vache. » dis-tu en riant. Mais c'est grave pas drôle, ça t'as genre dégoûter du lait à vie, tu peut même pas tremper tes biscuits dans quelques choses parce que la simple vision du lait te fait vomir. La seule forme de lait que tu acceptes, c'est les glaces et même, uniquement la ben&jerry's cookie ou spéculos. « J'aimerais voir tes dessins un jour, je suis sûre que tu fais des trucs fabuleux, après tout tu as ça dans le sang. » aux moins tu pourras te venter d'avoir rencontrer le prochain créateur du prochain Disney Movie. J'espère que ce sera un truc aussi cool que la reine des neiges et Raiponce, parce que c'était vraiment cool ça ! Je l'ai regarder cette aprèm et je chante encore : moi j'ai un rêveeeee ! Bref, hum, il te pose des questions sur toi, à part Harry Potter ? Erm ; va savoir, bouffer des cookies ça compte pas. « Harry Potter encore ? J'aime les univers parallèle. J'ai tellement peur de la mort, que j'aime me dire que dans un autre monde, la mort n'est que le quart des soucis, parce qu'il faut affronté les méchants et sauver les gentilles. » toi tu serais de celle qu'il faut sauver, ou peut être que dans cette univers parallèle tu serais aussi forte qu'Hermioen Granger ?

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wilska
mise en page par mad loveJ’appréciais quand même le fait qu’elle ne me pose pas quinze milles questions sur ma fameuse cuite, qui ne pouvait se faire sans une véritable raison. Autre que l’envie soudaine de me prendre la mine de ma vie. Je savais que je n’étais pas bien psychologiquement, je ressemblais même plutôt à un zombie ce qui était assez pitoyable venant de ma part. Pour moi, ma vie était clairement fini et j’ai bien tenté de me suicider, les marques sur mes poignets étaient toujours présentes même si elles s’effaçaient petit à petit chaque jour. Cela aurait été parfait si la douleur de la perte de ma bien-aimée disparaissait également avec ces traces. Le changement de sujet me fit du bien, je lui explique simplement ce que j’aimais même si tout me faisait pensé à Lily… Elle a toujours été dans ma vie que j’ai l’impression d’avoir vécu qu’avec elle et que sans elle, je n’étais tout simplement plus rien. Je pense honnêtement que cela aurait pu me plaire, j’aurais sûrement adoré le côté proche de la nature mais peut-être que pendant les vacances par contre. dis-je en finissant les quelques m&m’s restant. Elle finira sûrement par voir mon talent un jour ou l’autre, que cela soit en face à face ou même à travers les dessins animés que je pourrais éventuellement réalisé à l’avenir. Tu me diras ce que tu en penseras alors et nan, tous les Disneys ne sont pas doué pour cela. Ce n’est qu’une légende, mon frère est plus basé dans la musique et la gestion. dis-je en haussant les épaules. C’est pour cela qu’on est très différent lui et moi. Avoir peur de la mort, c’est quelque chose d’assez important, on peut mourir tous les jours comme lily comme ma grand-mère. La vie ne tient qu’à un fil, il suffit de le couper pour finir par y rester. Tu as peur de la mort ?! Cela paraît simple comme peur, une chose que tu ne peux éviter, ce n’est pas comme une araignée. Tu t’es créé une bulle, mais tu sais qu’il faudra un jour que tu y en sortes ? Cela s’appelle, entrer dans la vie d’adulte avec toutes les responsabilités. C’est la chose qui fait le plus peur d’après moi…. Je me pensais prêt quand j’ai su pour le bébé, mais maintenant que je suis seul… Je me sens loin d’être prêt à devenir un adulte.

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Tu ris quand il t'avoue que ça lui ferais du bien un peu d'air de la campagne, mais uniquement pendant le week end. C'est sûr que troquer une paire de chaussure de lux avec une paire de botte en caoutchouc c'était pas possible tout les jours, tu te demande où en serais ta vie, si ta famille était un peu plus riche. « Tu devrais devenir en Grèce alors, je t'apprendrais à traire une vache. » dis-tu pour le taquiner. Personne ne trais plus de vache de nos jours, même vous, vous aviez une machine qui le faisait automatiquement, Marguerite à même arrêter de ronchonner à force, elle avait l'habitude. Pour ne sait quel raison, tu t'es sentit assez en confiance pour lui parler de la manière la plus naturel possible, de ta plus grosse peur. Tu te rend compte après qu'il ai fait de gros yeux, que tu te sent étagement à l'aise avec ce garçon. Que chaque sujet est facile à aborder, et que la discussion est centrée sur lui, mais aussi sur toi, c'était quelques choses d'assez rare de nos jours, ou les gens aime avoir les feux des projecteurs braquer sur eux. « Je sais bien ; c'est juste que je pense à tout ce qu'on est maintenance, à tout ce qu'on voit, qu'on touche, qu'on ressent, et une fois que tout ça est finit, qu'est-ce qui se passe ? J'ai peur de me retrouver seule. La solitude me fait peur aussi, dans un sens. Et les responsabilités, encore plus. Devoir passer devant je ne sais quel anges de la mort, et voir ses péchés étaler sur un grand écran, ça me fait peur. » c'est un ensemble de chose en somme. Tu avales un morceaux de cookie et secoue la tête, la seule idée d'en parler te donne mal au cœur, la peur t’envahis si vite que de devoir expliquer le pourquoi du comment, pourrais te pousser à faire une crise de panique. « Et toi ? Tu as peur des responsabilités ? » dis-tu en te redressant, sa voix avait plus grave et plus passionnée quand le mot responsabilité avait été émis.

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wilska
mise en page par mad loveAu fond, ce n’était pas une si mauvaise idée… Voyager quelque part pendant quelques jours pour simplement penser à autre chose. Même si je savais que cela allait être difficile, j’arrivais tout de même à penser à autre chose qu’à la mort de Lily… Peut-être que c’est simplement parce que je ne le réalise pas encore tout à fait… Son enterrement est pour bientôt. Ca ne serait pas forcément une mauvaise idée… Ca me ferait clairement du bien. dis-je en haussant les épaules. C’était sûrement une blague pour elle mais cela me donnait tout de même l’envie d’y aller. Elle finit par m’avouer sa plus grande peur, celle-ci s’avérait être des plus normales chez l’être humain mais je n’aurais pas pensé qu’on puisse avoir peur de cela si jeune et surtout quand one st en bonne santé comme elle. La solitude ? Je la vis tous les jours même si je suis en compagnie d’Alon, je sentais au fond de moi que quelqu’un me manquait et cette personne n’était qu’autre que Lily. Je peux comprendre, mais je le vis déjà tous les jours. Si je devais dire une peur, j’aurais plutôt dis le vide car même s’il y a toujours un fond, tu ne sais jamais quand tu l’atteins. dis-je en buvant une gorgée de mon café qui était maintenant tiède, je prend toujours trop de temps à le boire malheureusement. Je soupirai doucement quand elle me parle de ma vraie peur, les responsabilités. Quand on a que vingt ans, il est difficile de nous imaginer déjà dans le monde des adultes, si beaucoup ont déjà des petits boulots, ils se voient toujours comme des adolescents ou des pré-adultes. Maintenant, je suis dans le monde des adultes parce que j’ai la responsabilité de mon fils… J’ai fais clairement un bon dans le monde des adultes et ça, ça fait flippé. Quand tu es un adulte, tu ne peux pas te cacher tu dois aller de l’avant. Je n’ai que vingt ans et pourtant, je sais maintenant que je ne peux plus reculer que je dois prendre mes responsabilités et aller de l’avant. Je dois tenir tête seul à tout ce qui peut arriver dans la vie d’un adulte. Et ça ! Ca, ca fait vraiment peur quand on n’est pas préparé à le vivre seul. dis-je en plongeant mon regard dans celui de Alaska. Elle ne peut s’en doute pas comprendre mon point de vue.

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« Vient avec moi alors, je rentre cette été, ma mère serais ravi de te rencontrer. » ta mère est toujours ravi de toute façon, à quel moment de sa vie elle ne serais pas ravi de te voir, et ravi de rencontrer tes amis ? Si on peut l'appeler comme ça, ou plutôt une connaissance, avec qui c'est facile de parler. La discussion tourne rapidement sur le sujet qui brûle, la mort, la peur, les choses qui s'en prenne à nous alors qu'on a rien demander, le vide. Son discours sur le vide te fait froid dans le dos, des frisons partout sur le bras à la simple idée de penser au vide, parce qu'après tout, personne ne sait si après la mort tout ce qu'il y a c'est le vide. Tu respires profondément, sans vraiment trouver de réponse à tout cela. Quand tu comprend dans la suite de la réponse qu'il y a un autre fond à tout cela, tu te rend rapidement compte que tu as toucher un point sensible, celui que tu as essayer d'éviter plus tôt dans le début de la conversation. Vous êtes partit trop loin pour des étranger, trop loin pour pouvoir revenir en arrière. C'est facile à en déduire à présent, la personne qui s'en ai aller dans la vie de se jeune homme était sûrement l'amour de sa vie, et elle s'en aller en lui laissant une tonne de responsabilité sous le bras. Des dettes à payer, des histoires à clôturer, une vérité à découvrir, ou juste plus simple : un enfant. Son regard s'arrête dans le tiens lorsqu'il finit son discourt, tu n'arrive à rien répondre, ni même à garder les yeux dans les siens, plus de cinq seconde alors tu te redresse et récupère les sachets vides qui était près de lui. « Je n'ai aucune idée de ce qu'être un adulte responsable veut dire. » avoue-tu en haussant les épaules, tout en jetant les ordure et retournant sur la chaise, près du bureau. C'était mieux ainsi, trop de proximité peut te rendre nerveuse. « Si tu te noie, tu es dans le droit de demander de l'aide. » il en avait peut être besoin, une présence féminine qui remplacerai un instant celle qu'il a aimer, et qui est partit trop vite. Ou peut être que tu te tromper Laskouille, peut être qu'il a juste perdu son chien et que ça le met dans des états pas possible. « Tu veux encore du café ? Je peux aller t'en chercher rapidement à la cafétéria, ou au starbucks ? Laisse moi dix minutes. Après je doit m'entraîner un peu au piano avant d'aller en cour, il faut que je garde le rythme dans la tête, sinon je le perd. Les joie de Juilliard. » dis-tu en te redressant, il avait besoin d'une douche aussi ou de dormir un peu, si tu lui joue une balade, peut être que ça va le calmer.

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wilska
mise en page par mad loveJe me doutais qu’elle n’était pas spécialement sérieuse dans ses paroles, elle ne me connaissait pas après tout alors pourquoi m’inviterait-elle chez elle ? Cela paressait absurde et je ne savais même pas si je serais encore si dans quelques mois alors attendre la fin de l’année… Bref, le sujet divague sur la peur d’Alaska qui s’avérait être des plus normal pour un être humain. Moi c’était différent, j’ai côtoyé la mort pendant longtemps avec Lily et ce n’était clairement pas la joie, mais je n’en avais pas la peur. J’avais plus la peur de grandir et d’avoir des responsabilités que je ne pourrais peut-être pas gérer. On s’ouvrait beaucoup pour des inconnus, mais je me disais qu’il était facile pour moi de m’ouvrir à une inconnue et que j’en avais le besoin pour continuer à vivre si on peut dire cela comme ça. Je regarde la jeune femme se lever pour prendre les sachets vides. Tu es encore jeune, forcément tu ne peux pas savoir et prend ton temps… Reste dans le monde d’Harry Potter le temps que tu peux. dis-je en finissant mon café. Je soupire doucement quand elle me dit que je pouvais demander de l’aide si je me noyais, encore fallait-il avoir quelqu’un a qui demander de l’aide. Ma famille n’a jamais été d’accord sur ma relation avec Lily et elle l’est encore moins sur l’existence d’Alon. Faut-il encore pouvoir demander de l’aide, ce n’est pas facile quand tu coules de demander de l’aide surtout quand tu n’as aucune main tendu que tu peux attraper pour sortir de l’eau. dis-je en déposant la tasse sur le bord de la table de nuit. Je remarque finalement l’heure quand j’entendis les paroles de la jeune femme. Je soupire et me redresse du lit. Je ne vais pas t’embêter plus longtemps, je vais aller me reposer chez moi et arrêter de t’embêter. Je passe pour le plus grand des cons à tes yeux maintenant mais j’espère que la prochaine fois qu’on se croisera, cela sera dans de meilleur condition. dis-je en attrapant finalement ma veste qui se trouvait sur la chaise du bureau. Il était temps pour moi d’aller dans le monde des adultes.

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