if you try to make this night special. ◇ (W/ARWEN)

if you try to make this night special.
░░░░░░░░ feat. arwen richardson

Elle éteint la lumière de sa chambre, peut-être pour se sentir plus à l'aise, moins voir mon regard troublé le sien ou j'en sais rien en fait mais ça me gène pas, elle fait de nouveau le premier pas, venant poser ses lèvres sur les miennes, un baiser bien plus fougueux que celui qu'elle m'avait donné il y a quelques minutes lors de cette mini coupure de courant, d'ailleurs elle m'avait surprit en agissant ainsi et peut-être que de reproduire le contexte, la faisait se sentir entreprenante et moins douteuse, laissant aller ses envies. Entre deux baisers tout de même, elle me sortait que ça faisait un moment qu'elle n'avait pas fait l'amour, je pose mes mains sur ses joues, j'essaye de la rassurer, reposant mes lèvres sur les siennes, mes mains venant ensuite attraper les pans de son top pour le soulever, elle rompait le baiser pour lever les bras et m'aider à le lui retirer entièrement, elle fit la même chose avec mon t-shirt, je sentais ses doigts se poser sur les parcelles de mon torse nu, je frissonnais. Nos lèvres se retrouvèrent, je la collais un peu plus contre moi en posant mes mains sur ses hanches puis je la soulevais pour l'emmener jusqu'à son lit, sans quitter ses lèvres, ouais j'arrivais à percevoir le chemin jusqu'à son lit, merci la lumière extérieure à travers la fenêtre de sa chambre. Je l'allongeais délicatement sur son lit puis allongé sur elle, je continue à l'embrasser, retrouvant cette passion que j'avais pour elle il y a deux ans pendant deux ans.

J'étais nerveuse. En même temps, ça pouvait se comprendre. Je remettais ça avec Walter deux ans après notre rupture douloureuse. Je n'avais aucune idée d'où cela allait nous mener. Certainement nulle part puisqu'il avait bien dit "juste une dernière nuit". Il voulait se rappeler comment s'était nous deux le temps d'une nuit. J'y voyais pas vraiment d’inconvénient, j'étais toujours amoureuse de lui. Le truc, c'est que le lendemain, il allait se passer quoi ? Juste l'ouverture des blessures du passé dans ma poitrine. Cette dernière qu'il découvrît peu à peu. Son t-shirt allait rejoindre le sien par terre. Je laissais mes mains parcourir son torse enfin nu alors que nous continuions de nous embrasser fougueusement. Nous étions en train de relâcher toute la pression que nous nous étions mise depuis le festival et ça faisait un bien fou. Nous étions pratiquement peau contre peau et je me laissais porter, après un petit cri de surprise étouffé entre ses lèvres, jusque sur mon lit. J'étais allongée sous lui et nous continuons à nous embrasser comme si notre vie en dépendait, mais surtout comme s'il était impossible de s'arrêter. Pourtant, mes lèvres dérivèrent pour embrasser sa mâchoire et finalement se perdre dans son cou. L'excitation grimpait peu à peu, en même temps, Walter et ses mains baladeuses y étaient pour beaucoup.

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░░░░░░░░ feat. arwen richardson

Je ne pensais pas me retrouver de nouveau dans une telle situation avec Arwen, après deux ans, ça fait bizarre mais ce soir on essayent tous les deux de passer au-dessus de ce qui a pu se passer entre nous, on veut juste profiter du moment présent, j'avoue lui avoir proposer et quelque part ça me touche qu'elle n'est pas refusée. Je ne voulais pas penser aux conséquences après cette nuit, ça allait devenir très compliqué c'était certain mais je voulais me vider la tête et ne penser qu'à Arwen, le goût de ses lèvres, son corps, juste profiter d'elle et me libérer du reste. Mon t-shirt venait rejoindre le sien sur le sol de sa chambre, je frissonnais lorsque ses mains froides touchèrent mon torse, l'envie montait petit à petit, encore plus lorsque nous nous collions l'un à l'autre, que nos lèvres ne firent qu'une, je me mettais à la soulever, elle échappait même un petit cri de surprise entre deux baisers, ça m'avait fait sourire puis je l'avais reposer sur son lit, m'allongeant sur elle sans quitter ses lèvres, du moins il faut croire que les siennes eurent envie de se balader sur ma mâchoire et de se perdre dans ma nuque. Je fermais les yeux, je savourais ce ressentis qui m'envahissait, mes mains se déplaçaient sur les courbes de sa peau jusqu'à arriver à son jean que je déboutonnais.